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Lens, les raisons de croire au titre de champion de France Revenu à 4 points du leader à la faveur de sa victoire contre le PSG (3-1), le RC Lens est dans les clous pour jouer le titre en Ligue 1. Il faudrait certes une conjonction de paramètres, mais quelques faits objectifs, et d'autres qui le sont moins, doivent permettre aux Sang et Or d'y croire. La joie des Lensois après leur victoire sur Troyes (1-0), le 9 septembre. (P. Lahalle/L'Équipe) Pierre Prugneau mis à jour le 11 janvier 2023 à 08h10 Oui, Lens peut être champion de France 2023. C'est mathématique. Puisque le plus « petit » vainqueur de la Ligue 1, depuis l'arrivée de QSI à la tête du PSG en 2011, a atteint 82 points (Montpellier 2012, devant le PSG 2013 et 2015 et Lille 2021 avec 83 points), et qu'il en reste 63 à distribuer en 21 journées, même Nice, 11e avec 21 points, peut y croire - mais que les supporters du Gym ne se fassent pas trop d'illusions quand même. Le meilleur 2e de l'histoire ? S'il conservait son rythme de 2,35 points par match, le Racing atteindrait 89 points. Seuls quatre champions ont fait mieux : PSG 2016 avec 96, Monaco 2017 avec 95, PSG 2018 avec 93 et PSG 2019 avec 91. Conserver sa moyenne de points, le PSG, qui est encore devant et a quelques atouts pour lui, peut évidemment le faire. Avec 98 points, il battrait même le record de l'histoire du Championnat (96 en 2016, donc). Ce ne serait pas du luxe, car avec ses 89 points virtuels, Lens serait le meilleur deuxième de l'histoire (y compris en recalculant les moyennes du temps de la victoire à 2 points), devant les Parisiens vice-champions 2017 et leurs 87 points. Dans les temps des « champions surprises » Seuls Montpellier, Monaco et Lille ont donc vaincu le PSG (systématiquement 2e dans ces cas-là) au cours des onze premières saisons de l'ère QSI. Après 17 journées, le MHSC comptait 36 points (comme le PSG), Monaco 39 (le PSG 36) et Lille 36 (le PSG 35). Avec 40 points, Lens fait mieux au pointage. Hors PSG, seul le Nice de Lucien Favre première version avait fait aussi bien en 2016-2017 (+1 sur Monaco, + 4 sur le PSG) pour finir 3e avec 78 points, loin derrière les 95 de Monaco et les 87 de Paris. Mais cette fois-ci, le PSG est en tête. Le calendrier, faux atout et vrai symbole Alors que le PSG a un déplacement périlleux à Rennes le 15 janvier, le RCL a une véritable opportunité de rester au contact à mi-championnat, avec d'ici là un déplacement à Strasbourg (19e, le 11 janvier) et la réception d'Auxerre (18e) trois jours plus tard. Lors de la phase retour, les Lensois recevront 9 fois à Bollaert (où ils ont fait le plein jusqu'ici) pour 10 déplacements. Les voyages à Rennes et Paris sont les plus périlleux sur le papier, même si les joueurs de Franck Haise perdront forcément quelques points ailleurs. Ils affronteront en revanche Lille, Monaco et Marseille sur leur terrain et auront un enchaînement de deux matches à la maison (OM et Reims) aux 34e et 35e journées. Mais le plus beau motif d'espoir pour les Lensois, c'est le déplacement à Auxerre pour la dernière journée, exactement comme en 1998, pour le seul titre de l'histoire du Racing. La « prime au petit » Douze victoires, dont six sur le score de 1 à 0, pour Leicester lors de la phase retour de Premier League 2016 ; quatorze victoires, dont huit 1-0, pour le Montpellier de 2012 : quand une équipe surprise est lancée sur le chemin d'un incroyable succès, les gros à qui elle « pique » le titre vous disent que le reste de la concurrence lui laisse un boulevard. Avec un peu de rancoeur, certes, mais aussi un fond de vérité. Non, les joueurs des autres équipes ne souhaitent pas offrir le titre à Lens plutôt qu'à Paris. Mais, inconsciemment, il leur faudra mobiliser beaucoup de ressources s'ils n'ont plus rien à gagner en Championnat pour se dire, en gros : « Ce soir, on se battra jusqu'à la dernière seconde pour briser la belle histoire. » À l'inverse, battre le PSG équivaut presque à un trophée dans une saison de L1, ce qui motive jusqu'à la partie la plus confortable du ventre mou. Un bémol toutefois cette année : avec une 5e voire 6e place qualificative pour l'Europe (selon que le vainqueur de la Coupe soit dans le top 5 ou non) et quatre descentes, peu d'équipes seront démobilisées