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West'ier

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Tout ce qui a été posté par West'ier

  1. En effet, il n'a pas bégayé une seule fois
  2. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Transferts-bastia-veut-ibrahima-balde-lens-en-pret/1338988
  3. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/A-metz-un-inattendu-tandem-boloni-dreossi/1338072
  4. West'ier

    [14] Facundo Medina

    RC Lens : le parquet d’Arras veut revoir le dossier Facundo Medina, soupçonné de violences conjugales Hier mercredi, le tribunal d’Arras devait se pencher sur le cas du défenseur argentin du RC Lens, Facundo Medina, soupçonné de violences sur sa compagne à Noël dernier. Dimanche 26 décembre dernier, le défenseur argentin du RC Lens Facundo Medina était placé en garde à vue au commissariat d’Arras. Le jeune homme, âgé de 23 ans, était soupçonné de violences conjugales sur sa conjointe, dans la soirée du 24 au 25 décembre à Arras. La jeune femme, débarquée d’Argentine, avait été conduite à l’hôpital pour des blessures légères (un jour d’ITT). D’après l’entourage de Facundo Medina, interrogé par L’Équipe, c’est sa compagne qui l’aurait agressé avant que celui-ci ne la repousse « fermement ». Des violences réciproques confirmées par le commissariat d’Arras, mais le joueur n’avait pas souhaité porter plainte, reconnaissant partiellement les faits. Alors qu’il devait faire l’objet d’une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) en mars, l’affaire avait été reportée une première fois au 15 juin. Mais hier mercredi, l’affaire a de nouveau été renvoyée car « retirée du rôle (le programme de l’audience, NDLR) pour retour au parquet ». Cela signifie que le procureur de la République d’Arras a souhaité revoir le dossier pour juger si l’orientation pénale prise (la procédure de CRPC dite plaider-coupable) était la bonne. Aucune nouvelle date d’audience ou orientation judiciaire n’est donc actée pour le moment. https://www.lavoixdunord.fr/1193936/article/2022-06-16/rc-lens-le-parquet-d-arras-veut-revoir-le-dossier-facundo-medina-soupconne-de
  5. https://www.rclens.fr/fr/supporters-deplacement 😉
  6. Il y a pas Alex Gersbach dans leur sélection ?
  7. West'ier

    [29] Przemyslaw Frankowski

  8. NEVER FORGET.
  9. "À noter que celles et ceux, actuellement abonné(e) en Delacourt/Trannin 0 qui souhaiteraient remonter en niveau 1 ou 2 (deux secteurs accessibles via des ascenseurs) bénéficieront de la même tarification qu’un réabonnement en 0 pour la saison 2022-23." A voir pour les saisons suivantes, certes.
  10. C'est une blague ?
  11. Auteur d’une énorme saison avec le RC Lens avec lequel il a frôlé l’Europe et qui lui a permis de découvrir la vie en Bleu, le piston droit a été logiquement désigné joueur régional de la saison. Nous l’avons rencontré à Clairefontaine, en pleine préparation pour la Ligue des nations, pour lui remettre son trophée. L’occasion de revenir sur cette année marquante à tous points de vue. Vous êtes notre joueur régional de la saison, que représentent pour vous les distinctions individuelles ? « Bah alors ça… Incroyable ! Les seuls trophées que j’ai eus, c’est l’année dernière, joueur du mois, et le trophée UNFP, deux fois. C’est un petit plaisir en plus, pas une fixette mais c’est dingue, ça fait plaisir. » Vous venez de vivre deux saisons pleines à Lens, quel que soit votre avenir (il ne lui reste qu’un an de contrat), qu’en retenez-vous ? « Deux de mes plus belles années de foot, voire les deux plus belles. Le foot, c’est pour ça que j’étais venu ici. Ça a été extraordinaire avec la découverte de la Ligue 1. Une première saison où on a failli accrocher