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Tout ce qui a été posté par West'ier
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On peut passer directement à l'étape numéro 2...
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Même M'Baye Niang est dans le top 10 buteurs
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Seko, tes seuls moments de bonheur sont à Lens. Reviens garçon !
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Et aussi, le match qui était programmé pas très loin après le tirage. Compliqué pour s'organiser, poser des jours...
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https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Cadix-et-getafe-se-sont-positionnes-sur-jonathan-varane-gijon/1443736
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Allez, dehors les Brestois
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Dunkerque... heureusement que le ridicule ne tue pas...
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Encore une superbe idée de la direction Kita d'être allé chercher Gourvennec.
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D'accord.
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Joseph Oughourlian [Président et Actionnaire du club]
West'ier a répondu à un(e) sujet de Eduardo62470 dans Effectif
Oughourlian envisage de se désengager de Prisa après avoir subi de lourdes pertes Le principal actionnaire du groupe de communication El País et Cadena SER cherche à récupérer son investissement, qui s'élève à pas moins de 300 millions Des sources bien informées de l'entreprise ont indiqué à El Debate que le président du Grupo Prisa , Joseph Oughourlian , serait intéressé à accélérer autant que possible son départ du conglomérat médiatique qui regroupe des médias comme El País et Cadena SER. Ces sources indiquent que l'homme d'affaires, un Français d'origine arménienne et libanaise, en a assez de perdre de l'argent et aimerait s'en sortir au plus vite. Oughourlian représente Amber Capital , le premier actionnaire de Prisa avec 29,5% des actions. Depuis son arrivée en 2015, il a investi 300 millions d'euros dans l'entreprise. Cette année-là 2015, le cours de l'action Prisa était d'environ quatre euros. Il est aujourd'hui à 0,28 euro. Le 15 septembre 2000 il était à 439,20 euros. La perte de valeur a été brutale et l'homme d'affaires souhaite trouver un moyen d'arrêter l'hémorragie : « Évidemment, nous perdons de l'argent. Nous devons avoir un coût moyen de notre investissement inférieur à 1,50 euro par action, et le titre est inférieur à un euro. C'est une grosse perte. Ensuite, il y a le temps que j’ai consacré à l’investissement. Je ne pensais pas que la partie financière allait me coûter autant de temps. J'ai également investi beaucoup d'argent personnel. « J'y ai beaucoup cru », a déclaré l'homme d'affaires dans une interview à El País en décembre 2020. L’analyse est également valable aujourd’hui, mais trois années supplémentaires se sont écoulées et les pertes s’accumulent. Oughourlian a gagné en image. À son arrivée, personne ne le connaissait, et maintenant il est bien connu, mais ce déménagement lui coûte très cher. L’homme d’affaires vendrait, mais la question est de savoir qui va acheter. Le groupe français de divertissement Vivendi , qui a porté en mai dernier sa participation dans Prisa à 11,7%, pourrait être candidat, mais le gouvernement n'en veut pas. S'il obtenait la majorité, les liens de Prisa avec le Sanchisme prendraient fin : il cesserait d'être sa plateforme de propagande. Vivendi a déjà tenté de reprendre 29 % de Prisa en 2021, mais le gouvernement ne lui a pas donné l'autorisation et se cache désormais derrière une législation anti-OPA pour