au printemps. Seko Fofana au duel avec Valentin Rongier lors de la victoire de Lens à Marseille (1-0), le 22 octobre 2022. (A. Mounic/L'Équipe) Des certitudes dans le jeu Mais la vraie force des Lensois, ce n'est ni l'algèbre, ni les éventuelles bonnes grâces de leurs adversaires. Comme on l'a vu lors de son succès face au PSG (3-1), le collectif mis en place par Franck Haise a très peu de failles. Pressing dans le dernier tiers, sorties de balle, attaques placées, transitions, etc. : les Sang et Or, qui ont aussi la meilleure défense de Ligue 1, font tout bien. Tactique : comment Lens a fait tomber le PSG Et ça ne leur est pas venu d'un coup, puisque les préceptes du Racing sont les mêmes depuis la remontée il y a deux ans et demie, que les joueurs l'assimilent de mieux en mieux et que les principales recrues - Damso et Frankowski en 2021, Samba, Abdul Samed et Openda cet été - les bonifient. Si la progression a été constante, il faudra néanmoins pour être titré prendre une trentaine de points de plus que la saison passée (7e avec 62 points) pour rêver, alors qu'ils n'en sont qu'à 13 au même stade de la compétition, et que Paris est encore devant. Mais le PSG pourrait aussi être accaparé par la Ligue des champions au printemps, et tout Lens lui souhaite probablement d'aller le plus loin possible. Source : l'Equipe
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Et si c'était Lens le prochain champion de France ? Après Montpellier, Monaco et Lille, sacrés champions de France devant le Paris-SG de QSI en 2012, 2017 et 2021, les Sang et Or ont gagné le droit de rêver. Et ça ne coûte rien. Kylian Mbappé dans la tenaille lensoise lors de la défaite parisienne (1-3), le 1er janvier. (B. Papon/L'Équipe) Régis Testelin mis à jour le 11 janvier 2023 à 08h15 En juin 2020, au moment de prolonger de deux ans son contrat à Lille, Jérémy Pied avait demandé une prime exceptionnelle en cas de titre de champion de France du LOSC, que Marc Ingla et Olivier Gagne, les dirigeants nordistes de l'époque, avaient fini par lui accorder, après quelques jours de réflexion. Une prime à cinq chiffres, bien plus raisonnable que celle qu'avait exigée Claudio Ranieri lors de son arrivée sur le banc de Leicester, en juillet 2015, lorsque lui aussi, à l'époque, était le seul à croire à un possible titre de champion. Un an plus tard, le coach italien avait récolté les fruits du miracle en encaissant une prime estimée à 6 M€... comme Jérémy Pied à Lille, les millions en moins. Lorsqu'on demande à l'ancien Lillois - lequel s'entraîne actuellement avec la réserve de l'OGC Nice - si Lens peut être champion à la barbe du Paris-SG, comme le LOSC de 2021, il peut difficilement dire non. « Quand tu joues en L1, c'est pour gagner les 38 matches de Championnat, répond-il, et si j'ai été le seul Lillois à penser à demander une prime de champion, c'est parce que j'y ai toujours cru, à chaque début de saison. Je ne peux pas imaginer que dans le vestiaire lensois certains joueurs se disent : "Laisse tomber, on n'y arrivera pas." Vu ce qu'ils proposent comme jeu, vu l'intensité qu'ils mettent, vu ce qu'ils ont montré contre le PSG (victoire 3-1, le 1er janvier), ils sont obligés d'y croire. Et obligés de pratiquer la langue de bois, en pensant match par match, parce que c'est la meilleure solution, la seule. » Avant le LOSC de 2021, l'AS Monaco de 2017 avait déjà devancé le Paris-SG de QSI, mais c'était une autre histoire, celle d'une équipe de rêve emmenée par Fabinho, Joao Moutinho, Kylian Mbappé, Bernardo Silva, Thomas Lemar ou Radamel Falcao. Sur le papier, finalement, c'était presque aussi fort que le PSG, ce qui n'était pas le cas du Montpellier Hérault de 2012, celui d'Olivier Giroud, entraîné par René Girard. Ni le cas du Lens de Frank Haise. « Avec une telle qualité de jeu, une telle dynamique et autant de bons joueurs, il faut y croire jusqu'au bout. » « Il y a un mois, je vous aurais répondu : "Non, Lens ne peut pas être champion", analyse le coach des héros de 2012, mais là, je trouve qu'il y a pas mal d'ingrédients. Je vois de moins en moins de soucis à Lens, et quelques problèmes éventuels au PSG, comme la surcharge du calendrier européen, et même les matches de sélection (en mars). Avec une telle qualité de jeu, une telle dynamique et autant de bons