daykatana

Carrément, si on a encore le kit tout bleu, ça va être horrible ...

Le premier but est clairement pour Medina, mais j ai trouvé Samba extrêmement passif face a Cho, levant le bras pour réclamer un hors jeu plutôt que de tenter quelque chose. Bon je ne dis pas qu il aurait touché la balle mais il y avait peut être autre chose a faire. Pareil, je ne comprends pas ses relances, il veut relancer vite et loin, s arrête, fait mine de relancer a la main pour finalement rendre la balle aux niçois. Enfin, sur le pénalty, il y a clairement mieux a faire (bon je dis ça mais en même temps, je ne suis pas gardien et je ne sais pas si je pourrai en arrêter un si j étais dans les cages) Je trouve que cette saison, il est moins réactif sur certains matchs et beaucoup moins bon sur le jeu au pied.

Elle est belle sa volée

Et la, pas pénalty ...

Les maillots de l euro ... Punaise que c est moche ce coq aussi gros sinon je trouvais la couleur du bleu assez sympa

Quand c est Lyon, on ne dit plus anecdotique mais c est pas anodin 😂

Je pense que les fautes que Frappart enumère correspondent aux fautes des lensois, et que comme le tacle de Khusa est bien engagé, il prend jaune pour la succession des fautes de son équipe. Si il n'y a pas ces 2-3 fautes juste avant, il peut peut être échapper au jaune mais je peux me tromper.

Et pas que des PB a mon avis...

Tout pareil, et les joueurs non plus je crois

C est pas passé loin le carton pour Fac (bon c est pas encore fini)

Un mois pour jouer gros Alors qu’il galère contre le top 6, Lens n’affronte que des cadors en mars. Un mois qui risque de donner la couleur de sa fin de saison. DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL ROMAIN LAFONT AVION (PAS-DE-CALAIS) C’est un mois pour savoir. Après avoir livré une belle mais vaine bataille face à Monaco (3e),le week-end dernier(2-3), Lens affronte d’ici à la fin mars quatre cadors de cette saison de Ligue 1 : un déplacement ce soir à Lyon, le deuxième ogre du Championnat en 2024 quoi qu’en dise son classement (10e), les réceptions de Brest (2e) et Nice (5e), avant un derby à Lille(4e) au retour de la trêve internationale. Sitousles matches sont importants, comme le rabâchent les spécialistes en éléments de langage, ceux qui permettent de prendre des points à vos adversaires directs le sont quand même plus que les autres. De ce point de vue, les Sang et Or vont donc être servis et on en saura un peu plus sur la tournure de leur saison, débutée à l’envers (derniers après 5 journées) et remarquable depuis (2ede L1 sur les 18 dernières journées). Le problème, c’est que les gros ne réussissent pas du tout aux Lensois depuis l’été. Tout le contraire de la saison passée, où les hommes de Franck Haise avaient fait tomber le PSG à Bollaert (3-1), donné la leçon à Monaco (3-0) et fait carton plein contre l’OM (1-0, 2-1), récoltant 2,2 points par rencontre contre le top 6. Cette fois, ils n’ont pris qu’un pauvre petit point sur 21 possibles face au top 6 avant cette journée et, forcément, la différence interpelle.«Nous n’avons pas la même maturité que l’année dernière, sur des petites choses, tente d’expliquer leur entraîneur. L’efficacité, les choix de jeu, la gestion des tempos d’un match, les temps forts, les temps faibles… Ce sont des choses que l’on va gagner car les joueurs prennent de l’expérience. On a une équipe nettement plus jeune ,même s’il y a des joueurs plus expérimentés qui ont aussi fait des erreurs de lecture de certaines situations (Danso et Samba contre Monaco, par exemple). » “Les contenus, l’intensité, la volonté, par moments la maîtrise, sont là“ FRANCK HAISE, ENTRAÎNEUR DE LENS De ce point de vue, la sérénité d’un Seko Fofana et sa capacité à être décisif dans les moments importants manquent forcément, alors que trois des quatre milieux actuels sont nés dans les années 2000. Pour autant, le technicien voit des motifs d’espoir dans ce qu’a produit son équipe ces derniers temps : «Si on ne gagne pas ces matches, c’est qu’il nous manque des choses. Mais je trouve que les contenus, l’intensité, lavolonté, par moments la maîtrise, sont là. Contre Monaco, en L1 (2-3) et en Coupe de France (2-2, 5-6 aux t.a.b.), c’est 24 occasions qu’on s’est créées.» Mais à chaque fois, la déception a été au bout. Et si c’était tout simplement une question de niveau, pour une équipe qui a tant surperformé la saison passée qu’on en a oublié qu’elle n’est pas forcément armée pour la course à la Ligue des champions ? «Ces défaites ne sont pas infamantes, mais on peut être déçus, même très déçus, reprend Haise. Après, quand on donne tout sur le terrain? les erreurs je les accepte. Et puis, on peut être battus par meilleurs, c’est la vie. » Mais on parierait bien que les Lensois trouveraient la vie sans Coupe d’Europe moins exaltante.