l’Europe. On ne savait pas trop où on allait et à la fin, on est presque déçus de ne pas avoir accroché l’Europe. Après avoir pris du recul, on s’est rendu compte que c’était déjà extraordinaire. Une deuxième saison encore plus pleine, parce qu’il fallait confirmer individuellement et collectivement. Même si on a eu un creux, février-mars, où ça a été un peu plus compliqué, on se bat encore jusqu’à la dernière journée pour accrocher l’Europe et là, forcément, on est encore déçus. Mais finir deux fois d’affilée septième avec le RC Lens, on aurait tous signé pour. Et ce sont surtout les à-côtés, où tout m’a touché. C’est un club familial, j’avais l’impression d’être chez moi. C’est tellement facile d’évoluer dans un monde comme ça, où vous n’avez aucune appréhension, où personne ne vous juge, où tout se passe dans la discussion, il n’y a aucun problème… C’était extraordinaire. » Le coach Franck Haise soulignait la fluidité des relations, l’avez-vous également ressentie ? « C’est très fluide, oui. Le moindre accrochage qu’on peut peut-être avoir est réglé en dix secondes. C’est super facile à vivre. J’avais un truc à dire, j’allais voir le coach, on discutait, deux minutes après c’était réglé. » « On a eu la chance d’avoir le meilleur public de France, tout simplement. C’est sûr. » Comment cet état d’esprit agit-il sur la performance individuelle ? « Pour que les 11, ou les 16 joueurs jouent le mieux possible ensemble, il faut une entente particulière. S’il y a des problèmes partout, c’est compliqué. Parfois on regarde à gauche, à droite, bof… Tandis que là, on regardait à gauche, on voyait quelqu’un souffrir, on se disait : " Je vais me « tuer » pour lui et lui va faire pareil pour moi ". Et ça, c’est lié à la vie de tous les jours du groupe. On n’avait pas entraînement juste de 10 h à midi. On venait à 9 h, on repartait à 17 h, parce qu’on aimait être ensemble. C’est ça qui était incroyable. » Aviez-vous déjà connu ça dans votre carrière ? « J’avais connu ça à Bielefeld(Allemagne) les deux années précédente. Surtout la deuxième. Enfin, c’était presque ça. J’étais dans un petit groupe où on s’entendait super bien, on faisait beaucoup de choses ensemble mais ce n’était pas ultra collectif. à Lens, peu importe avec qui, tu t’entends avec tout le monde de la même façon. » Cela se passe-t-il un peu de cette façon en équipe de France, à une autre échelle ? « C’est encore différent. J’ai vécu deux ans avec des mecs, je ne peux pas dire qu’en trois semaines, il se passe la même chose. En tout cas, dans les discussions, c’est très facile. Chacun veut parler avec vous. » S’il ne fallait retenir qu’une chose de Lens, c’est le groupe ? « C’est Bollaert ! Il y a eu beaucoup de moments dingues en équipe, dans le foot, dans la vie de tous les jours, mais Bollaert plein, c’est la plus belle chose qu’on ait vécue tous ensemble. Beaucoup de respect des gens. Même ici, en équipe de France, on m’en parle. Des joueurs disent : " Mais chez vous, c’est quand même extraordinaire. " Lors du dernier match contre Monaco, combien de regards j’ai vu se tourner vers les tribunes pour juste regarder alors qu’on était en match ? On a eu la chance d’avoir le meilleur public de France, tout simplement. C’est sûr. » Regardez-vous l’actualité de vos potes dont certains sont également susceptibles de partir ? « Ce sont des rumeurs, de la lecture. Ce n’est pas parce que je lis un truc sur Cheick Doucouré ou Seko Fofana que je vais lui envoyer un message : " Alors ? C’est vrai ? ". Le jour où untel aura décidé de partir, il nous écrira à tous. On est assez grands pour discuter entre nous. Je n’aimerais pas que tout le monde m’écrive : " Alors, l’Atlético, ça dit quoi ? " Ou alors Chelsea, ou