joueurs, il faut y croire jusqu'au bout. » Humilité, simplicité et engagement, ingéniosité de l'entraîneur et maîtrise totale de ses schémas, la recette des 40 points pris par le RC Lens en 17 journées est collective, ce qui est une sécurité. Et la récente victoire contre le PSG a peut-être fait grimper la confiance d'un ou deux degrés, tout comme l'envie d'y croire. « Contre Paris, j'ai vu une équipe lensoise sans scrupule et sans retenue, poursuit Girard, ils ont lâché les chevaux, ils ne craignaient pas l'équipe d'en face et je pense que ce succès peut les avoir déverrouillés. De toute façon, ce n'est pas en regardant Paris que tu lui passes devant, mais en ressentant certaines de ses faiblesses. Sur ce que j'ai vu, il est possible pour Lens de les emmerder un petit moment. » Au stade Bollaert-Delelis (défaite 3-1), le champion de France a quand même joué sans Lionel Messi ni Neymar, un élément de pondération. « Oui, mais c'est le genre de choses sur lesquelles Lens devra compter pour continuer à y croire, ajoute Jérémy Pied. Si Mbappé se blesse, si Neymar a du mal à revenir, tout peut arriver. Et, dans l'autre sens, si Paris passe tous ses tours de Ligue des champions, que va-t-il se passer en Championnat ? Je ne dis pas qu'ils vont le lâcher, mais ils peuvent perdre des points. » « Je soupçonne Galtier d'être suffisamment malin pour ressentir ce qu'il est en train de se passer et entraîner son équipe à reprendre ses distances. » Entre le Racing de 2023 et le Montpellier de 2012, Girard voit des similitudes. « Même impression, au départ, de ne pas disputer le même Championnat. Même parcours exemplaire. Même façon de rester à portée de fusil du PSG au cas où... » Pour un même coup de tonnerre ? « Je ne pense pas, conclut Pied, je vois Paris champion car je soupçonne (Christophe) Galtier d'être suffisamment malin pour ressentir ce qu'il est en train de se passer et entraîner son équipe à reprendre ses distances. Et puis, même si je sais que Lens viendra au Parc pour gagner (le 16 avril), Paris a l'habitude de ce genre de matches ». Pour René Girard, il est bien trop tôt pour envisager quoi que ce soit. « En 2012, j'avais parlé aux joueurs du titre à six ou sept journées de la fin, pas avant, et pas directement, se souvient-il. Je leur avais dit un truc du genre : "Votre avenir et votre légende vous appartiennent, croyez-y jusqu'au bout." Bien sûr que Franck (Haise) va tout faire pour éviter le relâchement, rester concentré et aller le plus loin possible, mais il faut tenir la distance et la ligne d'arrivée est encore très loin. » Selon un sondage réalisé par Odoxa pour Winamax et RTL, 51 % des amateurs de foot pensent que Lens peut être champion. Edit : ajout de la source l'Equipe
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
2.44 en 9 matchs, c'est fou !! Ca fait 22 points pris sur 27. Si on enlève la défaite dans le derby, c'est 22 points sur 24 soit 7 victoires et 1 nul. Juste waouh. -
Le ménage est fait, plus de toiles d'araignées du coup
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Il croise (beaucoup) trop sa frappe (elle finit en touche), donc je dirai oui. Mais il fait le bon choix (frappe croisée) En tout cas, je vous conseille le résumé, les buts sont magnifiques (surtout la 1ere égalisation de VA et le 2e but d'Annecy)
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Entrée de Baldé a la 65e. Déjà une grosse occase pour lui.
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Pour ceux qui veulent l'article Avant Racing - Lens, mercredi (21h) : quand Stéphane Cassard entraînait Brice Samba Le coach des gardiens strasbourgeois Stéphane Cassard a entraîné à Marseille Brice Samba, brillant dernier rempart depuis l’été passé d’un Racing lensois dauphin du PSG et visiteur de la Meinau ce mercredi (21h). Il en dresse un portrait dithyrambique. Par St.G. - 08 janv. 2023 à 22:00 Le gardien lensois Brice Samba (ici avec Caen face à Lebo Mothiba) s’impose depuis le début de saison comme l’un des meilleurs de Ligue 1 à son poste. Photo archives L’Alsace /Jean-Marc LOOS Il en disait déjà le plus grand bien lorsqu’il entraînait les gardiens de l’OM. Stéphane Cassard y a dirigé le dernier rempart lensois, Brice Samba (28 ans), de 2014 à 2017 (*). Six ans plus tard, alors qu’il le croisera ce mercredi (21h) à