Clorith

Légende de l'OL et champion d'Europe 1984 avec les Bleus, Bernard Lacombe est mort Hospitalisé depuis janvier, Bernard Lacombe est mort à 72 ans. Meilleur buteur français en Première Division avec Lyon, Saint-Étienne et Bordeaux, champion d'Europe en 1984 avec les Bleus, l'ancien attaquant a ensuite mené à l'OL, au côté de Jean-Michel Aulas, une carrière de dirigeant et de technicien à la hauteur de sa carrière de joueur. Hospitalisé depuis janvier, Bernard Lacombe s'est éteint à l'âge de 72 ans, ce mardi. International français à 38 reprises et joueur de l'OL entre 1969 et 1978, il a également été directeur sportif de son club de coeur (entre 1988 et 1996), puis entraîneur et conseiller historique du président Jean-Michel Aulas jusqu'en 2019. Avec sa disparition, c'est une page d'un demi-siècle de l'histoire du football français qui se tourne. À 17 ans, lorsqu'il débute avec Lyon contre le Red Star (2-0), le 7 décembre 1969, il marque déjà, à l'aube d'un parcours exceptionnel, étiré sur trois décennies, et deux belles histoires d'amour, à Lyon (Coupe de France 1973) et à Bordeaux (champion de France 1984, 1985, 1987 ; Coupe de France 1986, 1987), entrecoupées d'une parenthèse amère d'une saison à Saint-Étienne. A Bordeaux, reconnaissance et pleine maturité Lorsque, gamin, son père l'emmène au stade, Lacombe rêve alors de devenir l'avant-centre de l'OL et un nouveau Fleury Di Nallo. L'enfant de Fontaines-sur-Saône, fils de boucher et apprenti serrurier, sera les deux. À Lyon, d'abord avec Aimé Mignot puis avec Aimé Jacquet, il grandit, trouvant en Serge Chiesa le complice idéal sur le terrain, se forgeant une solide réputation et devenant international en 1973. Mais les caisses sont vides, l'OL doit le vendre aux Verts à l'été 1978 et il quitte le vestiaire en sanglots, inconsolable. Moins d'un an plus tard, pourtant, il revivra chez les Girondins, sa seconde famille, désormais. Là, il retrouve bientôt Aimé Jacquet, côtoie Alain Giresse, se construit un vrai palmarès, gagne la reconnaissance de tous et, dans le jeu, atteint aussi sa pleine maturité. Bernard Lacombe (à droite) sous le maillot de Bordeaux. (L'Équipe) Ses atouts : deux pieds également redoutables, un timing infernal, dribbleur dans les petits espaces et un jeu de tête efficace malgré une taille moyenne (1,73 m), une grande habileté devant le but mais aussi dos au but, un placement et des déplacements d'une rare intelligence, une intuition naturelle du jeu. Sans oublier, ingrédient rare chez les avant-centres de l'époque, un sens du collectif et de la remise dont Michel Platini s'est toujours félicité en équipe de France (38 sélections, 12 buts). Un maillot frappé du coq avec lequel il inscrit de la tête, au bout de 38 secondes face à l'Italie, en 1978, le but qui est alors le plus rapide de l'histoire de la Coupe du monde. Directeur sportif, entraîneur, conseiller... Un pilier de l'OL d'Aulas Il a 25 ans, c'est sa première phase finale, comme tous les autres joueurs de l'équipe de France, qui sort de douze années sans Coupe du monde ni Championnat d'Europe. Quatre ans plus tard, il sera demi-finaliste en Espagne, avant le sacre de l'Euro 1984 au Parc des Princes. Il vient juste de terminer sa carrière de buteur à Bordeaux lorsqu'en 1988, Jean-Michel Aulas, qui entame sa deuxième saison à la tête de l'OL le fait venir au club, qui végète depuis six ans en Division 2. Bernard Lacombe (à gauche), Jean-Michel Aulas (au centre) et Sonny Anderson (à droite). (A. Mounic/L'Équipe) Le jeune président lui parle de Coupe d'Europe et veut qu'il forme un duo de techniciens lyonnais avec Raymond Domenech... Directeur sportif, de 1988 à 1996, et entraîneur de l'OL jusqu'en juin 2000 (fonction qu'il abandonne pour épargner à ses enfants d'avoir à subir les sempiternelles railleries sur les compositions d'équipe de leur père), Bernard Lacombe devient alors conseiller du président Aulas. Un rôle atypique, entre directeur sportif et manager général. Ensemble, de Gerland au Groupama Stadium, ils font remonter le club en Ligue 1 (1989), gagnent sept titres de champion de France d'affilée (de 2002 à 2008) et disputent une demi-finale de Ligue des champions (2010). Mémoire vivante du club, écouter Bernard Lacombe, c'était revivre avec passion quelques grands moments du football français, et lyonnais en particulier. C'était comme relire la fiche technique d'un match sur une page jaunie par le temps, avec le score exact, la date et le nom des buteurs. Le sien est depuis longtemps au panthéon du football français

