West'ier

Medina sélectionné avec l'Argentine (qualifications pour la CDM 2026), avec un match ce vendredi contre le Paraguay et un deuxième match contre le Pérou le mercredi 20 novembre, à 1 heure du matin heure française. Autant dire qu'il reviendra avec la tête dans le brouillard pour affronter Marseille, samedi 17 heures. En rappelant que Khusanov et Gradit seront suspendus pour ce match.

https://www.lavoixdunord.fr/1521284/article/2024-11-09/lens-nantes-le-racing-se-relance-apres-une-drole-de-partie-de-fou-foot Où on apprend que RLL a joué en étant malade.

Encore beaucoup de places disponibles sur la revente. L'ambiance sera peut-être meilleure ce soir.

https://www.lavoixdunord.fr/1520574/article/2024-11-07/jo-2024-la-chance-aux-enfants-et-gervais-martel-ont-reussi-leur-paris-fou Où on apprend que Gervais a eu de gros soucis de santé cet été.

Même compo annoncée du côté de l'Equipe.

« On a un nouveau Rémy, beaucoup plus complet » : Labeau-Lascary, la jeunesse à la pointe de l’attaque lensoise Seul attaquant de métier totalement opérationnel contre Nantes (ce samedi, 19 h), le jeune Guadeloupéen a bagarré, après un prêt réussi en Ligue 2 à Laval, pour convaincre son club formateur de le garder. Déjà deux fois titulaire, il a ouvert son compteur à Saint-Etienne. Décryptage de sa progression. Un profil « hyper complet » Olivier Frapolli voulait Rémy Labeau-Lascary, dont l’entourage avait été sondé, dès le mercato d’hiver 2022-23, mais Franck Haise ne souhaitait alors pas le prêter. L’entraîneur de Laval est revenu à la charge l’été suivant. Et il aurait bien prolongé son bail par un second prêt. D’autres clubs (Lorient notamment) suivaient aussi son dossier. « Sa plus grosse qualité, détaille le technicien, c’est sa capacité à attaquer la profondeur, c’est un joueur d’espaces qui va très vite. Des joueurs qui font beaucoup de courses sans ballon, ce sont des profils de plus en plus rares, aujourd’hui, tout le monde doit avoir le ballon dans les pieds… Son deuxième point, c’est son volume de jeu, il sait répéter les courses à très haute intensité. Ça tranche un peu avec son comportement quotidien, un peu nonchalant, mais dès qu’il est sur le terrain, il a un autre visage. Enfin, il est à l’aise dans le dribble et peut faire des différences individuelles. » Capable de jouer en pointe comme sur les côtés, il ne rechigne pas non plus aux tâches défensives, ajoute l’ancien coach de Boulogne (2017 à 2019). « On avait juste un point d’interrogation sur ses qualités de finisseur. » « C’est un attaquant hyper complet, confirme Will Still. Il est assez grand (1,88 m), plutôt puissant et rapide. Et sa prise de profondeur est hyper intéressante à l’image du but qu’il marque à Saint-Etienne où il est à l’affût. Il a aussi un calme assez étonnant devant le but. » L’entraîneur lensois l’avait d’abord fait revenir pour la préparation ; il l’a gardé pour la saison. En août, le Guadeloupéen a même été prolongé de deux ans, jusqu’en 2028. Un prêt bénéfique : « Il est respecté » Horizon bouché à Lens, où il a signé son premier contrat pro en janvier 2023, Rémy Labeau-Lascary s’est aguerri pendant un an en Ligue 2, enchaînant les matchs (35 dont 26 titulaire). « On a un nouveau Rémy depuis le début de saison, souligne Adrien Thomasson qui a suivi sa période mayennaise avec attention. Je l’avais senti très investi, avec beaucoup de détermination dès le début de la prépa. Son prêt lui a fait du bien. La Ligue 2 est vraiment un bon championnat pour le développement. On n’a pas tous la chance de commencer en Ligue 1, c’est la preuve, et je suis passé par là, que se faire prêter à un niveau compétitif est important. Sa personnalité n’a pas changé, il est plutôt réservé dans un vestiaire. En revanche, je l’ai connu sur les six derniers mois de la saison où on termine deuxièmes (2022-23) et, il est devenu un joueur beaucoup plus complet, intéressant dans son jeu sans ballon, le pressing et ses appels. Il est beaucoup plus épanoui, en confiance. » « Il est respecté pour la personne et surtout le joueur qu’il est », insiste Will Still. Après une préparation séduisante à Laval, celui qui est arrivé à la Gaillette à 15 ans, en 2018, s’était d’abord cherché. « Il a longtemps couru après son premier but, raconte Olivier Frapolli. Ça a occasionné un peu de frustration, parfois des mauvais choix, il surjouait. Il créait mais finissait peu. Les premiers mois, on se disait toujours il y a un potentiel mais concrètement pas grand-chose. Mais il est toujours resté dans le projet. Sur la deuxième partie de saison, il a commencé à être plus impactant. Il a été décisif, a mis des buts, provoqué des penaltys. Il a passé un palier et gagné en consistance. » Une première passe décisive le 23 janvier face au PFC et c’était parti, stats plus en raccord avec les espoirs (4 buts, 4 passes). Le staff lavallois a parfois dû lutter malgré tout contre une forme de relâchement, un tempérament qui réaffleurait : « On a beaucoup travaillé sur le langage corporel et sur être toujours très dur dans les duels offensifs. Mais Rémy a un bel avenir devant lui, il a en tout cas les qualités pour. » Une palette à étoffer : « Ne ferme pas les yeux quand tu fais une tête ! » À 21 ans, Labeau-Lascary est encore un jeune joueur, avec une marge de progression. « Il doit élargir sa palette de finisseur pour être vraiment un attaquant de très haut niveau, pointe Olivier Frapolli, resté en contact avec lui. Il n’a pas de jeu de tête et doit travailler son mauvais pied. » Will Still abonde avec humour : « On lui a dit à maintes reprises de ne pas fermer les yeux quand il fait une tête ! C’est un travail quotidien. Encore ce matin, il avait dix ballons à enchaîner pied gauche, ce n’est pas le pied gauche de Messi, mais ça avance. On le constate chaque jour à l’entraînement quand on travaille la finition, maintenant, il met 65-70 % des occasions. En début de prépa, c’était 35-40 %. On voit une nette évolution. C’est un super garçon, avec un vrai potentiel, qui a envie de travailler et d’aller loin. Et il a une famille qui l’aide. » Et avec un soupçon de malice, ou de métier, en plus, il n’aurait peut-être pas vu ses buts refusés à Monaco et Rennes et aurait sans doute marqué plus tôt son tout premier but en pro avec Lens.