la Meinau, le coach des portiers strasbourgeois depuis 2020 ne tarit toujours pas d’éloges sur son ex-protégé, enrôlé à Lens l’été dernier pour cinq ans et un transfert évalué à cinq millions d’euros. « Avec Lens, il a trouvé le club parfait » Même si leurs chemins ont divergé depuis et si à Marseille, le Franc-Comtois n’avait pas toujours le beau rôle auprès du jeune et impétueux Samba, ils n’ont jamais rompu le contact. « Brice a été n°2 derrière Steve (Mandanda) , puis Yo (Yohann Pelé). Tout le monde lui disait : “Tu es le futur Mandanda.” Sauf qu’on connaît la carrière de Steve et sa longévité. Et comme Brice est un compétiteur dans l’âme, il était frustré de jouer aussi peu. On avait beau lui répéter que son travail lui servirait plus tard, c’était compliqué à entendre pour lui, d’autant qu’il était jeune. » Stéphane Cassard (à droite) a dirigé Brice Samba à Marseille de 2014 à 2017. Photo DNA/Laurent REA En fin de contrat en 2017, le Franco-Congolais a fini par quitter la Canebière. Direction Caen, avec l’espoir d’y trouver du temps de jeu. Au Stade Malherbe, il disputera 43 matches de L1 en deux ans avant d’être transféré en 2019 à Nottingham Forest (Division 2 anglaise). « C’est là-bas qu’il a vraiment franchi les paliers en enchaînant trois saisons pleines, avec une accession au bout. » Il ne goûtera cependant pas à la Premier League. Pour suppléer le Vénézuélien Wuilker Farinez, grièvement blessé au genou, Lens lui propose un challenge que le gamin formé dès 2006 au Havre accepte. Stéphane Cassard estime ce choix de l’Artois plus que judicieux : « A Lens, il a trouvé le club parfait. Il est dans une bonne période et démontre qu’il est devenu très régulier. Le Racing lensois progresse chaque année, ses joueurs aussi et Brice peut accompagner cette ascension tout en continuant à grandir lui-même. » ) Les commentaires élogieux que suscitent les arabesques d’un Samba bondissant ne l’étonnent pas. « Je suis peut-être le seul, mais je ne suis pas surpris par ses performances. Il a le potentiel pour aller encore plus haut. » « Il a toujours eu cette facilité dans le jeu au pied avec sa très bonne patte gauche, développe Cassard. Il est très joueur dans l’esprit, bien plus acteur que spectateur sur le terrain malgré sa position reculée. Il a aussi beaucoup d’aisance dans les airs, va très vite au sol et possède d’excellents réflexes. Grâce à ces qualités et à l’expérience acquise en Angleterre, il évolue aujourd’hui à son meilleur niveau. » « Il peut prétendre à l’équipe de France » L’ancien portier de Strasbourg (2004-2010) lui prédit ainsi un avenir national. « Il peut intégrer l’équipe de France. Il y a peu, beaucoup considéraient que la relève n’était pas prête. Je n’étais pas d’accord. Je trouve qu’avec les Alban Lafont (Nantes) , Mike Maignan (Milan AC) , Alphonse Areola (West Ham) et bien sûr Brice, beaucoup de bons gardiens peuvent concurrencer Hugo Lloris et prétendre prendre sa suite. » « Intérieurement, ça doit d’ailleurs faire partie de ses objectifs », ajoute-t-il en narrant une anecdote de leur époque phocéenne. « À Marseille, le Congo m’avait appelé pour lui. Mais il avait fermé la porte parce qu’il voulait se donner du temps. Je pense que l’équipe de France trottait déjà dans un coin de sa tête. Le fait de renoncer très tôt à la sélection congolaise en est un signe. » ) Pour définir le nouveau n°1 lensois, Stéphane Cassard souligne son principal trait de caractère. « Il a une très grande confiance en lui. Même quand il est un peu dans le dur, il n’est pas du genre à douter. C’était déjà sa force à Marseille. Avec ses prédispositions naturelles, sa confiance en lui et le travail qu’il consent, il fait désormais partie des meilleurs gardiens français. » Mercredi, les deux hommes se retrouveront avec plaisir à la Meinau. Mais seulement après le match. « On s’envoie de temps en temps des messages, mais on ne le fera pas avant la rencontre, confie le technicien alsacien. On laissera passer la compétition, comme à chaque fois avec mes anciens gardiens. Mais après, on essaiera de partager un moment. » La teneur de leur échange dépendra sans doute du résultat. Pour l’instant, ils se rejoignent sur un point au moins : ils veulent voir gagner le Racing… (*) Le Franco-Congolais a toutefois été prêté à Nancy en 2015-2016.