Victoire 4-1 contre la Pologne; Diouf titulaire. La formation Rennaise, c'est quand même quelque chose... Outre Diouf, Tchouna, Tel et Abline, voici Djaoui Cissé. Et je ne parle pas des frères Doué et de tous ceux qui sont par monts et par vaux européens. Je ne comprends pas qu'avec une telle formation ils ne verrouillent pas davantage les contrats de leurs poulains, au lieu d'aller recruter à droite et à gauche des joueurs qui donnent rarement satisfaction. Si j'étais supporter rennais, je serais écœuré !

Et demi-sœur, du côté de ma tante.

Merde !

Oui, corrigé, merci !!! Décidément, il faut que je me relise. Après Auckland en Australie, je les accumule en ce moment. A moins que cela ne soit à cause du mariage de ma fille le week-end prochain... Entre écriture du discours, choix des illustrations musicales, diaporama, achat des vins... J'avoue que je n'ai pas la tête à 100% à MIL...

Oui, belle idée. Mwanga en plus ce serait parafait, on aurait fait le tour des anciens de la formation bordelaise (avec Alpha Diallo déjà chez nous !). Mais bon, Bakwa, je crois que c'est impossible sa côté a dû bien grimper ! Edit : oui; 25 M€ !!! On oublie !

Anti-fleuriste ! Je signale au modo.

Super, comme ça, on sait qu'il existe vraiment ! C'est pas MomoGPT...

Clairement, le montant a son importance. les 5 M€ sur Udol, ce sont 5 M € qui pourraient manquer pour faire un effort sur un bon attaquant ou un créatif, par exemple.

Elle est là :

Et...

Je veux, mon neveu !

Ok merci. Je peux entamer les négociations ?

Comme il ne se passe rien et que j'étais réveillé très tôt, j'ai fait quelques autres recherches pour des joueurs pouvant apporter de l'efficacité et encore assez jeunes. Méthode : j'ai fait une sélection sur Transfertmarkt, à partir de leur tableau sur les joueurs ayant eu le plus de contributions de buts (buts+passes décisives). J'ai ensuite mis le filtre sur moins de 23 ans et cherché ceux qui sont dans un championnat inférieur à la L1, mais pas trop faible. J'ai enlevé ceux qui sont déjà hors de notre portée, comme Biereth, Wirtz, Olise voire Vladyslav Vanat, dont on a déjà parlé, il me semble. J'ai trouvé ceux-ci : - Svit Seslar, 23 ans, Slovène, Milieu offensif, 2,5 M€, 10 buts, 12 passes décisives la saison dernière avec Celje en Slovénie en 26 matchs et un but en Superlig turque en 2 matchs. Prêté la saison dernière par le club turc à Celje. - Oliver Antman, 23 ans également, Finlandais, ailier, 6 M€, 6 buts, 15 passes décisives en 32 matchs en Eredivisie, avec le Go Ahead Eagles - Louis Munteanu, 23 ans aussi, Roumain, Avant-centre, 5 M€, 19 buts et 2 passes décisives en 25 matchs première division roumaine, avec Cluj Qq vidéos après qui ne montrent, comme d'habitude, que les réussites, bien sûr. Mais il y a toujours quelques petites choses à voir.

Panic buy...

Sinon, lancer le vrai mercato avec Abramowicz et Omeragic, ça serait pas mal. Edit : Plus Afonso Sousa...

Et voilà ! Pour Paris, je m'en fiche n peu, je les laisse là où ils sont !

Ok, je fais cela demain... si je n'oublie pas !

Ils sont partout...

Faut demander au coach de driver ça avec la team. ok, je ->

Ce sujet a été créé le 1er Avril. Ok, je pense que la blague a assez duré. Les prolongations, les rumeurs de vieux joueurs, toussa, on voit bien que ce n'est pas vrai, c'est pas possible ! On peut créer le vrai sujet sur le Mercato estival 2025, pour que ça démarre sérieusement ?

Mais ils seront en PLS après trois matchs...