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Tout ce qui a été posté par West'ier
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Tu le dis toi même, il s'est rien passé. Donc pourquoi les interdire de nouveau ? Ceux qui se réjouissent de ces mesures liberticides, je comprendrai jamais.
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Chant inspiré de l'Ajax :
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Il saute quand le Pep Guardiola de Troyes ?
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Hein ? Il s'est absolument rien passé l'an dernier, ce qui rend cette interdiction encore plus incrompréhensible.
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RC Lens : Ruben Aguilar, là où il doit être Arrivé début septembre, le piston droit (30 ans) se fond déjà dans le paysage lensois. Une question de profil, sportif autant qu’humain, qui colle au RC Lens. À son aise contre Toulouse, pour la première victoire de la saison, le Grenoblois au parcours d’abord cahoteux pourrait à nouveau commencer à Strasbourg, ce vendredi. On a connu meilleur augure pour des présentations. Dans le vestiaire visiteurs à Monaco où le RC Lens venait de perdre sèchement (3-0), Ruben Aguilar a pourtant découvert des joueurs « très contents de (m’)accueillir qui ont eu un discours positif envers moi. Malgré les mauvais résultats, c’était un vestiaire hyper vivant. » L’impression ne s’est pas démentie. Le piston droit voulait donner un nouveau tour à sa carrière après quatre saisons sur le Rocher, il a dit « oui tout de suite » à Lens où il partage le poste avec Przemyslaw Frankowski. Trois grosses semaines plus tard, il semble faire partie des meubles. « Ça a matché d’emblée. Jouer avec des mecs qui courent et demandent le ballon sans arrêt, c’est facile. Je me sens super bien dans l’équipe, le club. Après une fin délicate à Monaco, où j’ai aussi vécu des choses extraordinaires, je commence à retrouver de la joie de vivre, du plaisir et un gros vestiaire avec des mecs qui me ressemblent. » Des stats athlétiques de match « énormes » Son match contre Toulouse, dimanche (2-1), sa deuxième titularisation déjà après Metz, dit beaucoup de cette intégration quasi instantanée. Sur la foi de stats athlétiques impressionnantes (13 km parcourus, nº1, et 31 sprints !), Ruben Aguilar a imprimé l’énergie requise à un poste exigeant de piston qu’il assortit d’une qualité de centre longuement travaillée. « On croirait que ça fait trois ans qu’il est là, qu’il est avec nous pratiquement depuis la remontée en Ligue 1, apprécie Franck Haise, entraîneur ravi de sa recrue des derniers jours de mercato. Je ne peux pas l’expliquer au-delà du fait qu’il y a des valeurs communes, qu’il a de l’appétit, maîtrise le poste, qu’il mette énormément d’énergie. Je pense que c’est d’abord lié à ce qu’il est. Dans les principes de jeu, il a intégré beaucoup de choses. Il amène aussi cette bonne grinta à l’entraînement. Il a trouvé une belle place. Et il est à sa place. » Consultant pour Prime Video, Ludovic Obraniak n’est pas surpris par son ancien partenaire, à Auxerre (2016-17). « Avec Mathieu Debuchy à Lille, c’est une des deux personnes avec qui j’ai pris le plus de plaisir en tant que gaucher sur le côté droit. Je l’ai poussé dans ses retranchements pour qu’il prenne beaucoup plus le couloir car il a le volume de jeu, la capacité à répéter les efforts. » Pour l’ancien ailier, « à 3 M€, c’est un des plus beaux coups du mercato. On l’a eu en plateau après match, la première réflexion, c’est "mais tu es là depuis dix ans !" Il est rentré tout de suite dans le moule. Il a une complicité notamment avec Florian Sotoca, ils se sont constamment cherchés et trouvés quasiment les yeux fermés. Ruben est à la fois très bon sur les premières relances et hyper concentré sur le plan offensif. Quand j’ai su que Lens était intéressé, je lui ai dit "c’est exactement l’entraîneur et le système qu’il te faut pour que tu sois épanoui" . » Du genre à ne jamais renoncer, les pieds sur terre, collectif, Ruben Aguilar, que Sotoca a pris sous son aile, s’est fondu dans un Racing dont les valeurs lui correspondent. « Il colle sportivement mais aussi humainement. Son éducation joue beaucoup. Il mouille le maillot et est dans l’humilité la plus profonde, pas dans l’ego, décrit Obraniak. Il est souriant, aime s’intégrer dans un groupe. Il veut toujours apprendre et apprendre des autres. » « Je suis quelqu’un de très simple, avec des valeurs qui m’ont été données, discret, et je marche à l’affection. Si vous me donnez, je vais vous rendre à 300 %. », ajoute le Grenoblois. « Un moment, on se demande ce qu’on va faire, vendeur ? » Avec le recul d’une carrière désormais rondement menée (Auxerre, Montpellier, Monaco, une sélection en équipe de France en novembre 