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Ca fait 9 du coup ... La saison à 4 relégations fait vraiment peur. En même temps, ça leur pendait au nez à tous les deux (Stéphan pour les résultats, Favre pour les résultats et la comm). Pour Clermont, je suis pas convaincu. Si ils font une série négative, Gastien peut sauter (surtout après l'élimination par une D6 ...) -
C était ce qui était prévu, mais comme Reims-Wasquehal va être rejoué, je suis pas sûr que Cassel sera automatiquement qualifié (ca aurait aucun sens de rejouer le match pour du beurre)
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Tu prêches un convaincu. Je dis bien dans mon message que pour faire du mauvais esprit, en quoi cette passe serait décisive. Je te suis à 100% quand tu dis qu'elle est décisive vu qu'elle elimine le milieu et la defense en une seule action. Et bien sur, j'espere bien que les stats de passes reussies ne sont pas la raison pour laquelle une equipe prend un joueur (en fait les 2 exemples n’étant pas forcément liés, c est juste pour illustrer l utilisation des stats, désolé si c était pas clair) Enfin pour en revenir au cas Bellegarde - Doukoure, je pense pas que l’intention de la passe de Bellegarde etait : il a une bonne frappe, il est tout seul ca fera but. Par contre, dans la même situation ou Robben est a la place de Doukoure, tu on peut penser que la passe latérale est décisive car le passeur sait que Robben fera sa spéciale : feinte pour se remettre sur le pied gauche et enroulage lucarne opposée -
Ligue 1 [Saison 2022/2023]
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
C est le problème de la stat, à quel moment décide-t-on qu'une passe est décisive? Je me rappelle que France Football (quand c'était un vrai magazine ...) ne comptait aucune passe décisive sur coup de pied arrêté (corner, coup-franc) alors que justement je trouve que c'est beaucoup plus décisif que la passe latérale (en l'occurence celle de Bellegarde sur le but de Doukouré). Sinon, y'a qu'à faire comme en NHL (je sais pas si c'est pareil au hockey au niveau mondial) où les 2 dernières passes avant but sont considérées comme décisives (même quand le mec tente un tir et que sont copain dévie avec la crosse, donc pas une passe à la base). Pour faire du mauvais esprit, en quoi la passe de Fofana pour Openda sur le deuxième but est décisive ? Openda fait de nombreuses touches de balle + un drible avant de marquer, donc la passe de Fofana n'est pas vraiment décisive (What ?? ) dans le sens passe + frappe (quasi) enchaînée (cmme dans le cas Openda + ACM en 2ème mi-temps). Cela restera un vaste débat. C'est comme la stat sur les buts encaissés dans le jeu par Samba, je trouve ça complètement idiot car entretemps il encaisse des buts sur CPA donc dire qu'il est invaincu depuis plus de 900min dans le jeu est, pour moi, une ineptie. Un tir sur le montant est considéré non cadré, c'est n'importe quoi. Un tir dévié par un défenseur est non cadré. Pourquoi? Il va en direction du but mais n'est pas arrêté/détourné par le gardien donc il est considéré non cadré. Un gardien qui arrête un tir qui allait hors du cadre, ça lui fait un arrêt et un tir cadré pour l'équipe adverse, c'est donc une aberration. Enfin, les statistiques ont leurs bons côtés mais aussi leurs mauvais, par exemple fonder tout son recrutement sur la data peut marcher comme être un flop, et Toulouse le montre avec ses recrues (des succès comme des échecs), dire qu'un joueur a 97% de passes réussies est un gars sûr alors qu'il fait que des passes latérales ou en retrait et qu'un autre joueur qui tente des passes difficiles va donc perdre plein de ballons sera catalogué comme un joueur peu sûr. C est la joie des statistiques ... -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Je pense pas que Macron surjoue tant que ça. C'est certes un président de la République et également un supporter de foot comme un autre. Je pense pas l'avoir vu sur d'autres sports être aussi expansif (à voir l'année prochaine avec la WC de Rugby) Alors oui, tous les autres officiels autour restent calmes mais lui, je pense qu'il vit le match (remember la photo d'il y a 4 ans en Russie ou alors lors de la remise de la coupe sous la pluie, il en avait rien à faire d'être trempé, ça m'avait assez marqué à l'époque). C est sûr que c'est pas Chirac qui connaissait aucun joueur, ou Sarko et Hollande qui étaient plus mesurés, c'est un supporter avant d'être un président pour moi. Et perso, je préfère ça qu'il vive le match, ça montre plus un intérêt personnel pour moi qu'un président en campagne (mais je vis peut-être dans un monde de bisounours). -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Entre Infantino et lui, y a la peste et le choléra sur le podium .... -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Effectivement Mercado double la mise MAIS en tout début de 2e mi temps en déviant une frappe de messi -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Heu non, que ce soit en 8e contre l argentine ou en finale face aux croates, on n était pas mené (1-1 en 8e, 2-1en finale) -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Ben si Théo il est la, il a même marqué 😁 -
