
Tibbs
Membres-
Compteur de contenus
2517 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
8
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par Tibbs
-
De plus en plus ridicule et honteux de la part des auteurs. https://rmcsport.bfmtv.com/amp/football/feminin/d1/scene-lunaire-en-d1-feminine-le-match-psg-reims-definitivement-arrete-pour-jets-massifs-de-petards-et-mortiers_AV-202310140410.html
-
Alain Griezmann, le père d'Antoine, et Guillaume Warmuz, respectivement président et entraîneur des gardiens de l'UF Mâconnais. (Alex Martin/L'Équipe) Foot, Bleus issu du journal L'UFM, le club de Mâcon bébé des Griezmann qui n'en finit plus de monter Premier club de l'international français, l'UF Mâconnais vient de connaître deux montées de suite jusqu'en N2. Le champion du monde 2018 en est toujours la figure emblématique, le premier supporter et partenaire avec son père Alain, président depuis 2020. François Verdenet, à Mâconmis à jour le 12 octobre 2023 à 19h42 ma liste commenter réagir partager Sur la terrasse de la brasserie de l'hôtel de Ville, Alain Griezmann (66 ans) serre des mains à tour de bras. Normal, le nouveau patron des lieux est l'une des figures de Mâcon. Attablé, même « Jean-Pat' », alias M. le Maire, y va de sa tape dans le dos avec quelques mots pour le « papa d'Antoine », deux jours après que le héros local a porté pour la deuxième fois de sa carrière le brassard de l'équipe de France en Allemagne (1-2, le 12 septembre), pour sa 123e sélection. Le premier magistrat invite à poursuivre la conversation dans sa mairie en face du « BHV ». C'est là, face à la Saône, que le champion du monde 2018 avait fait tourner la tête des Mâconnais, quelques jours après la victoire en Russie contre la Croatie (4-2), en venant fêter son trophée au balcon avec Alain, sa maman Isabelle, sa soeur Maud et son petit frère Théo. lire aussiSur les traces d'Antoine Griezmann, du Portugal jusqu'à Mâcon « Antoine, je le connais depuis gamin, c'est l'enfant du pays, s'enflamme Jean-Patrick Courtois, l'édile LR de la ville. À chaque fois qu'il peut placer Mâcon dans une interview, il le fait. La dernière fois, c'était sur ESPN, une télé américaine. Et pourtant, on n'a pas de contrat d'image ! Il a la reconnaissance du ventre. Il donne beaucoup. À commencer par le club de foot. Il doit en être le sponsor numéro 1 avec son père. » On retraverse la place pour rapporter cette dernière phrase à Alain au comptoir du BHV. « Avec Antoine, on a les mêmes initiales, "AG", alors on peut parfois se tromper de comptes », contourne le président de l'Union Football Mâconnais depuis avril 2020. « J'ai presque occupé tous les postes à l'UFM » Alain Griezmann, président de l'UF Mâconnais Le football à l'UFM n'est pas qu'une histoire d'argent pour son fils et lui. « J'ai partagé de superbes émotions dans ce club. Il y a bien sûr la montée, la saison passée, en National 2, mais aussi celle d'avant en N3, puisque j'ai repris le club en Régional 1. Mais il y a eu aussi toutes ces années passées comme dirigeant des jeunes. J'ai été entraîneur des moins de 9 ans jusqu'au poste d'adjoint de l'équipe première au côté de l'ancien pro Patrice Montheil (ex-Rouen, Le Havre). J'ai presque occupé tous les postes à l'UFM. » Retraité fin 2017, l'ancien employé de la ville a déjà donné plus de quarante ans au football local avant de reprendre les rênes de l'UFM, où le joueur de l'Atlético de Madrid a paraphé sa première licence à 6 ans. Il y a évolué jusqu'à son départ pour le centre de formation de la Real Sociedad à 13 ans. Au siège, les souvenirs remontent à la vue des photos épinglées au tableau qui prolonge le bar en formica. Alain Griezmann et les moins de 13 ans de Mâcon en 2017, qui ont joué contre les jeunes de l'Atlético de Madrid. (Alex Martin/L'Équipe) Un cliché d'Antoine en survêtement fait ressurgir une anecdote à l'ineffable président. « Là, on avait été champions avec les moins de 13 ans en 2017, se rappelle le papa de « Grizi ». Pour nous récompenser, Antoine avait payé le voyage à toute l'équipe et le staff pour qu'on aille jouer les moins de 14 ans de l'Atlético. Antoine s'était assis sur le banc pour coacher avec moi. On en avait pris sept. Antoine reste le premier supporter du club. » Quand l'UFM a fait son parcours en Coupe de France jusqu'en 32es de finale, en plein Covid (0-0, 2-4 aux t.a.b. contre Saint-Louis Neuweg, N3), il a encore mis la main à la poche pendant cette période difficile financièrement. Mais pas que. 1,7 M€ de budget et « Grizi » comme VRP Il mobilise autour de lui ses célèbres potes pour soutenir et faire parler de son premier club formateur. L'international français (123 sélections) poste des vidéos avec des invités comme Ousmane Dembélé, les frères Theo et Lucas Hernandez, Clément Lenglet ou Olivier Giroud, qu'il convertit à sa « Mâconmania ». Le troisième buteur de l'histoire des Bleus (44) derrière Thierry Henry (51) et Olivier Giroud (54) fait profiter l'UFM de ses plus de 50 millions de suiveurs sur les réseaux sociaux. Cet impact sert ainsi à mobiliser sponsors et partenaires. « Il rend également des services indirects, poursuit son président de père. On a aussi une très bonne dotation de Puma, qui est son équipementier historique et qui nous suit. On va également faire en juin 2024 la dixième édition du Challenge Antoine Griezmann des moins de 9 ans aux moins de 13 ans avec plus d'un millier de jeunes. Pour la première édition, il était venu avec Alexandre Lacazette. Ça avait été de la folie ! » À Mâcon, l'immense plaine des jeux, avec terrains de foot en herbe et synthétique, piste de moto-cross, d'athlétisme, de speedway ou de modélisme porte le nom de celui qui a été deux fois troisième au Ballon d'Or (2016 et 2018). lire aussiBallon d'Or 2023 : la liste complète des nommés Dès qu'il peut, le buteur madrilène se branche sur les réseaux, voire le site de la FFF, pour regarder les matches de N2. Et si ce n'est pas le cas, Alain envoie dès le coup de sifflet final le résultat du match à son président d'honneur. Le bon démarrage de l'UFM, 3e du groupe D de N2 avec 11 points après six journées, encourage le promu qui affiche un budget de 1,7 M€, dont la moitié de