West'ier

Le petit tweet quotidien de Romano sur Neil...

C'est bien ce que je dis

https://www.teamfootball.fr/mercato/rc-lens-udol-change-la-donne-sage-veut-degraisser-avec-un-depart-inattendu-a-3me/ Je ne connais pas la fiabilité de la source mais Chavez serait poussé vers la sortie. Vente sèche à 3 millions souhaitée, Nantes et Montpellier intéressés. Machado conservé.

Pendant ce temps chez le voisin, le capitaine Benjamin André boycotte le prochain match amical en Italie (Côme), suite au refus de Létang de le vendre au PFC. Enfin une porte de sortie pour Samed ?

Pogacar...

Sang et Or jusqu'en 2030 Auteur d’une progression fulgurante sous les couleurs salzbourgeoises, Samson Baidoo s’apprête à écrire un nouveau chapitre de sa carrière dans l’Artois. Par son leadership naturel, sa puissance physique affirmée et son habileté technique, l’international autrichien (1 sélection) dispose déjà d’une solide expérience au très haut niveau. Disposé à marcher sur les traces de son compatriote Kevin Danso, le nouveau numéro 6 lensois lie son avenir au Racing pour les cinq prochaines saisons. Jean-Louis Leca, Directeur sportif du Racing : « Samson est un joueur que la cellule de recrutement scrutait depuis un moment. Il était notre priorité pour renforcer notre défense et rapidement dans les échanges, l’intérêt a été réciproque. Samson est doté d’aptitudes physiques et d’une rigueur défensive très développée pour son âge. C’est également un leader naturel, qui a été capitaine à plusieurs reprises des équipes dans lesquelles il a évolué. À 21 ans, il cumule déjà près de 120 matchs dont 16 en Ligue des Champions et une sélection avec l’Autriche. Parvenir à l’attirer chez nous est un vrai plaisir, et cela confirme l’attractivité du Racing. Son talent, sa détermination et sa maturité, héritée d’un bon entourage, correspondent à nos attentes. Bienvenue chez toi Samson ! » https://www.rclens.fr/fr/news/samson-baidoo-rclens-signature-mercato-20250717

"B-Day" avec le clin d'œil qui suit... Baidoo arrive

La programmation définitive des premiers matchs de la saison va sortir un jour ? On semble repartir sur d'excellentes bases en terme de considération des supporters...

Recruté pour plus de trois millions d’euros par le directeur général de l’époque Arnaud Pouille en 2024, validé par le coach Franck Haise et son staff, Hervé Koffi (28 ans) devait être le successeur de Brice Samba, promis à un départ au cours de cette même période estivale. L’international français est resté, pas les dirigeants, ce qui a poussé le Burkinabé sur le banc du mois d’août à décembre. Il a fini par plier bagage en hiver, mais le RC Lens finissait par recruter l’Australien Mathew Ryan, n’ouvrant pas la moindre porte à Hervé Koffi. Ce dernier, qui a été prêté à Angers, a été présenté par le SCO. Aux côtés d’Alexandre Dujeux, son coach, il est longuement revenu sur cette expérience douloureuse dans l’Artois. « Quand on sort de quatre ou cinq saisons en tant que titulaire, se retrouver en tant que numéro 2 dans un club, il y a quand même des frustrations et de sérieuses questions sur le plan individuel. C’était la meilleure solution pour moi de venir ici pour avoir du temps de jeu et de continuer à progresser », débutait Hervé Koffi, sans véritablement encore regarder en arrière. Apprendre à se méfier Relancé par ses interlocuteurs, Hervé Koffi s’ouvre sur son expérience passée : « Cette saison (à Lens), c’était très difficile. […] Mais quand on est footballeur, il faut s’attendre à ce genre de situation. Grâce à Dieu, il y avait des bonnes personnes autour de moi qui ont su me remotiver. Mon passage au RC Lens m’a donné beaucoup d’expérience et m’a permis d’apprendre beaucoup de choses sur le milieu du football. Il ne faut pas trop vite s’attacher aux gens et être très prudent. Et surtout, il faut apprendre à se méfier », assénait l’international burkinabé, franc dans ses paroles, sans filtre avec ses regrets. Les difficultés rencontrées à Lens ont été mises en perspective avec son passage à Lille, où il était devancé par Mike Maignan. Pour autant, le cadre avait été plus clairement défini dans le Nord : « Quand je suis arrivé à Lille, j’étais un numéro 2. C’était mon rôle. J’étais prêt à ça, a-t-il insisté. Mais à partir du moment où j’ai commencé à jouer (en Belgique), je voulais enchaîner les matchs. Se retrouver à nouveau sur le banc (à Lens), c’est frustrant. Cela donne des doutes et te pousse à te remettre en question. La meilleure solution était de venir à Angers pour avoir du temps de jeu et continuer à progresser, continuer sur ma lancée », concluait ainsi Hervé Koffi, lui qui estime avoir beaucoup appris en Belgique et qui souhaite désormais prouver sa valeur en Ligue 1, un championnat qui ne lui a jamais fait de cadeau.