l'empêcher. Oughourlian vendrait à Vivendi ou à qui que ce soit, mais dans le cas du premier, il devra attendre l'arrivée d'un gouvernement PP et voir si cette option est envisagée. Pendant que cette situation perdure, le Gouvernement joue ses cartes. Il tente de chouchouter Oughourlian, en facilitant son entrée à Indra , où il récupère de l'argent avec la participation de 7,24% qu'il a atteinte en mai 2023. En revanche, il continue de protéger la ligne éditoriale d' El País et de SER grâce au poids de 7% des actions détenues par Global Alconaba, où sont les propriétaires originaux de Globomedia ( Andrés Varela Entrecanales , José Miguel Contreras ), proches du PSOE, et jusqu'à présent la présence au conseil d'administration de Miguel Barroso , ancien secrétaire de État pour la communication avec Zapatero et clé de la stratégie de Pedro Sánchez pour rester au pouvoir. La mort de Barroso ce samedi est certainement un coup dur pour le président du gouvernement, qui devra voir comment il remplace la figure de l'un de ses plus importants idéologues. Prisa devra sans doute trouver une solution à ses difficultés croissantes à respecter ses engagements financiers. Vivendi pourrait le leur donner, mais cela entraînerait sûrement un changement idéologique dans le groupe que le gouvernement ne permettra guère. D'un autre côté, on a parlé de l'intérêt de Mediaset pour acheter Cadena SER pour avoir une station de radio de la même manière qu'Antena 3 a Onda Cero, mais il semble qu'elle ne soit pas à vendre, et le nouveau PDG de propriétaire de Telecinco, Alejandro Salem Cela ne semble pas non plus viable pour le moment . https://www.eldebate.com/economia/20240115/oughourlian-sopesa-desinvertir-prisa-sufrir-fuertes-perdidas_166747.html -
Guilavogui, visiblement diminué, qui foire une belle contre-attaque et peu de temps après le Cameroun égalise...
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C'est limite ça... non ?
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Lens - PSG : « Je suis plus épié, plus regardé », sait Brice Samba Le gardien et capitaine du RC Lens s’est confié dans une longue interview. Où il est question du PSG, qui va être reçu ce dimanche (20 h 45), de duel psychologique, de mental et aussi des critiques, justifiées ou pas, qui l’éreintent parfois le groupe et lui… Affronter le PSG, ça vous fait saliver ? « Honnêtement non. C’est une équipe de grande qualité, bâtie pour gagner la Ligue des champions. On a eu la chance de jouer cette compétition cette année, on a affronté des adversaires de haut niveau. On sait très bien à quoi s’attendre et les ingrédients qu’il faudra y mettre. Je ne dirais pas saliver, on les joue chaque saison, pas comme Arsenal que tu joues une fois tous les cinq ou dix ans. Peut-être que les médias en parlent plus mais moi je le prépare comme j’ai préparé Monaco et tous les autres matchs, avec sérieux, détermination, la même envie de vouloir gagner et apporter le maximum à l’équipe. » Vous aviez glissé quelques mots à Youssouf Fofana dimanche lors de la séance de tirs au but contre Monaco avant qu’il ne tire son penalty, qu’il a raté. Est-ce qu’avoir des internationaux français en face, Mbappé, Dembélé, Kolo Muani, Zaïre-Emery… c’est différent pour vous désormais ? « Je les connais mieux et plus, mais je ne m’entraîne pas tous les jours avec eux quand même. Ça me fera plaisir de les revoir. Avec la bande du PSG, on est assis ensemble à table en équipe de France, c’est sympa. On mettra les petites émotions de côté et pourquoi pas aller se checker à la fin du match. C’est même possible qu’on ne se calcule pas avant le coup d’envoi. Mais ce n’est pas quelque chose que j’attends avec impatience. Et je ne suis pas un