masse salariale pour une dizaine de contrats fédéraux. L'ancien gardien Guillaume Warmuz (53 ans) a rejoint le club en régional de l'étape. Le natif de Saint-Vallier a une fonction assez large, d'entraîneur des gardiens au titre officieux de manager général. « C'est mon "Huggy les bons tuyaux", l'homme qui regarde par la fenêtre ce qui se passe, sourit Alain Griezmann. "Gus" est un plus pour notre jeune entraîneur Romain Paturel (38 ans). Tout va vite en ce moment. Mais pour une ville de 35 000 habitants, on est à notre place. On peut même aller gratter une division sans faire n'importe quoi. » Mâcon est la préfecture de Saône-et-Loire. Il y a les vignobles, une dynamique entrepreneuriale et tout l'éclairage que peut apporter Antoine avec sa notoriété » Guillaume Warmuz, entraîneur des gardiens de l'UF Mâconnais Toujours posé, Guillaume Warmuz abonde. Il connaît le monde pro et le paysage local. Il a vu Gueugnon, Montceau-les-Mines et même Louhans-Cuiseaux dégringoler à côté de chez lui. « Pour l'instant, je suis là pour donner un coup de main à Alain, l'aider à structurer le club et avoir du recul sur l'équipe, expose l'ancienne légende lensoise (1992-2003). Il y a un beau truc à faire dans le coin. Mâcon est la préfecture de Saône-et-Loire. Il y a les vignobles, une dynamique entrepreneuriale et tout l'éclairage que peut apporter Antoine avec sa notoriété. » Pour donner un coup de boost supplémentaire, Antoine a promis à son père de venir donner un coup d'envoi prochainement. « Mais je ne dirai pas la date sinon ça va être une émeute, sourit le fringant sexagénaire. Notre vieux stade Pierre-Guérin ne peut contenir que 3 200 personnes... » Comme un message envoyé à « Jean-Pat' » dans la maison d'en face. lire aussiToute l'actu du football publié le 12 octobre 2023 à 19h16mis à jour le 12 octobre 2023 à 19h42
-
Publié le 11/10 à 22:08 Retrouvez toutes les décisions de la commission de discipline de la LFP de ce mercredi concernant les joueurs de Ligue 1 Uber Eats. Deux matchs de suspension ferme Neto BORGES (Clermont Foot 63) Un match de suspension ferme Maxime ESTÈVE (Montpellier Hérault SC) Rassoul NDIAYE (Havre AC) Un match ferme à la suite d’un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1 Uber Eats, Coupe de France, Trophée des Champions) ou par révocation du sursis. La sanction prendra effet à partir du mardi 17 octobre 2023 à 0h00. Lilian BRASSIER (Stade Brestois 29) Angel GOMES (LOSC Lille) Stijn SPIERINGS (Toulouse FC) Khephren THRUAM (OGC Nice) Elye WAHI (RC Lens) Denis ZAKARIA (AS Monaco)
-
Douze joueurs lensois pour 10 nations. Alors que certains Sang et Or sont en repos, trêve internationale oblige, d'autres représenteront fièrement les couleurs du Racing Club de Lens dans les prochains jours, à l'occasion de matchs amicaux, de rencontres qualificatives de l'Euro 2024 ou encore de confrontations éliminatoires de la Coupe du Monde 2026... AGENDA Salis Abdul Samed - Ghana / Équipe A Matchs amicaux Mexique-Ghana, samedi 14 octobre États-Unis - Ghana, mardi 17 octobre Kevin Danso - Autriche / Équipe A Éliminatoires de l'Euro 2024 Autriche-Belgique, vendredi 13 octobre Azerbaïdjan-Autriche, lundi 16 octobre Przemyslaw Frankowski - Pologne / Équipe A Éliminatoires de l'Euro 2024 Îles Féroé-Pologne, jeudi 12 octobre Pologne-Moldavie, dimanche 15 octobre Morgan Guilavogui - Guinée / Équipe A Matchs amicaux Guinée-Gabon, vendredi 13 octobre Guinée-Guinée Bissau, mardi 17 octobre Abdukodir Khusanov - Ouzbékistan / Équipe A Matchs amicaux Ouzbékistan-Vietnam, vendredi 13 octobre Chine-Ouzbékistan, lundi 16 octobre Deiver Machado - Colombie / Équipe A Éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 Colombie-Uruguay, jeudi 12 octobre Équateur-Colombie, mardi 17 octobre Facundo Medina - Argentine / Équipe A Éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 Argentine-Paraguay, vendredi 13 octobre Pérou-Argentine, mercredi 18 octobre Nampalys Mendy - Sénégal / Équipe A Match amical Sénégal-Cameroun, lundi 16 octobre à 20h30 au stade Bollaert-Delelis Brice Samba - France / Équipe A Éliminatoires de l'Euro 2024 Pays-Bas - France, vendredi 13 octobre Brice Samba - France / Équipe A Match amical France-Écosse, mardi 17 octobre Ayanda Sishuba - Belgique / Équipe U19 Matchs amicaux France-Belgique, vendredi 13 octobre Pays-Bas-Belgique, mardi 17 octobre Fodé Sylla - France / Équipe U18 Matchs amicaux Suisse-France, vendredi 13 octobre Suisse-France, lundi 16 octobre Elye Wahi - France / Équipe Espoirs Éliminatoires du Championnat d’Europe Espoirs Bosnie-Herzégovine - France, vendredi 13 octobre France-Chypre, mardi 17 octobre rclens.fr
-
Foot, Décryptage exclusivité abonnés Décryptage : comment les arbitres décident de siffler main ou non Lors de la huitième journée de Ligue 1, plusieurs rencontres ont offert des situations arbitrales litigieuses sur des mains non sifflées. Que dit la règle et quelle part prend l'interprétation des arbitres ? Tom Prevotmis à jour le 9 octobre 2023 à 22h06 ma liste commenter réagir partager Fallait-il refuser le but inscrit par Achraf Hakimi avec le PSG face à Rennes (3-1) ? Accorder un penalty à Lens dans le derby du Nord contre Lille (1-1) ? Ou sanctionner Dejan Lovren, dont le bras était clairement décollé lorsqu'il a heurté le ballon contre Lorient (3-3) ? Personne ne peut apporter de réponse sans créer le débat. Et c'est normal, puisque chacune de ces situations a été jugée à l'interprétation et à la subjectivité des arbitres. L'IFAB, l'instance qui fixe les lois du jeu, le mentionne clairement dans ses textes : les officiels doivent parfois trancher dans un flou réglementaire sur ces situations. Dans son article 12, après une longue énumération des situations pouvant être sanctionnées d'une main, elle explique que « tout contact entre le ballon et le bras d'un joueur ne constitue pas nécessairement une infraction ». Depuis la dernière évolution de la règle, en 2021, elle offre même davantage de latitude, invitant les arbitres à « user de leur jugement ». Le mouvement naturel en premier critère Si l'on écarte les mains volontaires, chaque situation est donc jugée selon des critères subjectifs. « Il y a des différences de