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On dit à Lens jamais Sotoca sans Fofana, soit jamais 7 sans 8 😹😹 Sinon, on est sur 15 matchs sans défaites en ligue 1 (sur 2 saisons) Le record date de 2005-2006, avec 19 matchs de la 2e à la 21e journée. Mais on avait fait 12 nuls dont 8 consécutifs…
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Qui parle de jouer le maintien ? On est une équipe qui joue sa 3eme saison en ligue 1 depuis le remontée, c’est légitime de penser au maintien avant tout pour pérenniser le club dans l’élite, d’ailleurs notre budget présenté à la DNCG reste un budget « prudent » Mais ça ne veut pas dire qu’on le joue pour autant. D’ailleurs, les objectifs du club d’un point de vue classement ne sont clairement pas établi. On parle plus d’objectif sur le jeu, sur l’environnement du club et sur une identité forte à tout point de vue, sur la stabilité financière, etc… et sans se donner de limites sur la façon d’aborder les matchs. C’est ce que Haise et le club disent, ils jouent avant tout pour gagner les matchs, ou dans le pire des cas ne pas perdre (cf Reims) et que les résultats en découlent. Être prudent sur les objectifs, ça ne veut pas dire être ambitieux. L’objectif principal, c’est de se dire que si on finit 14 ou 15e avec une vision pessimiste, on ne mettra pas en péril le club, tout en étant ambitieux de jouer plus haut et les premiers rôles dans le championnat. En résumé, nos résultats viennent avant tout d’une symbiose à chaque échelle du club, et que c’est ça le principal objectif : jouer sans LA pression du résultat et de donner et se donner du plaisir.
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Dans les tops : Kevin Danso (Lens) : 8/10 Le défenseur axial s'applique, joue propre (105 passes sur 109 tentées) et alterne la recherche d'appuis intérieurs ou les décalages sur les flancs. Il n'a pas été particulièrement menacé par Mama Baldé ou, plus généralement, l'attaque troyenne. Mais il s'est montré sécurisant en gagnant ses duels (4/4 dans les airs), en appréciant bien les trajectoires. Mais aussi en contrant Odobert en position de marquer (76e). Enfin, il est venu s'intercaler plus haut (64e) dans le jeu. Ou dans la surface pour placer une belle tête devant la ligne des 5,5m, permettant à son équipe de l'emporter sur coup franc de Frankowski (1-0, 39e). Salis Abdul Samed (Lens) : 7/10 Son volume de course, comme celui de Sotoca d'ailleurs, reste impressionnant. Il ratisse large, récupère de nombreux ballons et demeure omniprésent sur le contre pressing. Mais, surtout, il colle à son équipe. C'est-à-dire en position plus haute quand elle presse l'adversaire et revient en base plus défensive quand il faut enrayer les transitions auboises. Przemyslaw Frankowski (Lens) : 6/10 Entré en cours de rencontre suite à la sérieuse blessure de Gradit (13e) touché à la clavicule droite, il a retrouvé le couloir gauche qu'il occupait la saison dernière, Haïdara redescendant en défense centrale à trois axe droit. Le Polonais avait des choses à prouver. Son apparition a accéléré l'animation sur son flanc. Passeur décisif sur le but de Danso, il a été plus précis que sur l'aile droite, pourtant sur son bon pied, où il a le plus souvent évolué cette saison. Toutefois, il doit encore gagner en justesse. Dand les flops : Lukasz Poreba (Lens) : 4/10 Il a assuré ses transmissions proprement, mais son pouvoir d'accélération, sa capacité à changer de vitesse et impulser un rythme différent sont restés trop faible. Comme s'il avait du mal à se situer sur le terrain lorsqu'il n'avait pas le ballon et tentait de se démarquer. Avec son bagage technique, sa vision, l'International Espoirs polonais est en capacité de faire plus et mieux. Remplacé à la pause par Seko FOFANA (5) qui aurait marqué si Porozo n'avait pas détourné sa reprise (56e). Et qui revient progressivement après sa blessure à un mollet.
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Pour la troisième fois de son histoire après les saisons 1957-58 et 2001-02, Lens n'a perdu aucun de ses 7 premiers matches en première division.
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D’autant plus que Machado sera encore suspendu et qu’on aura besoin de Haïdara ou Boura en piston gauche. Après, ne pas enterrer Louveau, s’il est apte physiquement (retour de blessure) Mais effectivement Onana est une possibilité également. Ça se jouera entre eux deux.