Non, en 2 clics tu peux résilier. Personnellement, j'ai fini par craquer. J'en ai ma claque des sites de streaming qui sautent un par un. Et donner mon argent à des IPTV qui alimentent des réseaux criminels (et qui peuvent eux aussi sauter du jour au lendemain), pas trop fan. A 7€ par mois, ce sera difficile d'avoir mieux comme offre.

infirmerie Ruben AGUILAR (épaule), Jimmy CABOT (genou), Martin SATRIANO (genou), Wesley SAÏD (cuisse). absents Sidi BANE (réserve), Ismaëlo GANIOU (réserve), Abdukodir KHUSANOV (suspendu), M'Bala NZOLA (suspendu), Tom POUILLY (réserve).

Possible de résilier quand on veut dont le 8ème mois donc. Edit: Devancé par @daykatana

Visiblement, en s'abonnant via Prime, il est même possible de regarder Dazn sur 2 écrans en simultané avec 2 adresses IP différentes. En partageant l'abonnement avec une autre personne à partir d'aujourd'hui et jusqu'à mai 2025 (fin de saison), cela reviendrait donc à payer 52€ par tête au total. Clairement attractif.

https://www.ouest-france.fr/sport/football/fc-nantes/fc-nantes-ignatius-ganago-jai-toujours-su-me-relever-029a41b6-9d2d-11ef-ad61-4b47559018ee

Diwilidi de nouveau convoqué avec l'Equipe de France U19.

https://www.lequipe.fr/Medias/Actualites/Commentateur-de-la-betclic-elite-david-cozette-quitte-deja-dazn/1518923 Le mois dernier, le commentateur de la Ligue 1 Luigi Colange avait également quitté DAZN à la suite d'un désaccord avec sa direction, notamment lié au manque de moyens accordés à la couverture éditoriale selon lui.

Joseph Oughourlian sur son compte Linkedin : « Une économie à réinventer » Après plusieurs mois de travail, la mission d’information du Sénat sur l’intervention des fonds d’investissement dans le football professionnel français, présidée par Laurent Lafon a rendu public, mercredi 30 octobre, son rapport, rédigé par Michel Savin. Si je commente aujourd’hui celui-ci, c’est que j’ai moi-même été auditionné. Je reconnais que je me suis longuement questionné quant à la pertinence d’une telle mission, sa capacité à saisir les enjeux de l’économie du football et à mettre en perspective des pistes inspirantes. En quoi le Sénat pourrait nous comprendre, voire nous éclairer ? Je dois avouer que j’avais faux devant la clairvoyance du travail réalisé. La commission fait preuve d’une grande clairvoyance sur les errements du football français : Elle dit qu’il faut améliorer la gouvernance de la LFP, je me suis déjà exprimé sur le sujet. Elle invite à plafonner les rémunérations des ligues sportives, comment ne pas être en phase ? Elle affirme qu’il faut renforcer la régulation des ligues, les exigences en matière d'éthique et de bonne gestion. Supprimer les intérêts croisés (quand ils ne sont pas conflits d’intérêts) au sein de la gouvernance apparait d’une nécessité impérieuse. Elle fait le constat d’un secteur au bord du gouffre financier, dont « l’économie est à réinventer ». Avec 9 M€ de droits TV domestiques désormais dans notre compte de résultat, 3 fois moins que dans les années habituelles, elle a malheureusement raison. Je salue la qualité de ce travail qui démontre que nos politiques (tant décriés ces temps-ci) peuvent nous aider dans bien des domaines. La prise de conscience était nécessaire, les changements deviennent indispensables. Quel dommage que la LFP ne crée pas les conditions d’un tel débat…

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Les-finances-de-l-ol-sont-toujours-dans-le-rouge-vif/1518861

Pour le coup, le son de cloche est le même du côté d'"influents" lyonnais, dont Sofiane qu'on voit régulièrement intervenir sur RMC. A les lire, Lyon va droit dans le mur façon Girondins de Bordeaux.