jugement selon chaque arbitre, éclaire Stéphane Lannoy, directeur technique de l'arbitrage du secteur professionnel. La situation du derby nordiste en est une bonne illustration. Le VAR considère qu'il y a un mouvement qui peut valoir penalty. Benoît Millot juge lui qu'il est naturel et ne l'accorde pas. » Benoît Millot interprète que le mouvement du bras d'Aleksandro est naturel pour un joueur qui se retourne. Il décide donc de ne pas siffler penalty. (Prime Video) Tous les mercredis, l'ancien arbitre professionnel se réunit avec six confrères. Ensemble, ils revoient les images du week-end à froid et partagent ensuite leurs conclusions avec les arbitres du plateau. Mais même avec du recul, les avis divergent et le consensus n'est pas toujours trouvé. « Chacun a son analyse et son interprétation. On essaie tout de même d'être cohérents en donnant des critères d'aides à la décision en début de saison, indique celui chargé de définir les orientations arbitrales. Le bras décollé par exemple en est un mais ce n'est ni le premier, ni le plus tangible. On demande d'abord aux arbitres de juger du caractère naturel du mouvement du bras. S'il est dans une position naturelle, il ne sera pas sanctionné. Cela peut être le cas lors d'un saut ou d'un tacle, où le bras sert d'appui sans volonté d'étendre sa surface corporelle. » Ce critère a été adopté ces dernières saisons pour répondre aux critiques accusant les arbitres de ne pas assez comprendre le jeu. Le but de Hakimi légalement valable Dans la continuité de cette directive, une main survenue après avoir touché une autre partie du corps n'est pas forcément licite.« On demande à nos arbitres de faire de la biomécanique, ironise à moitié Lannoy. Mais si le mouvement du bras ne s'inscrit pas dans un mouvement naturel du corps, alors il faut siffler. » Comprendre par là que même si le ballon a d'abord heurté le corps du joueur, s'il touche ensuite une main totalement décollée ou au-dessus de la tête, alors elle sera sifflée. Dejan Lovren manque son dégagement et le ballon arrive sur son bras. Mais Clément Turpin et le VAR estiment que le mouvement du joueur est naturel pour un dégagement. Ils n'accordent donc pas de penalty. (Prime Video) Un débat touche également les mains dites « offensives ». Les nouvelles lois leur ont offert plus de souplesse, disposant qu'une « main accidentelle qui conduit un coéquipier à marquer un but ou à avoir une occasion de marquer un but ne sera plus considérée comme une infraction. » Ce qui peut expliquer que le but de Hakimi ait été accordé dimanche, puisque sa main a eu lieu plusieurs passes avant sa conclusion et qu'elle ne semblait ni intentionnelle, ni décollée. « Par contre, et l'IFAB le dit clairement, s'il avait marqué juste après sa main, il aurait été refusé, clarifie Lannoy. Toute main, même non accidentelle, qui mène directement à un but dans la foulée est forcément sanctionnée. » Le mouvement du bras est naturel pour une course et le bras n'est pas décollé. Et si le ballon a bien touché le bras d'Achraf Hakimi, le Marocain n'a pas marqué dans les instants qui ont suivi son contrôle. Son but est donc validé. (Prime Vidéo) Malgré tout, les évolutions régulières des lois du jeu ne permettent pas d'éliminer tout débat concernant les mains. Et les situations litigieuses ont encore de beaux jours devant elles. « La règle évolue tous les trois ans, c'est donc qu'on n'a pas trouvé un texte qui réponde systématiquement aux interrogations légitimes. On n'a pas la recette miracle et il n'en existe pas, puisqu'il y aura toujours part à l'interprétation », conclut Lannoy. lire aussiEncore au-dessus à Rennes, Achraf Hakimi confirme son excellent début de saison publié le 9 octobre 2023 à 19h28mis à jour le 9 octobre 2023 à 22h06
-
D’ailleurs, le nombre DC français de haut niveau a fait l’objet d’un article dans l’équipe : Foot, Bleus exclusivité abonnés Pourquoi l'équipe de France dispose d'un tel réservoir de défenseurs centraux Mohamed Simakan, Pierre Kalulu, Castello Lukeba... Le réservoir des défenseurs centraux français de haut niveau est vaste. Le résultat d'une longue stratégie de formation qui contraint aussi la FFF à une gestion particulière. M. Am., L. T. et H. De.10 octobre 2023 à 18h59 ma liste commenter réagir partager Dayot Upamecano blessé à l'ischio ? Axel Disasi est appelé à la rescousse. Le joueur des Blues finalement contraint de déclarer forfait à son tour ? C'est Castello Lukeba qui débarque à Clairefontaine pour la première fois. En l'espace de quelques heures lundi, Didier Deschamps s'est vu, après une cascade de blessés, dans l'obligation de sortir plusieurs noms de son chapeau pour compléter sa liste. « Malgré tout, j'ai trois options à chaque poste défensif » s'enorgueillissait le sélectionneur des Bleus en conférence de presse. Face à cette hécatombe, la France dispose d'une source intarissable dans l'axe de la défense. Certaines nations, comme l'Espagne, n'hésitent d'ailleurs pas à naturaliser des défenseurs français pour densifier leurs sélections. 468 en millions d'euros, la valeur marchande des 10 défenseurs centraux français les plus cotés d'après le site spécialisé Transfermarkt. Loin devant les Pays-Bas (349). Habile, la Roja a persuadé successivement Aymeric Laporte (29 ans) et Robin Le Normand (26 ans), jamais alignés en Bleus, de garnir ses rangs. Une réussite pour le moment puisque les deux centraux ont remporté ensemble la Ligue des nations 2023 en juin dernier. De quoi donner des idées à la Nazionale avec Pierre Kalulu (blessé depuis la mi-septembre) à l'AC Milan depuis 2020 ? À la Mannschaft pour Mohamed Simakan, au RB Leipzig depuis trois saisons ? Possédant la double nationalité, Evan Ndicka (AS Rome) a lui opté pour la Côte d'Ivoire et fait ses débuts avec les Éléphants au mois de septembre. Le vivier est conséquent. Mais les blessés nombreux. Les Blues Wesley Fofana et Benoît Badiashile (22 ans chacun) sont sur le flanc, tout comme William Saliba (Arsenal), Presnel Kimpembe (PSG), Dayot Upamecano (Bayern Munich) et donc Axel Disasi. Clément Lenglet (Aston Villa), Samuel Umtiti (Lille) et Kurt Zouma (West Ham) ne sont plus appelés depuis un moment et Raphaël Varane (Manchester United) a mis un terme à sa carrière internationale en février dernier. 