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Cabot, beaucoup d’activité et d’énergie, mais somme toute assez brouillon. il doit faire mieux dans la justesse des contrôles et de certaines passes sur les phases offensives. Il est victime aussi de sa taille sur des longues balles du gardien ou des défenseurs sur son côté. La majeure partie des offensives troyennes ont été de ce côté où Haïdara était sur son mauvais pied. Ce qui n’a pas aidé non plus.
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🎶 Ohéééé ohé ohé ohééééé Seko Seko 🎶
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J’ai trouvé ça pour une luxation de l’épaule : L’articulation est ensuite immobilisée avec une écharpe ou un bandage. Cette immobilisation dure environ trois semaines. Toutefois, le temps de guérison d’une luxation d’épaule peut varier selon les cas.
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
Tibbs a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Pour aller plus loin, article de l’equipe : Entre crise climatique et contraintes sportives, comment les clubs de Ligue 1 gèrent leurs déplacements ? Les clubs de L1 n'ont pas attendu le « char à voile-gate » de Christophe Galtier pour se poser des questions sur leurs déplacements. Et s'ils préfèrent l'avion et le car au train, c'est parfois pour de bonnes raisons. ————- Les entraîneurs français ont un curieux sens du timing. Bien avant Christophe Galtier et sa mauvaise blague de char à voile sur fond de crises énergétique et climatique, il y avait eu Arsène Wenger. C'était en novembre 2015, jour de la marche pour le climat à Londres, à quarante-huit heures de la COP 21, et les Gunners s'étaient rendus à Norwich en avion : 180 km en quatorze minutes chrono. « Il y avait des travaux prévus sur la route », avait-il prétexté... l'humour anglais sans doute, plus fin, certes. Pas plus convaincant. Ce couac de communication parisien, et la récupération politique, aura peut-être eu le mérite de faire avancer la prise de conscience. Mais le premier effet aura été de pointer du doigt le PSG et les clubs de foot professionnels. On comprend d'autant plus l'agacement des dirigeants parisiens que leur équipe a pris le car pour se rendre à Lille le 21 août et envisage de recommencer pour Auxerre, Lens, Reims et Troyes... après avoir effectué ses 19 déplacements de la saison dernière par les airs. Le deuxième effet, c'est l'opportunisme de la SNCF, se déclarant soudainement prête à répondre à leurs contraintes (accessibilité des gares, sécurité, retours de nuit...). Mais si, selon la LFP, en 2019-2020, seuls 4 % des trajets en L1 et L2 ont été effectués par le rail (65 % par les airs, 31 % par la route), la compagnie ferroviaire y est peut-être aussi un peu pour quelque chose. Étonnamment, mardi, le service des achats du PSG, qui avait sollicité la SNCF cet été, recevait enfin une réponse de la direction en charge des TGV spéciaux (TGV privatisés intégralement ou partiellement). À Lyon, où le parc d'automobiles des joueuses et des joueurs est passé à l'électrique, Vincent Ponsot, directeur général adjoint de l'OL, confirme : « On a étudié à plusieurs reprises la possibilité d'aller sur certaines destinations en train. Du coup, je suis très content de voir la SNCF se positionner parce qu'à chaque fois qu'on les a sollicités on n'a jamais eu de réponses sur nos problématiques liées à la sécurité et la récupération. » De son côté, la responsable de l'offre « groupes » de la SNCF nous a indiqué avoir bien rencontré l'OL, après deux échanges à distance et estime avoir été « suffisamment précise sur notre savoir-faire . » « La SNCF ne nous donne pas de chiffres précis, et pas sûr que ça coûte moins cher », relève-t-on à l'OM, qui a essayé de se renseigner depuis deux ans et dont les prestataires n'ont, par ailleurs, pas trouvé de solution fiable pour transporter certaines équipes en cars électriques. Un autre club a eu une réponse mardi, c'est Clermont, qui avait interpellé la SNCF sur Twitter : « Serait-il possible de nous faire une proposition d'offre TGV pour notre match au Parc des Princes en juin prochain ? » La réponse positive a vite été supprimée - puisqu'il n'y a pas de ligne TGV à Clermont - suivie d'une suggestion : « Les Intercités