2020), ce père de deux enfants de 1 et 4 ans mesure sa chance. Comme Florian Sotoca ou Jonathan Gradit, ses compères du flanc droit, son parcours fait d’anfractuosités le sert aujourd’hui. « J’ai l’impression de jouer avec eux deux depuis un moment. Ils ont aussi vécu des choses délicates et ont fait preuve de caractère pour rebondir, avec, comme pour moi, un entourage prépondérant qui pousse à ne pas lâcher. » Sa femme, Lou, qu’il fréquente depuis ses 17 ans, ses frères, ses parents, ses potes qui ont compris qu’il ne sorte pas le samedi soir quand il jouait le dimanche matin à 11 h, en amateurs (au poste d’attaquant !), tous ont cru en lui quand, à 20 ans, le foot pro lui a claqué la porte au nez. Pas conservé au bout de deux ans par le centre de formation de Saint-Étienne, retour à la case départ, à Grenoble, en réserve, en DRH. « C’est dur, je suis gamin. Il y a eu beaucoup de pleurs mais je ne regrette à aucun moment ces passages qui m’ont forgé. Je vais essayer d’inculquer ça à mes enfants, ne jamais lâcher, toujours y croire. J’étais au chômage. Un moment, on se demande quand même ce qu’on va faire. J’ai un BEP vente, vendeur ? Retourner dans la vie "normale" ? » Bosser comme un acharné surtout, se rendre incontournable, monter en équipe première, en CFA, provoquer la chance. Le coup de pouce prendra la forme d’un coach, Jean-Luc Vannuchi, qui lui offre son premier contrat pro à Auxerre, alors en Ligue 2, en 2014-2015. « Au début, je n’y croyais même pas… C’est beaucoup de travail, beaucoup s’accrocher. Mais quand on a connu la galère, on ne veut pas y retourner, on sait ce que ça coûte et ce qu’il faut faire aussi. » À l’image du RC Lens. (Voix du Nord)
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RC Lens : Youl Mawéné raconte son match contre Arsenal en 2000, « je n’aurais jamais dû être là ! » Formé au RC Lens, sans expérience européenne et avec six apparitions de D1 dans les jambes, Youl Mawéné avait été parachuté dans le onze lensois à Highbury, en demi-finale de Coupe UEFA 2000 face à Arsenal. Aujourd’hui encore, il évoque cet épisode avec beaucoup d’autodérision et un sourire large comme sa gentillesse. Quand on aborde avec un supporter lensois la demi-finale de la Coupe UEFA en 2000, son nom n’est pas celui qui revient naturellement. Et pour cause. « Le groupe pro me paraissait inatteignable, se marre-t-il. Les entraînements avec l’équipe première, je les jouais comme des matchs de coupes ! Je n’aurais jamais dû être là. » Selon la définition, le syndrome de l’imposteur est un « sentiment auto-entretenu d’incompétence et de doute en sa personne et ses compétences, et qui persiste malgré les succès ». Lorsque Lens bat Vigo, en quart de finale (0-0 ; 2-1), le 23 mars 2000, le défenseur central, resté sur le banc, est l’un des premiers à se jeter sur son pote Franck Queudrue, titulaire. « Je n’ai alors joué aucune minute en coupe d’Europe de la saison, rappelle celui qui n’avait effectué que six apparitions en D1. À part à l’Atletico Madrid ou à Arnhem, où je regarde les matchs depuis les tribunes, je ne fais même pas les voyages ! (rires) » Pour jouer, il fallait « une hécatombe » Alors que Bollaert fête sa qualification pour le dernier carré, Youl Mawéné, 20 ans à l’époque, n’a pas encore saisi que sa saison – et un peu sa carrière – vient de basculer. José Pierre-Fanfan et Valérien Ismaël ont écopé d’un avertissement face aux Espagnols, qui les suspendent automatiquement pour la demi-finale aller. « Je ne me pose même pas la question de savoir si c’est moi qui vais jouer à Arsenal. J’étais peut-être sixième dans la hiérarchie des défenseurs centraux. Pour gratter du temps de jeu, pour des joueurs comme moi, il faut une hécatombe. Je me dis aussi que François Brisson, le coach, va préférer faire redescendre un milieu de terrain derrière. J’ai certes déjà joué au Vélodrome un soir où on avait gagné et où on avait pris des boulons de la part du public en sortant du match (1-2, 18 décembre 1999), mais bon… » Si Thierry Henry est lui aussi suspendu du côté des Gunners, Lens a trois semaines pour trouver le duo idoine amené à défier les Bergkamp, Kanu ou Suker. Le natif de Caen n’a plus foulé de pelouse de l’élite depuis plus de deux mois. Mais, étonné, il est dans le groupe qui débarque « dans un hôtel incroyable, sur une belle place de Londres ». Dans cet établissement de luxe, Youl Mawéné ouvre grand les yeux en croisant les joueurs du Barça de Figo, Puyol, Xavi ou Rivaldo, venus défier Chelsea en Ligue des champions au même moment. La veille du match, les Lensois prennent leurs repères sur la pelouse d’Highbury. « Je découvrais alors ces stades et ces ambiances typiquement anglaises, avec ce poids de la tradition, explique celui qui ne s’imagine pas encore être dans le onze le lendemain. Et