12/50 Dans le Top 50 des défenseurs centraux avec la plus haute valeur marchande de Transfermarkt, 12 sont français. Derrière les noms précédemment cités, Oumar Solet (RB Salzbourg), Loïc Badé (Séville FC), Maxence Lacroix (Wolfsburg) voire Leny Yoro (Lille) pourraient postuler dans un futur proche. « Le marché français est celui où on retrouve le plus de variété dans les profils de joueurs », explique un recruteur. « Donc les clubs étrangers viennent chercher chez nous ce qu'ils n'ont pas. Ce sont souvent des profils athlétiques, qu'ils peaufinent ensuite techniquement. Ils développent d'autres caractéristiques chez nos joueurs. On le voit avec Dayot Upamecano, qui est devenu un défenseur très complet grâce aussi à la fin de sa formation à l'étranger ». Mais comment s'explique la méthode française ? « Depuis 5 ans, on a mis en place des entraîneurs spécialisés au poste dans les centres de formation » explique Hubert Fournier, le directeur technique national. « Cela nous permet d'avoir des défenseurs plus précoces, mais surtout plus mûrs tactiquement. Les défenseurs ont souvent été les oubliés de la formation car on se concentrait sur les offensifs. C'est désormais beaucoup mieux valorisé par nos entraîneurs ». « On veut que nos joueurs soient capables d'évoluer avec n'importe quel entraîneur » Hubert Fournier, directeur technique national C'est aussi l'avis d'Eric Hely, ancien directeur du centre de formation de Sochaux : « Le poste ne serait-il pas plus mis en valeur qu'avant ? J'ai l'impression que 1998, avec un défenseur comme Laurent Blanc, a servi de marqueur. Dans le sens où on a pris conscience de l'importance de ce poste, alors qu'auparavant il y avait, pour certains, une forme de rejet. Aujourd'hui, les jeunes nous en parlent, ils savent qu'être défenseur central n'est pas un frein pour leur carrière. Bien au contraire. Ils savent que c'est très recherché par les clubs. » Prochain objectif : les latéraux La DTN souhaite dupliquer ce modèle avec les latéraux, poste auquel les sélections nationales sont déficitaires. Les jeunes ont ainsi un goût plus prononcé pour devenir défenseurs, dès leurs débuts. Une manière de se démarquer de l'étranger. « On n'a rien inventé, poursuit Hubert Fournier. Mais chez nous, c'est peut-être plus poussé. On veut que nos joueurs soient capables d'évoluer avec n'importe quel entraîneur. C'est un peu le carrefour des méthodes. » Une densité qui oblige certains talents à patienter un peu plus pour arriver en équipe de France. Et qui contraint la FFF à rester vigilante pour éviter de perdre certains binationaux talentueux et préserver le confort offert à Didier Deschamps à ce poste. lire aussiMarcus Thuram : « Titulaire en Bleus ? Le rêve de tout joueur français » publié le 10 octobre 2023 à 18h59
-
Foot, L1, Lens issu du journal Lens restructure son organigramme Grégory Thil, victime d'un mercato estival modifié sur le fil, ne sera plus le directeur technique du club. Hervé Penot10 octobre 2023 à 10h10 ma liste commenter réagir partager Grégory Thil (43 ans) ne restera pas directeur technique de Lens comme l'a annoncé la Voix du Nord, lundi. Promu après le départ à Nice de Florent Ghisolfi, il sera resté à peine un an à son poste. La fin du mercato estival lui a été fatale quand les décideurs ont repris le pouvoir. La manière dont le recrutement a été façonné sur le fil par Arnaud Pouille, le directeur général, notamment, suggérait que son avenir s'écrivait en pointillé. Comme des bacheliers contraints de passer par la session de rattrapage, les dirigeants ont travaillé durement sur les ultimes jours d'août pour inverser une tendance négative. voir aussiLe débrief du lundi: Lens, des signes prometteurs pour la suite de la saison Voir débarquer Nampalys Mendy libre, en septembre, après avoir laissé repartir Stijn Spierings à Toulouse signait un échec de la politique locale. On peut ajouter les arrivées sur le fil de Faitout Maouassa et de Ruben Aguilar, ce dernier prenant même la place de Julien Le Cardinal, arrivé en novembre et reparti en prêt à Brest... Et les atermoiements autour de la succession de Loïs Openda (parti au RB Leipzig) n'ont pas renforcé le poids de Thil, 43 ans. Il lui a été proposé, vendredi, de retrouver son ancien statut de directeur du recrutement. Ce remaniement participe d'une réflexion plus globale sur la redéfinition du rôle de chacun, d'une réorganisation sportive censée être plus efficace. Pour la suite, le profil de Frédéric Hébert plairait en interne. Le rôle de l'ex-directeur sportif du PFC sera de chapeauter tous les effectifs, section féminine comprise. Une décision sera prise en milieu de semaine avec l'accord, évidemment, de Joseph Oughourlian, le président. « Nous n'avons pas réussi à constituer l'ensemble de notre effectif assez tôt durant l'été » Joseph Oughourlian, président du RC lens Il a d'ailleurs été très direct sur France Bleu Nord après le nul contre Lille (1-1, dimanche) pour avouer des erreurs et, notamment, la venue tardive d'Elye Wahi. « Nous n'avons pas réussi à constituer l'ensemble de notre effectif assez tôt durant l'été. Ce n'est pas la responsabilité d'une seule personne mais de plusieurs, à commencer par moi parce que c'est moi qui signe les chèques. On a peut-être sous-estimé l'impact de la transaction d'Openda (43 M€ plus 6 de bonus). En le vendant à un prix aussi élevé, nous avons créé une espèce d'anticipation de la part des clubs qui voulaient nous vendre des attaquants. Et cela nous a freinés dans le recrutement d'un numéro 9. Sur la fin du mercato, ce n'est pas Arnaud Pouille qui reprend la main. On doit en fait décider de faire un dépassement de budget substantiel. Donc ce n'est plus de l'ordre de la direction technique, c'est une décision club. Comme on a réussi à lever de l'argent avec Side Invest, un nouvel investisseur minoritaire à hauteur de 20 millions. Je ne pense pas que j'aurais pris ce risque financier sans cette injection de capital. » Une fois cette affaire conclue, l'idée est aujourd'hui de restructurer l'édifice. lire aussiToute l'actualité de la Ligue 1 publié le 10 octobre 2023 à 10h10