peuvent aussi être privatisés si vous le souhaitez », ponctuée d'un smiley. « On reste éloignés de beaucoup de zones, observe Yannick Flavien, conseiller du président du club. En train, rien ne serait faisable. On est à Paris-Bercy en trois heures trente si tout va bien, mais il y a des retards réguliers sur cette ligne très ancienne. Et si on joue à 21 heures, pour peu qu'il y ait un contrôle antidopage, on repousse le train de minuit d'une heure et demie ? Est-ce qu'on aura une ligne ouverte et du personnel dans les gares ? On a de fortes contraintes. Alors, pour Paris, on prend le bus. Et au-delà de quatre à cinq heures maximum de trajet, on bascule vers l'aérien. Mais quand on joue à Lorient le dimanche, à Marseille le mercredi, comme fin août, impossible d'utiliser le bus parce que la récupération des joueurs est primordiale. » Dans un pays centralisé, seul le PSG a l'embarras du choix pour les lignes de train Dans la France centralisée, seul Paris a vraiment l'embarras du choix pour prendre le rail à grande vitesse. Les clubs de l'Ouest ou les Sudistes se rendent visite en car, mais dès qu'il s'agit de passer d'une région à l'autre, ça se complique. Et pour Ajaccio, c'est forcément tout avion... sans compensation financière. Lorsque les deux clubs phares de l'île sont dans le même Championnat, les moqueurs soulignent même qu'Ajaccio-Bastia (deux heures quinze pour 140 km de car) est le déplacement le plus long de la saison. « Notre budget déplacement (environ 500 000 €) est trois fois celui d'un club normal, constate Jean-Dominique Gaziello, chargé de communication de l'ACA. Nous effectuons environ un tiers de nos déplacements en avion privé (environ 30 000 à 35 000 €) et les deux tiers sur les lignes publiques d'Air Corsica (via Paris, Nice, Marseille, 6 000 €) avec les gens, beaucoup d'insulaires qui apprécient de partager ce moment. » À l'OM, en revanche, où l'on n'a pas oublié l'effervescence autour des minots amateurs à la gare Saint-Charles en mars 2006 au retour du Parc, on n'imagine pas recommencer, sauf à privatiser des quais, des rames... Alors on peut comprendre la réticence de l'OL et de Vincent Ponsot : « Quand on va à Marseille, on se fait caillasser le bus, je ne vois pas nos joueurs arriver en pleine gare et je ne suis pas sûr que le préfet soit content. » Ils l'avaient fait en 2012, l'avion ayant été jugé trop risqué en raison du mistral, avant de repartir après le report du match... par les airs. Des clubs ont pourtant essayé ces derniers mois, ils ont eu des problèmes : Lille, Angers et Rennes venus à Paris en TGV sont rentrés en car faute de train de nuit... Des cars qui parfois (PSG, OM, OL, Rennes...) font l'aller-retour « à vide » (matériel de récupération, restauration...) pendant que l'équipe voyage en avion. Une aberration du point de vue environnemental. « C'est ce genre de pratique qu'on ne voudra plus voir, assure l'ancien joueur du quinze de France Julien Pierre, fondateur de Fair Play for Planet, l'une des treize ONG « sport et environnement » s'étant proposées mercredi de former les sportifs professionnels aux enjeux climatiques. La parole d'un sportif aujourd'hui est extrêmement puissante. Peut-être que cette mauvaise blague va faire avancer plus que certains rapports scientifiques. Le sport professionnel a un vrai devoir d'exemplarité. Il faut que la part du train et du bus augmente. Mais, à un moment, on va se heurter à la performance sportive : si les temps de récupération sont moins respectés, peut-être verra-t-on moins souvent un Mbappé parce qu'il récupérera moins bien, il sera plus blessé. Peut-être qu'on en demande trop en fait : le nombre de matches ne cesse d'augmenter... » -