Alors que le RC Lens n’a remporté qu’un seul de ses huit derniers matches et reste sur deux défaites de rang, Will Still demeure pleinement serein avant de recevoir Nantes, samedi, un adversaire dont il se méfie grandement du plan de jeu. Une attaque inédite en vue « Comment repenser le secteur offensif ? Collectivement, en gardant nos principes et en restant fidèles à ce qu’on fait. Ce n’est pas une question de se créer des occasions ou des situations, mais juste de se montrer plus décisif dans ce secteur. Il y a des jeunes prêts à jouer, des éléments prêts à nous apporter des choses. » Will Still sous pression ? « La magie du football fait bien les choses, mais on a perdu un match au Parc 1-0 et un derby à la 97e minute. Cela fait partie de la vie d’un groupe et d’un club de foot. Quand je me suis engagé ici, on a été très clair sur le projet et ses ambitions. C’est sûr qu’on ne va pas réussir à tout faire maintenant, mais je pense que toutes les têtes pensantes sont très alignées. On savait qu’il y aurait des moments compliqués. Quand tu perds deux matches, tu as l’impression que c’est la fin du monde alors que non. Tous les joueurs et le staff en sont parfaitement conscients. On savait qu’il y aurait des hauts et des bas. Là, on est un peu plus dans un bas. Mais on a un match à domicile samedi où on a envie de bien faire les choses. Il n’y a pas de pression sur mes épaules ou le club, pas de stress, pas d’éléments alarmants. On a des choses à travailler et à corriger, on en est parfaitement conscients. Mais cela fait partie de la magie du foot et de ce qu’il se passe quand tu perds deux matches d’affilée. » Un RC Lens trop sanctionné par des cartons jaunes « On m’a raconté des choses comme quoi j’avais envenimé la situation à la mi-temps (contre Paris). Je tiens à dire que c’est totalement faux, je n’ai parlé à personne à part à l’arbitre en lui demandant simplement la raison de mon carton jaune. Il s’est avéré qu’il y a eu une mauvaise communication et que je n’aurais pas dû prendre un carton, mais j’ai pris un carton (sourire). Par rapport à l’intensité de l’équipe, il ne faut pas mélanger agressivité et engagement. Je pense qu’il y a certains cartons justifiés car on a passé cette limite d’engagement, mais on ne va pas changer du tout au tout et commencer à retirer le pied, car ça ne fait pas partie de l’ADN du club non plus. On a parfois joué un peu de malchance en accumulant beaucoup de cartons rouges directs sifflés sur un match et pas sur l’autre. Mais je vous promets que je vais arrêter de parler de l’arbitrage parce que ça ne m’intéresse plus du tout. J’ai envie de me concentrer sur le foot et ce qu’on fait sur le terrain. Je n’ai pas envie qu’on parle de moi dans ce sens-là. » Nantes, un sacré danger en transition « Nantes est une équipe qui a pas mal d’individualités capables de faire des différences. Certes, on s’attend à un bloc un peu plus bas, avec pas mal de situations de transitons où ils sont capables de faire très mal avec la vitesse et la percussion qu’ils ont dans le secteur offensif. On est conscients de leur état de forme, mais ça ne veut pas dire grand-chose après dix matches dans une saison. Comme tous les matches, on va le préparer comme si on s’attendait à la meilleure version de Nantes. Et la meilleure version de Nantes est capable d’embêter pas mal d’équipes. À nous d’être acteurs, proactifs dans ce qu’on veut faire, et de retrouver un peu d’allant et d’énergie. Je nous ai trouvé un peu amorphe en première mi-temps à Paris. On en a discuté et on a analysé, on a hâte d’être à Bollaert samedi. »

Gardiens : Mike Maignan (AC Milan), Brice Samba (Lens), Lucas Chevalier (Lille). Défenseurs : Jonathan Clauss (Nice), Lucas Digne (Aston Villa), Wesley Fofana (Chelsea), Theo Hernandez (AC Milan), Ibrahima Konaté (Liverpool), Jules Koundé (FC Barcelone), William Saliba (Arsenal), Dayot Upamecano (Bayern Munich). Milieux : Eduardo Camavinga (Real Madrid), Mattéo Guendouzi (Lazio Rome), N'Golo Kanté (Al-Ittihad), Manu Koné (AS Rome), Adrien Rabiot (Marseille), Warren Zaïre-Emery (Paris-SG). Attaquants : Bradley Barcola (Paris-SG), Ousmane Dembélé (Paris-SG), Randal Kolo Muani (Paris-SG), Christopher Nkunku (Chelsea), Michael Olise (Bayern Munich), Marcus Thuram (Inter Milan).