gardien qui bluffe, Youssouf, je lui ai juste glissé un petit mot et fait ce petit jeu-là parce qu’on se connaissait. » Ce n’est pas le même choc, deuxième contre premier qu’il y a un an, pas la même situation, mais ce match, après deux défaites, à Nice, en L1, puis contre Monaco en Coupe, est-il un tournant quand même ? « Je rectifie, Monaco ce n’était pas une défaite, mais un match nul (2-2 avant les tirs au but). Ce n’est pas un tournant, c’est juste que le championnat reprend, c’est la deuxième partie de saison, on veut faire mieux que la première. On a conscience des lacunes qu’on a eues. On travaille très dur, même si ce n’est pas évident avec ce froid et sur synthétique, pour faire la meilleure deuxième partie de saison possible, on sait de quoi on est capables. Pendant une heure, on a su étouffer une grande équipe comme Monaco. On va mettre nos ingrédients, devant notre public qui sera chaud bouillant comme toujours. On sait qu’il ne faudra pas faire les 25 premières minutes qu’on a faites contre Monaco, parce que contre Paris, ça ferait peut-être 3 ou 4. » Vous avez dit après Monaco que l’équipe était en bon chemin. Lens en a-t-il encore sous le pied ? « Comme le coach nous l’a dit, ça faisait longtemps qu’on n’avait pas asphyxié une équipe de cette manière, surtout à la maison, ça nous a fait un peu penser à la saison dernière. À domicile, il y avait un élan, on se rendait les matchs faciles. Qu’on ait pu faire ce match, surtout après avoir été menés 0-2, qu’on ait eu cette force de caractère, c’est positif. Avec un petit brin de réussite, on n’allait pas aux tirs au but. C’est le football. On est un groupe qui continue d’apprendre, même si on a joué la Ligue des champions, qui nous a apporté beaucoup d’expérience. On a conscience des choses, de nos lacunes. Les critiques, on les entend, elles sont justifiées ou pas parfois mais c’est la vie du football. Mais nous, on est très soudés dans le vestiaire. Et on sait très bien de quoi on est capables même si parfois, on peut être durs entre nous. On sait se dire les choses, le haut niveau, l’exigence, le demandent. On n’est pas parfaits, on fait des erreurs, on fait des choses bien mais le plus important c’est d’être à 100 %, de se mettre en capacité de faire quelque chose de grand. » Quelles sont les critiques que vous trouvez justifiées et les autres pas ? « Je vais m’arrêter sur Monaco, le plus frais. Les quatre actions qu’ils ont, c’est suite à des pertes de balle. On essaye de rectifier, mais un match sans erreurs, il n’y a pas de buts. C’est le lot du football et de notre jeu qui le veut : je peux très bien dégager le ballon à chaque fois dès que je le reçois, mais non, nous, on essaye de construire, de repartir de derrière. Ce sont des choses évitables, les critiques sont justifiées. Après, il y a les choses qu’on entend, chacun est libre de penser comme il veut, nous en tout cas, on est droits dans nos pompes, on sait ce qu’on fait de bien ou pas. Ce que les gens doivent savoir, c’est que le joueur est plus impacté qu’eux. J’aimerais insister là-dessus, les gens pensent peut-être qu’on s’en fout, qu’après une défaite, on sourit, on est content, non pas du tout : c’est nous les acteurs sur le terrain, c’est nous qui sommes ciblés, c’est nous qui voulons gagner des matchs. Peut-être qu’ils font l’amalgame par rapport à l’argent qu’on gagne, ils pensent qu’on zappe plus facilement, mais croyez-moi, ce n’est pas très agréable pour ma femme quand on perd. Mais ça fait partie de notre métier, il est tellement médiatisé, on ne va pas se plaindre. » Quels sont vos objectifs, personnels et collectifs. Vous vous êtes fixé des challenges pour la deuxième partie de saison ? « Sur le plan collectif, non, on