-
Foot, L1, Lens avant-première abonnés Comment Abdukodir Khusanov, l'inconnu d'Ouzbékistan, séduit Lens Gradit suspendu et Haïdara forfait, le jeune défenseur d'Asie centrale de 19 ans sera titulaire, ce dimanche après-midi contre Lille (17 h 05), pour la deuxième fois de la saison en L1. Joël Domenighetti, à Avion (Pas-de-Calais)07 octobre 2023 à 19h46 ma liste commenter réagir partager Premier joueur d'Ouzbékistan de l'histoire du Championnat de France, Abdukodir Khusanov, 19 ans, disputera ce dimanche après-midi contre Lille, dans l'axe droit de la défense à trois, son deuxième match en Ligue 1 en qualité de titulaire. Le premier face à Metz (0-1, 16 septembre) a déjà conquis les observateurs pendant soixante-douze minutes (remplacé par Andy Diouf). lire aussiLes notes de Lens-Metz : Khusanov meilleur Lensois Axe gauche, le droitier avait fait preuve de calme et de sécurité, lui qui ne compte que trois sélections en équipe A d'Ouzbékistan, ne parle qu'ouzbek et russe. Et n'a intégré, depuis son arrivée fin juillet en provenance de Biélorussie (*), que quelques rudiments de français, en accéléré avec son prof. (*) Il n'a disputé qu'une saison pleine au club d'Energetik BGU, qui n'avait été autorisé à le faire débuter en pro que lorsqu'il était devenu majeur. « Quand la cellule de recrutement, convaincue, m'a montré son profil, raconte Franck Haise, j'avoue que j'ai été particulièrement étonné quand j'ai su son âge. Il me rappelait, dans un autre registre, Facundo Medina jeune en Argentine. Après sa signature et son arrivée, j'ai en effet vu sa grande maturité. C'est assez impressionnant car il dispose d'une vraie marge de progression pour un 2004. C'est d'autant plus difficile qu'il ne parle pas non plus anglais. Heureusement, nous avons un traducteur au quotidien depuis le début. » lire aussiLes nationalités les plus représentées en Ligue 1 depuis 1995, club par club L'interprète, prénommé Vidadi, accompagne au quotidien dans toutes ses démarches le jeune gaillard d'1,86 m qui ira disputer pendant la trêve internationale deux rencontres amicales au Vietnam et en Chine. Pour le moment, le fils de l'ancien milieu professionnel Hikmat Hashimov, 13 sélections ouzbèkes en A, issu d'une famille nombreuse (trois soeurs, un frère) vit toujours dans le cocon du centre de formation à Avion. Repéré en Argentine « Il connaît "vas-y", "ça vient", "avance", "seul",l'essentiel d'une communication de base d'un défenseur sur un terrain, ajoute Haise. On peut lui transmettre des consignes en amont des séances ou passer un message pendant. » « C'est un joueur très complet pour son âge, détaille le gardien Brice Samba. Au début, on avait du mal à communiquer. Mais ça va aller car on a un langage commun dans le foot. Et c'est quelqu'un de très intelligent. Il a fait beaucoup d'efforts en français. Ça ne m'inquiète pas plus que ça. On discutera avant le match et ça ira. Je crois qu'il est promis à un bel avenir. Car il est costaud, à l'aise balle au pied. Ce sont toutes les qualités requises pour un défenseur moderne. » lire aussiSérie les étrangers de la L1 (1/4) : comment la L1 s'est internationalisée massivement depuis 1995 La cellule de recrutement a déniché ce fan de tennis de table lors des trois matches de l'Ouzbékistan lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans en Argentine (mai-juin). « Nous cherchions un profil jeune, explique Grégory Thil, directeur technique, qui l'a fait signer cinq saisons. Il nous avait bluffés car il était au-dessus des autres par sa puissance et sa sérénité. Il n'était pas non plus embêté par ses relances. Il dégage une bonne énergie et une forte envie d'apprendre. » publié le 7 octobre 2023 à 19h46
-
Prochaine MAJ des valeurs Transfermarkt prévue le 16/10. En attendant, en prenant en compte les derniers mouvements du mercato, MAJ de l’effectif avec valeur : Top valeurs : 1 - Elye Wahi : 35M 2 - Kévin Danso : 22M - Facundo Médina : 22M 4 - Abdul Samed Salis : 18M 5 - Brice Samba : 13M 6 - Przemyslaw Frankowski : 9M - Angelo Fulgini : 9M 8 - David Pereira Da Costa : 8M 9 - Andy Diouf : 7M - Ruben Aguilar : 7M 11 - Adrien Thomasson : 6M - Faitout Maouassa : 6M 13 - Jonathan Gradit : 5M 14 - Óscar Cortés : 4,2M 15 - Deiver Machado : 4M - Florian Sotoca : 4M 17 - Jimmy Cabot : 3,5M - Wuilker Farinez : 3,5M 19 - Massadio Haïdara : 3M 20 - Morgan Guilavogui : 2,5M - Nampalys Mendy : 2,5M 22 - Wesley Saïd : 2M 23 - Noah Diliberto : 1,2M (B) 24 - Neil Al Eynaoui : 0,7M 25 - Ibrahima Baldé : 0,4M - Abdulkodir Khusanov : 0,4M 27 - Ayanda Sishuba : 0,3M (MAJ 11/09) 28 - Jean-Louis Leca : 0,2M 29 - Yannick Pandor : 0,15M - Simon Ramet : 0,15M (B) 31 - Nolan Bonte : 0,1M (B) - Fodé Sylla : 0,1M (U19/B) (MAJ 11/09) - Adam Abeddou : 0,1M (B) 34 - Ismaëlo Ganiou : 0,05M (U19/B) En prêt : - Stjin Spierings : 6M - Adam Buksa : 5M - Julien Le Cardinal : 2M - Lukasz Poreba : 2M - Rémy Labeau-Lascary : 0,5M - Mamadou Camara : 0,25M
-
Tout à fait… Ridicule que ça doit d’un côté comme de l’autre… Pour moi le derby, ça se résume à chambrer ou taquiner gentiment les collègues à la machine à café ou lors d’un repas de famille quand il y en a un qui est pour l’autre club, etc… Et l’accepter quand c’est dans l’autre sens. Aucunement de la haine. D’ailleurs, je pense que 80% des gens pensent plus ou moins comme moi. 5% sont des connards/casseurs/débiles et 15% des suiveurs de ces derniers. On a quasiment tous dans son entourage, vu la proximité, une ou des personnes qui tient(tiennent) pour l’autre club, des 2 côtés, et qu’on respecte. J’ai apprécié les nombreux lillois qui nous ont félicité pour le match contre Arsenal, et je leur en suis reconnaissant si certains viennent lire ici. Après la poignée de connards (les 2 clubs confondus), ce ne sont pas des supporters, juste des délinquants qui ne méritent pas leur club. En tant que Lensois on a le droit de ne pas aimer Lille. Et les lillois ont le droit de ne pas aimer Lens. On peut rire ou ce moquer gentiment de certaines situations, et accepter aussi l’autodérision. Mais avant tout, on se doit un respect mutuel. Et c’est valable aussi pour les Paris/Marseille les Lyon/Saint-Etienne par exemple.