Lens, rester sur son élan malgré l'arrêt Auteurs d'une première partie de saison phénoménale, les Lensois, deuxièmes de Ligue 1 derrière le PSG, vont tenter de garder cette dynamique après une coupure d'environ sept semaines qui pose des questions. Les Lensois, avec Ismaël Boura et Seko Fofana au premier plan, à l'entraînement à Marbella la semaine passée. (B. Papon/L'Équipe) Régis Testelin, à Marbella (Espagne)mis à jour le 12 décembre 2022 à 23h30 De la victoire contre Clermont (2-1), le 12 novembre, au déplacement à Nice, le 29 décembre, quarante-sept jours se seront écoulés. Près de sept semaines à se demander si le RC Lens, spectaculaire dauphin du PSG avec 36 points, va tenir malgré cette trêve inédite, et décrocher enfin une place européenne, pourquoi pas en Ligue des champions. « On était sur une série incroyable avant la coupure (5 victoires d'affilée), répond Jonathan Gradit, le défenseur central nordiste. On marchait sur l'eau et il est logique que les gens se demandent si on pourra enchaîner. Mais on préfère être à notre place plutôt qu'à la place d'une équipe qui joue le maintien et qui a passé quinze jours de trêve sans savoir où elle en est. Tous les clubs sont dans une situation inédite, personne ne sait ce qui l'attend, mais on est sûrs de nos qualités et de nos idées de jeu. » Jonathan Gradit, à l'entraînement. (B. Papon/L'Équipe) Les qualités ? Engagement, solidarité, humilité, talent et travail. Les idées sont les mêmes depuis trois ans : l'importance de la compensation et du dézonage, mais aussi le dépassement de fonction, au service d'un système en 3-4-3 tourné vers l'attaque et dont chaque joueur connaît les recoins. Tactiquement, rien n'a changé depuis l'arrivée de Franck Haise et, sur ce point-là au moins, cette continuité et cette maîtrise sont des forces. L'atmosphère ? Depuis trois mois, le manager général du RCL a vécu les turbulences au sein de son staff (départ à l'OGC Nice de Florent Ghisolfi, le directeur sportif, de Laurent Bessières, responsable de la cellule performance, et de Ghislain Dubois, préparateur physique) avec plus ou moins de patience et de clémence. Les mondialistes déjà de retour Mais il s'en est accommodé, les partants ont été remplacés et charge à Grégory Thil (successeur de Ghisolfi), à Benoît Delaval (ex-préparateur physique de Marcelo Bielsa à Lille et à Leeds) et à Valentin Taverne (préposé au travail musculaire préventif) de faire aussi bien qu'eux. Après avoir repris l'entraînement à la Gaillette le 28 novembre, la troupe lensoise s'est posée, la semaine dernière, en stage à Marbella, au sud de l'Espagne, avant de récupérer en ce début de semaine ses trois mondialistes : le Ghanéen Salis Abdul Samed, le Belge Loïs Openda et le Polonais Przemyslaw Frankowski. La saison de Wuilker Fariñez, le gardien vénézuélien blessé en juin avec sa sélection, et de Jimmy Cabot, victime d'une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche le 15 octobre, semble terminée. Fariñez ne sera pas remplacé, Jean-Louis Leca est là pour ça. Mais Lens s'est offert Julien Le Cardinal (25 ans, ex-Paris FC), capable de jouer piston droit, à la place de Cabot, mais aussi axial droit, pour compenser le départ de Christopher Wooh à Rennes, en août. « J'ai toujours suivi le parcours de Julien et, indépendamment de moi, la cellule recrutement du club aussi, explique Haise. Il fait partie de ces défenseurs polyvalents qui peuvent intégrer deux postes. Il est sain, engagé et motivé, et correspond à ce qu'on aime. » L'effectif n'est pas appelé à être bouleversé ; quel joueur aurait envie de changer d'air avec ce qu'ils vivent tous ? L'incertitude entourant l'évolution physique des joueurs, de mi-novembre à fin décembre, est grande. Mais la coupure serait plutôt bien tombée, à écouter Gradit. « La saison passée, on a eu un coup de moins bien entre novembre et début janvier parce qu'on était moins bien physiquement, dit-il. Donc refaire quasiment une préparation estivale à cette période, c'est une bonne nouvelle, il faut voir le côté positif. » À Marbella, le travail a été jugé sérieux, certaines séances ont dégagé une énorme intensité et Lens a battu Montpellier 2-1 (doublé de Steven Fortes) pour son premier match amical de décembre, avant ceux contre Le Havre et Reims. Franck Haise, entraîneur de Lens. (B. Papon/L'Équipe) Lorsqu'on lui demande si Lens pourra durer, Franck Haise répond qu'il n'en a « aucune idée ». Il assure ne jamais penser au sommet du 1er janvier, à Bollaert, contre le PSG, et sait très bien qu'il faudra être bon à Nice, dans deux semaines, pour réenclencher tout de suite. « On est dans la continuité, répète le technicien artésien. C'est rare d'avoir des coupures aussi longues, mais c'est la même saison. L'objectif est de rester, dans l'état d'esprit, dans l'unité et dans le jeu, dans ce qu'on a fait depuis le début de saison. Et si l'état d'esprit n'est pas suffisant, il faut qu'il y ait des qualités, des principes et de la concurrence. » Tout ce qui fait que depuis début avril, les Lensois n'ont perdu qu'une fois en 29 matches, contre Lille le 9 octobre (0-1).