Successeur de Cheick Doucouré, Abdul Samed Salis fait le bonheur du RC Lens par sa bonne humeur et ses performances Par son intense activité et sa joie de vivre, le milieu défensif Abdul Samed Salis, arrivé cet été de Clermont, a généreusement remplacé son ami Cheick Doucouré au coeur du milieu du RC Lens. ———- Animateur du vestiaire artésien, Abdul Samed Salis (*) est aussi un petit farceur. Ce 31 août au soir, dans l'écrin blindé complètement éteint de Bollaert-Delelis, toutes lumières de téléphones portables scintillantes, son coéquipier Seko Fofana était venu s'asseoir, en larmes, à la table de ses dirigeants dans le rond central. Quand ses coéquipiers sont venus l'arroser pour fêter publiquement sa prolongation, le Ghanéen, lui, en a profité pour chiper le contrat trempé laissé vacant par le DG Arnaud Pouille. Avant de le restituer quelques secondes plus tard à son dirigeant. Après l'avoir lu ? En fait, il semblait plutôt gêné, craignant d'avoir été trop loin. « Il est comme ça Abdul Samed, il prend énormément de place au quotidien, ne serait-ce que par sa voix aigüe, confirme son formateur Adrien Gaignon, manager de l'académie JMG Côte d'Ivoire. Il rigole, se chamaille, il met tout le temps de la vie et n'est pas du tout timide. Quand c'est calme, on se demande s'il est malade. » Infatigable essuie-glace devant la défense, le joueur de vingt-deux ans apporte la même énergie au coeur du milieu sang et or. Aide l'équipe de Franck Haise à conserver la maîtrise du ballon en passes courtes, amorce le contre pressing. Après 6 rencontres de L1, il est en passe de faire oublier le pilier défensif des saisons précédentes, Cheick Doucouré, transféré cet été à Crystal Palace pour 22,6 M€ hors bonus. « La saison passée, raconte le transfuge de Clermont cet été, il restait 4-5 matches. On me prévient que Lens est intéressé. Doucouré, c'est mon pote, un peu mon frère (ils ont fréquenté la même académie à Bamako au Mali en 2014). On me dit qu'il allait peut-être partir. J'ai dit OK. Je regardais déjà tous les matches de Lens à cause de Douc'. J'aimais bien son intensité. C'est un peu mon style. Pour l'instant, les gens me disent que je fais comme lui, je suis content (...) Quand j'ai signé, Douc' était encore là, à côté de moi dans le vestiaire. Il disait aux gens : "Lui, c'est un fou, il aime danser, rigoler, vous allez le kiffer.'' Tout le monde a été cool. J'aime la bonne humeur, c'était facile dans ma tête. Le vestiaire est une famille. À Clermont, où on rigolait bien tous les jours, on mettait la musique à fond. Alors, j'ai fait pareil, j'ai dansé au stage à Rodez (mi-juillet), je n'ai pas chanté. Après, ils m'ont chambré, ils ont chanté "Salissou". » Le milieu fait parfaitement l'affaire dans le grattage, le colmatage et la récupération. Avec de la constance, même quand l'une de ses chevilles est douloureuse. « J'avais mal (contre Lorient, 5-2, 31 août), reconnaît-il. Deux minutes après, je marque, j'étais tellement content que je ne sentais même plus mon pied. » Le boute-en-train est toujours bien encadré. « Quand Douc'est parti, Seko (Fofana) a commencé à me parler, prolonge-t-il. Il me disait à l'entraînement : "Fais ci, fais ça, ça va t'aider, regarde les vidéos.'' Il est vraiment gentil, il m'aide à progresser. Il m'a dit : "Joue comme tu sais faire, ne te mets pas de pression dans la tête, sois libre.''» Il ne manquerait plus qu'il s'en mette. Au cours de sa vie, l'anglophone a plutôt été très vite responsabilisé, contraint de se débrouiller seul. « J'ai deux petits frères, détaille-t-il. Mon père est décédé quand j'avais 8-9 ans. En 2012, j'ai arrêté l'école. Je me suis dit, il n'y a pas mon père, il faut que je cherche un truc. J'aimais bien le foot, je jouais tout le temps au quartier. L'académie JMG est venu faire des essais au Ghana, je suis parti, ils m'ont pris. J'ai fait les essais pendant un an. Et six ans chez eux (arrivé à Clermont en 2018 après un tournoi en Europe). Je ne parlais pas français. » Mais il connaît le langage du jeu. « Il a une belle marge de progression, précise Adrien Gaignon. Il ne jouait pas beaucoup à Clermont en L2. Il s'est révélé en L1. Mais c'est le même joueur qui était avec nous, avec la même philosophie que Doucouré. Il a franchi les étapes et s'est adapté au jeu plus rapide. Il fait moins de fautes. Cet été, il est venu nous rendre visite (à Abidjan). Il avait ramené des maillots. Il a donné de l'argent à des joueurs et des personnes qui travaillent. Il était tellement content. Une joie innocente. Comme un gamin. Il n'a pas encore passé son permis. Il s'arrange encore avec ses coéquipiers pour aller à La Gaillette. » (*) Son prénom est Abdul Samed et son nom Salis, à la suite d'une erreur de retranscription de son passeport au Ghana. Il est appelé Salis dans le vestiaire.