-
Séléctionnés pour les matchs d’octobre : Dernière MAJ : 12/10 mise à jour au fur et à mesure des infos) Confirmés : ARGENTINE : - Facundo Medina : 3 sélections, 0 but AUTRICHE : - Kévin Danso : 14 sélections , 0 but COLOMBIE : - Deiver Machado : 7 sélections, 0 but FRANCE : - Brice Samba : 1 sélection, 0 but encaissé GUINÉE : - Morgan Guilavogui : 11 sélections, 1 but GHANA : - Abdul Samed Salis : 8 sélections, 0 but OUZBÉKISTAN : - Abdulkodir Khusanov : 3 sélections, 0 but (3 sélections, 0 but avec les U23) POLOGNE : - Przemyslaw Frankowski : 34 sélections, 1 but SÉNÉGAL : - Nampalys Mendy : 27 sélections, 0 but Jeunes internationaux : BELGIQUE U-19 : - Ayanda Shishuba : 2 sélections 1 but FRANCE ESPOIRS : - Elye Wahi : 8 sélections, 3 buts FRANCE U-18 : - Fodé Sylla : 1 ou 2 ? sélection FRANCE U-16 : - Killian Antonio ————————————————— En attente des listes : COMORES : - Yannick Pandor : 3 sélections Jeunes internationaux : - ————————————————— Non appelés : MALI : - Massadio Haïdara : 17 sélections, 2 buts (Depuis 09/23) (blessé ?) COLOMBIE : - Oscar Cortes : 1 sélection, 0 but —— VENEZUELA : - Wuilker Farinez : 40 sélections (blessé) (depuis juin 2022) FRANCE : - Ruben Aguilar : 1 sélection, 0 but (depuis novembre 2020) —— Jeunes internationaux : FRANCE ESPOIRS : - Andy Diouf : 1 sélection, 0 but (depuis 09/2023) MAROC U-23 : - Neil El Aynaoui : 1 ou 2 sélection ?, 0 but
-
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid0MXQPByXiq8qb4kLXcqpTFZYbrToZ1pUHfN1H7CDtMaA3ABcAaKhuSuP8n8Aw8dPRl&id=100067938666832 Ca m’a fait rire
-
Elye Wahi et Brice Samba mardi soir à Bollaert. (L'Équipe) Foot, C1, exclusivité abonnés Les notes de Lens-Arsenal : Wahi et Samba héros de Bollaert L'avant-centre Elye Wahi et le gardien de but Brice Samba ont brillé mardi soir lors de la victoire des Lensois face à Arsenal (2-1). G. D., P.-E. M., R. L., à Lens03 octobre 2023 à 23h49 ma liste commenter réagir partager la note moyenne Lens 7,1 B. Samba 8 Un arrêt sur Trossard (49e) pour se chauffer et un autre magnifique du pied sur Tomiyasu (66e). Il a été en plus très utile dans la distribution du jeu au pied en rassurant ses partenaires par sa sérénité. Il n'a simplement pas réussi l'exploit sur la frappe de Gabriel Jesus. Gradit 7 Même s'il est pris par Havertz (20e), il a ensuite fermé la boutique. Présent sur chaque impact, il s'est jeté sur toutes les balles qui traînaient. Comme sur cette dernière en toute fin de match qui change tout. En plus de ce travail de l'ombre, il a toujours tenté de relancer proprement. Danso 8 Il a livré un combat titanesque. Eliminé sur le but anglais, mais pas facile de défendre sur la perte de balle, il a été d'une ensuite d'une solidité totale. Costaud à l'impact, dominateur dans les airs, il a montré l'exemple. A même failli marquer d'entrée (5e). Medina 7 Medina n'a rien lâché. S'il avait eu du mal à entrer dans son match à Séville, il n'a pas attendu longtemps avant de montrer qu'il était présent dans les duels. La sortie de Saka l'a aussi bien aidé à prendre possession de son couloir gauche. Et toujours calme dans ses ressorties. Frankowski 7 Un centre tout simplement parfait sur le but de Wahi. Son positionnement aussi bien défensif, en rentrant bloquer l'axe et Zichenko, ou offensif, en prenant le couloir, a fait mal aux Anglais. En évoluant dans le dos de la défense, il a beaucoup perturbé les Anglais. N. Mendy 7 Très bien placé, il a souvent coupé les lignes de passes. Sa justesse technique, son calme lui ont permis d'être un relais efficace dans les premières relances. En ne s'affolant jamais, il a aidé son boc à remonter sur le terrain. À son débit, une perte de balle dangereuse en deuxième période. Abdul Samed 6 Même si techniquement, il n'a pas toujours été le plus juste, il a montré pourquoi il est indispensable dans cette équipe. Son pressing, son harcèlement sur les porteurs de balle ont souvent obligé les Anglais à changer de direction, donc à perdre du temps. Un exemple d'intensité. Machado 6 Il récupère la balle sur le but égalisateur comme un symbole de son engagement. Ses projections ont fait mal aux Anglais. Il a eu la capacité à demander sans cesse les balles, à offrir des solutions à ses partenaires. Fort dans les duels pour bloquer son couloir. Sotoca 7 Une activité monstrueuse. Il a perturbé sans cesse la relance anglaise et a été un point d'appui dans le jeu lensois. Son jeu de tête, ses remises, ses pressings ont été toujours très efficaces. Capital aussi sur le deuxième but. Sa conservation de balle a bien aidé l'équipe. Wahi 8 Des équipiers l'avaient tancé à Strasbourg sur son attitude plutôt nonchalante, il a répondu à sa manière avec un but (69e) et une remise magnifiques sur l'égalisation (25e). Et il a exercé un pressing constant sur ses adversaires, a ouvert des espaces et ses remises ont accéléré le jeu. Thomasson 7 Sa perte de balle sur l'ouverture du score aurait pu briser son élan mais il s'est remis dans le droit chemin. Il a multiplié les kilomètres, a bossé comme un dératé. Et bien sûr égalisé sur une frappe exceptionnelle de maîtrise. Pas simple de ne pas se noyer après un tel début. Haise l'entraîneur 8 Un match dont il devait rêver. Ses hommes ont su fermer l'axe et utilisé parfaitement les côtés pour mettre à mal la défense anglaise. Un plan visiblement soigné et exécuté à merveille. Le choix de Thomasson et de la doublette Mendy-Abdul Samed a été aussi une réussite. entr : F.Haise 8 4K.Havertz 6D.Rice 5O.Zinchenko 4M.Odegaard 3T.Tomiyasu 5W.Saliba /B.Saka 4L.Trossard 6G.Jesus 4Gabriel Magalhaes 5D.Raya 7N.Mendy 7A.Thomasson 7F.Medina 6D.Machado 7J.Gradit 8K.Danso 7P.Frankowski 6S.Abdul Samed 7F.Sotoca 8S.Wahi 8B.Samba entr : M.Arteta 4 arbitre : Marco