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Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Oui, sur les quarts, sur le papier je suis d'accord avec toi. Par contre, sur le jeu proposé, j'aurais mis les Pays Bas sous le Maroc -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Non, Bresil 58 et 62, Italie 34 et 38 -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Australie et Suisse étaient en dessous par rapport au 1er tour. Totalement mérité pour le Maroc, mais je pense que la demie va être dure physiquement pour eux, quand on voit comment ils finissent sur les rotules. -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Le jour où les joueurs comprendront que les courses à petit pas ça marche pas, ils arriveront à tirer des penos potables -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Dans le maillot très classique de l'Argentine, j'aime bien les bandes noires, je les trouve assez classes et se mariant bien avec les couleurs albicelestes. Par contre les numéros, on dirait du vieux scotch noir dégueulasse -
Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Pareses aurait pu (ou plus sûrement dû) prendre 2 jaunes sur son tacle de débile et son tir dans le banc. Et comme dit dans vos messages, complètement débile la faute du 6 (je sais pas son nom) -
Foot L1, Lens exclusivité abonnés Jonathan Gradit (Lens) : « Personne ne sait ce qui l'attend » à la reprise de la Ligue 1 S'il croit son équipe capable de finir sur le podium de la Ligue 1, le défenseur de Lens Jonathan Gradit sait aussi que toutes les équipes du championnat vont sauter dans l'inconnu après six semaines sans match. Il savoure malgré tout le très bon début de saison des Lensois. À la trêve, les Lensois sont deuxièmes de Ligue 1, cinq points devant Rennes. (B. Papon/L'Équipe) Régis Testelin, à Marbella (Espagne)08 décembre 2022 à 19h53 ma liste commenter partager Depuis lundi soir et jusqu'à dimanche, le RC Lens est en stage à Marbella, où il est venu chercher le soleil et a trouvé la pluie. Deuxièmes de Ligue 1 après les 15 premières journées ponctuées d'un bilan exceptionnel (36 points, 11 victoires, 3 nuls et 1 défaite), les Lensois sont devenus des candidats crédibles aux trois premières places, et les voir disputer la Ligue des Champions la saison prochaine est largement envisageable. À condition de rester sur la même dynamique et de bien négocier l'inédite passerelle qui va les conduire de leur victoire contre Clermont (2-1, le 12 novembre), à un enchaînement qui s'annonce complexe pour la reprise : déplacement à Nice le 29 décembre (21 heures) puis réception du PSG (1er janvier, 20h45). Autour d'un café, au bord de la piscine de l'hôtel du RC Lens, à Marbella, Jonathan Gradit nous a dit croire en un grand destin pour son équipe. Sous réserve d'humilité. « La coupure de six semaines et demi entre la 15e et la 16e journée de Championnat risque-t-elle de freiner votre dynamique ? Et comment faire pour garder le même niveau que début novembre ? Le foot est toujours une remise en question, surtout avec une trêve aussi longue. C'est vrai, on était sur une série incroyable, on marchait sur l'eau et il est logique que les gens se demandent si on pourra enchaîner. Mais on est sûrs de nos qualités et de nos idées de jeu. On préfère être à notre place plutôt qu'à la place d'une équipe qui joue le maintien et qui a passé 15 jours de trêve sans savoir où elle en est. Tous les clubs sont dans une situation inédite, personne ne sait ce qui l'attend. On va faire en sorte de recharger les batteries et cette trêve peut être un mal pour un bien. La saison passée, on a eu un coup de moins bien entre novembre et décembre, et même début janvier, parce qu'on était moins bien physiquement. Donc, là, on refait une préparation quasiment estivale et il faut voir le côté positif. Le classement de la Ligue 1 « On se souviendra toujours de cette saison. Le groupe et le staff sont extras. On s'entend tous bien. Il y a une alchimie avec notre public » Regrettez-vous malgré tout que votre dynamique ait dû être stoppée le 12 novembre ? Oui, forcément, car on vit une saison extraordinaire et des moments inoubliables. On se souviendra toujours de cette saison 2022-2023 qu'on est en train de vivre. Le groupe et le staff sont extras. On s'entend tous bien. Il y a une alchimie avec notre public. Quand tout se passe si bien, on ne veut pas que ça s'arrête. Si vous deviez citer trois facteurs clés de la réussite du Racing en cette première partie de saison ? La solidarité est notre plus grande force. La confiance aussi. On a pris confiance en nous avec les saisons passées, on sait ce qu'on a fait de bien. Et l'humilité, car c'est la vertu la plus importante dans ces