Tiens, j avais pas vu, c'est Turpin qui arbitre Rodez Bordeaux en Ligue 2

Gagné

Un thread .. .heu pardon un fil bien sympa sur notre blason

Avec 4 passes D de de Bruyne sur les 4 premiers buts ...

Lens Nice le 16 mars ... sur Canal plus a 21h

Merci pour l'explication, je ne savais pas que cela désignait des prisonniers le terme kapo. Correct pour l italien, comme dans capo cannoniere pour désigner le meilleur buteur dans le Calcio

Je ne sais plus quel entraineur avait dit cette phrase, si c'est Courbis ou René Girard lorsque j avais assisté à une rencontre entre l'Association Foot en Coeur et lui (alors entraineur de nos voisins). La phrase en tout cas m'avait marqué: le vrai break, ce n'est pas de mener par 2 buts d'écart mais 3 car il met un coup à l'adversaire, avec 2 buts d'écart, si les adversaires marquent, ils reviennent à 1 but et ca relance le match. Exactement ce qui est arrivé hier soir, le 3e but a changé le match (ca marche dans les 2 cas, le 3e but du match et le 3e but de Fribourg)

Tony Mauricio : « Une prothèse de genou à même pas 30 ans, c’est quand même compliqué » Propos recueillis par François LindenLE MARDI 20 FÉVRIER À 06:00 16 Réactions Partager 0 Il y a quelques jours, Tony Mauricio, joueur de Sochaux passé par la Ligue 1 et la Ligue 2, annonçait la fin de sa carrière à 29 ans en raison d’une grave blessure. Malgré la tristesse de devoir raccrocher les crampons, l’ancien milieu porte un regard éminemment positif sur sa carrière et les différentes personnalités qu'il a côtoyées. Tu as décidé de prendre ta retraite sportive à seulement 29 ans. Pour quelles raisons exactement ? Je voulais encore jouer, mais je ne pouvais plus. J’ai commencé à avoir des blocages en fin de saison dernière à un genou qui avait déjà subi une opération. Les examens ont révélé que des morceaux de cartilage se désagrégeaient : je souffrais d’arthrose. J’ai donc une nouvelle fois été opéré, et je pensais pouvoir reprendre normalement la saison suivante. Mais la douleur ne s’est pas arrêtée. Le chirurgien m’a appris qu’on ne pouvait plus rien faire : mon genou s’était juste trop dégradé. Quand as-tu dû prendre cette décision ? Durant l’été, j’ai passé une visite médicale à l’AEK Larnaca, à Chypre, mais j’ai été recalé. Je suis alors revenu à Sochaux, et c’est là qu’on a décidé avec tout le monde d’en finir là. Je me doutais que je ne pourrais pas jouer cinq ou six ans de plus, mais j’imaginais pouvoir terminer tranquillement à Sochaux, pour ensuite enchaîner avec une reconversion. Cela ne s’est pas passé comme ça, malheureusement, mais j’espère tout de même continuer à travailler dans le football. Ça ressemble à quoi, de jouer avec une telle douleur ? Sur un terrain, il est devenu complètement impossible pour moi de jouer, je ressentais comme des coups de couteau dans le genou. Là tout de suite, je serais peut-être capable de courir un 100 mètres en ligne droite, mais je sais que je ressentirais des douleurs pendant plusieurs jours. Il existe néanmoins une solution : la prothèse de genou. Mais c’est quand même compliqué de réfléchir à ça, à même pas 30 ans… Tu es arrivé à Lens en 2019, alors que le club évoluait en Ligue 2. Tu aurais imaginé que le club vivrait une telle ascension à ce moment-là ? Pas aussi haut ni aussi vite, mais c’est devenu logique au fil des années. On sentait que le Racing était en phase ascendante depuis les arrivées de Joseph Oughourlian et Arnaud Pouille. On a été champions de Ligue 2, on a bien enchaîné ensuite en Ligue 1 avec une septième place, le reste s’est fait dans la continuité. Si on m’avait dit à l’époque que Lens jouerait la