puis, arrive la fin de l’entraînement. Je comprends que je vais débuter. Olivier Dacourt vient me rassurer. Il me dit que j’ai mérité d’être là. Je ne réalise pas. Dans le sens où je me dis que c’est un simple match de foot que je dois disputer comme une rencontre en réserve ou en DH… » Youl Mawéné ne veut pas se prendre la tête. « Bon, au fil des heures, j’ai de plus en plus hâte que le match débute. Parce que plus c’était long, plus je commençais à me faire un peu trop le match dans la tête… » Bergkamp ouvre le score, la peur de la « casquette » Si l’attente est donc un peu longue, la dureté des premiers duels est immédiate. Après deux petites minutes de jeu, Bergkamp grille déjà la défense lensoise et ouvre le score. « Je me suis dit qu’on allait prendre une casquette. Mais on a tenu ce 1-0 jusqu’à la mi-temps, on a recadré quelques trucs et on a frustré l’adversaire ». Lens « tient » cette courte défaite jusqu’au bout et est même à quelques centimètres, ceux de la barre transversale, d’égaliser en seconde période. « On est sorti de là la tête haute, en se disant qu’on donnait la chance à Bollaert de vivre une demi-finale retour à suspense. Pour l’anecdote, je voulais faire le fier ce soir-là et j’avais décidé de n’échanger mon maillot avec personne (rires). Un équipier m’avait quand même récupéré celui de Marc Overmars, le Néerlandais qui courait à 2000 à l’heure. » S’il l’avait laissé traîner dans un sac en plastique chez sa maman, Youl Mawéné a récupéré cette tunique il y a quelques mois. « Je l’accrocherai peut-être un jour quand même chez moi. » Évoquant le Racing, celui qui a stoppé sa carrière professionnelle en 2013 est clair : « Ces années passées à Lens ont été fantastiques. Pour les jeunes du centre, ce n’était pas simple d’intégrer l’équipe première car on parle du grand Lens, qui venait de gagner le championnat et la Coupe de la Ligue. Quand l’un de nous y parvenait, même pour un match, il représentait tous les potes du centre de formation. Là-bas, on a appris la rigueur et la discipline avec Daniel Leclercq ou Georges Tournay. J’ai tellement de reconnaissance vis-à-vis de ces gens. Je suis étonné que vous m’ayez contacté car je ne suis qu’une goutte d’eau dans l’histoire de ce très grand club qui a vu passer des Oudjani, Warmuz ou Sikora. » Une goutte d’eau qui a plongé tête la première dans l’un des matchs les plus prestigieux de l’histoire du club et s’en était très bien sorti. Cet Arsenal - Lens demeurera jusqu’au bout son seul match européen en carrière. Au match retour, il regardera Arsenal s’imposer (1-2) depuis la tribune de Bollaert. Il ne jouera plus jamais une seule minute sous le maillot lensois. L’été suivant, il reprendra le Shuttle, pour y signer à Derby County alors en Premier League. Il y passera quatre saisons, avant de poursuivre à Preston (2004-2010), dans le club grec de Panserraïkos (2010-2011), puis en Écosse à Aberdeen. Aujourd’hui devenu coach sportif, il est père de deux enfants qui évoluent à Preston (Lancashire). Noah, son premier fils, a d’ailleurs effectué ses premiers pas en Championship (D2) cet été. Youl Mawéné, 44 ans, les laisse vivre leur passion comme ils l’entendent. « Une carrière peut se jouer sur un choix d’agent, une blessure, un changement d’entraîneur ou des suspensions… » Des aléas qui l’ont amené à être titularisé à Highbury un soir d’avril 2000, avant de jouer plus 300 matchs en Angleterre, dont 25 en Premier League et 174 en D2. Pas franchement les statistiques d’un imposteur. La Voix du Nord
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Même horaire que la finale de la Coupe du Monde de rugby.
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Le karma de balancer Wahi dans les panneaux publicitaires.
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Ligue 1 [Saison 2023/2024]
West'ier a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Gros gros coup dur pour Monaco. Un de leurs meilleurs joueurs de ce début de saison. Et derrière lui, c'est Jakobs... Ils vont finir par regretter d'avoir lâché Aguilar. -
https://www.twitch.tv/rmcsport Pour écouter et voir Joseph !
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Pour info, de nombreuses places viennent d'être mises en vente pour le grand public sur la billetterie en ligne du club.
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Quelle célébration et quel gardien !
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https://www.lequipe.fr/Football/Article/Yannick-cahuzac-je-ne-veux-pas-me-trahir/1422072 Si quelqu'un a l'article ?
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Et c'est très bien ainsi !
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Ligue 1 [Saison 2023/2024]
West'ier a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Ici c'est Brest