situations-là. Il faudra rester humble pour être le plus régulier possible. Et si vous deviez résumer le système de jeu de Franck Haise, loué par de nombreux observateurs ? Oh la la, mais le coach c'est un professeur, des fondamentaux il en a plein. D'abord il y a son schéma de jeu, le 3-4-3. On le faisait déjà en Ligue 2 (2019-2020) mais il a évolué avec des principes bien arrêtés. Comme l'idée de repartir de derrière. Ou celle d'avoir des joueurs qui dézonent complètement : on a des attaquants qui peuvent se retrouver en position de n°6 ou aller défendre dans un couloir. C'est une alchimie qui s'est faite. On travaille beaucoup à l'entraînement pour créer des affinités entre joueurs, des doublettes, des triangles. Ça ne s'arrête pas à un schéma tactique, le travail est colossal, sur les positionnements des trois lignes. Même nous, les défenseurs centraux, on a des postes particuliers, on ne se contente pas de défendre, on part de derrière, on doit chercher le déséquilibre, c'est un peu à nous de créer la première fixation pour créer un déséquilibre. Franchement, c'est kiffant d'être dans cette équipe avec un coach comme ça. Il nous demande des trucs qui nous plaisent et correspondent à nos qualités. Montpellier, Marseille, Nice... La Ligue 1 fait sa rentrée à Marbella Vous-même êtes souvent devant le but adverse ? Oui, comme rarement dans ma carrière. On prend du plaisir à jouer. Quand on arrive sur le terrain on sait ce qu'on doit faire. On est tous sur la même ligne de conduite, personne ne joue pour ses stats. On veut tous réussir ensemble. Avec Flo Sotoca, on est partis une semaine en Thaïlande, puis une semaine à Dubaï. On s'est fait plaisir sur deux ou trois bonnes soirées car on est des bons vivants, mais on a toujours eu dans l'idée de courir aussi. On a fait des séances en salle de sport avec Flo, pour garder le physique et ne pas faire n'importe quoi tous les jours. Ce serait bête de tout gâcher sur deux semaines. Je suis même revenu en ayant perdu un peu de poids. Jonathan Gradit, en stage à Marbella pour préparer la reprise de la Ligue 1. (B. Papon/L'Équipe) Ce serait malhonnête de dire qu'on n'en veut pas. Pour un joueur comme moi, découvrir la Ligue des champions à 30 ans avec un club comme Lens, alors qu'on était en L2 il y a quatre ans, ce serait fabuleux. On a des objectifs élevés, le coach aussi, et quand on est deuxième en novembre c'est qu'il y a de la qualité dans le groupe. Il faut avoir confiance en nous et rester humble car on sait que notre effectif est inférieur à des clubs comme Lyon, Monaco, Marseille. Si on garde cette force on peut le faire. Je ne dis pas qu'on va le faire car c'est un marathon, mais on va essayer. « On savoure après les matches avec le cri de guerre et on repasse à autre chose. C'est presque malheureux de ne pas savourer davantage mais on n'a pas le temps, les matches sont arrivés trop vite » Vous connaissez votre avance sur le troisième (Rennes). Cinq points. C'est beaucoup, oui. C'est même fou, mais on n'a jamais eu le temps de réaliser et c'est notre force dans l'équipe ; on ne parle ni de victoires, ni de qualification en Coupe d'Europe. On savoure après les matches avec le cri de guerre et on repasse à autre chose. C'est presque malheureux de ne pas savourer davantage mais on n'a pas le temps, les matches sont arrivés trop vite. Il faut toujours gagner, toujours, toujours et comme on n'a pas l'habitude il faut la prendre. C'est kiffant de vivre cette situation mais d'un autre côté on aimerait bien plus savourer. Espérons qu'on savourera à la 38e journée. Que pensez-vous de votre calendrier de reprise, le 29 décembre à Nice et le 1er janvier contre le PSG ? Ce n'est pas anodin. Il faudra aller à Nice avec humilité et Paris sera un match à part, à Bollaert un 1er janvier, avec cette invincibilité à domicile à préserver. Tout est possible avec cette force en plus. Mais quoi qu'il arrive sur ces deux matches il faudra être régulier après. La régularité est le plus important. Les deux dernières saisons on nous a mis deux fois au pied de l'Europe et on a fini septième à chaque fois. On a raté le coche. Cette saison, je trouve qu'on arrive à garder plus les pieds sur terre. À quelle période de la saison faudra-t-il être plus solide qu'en 2021 et 2022 ? C'est souvent sur les fins de saison qu'on a trébuchées, avec un calendrier pas facile. Il faudra être solide jusqu'au bout ou alors creuser un écart, si on peut. »
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Coupe du Monde 2022
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Va falloir rajouter la règle du refus de jeu comme au hand donc 🤔 Pis vu comment ils tirent les penos, c est mal barré pour les frappes de loin