n’en a pas spécialement parlé, on veut juste faire mieux que la première partie. On est tous sur la même longueur d’onde. Sur un plan personnel, toujours faire mieux. Le plus dur, ce n’est pas de faire un bon match, c’est de le répéter. Tu reçois des éloges à droite à gauche, tu planes un peu, tu es sur ton nuage, il faut vite redescendre pour basculer sur le match d’après. » Comment évaluez-vous votre première partie saison ? Avez-vous été assez décisif à votre sens ? « Je suis plus épié déjà, pas de débat là-dessus, plus regardé. Les gens regardent plus les petites conneries, et c’est normal, parce que j’avais mis la barre haut la saison dernière. Le plus dur, c’est de le refaire et dieu seul sait que ce n’est pas si facile que ça, Mais je suis quelqu’un qui ne se prend pas la tête, je suis en paix avec moi-même, je fais le nécessaire pour être bon le week-end. Malheureusement, je ne suis pas un robot, ou une machine, pour être bon tous les week-ends. Mais je la trouve bonne, ma première partie de saison, il faut continuer, on peut toujours mieux faire. » Que vous ont appris les séquences européennes et internationales ? « Je ne vais pas dire que je suis encore un gardien accompli, ce serait mentir, mais mes années anglaises, en Championship, le fait de jouer tous les trois jours, et c’est ça le plus dur et le plus usant mentalement, remettre le couvert tous les trois jours, l’exigence tous les trois jours, m’ont servi. Quand tu joues tous les trois jours, les bobos, tu les gardes, un petit cachet et ça repart. J’ai encore appris sur l’exigence, ce sont des matchs de haut niveau, c’est sûr mais ce n’est pas quelque chose qui m’a fait changer. » Quels sont vos axes de progression ? « Je ne vais pas tout dévoiler… Je peux progresser partout. Seko (Fofana) disait souvent que chaque match a sa vérité, avec des situations nouvelles, donc tu apprends. C’est en jouant le maximum de matchs que je serai vraiment un gardien accompli, et complet. J’ai encore beaucoup de choses à apprendre mais je pense que je suis sur le chemin si je continue avec cette rigueur-là pour aller le plus haut possible. » Vous avez impressionné lors des tirs au but contre Monaco. 3 arrêtés, ce n’est pas anodin. Comment les travaillez-vous ? On a parfois eu l’impression de voir un gardien de handball dans le duel psychologique, en jouez-vous ? « Je kiffe tout simplement les séances de tirs au but. Parce que le gardien n’a rien à perdre. Le tireur en face de moi a peut-être 95 % de chances de marquer : un penalty bien tiré, c’est toujours but donc tu essayes de le déstabiliser pour qu’il tire le moins bien possible et que tu aies une chance de l’arrêter. Je ne joue pas de ça, mais ça fait partie du truc. J’aime bien prendre possession de cet aspect-là, parce qu’il faut être acteur. J’en ai arrêté trois, j’espère que la prochaine fois, ça suffira pour nous qualifier. Pour les travailler, ce n’est que de la vidéo, essayer de prendre quelques habitudes des tireurs, mais eux savent aussi qu’ils sont regardés. C’est un petit jeu psychologique. J’avais ma gourde (avec quelques notes inscrites dessus NDLR), je l’ai regardée une fois avant de rentrer au vestiaire, pour le premier. J’ai pris but, j’ai donné la gourde à un ramasseur de balle puis j’ai fait au feeling. C’est quelque chose qui me réussit bien. Je ne me rappelais plus mes dernières stats (3 déjà arrêtés contre Sheffield en demi-finale de playoffs avec Nottingham Forest, 4 en février 2018 en 1/8e de coupe avec Caen contre Metz), c’est gratifiant. Mais on n’a pas des séances de tirs au but tous les jours… » Vous êtes capitaine cette saison, comment envisagez-vous ce rôle et a-t-il changé votre relation à vos partenaires, au coach ? « Ça n’a rien changé à mon quotidien, à la relation que j’ai avec les gars et au staff. L’année dernière, j’étais parmi les quatre cadres, je parlais déjà au coach. J’ai le brassard bien sûr, les gens m’appellent capitaine, mais ça, je m’en fous. Je suis là pour gagner des matchs, j’essaye d’apporter mon côté compétiteur au groupe. Si vous demandez à tout le monde, peut-être qu’ils diront que j’abuse de la compétition : je veux tellement tout gagner que parfois je suis un peu chiant. C’est ça que j’apporte, ce côté pousser les mecs dans leurs retranchements, parce que le football de haut niveau, c’est surtout l’aspect mental. Si tu es à 100 % dans la tête, tu as beaucoup plus de chances de remporter un match. L’aspect technico-tactique, c’est le coach qui gère, moi, je suis là pour essayer de motiver tout le monde même s’ils le sont déjà tous, mais sur les petits détails, apporter mon expérience. C’est notre essence, si tu veux te démarquer, ça passe par le travail, la rigueur au quotidien et surtout l’aspect mental. Je le répète tout le temps au point d’en saouler certains au vestiaire. Mais c’est quelque chose que j’ai bien appris, bien compris surtout : quand dans ta tête, tu es bien, quand tu mets tous les ingrédients le week-end, tu as plus de chances de réussir des matchs que d’en louper. » Ce mental est nourri par votre expérience, mais le travaillez-vous avec quelqu’un ? « On en parle avec le préparateur mental mais c’est plus avec mon père (prénommé Brice également, ancien international congolais). Il est à tous les matchs à Bollaert, parfois à l’extérieur aussi, on échange tout le temps, avant les matchs, après. Il me demande comment je me suis senti, me dit s’il m’a senti un peu moins concentré ou pas. Il ne me parle que de l’aspect mental, alors qu’il a été gardien, mais il ne me parle jamais de ballon. Il me dit souvent le bon dieu t’a donné le don d’être gardien de but, j’ai un talent, tu l’as aussi, je ne suis pas là pour te dire de dégager comme ci ou comme ça. Parce que tu peux avoir le meilleur don du monde, si dans la tête, ça ne suit pas, tu n’arriveras pas à faire ressortir ce talent. » Il vous tenait déjà ce discours quand vous étiez plus jeune ? « Ah oui ! Je l’ai trouvé dur parce qu’il me répétait souvent que je n’avais pas le droit à l’échec, quand j’avais 13 -14 ans, qu’avec mon talent, je ne pouvais pas me permettre de ne pas réussir. Je ne le redirai pas à mes enfants, mais avec moi, mon caractère, c’est ce qu’il fallait dire. J’ai eu un moment de relâchement aussi dans ma carrière, à Marseille, je lui donne raison maintenant d’avoir été aussi dur avec moi. Je m’épanouis plus, je réalise mon talent, ce que je suis capable de faire. Ça aurait été dommage, c’est vrai, de tout gâcher pour des conneries de jeunesse. » Vous adhérez toujours à ces discussions à près de 30 ans alors que vous être désormais aussi devenu international ? « Bien sûr, fils – papa, cette relation elle ne bougera pas, elle restera intacte. Mon père a joué à haut niveau aussi, il a plus de 120 sélections, il était capitaine aussi. Et ce n’est pas facile d’être capitaine d’une sélection nationale, c’est encore autre chose, c’est tout le pays. C’est quelqu’un que j’écouterai toujours, c’est un cadeau de dieu pour moi d’avoir quelqu’un qui a ce vécu, qui a fait des erreurs et m’empêche d’en faire. Je kiffe quand je le vois, à l’échauffement ; quand je regarde en tribune, c’est lui que je cherche. Même le premier penalty que j’arrête, je lève le ballon, c’est pour lui. Il y a une connexion. C’est kiffant ce genre de relation, c’est top. » Comment progresse Elye Wahi selon vous et comment vit-il ce qu’il se passe autour de lui, attentes, sifflets parfois ? « Nous, on