Guida 7 remplaçants S.Wahi 73' W.Saïd / N.Mendy 73' A.Diouf / A.Thomasson 73' A.Fulgini / D.Machado 81' R.Aguilar / M.Odegaard 80' E.Nketiah / K.Havertz 71' E.Smith-Rowe / B.Saka 34' F.Vieira 4 L.Trossard 71' R.Nelson / O.Zinchenko 70' B.White / la note moyenne Arsenal 4,5 Raya 5 Il a un jeu au pied exceptionnel même si on peut juger que sa relance (25e) est à l'origine du but de Thomasson. Et avec ses mains ? On l'a vu dégager un ballon des deux poings. Et sur les deux buts exceptionnels des Lensois ? Très loin. Trop loin. Tomiyasu 3 Titularisé à la place de Ben White, il ne s'est pas montré à son aise. En retard dans les duels, et sur l'attaque des ballons, comme sur l'action de l'égalisation lensoise (25e), il a failli marquer à la 66e, sur un corner. Il est passé à gauche après la sortie de Zinchenko (70e). Saliba 5 Très serein dans ses relances, et plutôt costaud dans le jeu aérien, l'international français rencontra quelques soucis lorsqu'il a dû s'occuper du marquage de Wahi, ne le serrant pas suffisamment de près, comme sur le but de l'attaquant lensois. Gabriel 4 Comme Zinchenko est un latéral qui n'est jamais latéral, le Brésilien a couvert les deux postes. Mais ce n'est pas facile d'être partout, et de comprendre les subtilités. Parfois ça ne passe pas. Et contre Lens et Wahi, Gabriel a galéré, surpris pas les contre-attaques du Racing. Zintchenko 5 Peut-on être latéral et meneur de jeu ? Oui. Il suffit de regarder Oleksandr Zinchenko qui jouit d'une incroyable liberté sur la pelouse. C'est lui le patron, qui imprime le tempo. Mais un latéral doit aussi défendre, ce que l'Ukrainien oublia de faire après la pause. Odegaard 4 Le meneur de jeu n'a pas eu son influence habituelle, faisant preuve d'une étonnante maladresse, comme lorsqu'il a mal exploité un ballon devant la surface lensoise (43e) et un franc bien-placé (45+1e). Il a certes offert un caviar sur corner à Takehiro Tomiyasu (66e) mais son bilan est insuffisant. Rice 6 Fidèle à sa réputation, l'Anglais a touché énormément de ballons (128, un record sur le match) et fait preuve d'une précision redoutable dans ses passes (92 % de transmissions réussies). Mais il a rarement porté le danger, à l'exception d'une belle percée à la 35e et son influence s'est un peu étiolée en seconde période. Havertz 4 Encore un match durant lequel l'Allemand a peu pesé, malgré sa volée du gauche repoussée par Brice Samba (20e). Il a souvent manqué de justesse, à l'image de son ballon perdu qui aboutit à un centre de Przemysaw Frankowski (10e) ou de son intervention tardive sur Jonathan Gradit, qui aurait mérité un jaune (30e). Saka non noté Mis à part sa passe décisive pour l'ouverture du score de Gabriel Jesus (14e), l'ailier anglais n'a pas vraiment eu le temps de s'exprimer puisqu'il est sorti blessé à la 34e minute de jeu. Remplacé par le portugais Fabio Vieira (note : 4), qui a peiné dans un poste d'ailier qui n'est pas vraiment le sien. Auteur malgré tout de quelques bons centres (64, 66e), il a très mal tiré le coup-franc de la dernière chance (90+2e). Gabriel Jesus 6 Le Brésilien a parfaitement exploité son premier ballon dangereux (14e) avant de réaliser quelques très jolis gestes, comme une déviation de la poitrine pour Bukayo Saka (20e). En seconde période, il a peiné physiquement face à Kevin Danso et fait preuve de nervosité (averti à la 90e). Trossard 4 En raison du positionnement libre d'Oleksandr Zinchenko, il a dû effectuer de nombreux retours défensifs, bon toujours à bon escient, ratant un dégagement dans sa propre surface (19e). Son apport offensif a été trop faible, à l'exception de tentatives de débordement et d'un face à face perdu face à Brice Samba (49e). Arteta l'entraîneur 4 Son choix de titulariser Takehiro Tomiyasu à la place de Ben White ne s'est pas révélé très convaincant, tout comme le fait de privilégier Fabio Vieira, au détriment d'Eddie Nketiah, au moment de remplacer Bukayo Saka (34e). De même, ses changements en fin de match n'ont guère pesé. publié le 3 octobre 2023 à 23h49
-
Il le (Guilavogui) garde pour mettre le but vainqueur au derby
-
On va jouer en 6-4-2 😹😹 (hommage à la merdasse de pub)
-
Au donjon !!! 😹😹😹
-
Juste pour comparer Fulgini (75 mn) vs Sotoca 90 mn) Passes réussies : - Fulgini 70% (14/20) - Sotoca 74% (31/42) (Meilleurs match -titulaire- Gradit et Medina 93%) Tirs cadrés ; - Fulgini 0% (0/1) - Sotoca 0% (0/3) Duels gagnés : - Fulgini 63% (5/8) - Sotoca 73% (8/11) (Meilleurs du match : Diouf 100% -3/3- Danso 83% -5/6- Aguilar 78% -7/9- ; Le pire du match Wahi 0% -0/5- ; Machado 22% -2/9-) Passes décisives - Fulgini 0 - Sotoca 1 Dribbles réussis : - Fulgini 50% (1/2) - Sotoca 0% (0/1) (Meilleurs du match Danso 100% -2/2- et Diouf 100% -1/1-) Centres réussis : - Fulgini 0% (0/1) - Sotoca 0% (0/1) (Meilleur du match Aguilar 100% -1/1- ; le plus de tentative Diouf 0% -0/3-) Ballons perdus : - Fulgini 10 - Sotoca 16 (Les pires du match Sotoca et Machado 16 ; Les meilleurs du match Gradit et Wahi 5) Ballons récupérés : - Fulgini 3 - Sotoca 4 (Les meilleurs du match Danso et Mendy 9) Interceptions : - Fulgini 0 - Sotoca 0 (Le meilleur du match Aguilar 3) Fautes : - Fulgini 1 - Sotoca 0 (le pire du match Machado 5 fautes 38% de Lens sur le match -5/13-) Fautes subies : - Fulgini 2 - Sotoca 2 (Le plus : Danso, Mendy, Aguilar 3) Hors jeu : - Fulgini 0 - Sotoca 1 (Le plus de fois : Wahi 3)
-
Médina aura quand même fait 2/3 centres/transversales intéressants, dont l’occasion de Sotoca. Il a 93% de passes réussis (81/87), 4/7 duels gagnés, 7 ballons perdus (Danso 8, Gradit 4), 5 ballons récupérés (Danso 9, Gradit 2). C’est plutôt le 5 de Aguilar que je trouve sévère, un 6 aurait été plus juste. Tandis que le 4 de Machado est mérité.