Nice ou Marseille ou… J’ai déjà assez de monde qui me demande, même des proches qui veulent la première info, mais même moi je ne l’ai pas. Donc, laissez faire et quand ce sera bouclé, que je reste ou je parte, tout le monde le saura. » Un match, un tournant vous reste-il en tête ? « Le match qui m’a marqué, c’est Paris, chez nous, parce que j’ai senti une équipe… Si on enlève ce coup du sort à, la 90e (égalisation parisienne à 1-1), on fait le match parfait de chez parfait. Ils n’avaient rien et pourtant c’était Paris, premiers, Ligue des champions, des millions… Et ils ne voient pas le jour. Le deuxième fait marquant, c’est contre Nice, on prend rouge au bout de 15 minutes, je me dis : " Ce n’est pas possible, l’arbitre qui nous tire encore une balle dans le pied… ". Un nouveau coup du sort. On était à un de moins pendant presque 75 minutes, personne n’a vu la différence. On finit à 3-0. C’est ce qui a fait que la fin de saison a été aussi belle. Ce match nous a sorti la tête de l’eau dans une période pas évidente. Là, on savait qu’on pouvait aller au bout. » La première demi-heure à Marseille était impressionnante aussi (2-3), celle contre Monaco (2-2) ? « Celle de Marseille encore plus. Elle était quand même grandiose, même les Marseillais ne savent pas comment ils ont fait pour être à 2-2, à la mi-temps. Et du banc, j’y étais à ce moment-là, je me disais : " Mais s’il y a 5-0, c’est pareil ! " Il y a eu des matchs exceptionnels, d’autres moins bien, mais ça n’est jamais allé dans l’ultra-négatif. On a fait des erreurs mais on n’a jamais été mauvais. Et tant qu’on n’était pas mauvais, on savait qu’on pouvait retourner n’importe quel match. Footballistiquement, pas grand-chose à redire, même si l’Europe, ça aurait été bon pour tout le monde. C’est encore une belle preuve que le RC Lens a sa place en Ligue 1 et que ça va durer encore et encore. » Sur vos deux années à Lens, sur quoi avez-vous le plus progressé ? « Hors football, j’ai toujours été très ouvert, très abordable, très souriant, je n’ai pas changé du tout. C’est surtout sur l’aspect foot que j’ai appris. Le coach a réussi à me piquer à certains moments, qui m’ont fait progresser. Ça a été des périodes, de trois mois, trois mois, trois mois. Parfois, il me faisait des reproches niveau défensif : " Là, tu me déranges un petit peu ", et boum je me concentrais dessus. Et puis à un moment, il y avait quelque chose d’acquis. Offensivement, il me disait : " Sois plus juste sur ça ". Je me concentrais dessus et je faisais grimper mon bagage à chaque fois, tout en le conservant. ça devenait de l’acquis parce qu’il était hyper exigeant avec moi. Tout ça m’a aidé à être là, en équipe de France. » À lire aussi «Il est où Jonathan Clauss? Parce que moi, je suis un Lensois»: chez les Bleus, Nathan n’est pas passé inaperçu Vous enchaînez avec la sélection après une saison de club pour la première fois. On a l’impression que vous avez fini la saison en boulet de canon. Comment vous sentez-vous physiquement ? « On a tous eu notre phase de février - mars un peu compliquée. Ensuite, j’étais bien reparti. Et puis il y a eu l’équipe de France, ça, c’était exceptionnel, mais psychologiquement, ça m’a affaibli. Il m’a fallu deux semaines, de nouveau, pour me remettre la tête à l’endroit. C’était compliqué, j’étais extrêmement fatigué, psychologiquement surtout. Quand je ne suis pas bien psychologiquement, mes jambes n’avancent pas. Et au final, depuis que je me suis régénéré sur ces deux semaines-là, je me suis senti libéré, calme, serein. J’avais l’impression d’avoir emmagasiné toute la confiance que j’ai eue au premier rassemblement. Et physiquement, tous les gens me disaient : " On ne comprend