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Mouaih… Je suis loin de supporter l’OM et j’aime pas toutes les magouilles autour de ce club. Et, je supporte Tottenham à l’étranger. Mais, j’ai vu le match, sincèrement, j’ai pas retrouvé un grand Tottenham hier. Pendant 50/60 minutes jusqu’au rouge, ni l’OM ni Tottenham n’avaient été ultra dangereux. Et au milieu, Marseille a été très bon sur le pressing et la récupération de balle. Tottenham avait clairement du mal dans la construction, tout en restant solide derrière. Quand j’ai vu Kulusevski rentré, je me suis dit que ça allait être compliqué pour l’OM, et c’est lui en partie le déclencheur de la victoire de Tottenham. Car Son et Kane ont été très moyens hier (Son depuis le début de saison d’ailleurs, à l’opposé de la dernière), les pistons ont été moyens également. On va dire que l’expérience et l’habitude des matchs à enjeux a pris le dessus sur Marseille. Marseille a plutôt fait un bon match hier, malgré la défaite, et le carton rouge ne les a pas aidé, même si mérite. Clairement, je ne comprends pas trop les commentaires plus haut. Je suis persuadé qu’avec le même état d’esprit, ils seront supérieurs au Benfica et à Francfort.
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Allez Tottenham !! Bon allez un but pour pour Marseille, soit sur une passe de Clauss ou un but de Clauss, mais une victoire de Tottenham quand même ;) Rien contre l’OM en coupe d’Europe, mais Tottenham, c’est mon club étranger préféré, depuis plus de 15 ans ;)
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Si Fofana s’entraîne avec le collectif, comme ca été dit, c’est qu’il jouera, à moins d’une rechute. C’était une petite alerte où ils n’ont pas pris de risques. Donc titulaire à 98%.
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Potentiellement : Facundo Medina (2 sélections) (Argentine) (retenu dans la prochaine liste) Jean Onana (9 sélections) (Cameroun) Abdul Samed (0 sélection) (Ghana) (déjà convoqué, mais non retenu pour l’instant) Przemysław Frankowski (24 sélections), Adam Buksa (9 sélections) (Pologne) Loïs Openda (3 sélections) (Belgique) En surprise et peu probable : Lukas Poreba (10 sélections u21) (Pologne) David Peireira Da Costa (3 sélections u21) (Portugal) Internationaux des pays non qualifiés : Pandor (Comores) ; Farinez (Venezuela) ; Fortes (Cap Vert) ; Danso (Autriche) ; Haïdara (Mali) ; Machado (Colombie), Fofana (Côte d’ivoire) ; Kakuta (RDC)
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
Tibbs a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Pour l’explication : Hier, l’ESTAC accueillait le Stade Rennais (1-1) dans le cadre de la 6ème journée de Ligue 1 Uber Eats. A cette occasion, le club troyen, propriété de City Football Group, avait installé un jacuzzi en bord de pelouse, à proximité de l’un des poteaux de corner du stade de l’Aube. Une première pour l’ESTAC qui produit toujours son petit effet, que ce soit auprès des supporters et du grand public, notamment sur les réseaux sociaux. Sur Twitter, les retombées ont été plutôt nombreuses avec des discussions un peu partout dans le monde. Une initiative « Fan Experience » qui n’est pas nouvelle puisque déjà vue en France, notamment du côté du Stade Toulousain ou encore du SM Caen en 2018. En 2013, c’est le club suisse des Grasshoppers Zurich qui avait lancé en quelque sorte la mode en Europe. « L’ESTAC essaie d’innover en mettant en place différents concepts d’animations… L’année dernière, nous avions eu Martin Solveig, on a également lancé des initiatives autour des NFTs… On essaie de créer des choses disruptives » nous précise le club. « Le jacuzzi entre dans ce contexte. Nous voulions faire quelque chose de sympa pour la fin de l’été et récompenser des supporters du club. Il y a eu 4 gagnants (2×2 par mi-temps) sélectionnés via un jeu concours proposé uniquement aux membres de notre nouveau programme de fidélité MyESTAC Rewards by Feuillette. Cela appelle d’autres évènements dans le futur pour certains matchs ». Ajoutons que c’est l’entreprise locale Ferte Piscines qui mis à disposition le jacuzzi. Il n’y avait pas de partenaire ou de société associé directement à cette opération qui a donc réussi à attirer l’oeil de nombreux médias comme CANAL+ (qui diffusait le match), ESPN, The Sun, Le Parisien, France TV, RTL Sport, Sport Bible, 433,… -
#sotocaenedf à la place de Giroud 😹😹 Sinon, sérieusement, oui pour Lloris, important pour ses qualités, même si des gardiens français peuvent avoir un niveau similaire ou proche (Maignan surtout et voire Lafont ou Areola), mais aussi important pour l’expérience. Il aura toujours son point faible sur le jeu au pied, mais il est fort sur sa ligne et les réflexes. On va avoir une équipe relativement jeune pour une partie des joueurs, et on a besoin de garder certains joueurs d’expérience. D’autant plus si Varane, Pogba (Forfait ?), Kante ne sont plus titulaire.