-
Oui 😹😹le temps que je capture et j’édite le message. Edit, les voilà :
-
Les résultats et programme de la semaine : FC Séville 5-1 Alméria (26/09) FC Barcelone 1-0 FC Séville (29/09) PSV Eindhoven 3-0 Go Ahead Eagles (27/09) PSV Eindhoven ?-? FC Volendam (30/09) Brentford 0-1 Arsenal (27/09) (coupe) Bournemouth ?-? Arsenal (30/09) RC Strasbourg 0-1 RC Lens (29/09) A noter qu’on est la seule équipe avec 1 seul match. Les autres ayant joué en milieu de semaine.
-
Alexis Beka Beka sous le maillot niçois, lors d'un match de Ligue Europa Conférence face à Cologne (1-1), le 8 septembre 2022. (F. Porcu/L'Équipe) Foot, Nice avant-première abonnés Beka Beka, un joueur rongé par le mal-être En détresse psychologique depuis plusieurs semaines, le joueur de Nice Alexis Beka Beka a menacé de mettre fin à ses jours en se tenant vendredi matin au bord d'un viaduc, à environ 100 mètres de haut. Il s'est finalement ravisé au bout de 3 h 30. Antoine Maumon de Longevialle et Hugo Delommis à jour le 29 septembre 2023 à 22h46 ma liste partager L'attente a pris fin à 14 h 03. Dix minutes plus tôt, Alexis Beka Beka avait déjà enjambé le parapet pour revenir sur le bas-côté de la route, avant de revenir sur ses pas presque aussitôt. Il avait retrouvé sa position assise, les jambes ballantes dans le vide, au bord d'un précipice d'une centaine de mètres. Sa position a même laissé penser un instant qu'il pourrait vouloir basculer en avant. Mais quelques instants plus tard, le milieu de l'OGC Nice faisait définitivement marche arrière et acceptait de rejoindre les pompiers situés quelques mètres derrière lui. Après 3h30 comme suspendu à un fil, sur le viaduc de Magnan, à l'entrée de Nice, Alexis Beka Beka s'est ravisé pour de bon, provoquant le soulagement de tout un club, des secours mobilisés, comme les badauds et des forces de l'ordre présents en contrebas. Il est autour de 10 h 30, vendredi, quand la scène débute. Le joueur de 22 ans se rend en voiture à l'entraînement lorsqu'il se gare sur le bas-côté à cet endroit de l'autoroute A8, à dix kilomètres du siège du club, dans l'idée de sauter pour mettre fin à ses jours. Rapidement, les premiers secours arrivent sur place, accompagnés d'un psychologue. La discussion s'enclenche. Sur cet axe très emprunté situé entre Monaco et Nice, la circulation se voit vite perturbée. À 11 h 15, le site internet de Nice-Matin informe d'une « intervention délicate en cours sur l'A8 »concernant « un joueur de l'OGC Nice menaçant de se suicider ». lire aussiInquiétude autour d'un joueur de l'OGC Nice, le club suspend ses activités Tout l'état-major du club se rend sur place, à savoir Jean-Pierre Rivère, Fabrice Bocquet et Florent Ghisolfi, respectivement président, directeur général et directeur sportif. La psychologue du Gym y va également afin de participer à la médiation. Les échanges dureront. Ces plus de 3 heures assis au-dessus du vide, Beka Beka les occupera pour partie accroché à son téléphone, à parler avec ses proches. Son mal-être profond n'avait pas échappé au club Au même moment, le temps est logiquement suspendu du côté du centre d'entraînement du Gym. Programmée à 13 h 15, la conférence de presse devant annoncer la rencontre face à Brest (dimanche, à 15 h) est reportée. L'entraînement doit débuter à 11 h 15. Les joueurs sont mis au courant de la situation. Le groupe est sous le choc. Son entraîneur Francesco Farioli est le premier à prendre la parole. En substance, le technicien de 34 ans dit à ses joueurs que trois options se présentent à eux : s'entraîner comme prévu, effectuer quelques exercices en salle, ou rentrer chez soi. Tout le monde est d'accord pour maintenir la séance. Elle s'effectuera après un mot du capitaine Dante et une grosse pensée pour leur coéquipier. À ce moment-là, celui-ci est toujours assis au bord du vide. Ce n'est qu'en début d'après-midi, enfin hors de danger, qu'il sera transporté à l'hôpital. lire aussiL'OGC Nice se dit « soulagé » pour Alexis Beka Beka, désormais hors de danger Arrivé à Nice il y a quatorze mois en provenance du Lokomotiv Moscou, un an après sa participation aux Jeux Olympiques sous le maillot français, Alexis Beka Beka avait pris part à 22 rencontres lors de sa première saison sur la Côte d'Azur. Il ne compte pas la moindre minute depuis début août, seulement deux apparitions sur des feuilles de match, comme vendredi dernier, lors du derby remporté face à Monaco (1-0). Son entraîneur ne comptait pas sur lui à court terme, mais il avait redit, il y a quinze jours, que ce choix « n'avait rien de définitif » et « le moment arrivera où il pourra exprimer ses qualités ». Beka Beka sous les couleurs du Lokomotiv Moscou. (R. Ramaccia/Presse Sports) Décrit comme une personnalité solaire, le joueur s'est comme éteint subitement, au coeur de l'été. Alors que la thèse d'un chagrin sentimental a d'abord été avancée par plusieurs médias pour expliquer son geste, c'est en fait la dépression qu'il traversait depuis plusieurs semaines qui l'a poussé à un tel extrême. Jusqu'ici d'humeur égale, le jeune homme n'était pas perçu particulièrement fragile, seulement comme quelqu'un de très réfléchi. Mais son mal-être profond n'avait pas échappé au club et à son entourage professionnel, qui avaient mis en place un suivi psychologique. Après la journée de vendredi, le Gym a par ailleurs prévu des moments d'échanges afin d'aider les joueurs qui en ressentiraient le besoin. « Nous sommes avant tout soulagés que tout se soit bien terminé aujourd'hui pour Alexis, communiquait le Gym en fin de journée par la voix de son président Jean-Pierre Rivère. Il a été pris en charge. Nous continuerons de respecter le secret médical et nous demandons à chacun d'en faire de même et de respecter sa vie privée. Nous sommes à son soutien ainsi qu'à celui de l'ensemble du club. » voir aussiToute l'actualité de l'OGC Nice publié le 29 septembre 2023 à 22h45
-
Marquer contre son camps ce soir ?
-
On annonce qu’il n’y aura pas d’Havertz à Lens, il va donc faire beau !