s’en occupe, en interne on est derrière lui, parce qu’on a confiance à 1000 %. Moi, j’ai confiance à 10 000 % dans ce garçon, parce qu’il est pétri de talent. Je vais revenir sur l’aspect mental, mais ça se joue à rien, il suffit d’un petit déclic et je reste persuadé dès qu’il va en mettre un deux, il va enchaîner, ça va faire comme la mayonnaise. Il sort de Montpellier, que je ne dénigre pas, mais nous, on a joué la Ligue des champions, on n’a pas joué contre des peintres non plus. Ça a été l’un des meilleurs avec nous dans cette campagne. À Arsenal, on avait tous coulé, pas lui et c’est fort à 20 ans de faire déjà ce qu’il fait. Les gens regardent son prix, ils veulent qu’il marque 60 buts mais ce n’est pas comme ça la vie du footballeur, il y a un être humain aussi derrière. Ces sifflets le touchent quand il sort, il sait qu’il n’a pas bien fait, qu’il aurait pu mieux faire. Mais c’est le football qui veut ça, des mecs comme Messi qui se font siffler, pour moi c’est incompréhensible. Je vais prendre mon cas aussi, l’année dernière je n’entendais rien mais cette saison, dès que tu fais un petit truc moins bien, les gens te tombent dessus. Ils nous prennent pour des robots. Le football veut ça et ça va être de pire en pire. Comme je dis à Elye, il faut qu’il soit fort. Nous, on est là, on est avec lui. Quand il va marquer un but, je sortirai du but pour aller le féliciter. On est confiants. J’aimerais demander à chacun ce qu’il faisait à 20 ans. Les gens ont du mal à entendre. Il a mis 19 buts la saison dernière, tu ne les mets pas par chance. » Voix du Nord
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Aguilar et Frankowski touchés « En plus des absents pour des compétitions internationales, Macha (Deiver Machado) et Mass (Massadio Haïdara) poursuivent leur rééducation. Jo (Jonathan Gradit) a repris l’entraînement collectif de façon allégée cette semaine. Il postule pour être dans le groupe. Pour le reste, on a coupé hier (ndlr : jeudi) Ruben qui avait une petite tension au niveau de la cuisse. A priori, il devait pouvoir s’entraîner aujourd’hui. C’est une légère incertitude. Frankie (Przemyslax Frankowski) est malade et devrait rester au chaud aujourd’hui. Là encore, je pense aussi qu’il devrait pouvoir tenir sa place sur le dernier entrainement. Concernant Jhoanner (Chavez), les services juridiques du club travaillent sur sa qualification. Ça doit se faire aujourd’hui. » Les absents pour RC Lens – PSG Mendy, Abdul Samed, Guilavogui (CAN), Khusanov (coupe d’Asie), Cortes (tournoi préolympique), Haïdara, Machado, Cabot (blessés)
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Le calendrier des internationaux : Samedi 13 janvier 1 heure : Colombie U23 (Oscar Cortes) – République Dominicaine U23 (match amical) 18h30 : Ouzbékistan (Abdukodir Khusanov) – Syrie Dimanche 14 janvier 21 heures : Ghana (Salis Abdul Samed) – Cap-Vert Lundi 15 janvier 15 heures : Gambie – Sénégal (Nampalys Mendy) 18 heures : Cameroun – Guinée (Morgan Guilavogui) Jeudi 18 janvier 18h30 : Inde – Ouzbékistan (Abdukodir Khusanov) 21 heures : Égypte – Ghana (Salis Abdul Samed) Vendredi 19 janvier 18 heures : Sénégal (Nampalys Mendy) – Cameroun 21 heures : Guinée (Morgan Guilavogui) – Gambie Samedi 20 janvier 21 heures : Équateur U23 – Colombie U23 (Oscar Cortes) Lundi 22 janvier 21 heures : Mozambique – Ghana (Salis Abdul Samed) Mardi 23 janvier 12h30 : Australie – Ouzbékistan (Abdukodir Khusanov) 18 heures : Guinée (Morgan Guilavogui) – Sénégal (Nampalys Mendy) Samedi 27 janvier Minuit : Brésil U23 – Colombie U23 (Oscar Cortes) Mardi 30 janvier Minuit : Colombie U23 (Oscar Cortes) – Vénézuela U23 Vendredi 2 février Minuit : Colombie U23 (Oscar Cortes) – Bolivie U23