Ligue des champions en à peine quatre ans, j’aurais dit « doucement ». Mais on ne va pas se cacher : quand on a Franck Haise en tant que coach, tout devient plus facile. On te sent plutôt admirateur. Franck Haise, c’est un super coach, moderne et complet. Il est intelligent tactiquement, analyse bien les situations et transmet une identité de jeu forte. Au niveau du management, il parvient à fédérer le groupe et à intégrer tout le monde. Là où il excelle particulièrement, c’est dans ses discours. Il incarne une force tranquille et parvient à toucher ses joueurs. Sans avoir à le dire, il parvient à nous transmettre un message fort : « Faites-moi confiance, j’ai calculé mon coup et je sais où on va. » Lors de ta seule saison en Ligue 1, juste après la montée, il décide pourtant de te mettre sur le banc. Comment tu l’as vécu ? La Ligue 1, ça a été un autre niveau pour moi. Cette année-là, il y a Gaël Kakuta qui a débarqué à mon poste, c’est donc devenu compliqué de jouer. J’ai discuté avec le club en fin de saison, et je leur ai clairement dit que ça ne m’intéressait pas d’être remplaçant et de jouer des bouts de match. Je préférais aller dans un club moins huppé et jouer un rôle actif. Peut-être que si j’avais été plus patient, j’aurais pu avoir plus de temps de jeu… Mais mon départ de Lens s’est fait en bons termes, et je n’ai jamais regretté de rejoindre Sochaux. Pour ta première année, Sochaux loupe de peu la montée, avant de passer à deux doigts de déposer le bilan la saison suivante. Tu as vu l’ambiance au sein du club se détériorer ? Quand je suis arrivé à Sochaux en 2021, j’ai directement su qu’on allait passer une super saison. La montée ne s’est pas jouée à grand-chose malheureusement, une séance de tirs au but… Mais après ça, les propriétaires se sont un peu trop pris au jeu. En recrutant beaucoup de joueurs pour beaucoup d’argent, ils étaient sûrs qu’on remonterait. Sauf qu’on avait moins cet esprit d’équipe et de famille de la saison précédente. Il y avait plus de joueurs, donc plus de concurrence. La gestion de groupe est devenue compliquée, certains ne donnaient plus tout ce qu’ils avaient. Les sept défaites consécutives en fin de saison voulaient tout dire : le groupe avait complètement lâché. La plupart des joueurs se disaient : « Vite, que ça se termine. » Et vous étiez au courant des problèmes financiers ? Non, on l’a appris dans les journaux. On n’a jamais eu de problèmes de salaire, tout était carré du début à la fin. Et même pour ma fin de carrière, Sochaux s’est montré très classe. Le club t’a soutenu jusqu’au bout ? Il n’y a pas beaucoup de clubs qui m’auraient aidé comme Sochaux l’a fait. À partir du moment où tu lances ton protocole de fin de carrière, ça prend énormément de temps d’un point de vue administratif. Ils auraient pu me dire : « Tu nous coûtes un salaire, on est aujourd’hui en National, il faut que tu dégages. » Mais la direction m’a au contraire soutenu du début à la fin, ils savaient que ce n’était pas facile pour moi. Le coach Oswald Tanchot (arrivé en juin 2023, NDLR) m’appelait régulièrement dans son bureau pour qu’on discute, pour ressentir mon point de vue. Il m’a redonné le sourire malgré la peine que j’avais de devoir mettre fin à ma carrière. C’est à ce moment-là qu’on se dit qu’il y a encore des personnes bienveillantes dans le foot, qui veulent découvrir d’autres personnes au-delà du sport Source : SoFoot

Ils sont trop forts ... 😂😂😂

Comme d'habitude, un Olympique (Lyon en l'occurence) sort de la crise, l'autre Olympique (les sardines) s'y engage ... Ils pourraient pas être en crise en même temps ces 2 clubs de brin ??