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On peut ajouter le 1-1 au Parc le 23/04 où Danso avait vu rouge et on égalise à 10 contre 11 pour le nul. Ou encore le Lens-Nice le 10/04 où on mets 2-0 à 10 contre 11 (le 3e je crois que c’était 10 contre 10)
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Tu veux pas mettre Yaya Fofana aussi ? Et Wesley Fofana ? Le RC Fofana : GK : Yahia Fofana (Angers) DC : Wesley Fofana (Chelsea) ; Mamadou Fofana (Amiens) ; Adama Fofana (Dijon) Milieux : Seko Fofana (Lens) ; Youssouf Fofana (Monaco) ; Yaya Fofana (Lens) ; Gessouma Fofana (Cluj) Ailiers/Attaquants : Moryke Fofana (Samsunspor) ; Boubacar Fofana (Servette) ; David Fofana (Molde) ; Malick Fofana (La Gantoise) Entraîneurs : Mohamed Fofana (ex Lens) ; Gueïda Fofana (ex Le Havre ; ex Lyon)
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Bah non, si on suit cette logique mathématique, c’est 37. 37 matchs de 1 à 37 buts et 1 match à 0 but. Fallait pas oublier d’inclure le 0. Desolé😸
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Ça reste utopique, mais avec 84 Points et le PSG de cette saison, pas sûr que ça suffise pour être champion.
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Stat à la con, c’est la première fois qu’on marque un but seul dans un match cette saison : 0 : Ajaccio (J2) 1 : Reims (J6) 2 : Rennes (J4) 3 : Brest (J1) 4 : Monaco (J3) 5 : Lorient (J5) Si j’ai bien compris la logique, on en passera 6 ou 7 à Troyes la semaine prochaine 😹
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Faut souligner contre Lorient, qu’on perds Saïd à la 43e. On ne connaîtra pas sa note s’il avait joué 70-75 minutes, mais il aurait pu/du avoir 7 ou 8. Openda, le remplaçant n’a eu « que » 6
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Mets-toi à sa place. C’est le 3eme match en 1 semaine. T’as Fofana, Kakuta blessés notamment. Tu perds Ganago et Wooh au mercato. Même s’il y a 2 arrivées, on est obligé de poursuivre une bonne partie des titulaires. De faire jouer 2 matchs d’affilée à Poreba en 3-4 jours. De laisser Sotoca alors qu’il a besoin de souffler (on l’a vu en fin de match). Etc… Sans compter sur le rouge de Machado. Gradit fait très bien 90% de son match, mais il en est sorti suite au coup qu’il a pris, en quand il s’est énervé derrière. Et c’est lui qui perds le ballon sur le but de Reims. Ça ce n’est pas Haise le responsable. Et d’ailleurs il l’a sorti. Malgré tout, on a un gardien de talent. Reims a quelques situations chaudes. Il en arrête 1 ou 2. On a beaucoup de situations, mais on manque de justesse. C’est pas Haise non plus. On a très peu vu l’impact du 10 vs 11, et on est resté conquérant. Sans oublier qu’on a joué une équipe de Reims qui est loin d’être ridicule, avec des poisons offensifs. On espère tous une victoire, mais combien aurait signé pour un nul avant le coup d’envoi ? Ça fait 7 points sur 9 en 1 semaine, il y a pire…
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Un boulet en or … massif 😹