pas, on est en fin de saison, et tu as l’air frais ". Moi, j’avais le même ressenti. Le lendemain des matchs, je regardais mes données athlétiques : j’avais couru 12,5 km, 13 km alors que quand je sortais du match, ça allait. Bien sûr, j’étais fatigué sur le moment, mais je ne subissais pas, je n’étais pas en surrégime, j’étais bien. Je savais qu’après la saison, il me fallait une semaine de coupure pour me vider la tête aussi. J’ai passé une semaine en famille, chez ma mère, avec repos complet. Ça a fait du bien, c’est ce qu’il y a de mieux à vivre. Mais j’arrive physiquement très très bien. Pour moi, ce n’est que du plus, que du bonheur. Je ne troquerais pas ça pour des vacances, sûrement pas. Je suis prêt. » Le regard des gens sur vous a t-il changé ? « Oui, il a changé, par fierté surtout. Il y avait de la crainte peut-être de se dire c’est devenu quelqu’un. Mais non, c’est juste qu’avant, personne ne sonnait chez moi ou chez ma mère pour faire des photos. Aujourd’hui, des jeunes sonnent. Ils savent qu’il y a une voiture de plus devant la maison : " C’est bizarre, donc c’est qu’il est là ". Ce sont des petits jeunes qui viennent sonner ou des mères de jeunes enfants qui jouent au foot : " On peut faire une photo ? ", " Oui bien sûr ". Avant, personne ne sonnait pour faire une photo avec moi. C’est juste ça qui change. Il y en a eu 10-20 dans la semaine. Et même quand j’étais à la pêche, des gens me repéraient et se demandaient ce que je faisais là. Il vit sa vie comme il a envie de la vivre, et voilà. C’est cool. Ce n’est pas intrusif. Ils respectent énormément. C’est très gentil. » Le premier rassemblement avec les Bleus était celui de la découverte, que vous apporte celui-là ? « Ils sont différents. La première fois, c’est indescriptible. La tête est… C’est n’importe quoi. Vous êtes attentif à tout alors que vous n’êtes pas obligé. Comme vous découvrez tout, vous ne voulez faire aucun faux pas pour ne pas déranger ou faire la moindre erreur. Aujourd’hui, je sais que je ne vais pas faire d’erreur, je sais comment je me comporte, je sais que je suis à l’heure. Ça, ça va. La vie en général, c’est très simple. Mais la première fois, vous avez l’impression que tout est insurmontable, alors que c’est simple. » Vous sentez-vous désormais pleinement international, à votre place ? « C’est un grand mot. Ça ne me paraît pas normal, mais je suis plus confiant, plus serein, plus calme. Je sais que quand je vais à l’entraînement, je suis moins sous pression. Toujours aussi exigeant avec moi-même mais ça, ça ne bougera pas. Je suis plus tranquille dans ma tête et c’est plus facile à aborder. Aujourd’hui, je me sens à ma place. La première fois, je n’avais pas le sentiment de pleinement l’être. Mais si je suis rappelé une deuxième fois, c’est que oui. C’est plus facile de l’intégrer. La première fois, je le sentais peut-être comme un test. C’est un autre rassemblement, une autre façon de voir. » « Je ne mesure rien du tout. Je ne me retourne pas, je me retournerai à la fin » Ces rendez-vous réguliers avec l’équipe de France sont-ils un boost mental ? « Je n’ai pas vécu la deuxième liste comme j’ai vécu la première. Je ne dis pas que je sentais que j’allais y aller, juste qu’au vu de ce que j’avais fait, je me sentais plus confiant, plus serein. Effectivement, quand j’ai été appelé, j’étais super content, mais je n’étais pas plus angoissé que ça à l’idée de ne pas y être. Dans ma tête, j’ai compris que le sélectionneur avait confiance en moi, que je lui avais rendu ce qu’il voulait que je lui rende et que derrière, j’ai confirmé. Mon regard sur mes performances a changé aussi : " Tu as fait ce que les gens attendent de toi, donc il n’y a pas de raisons que tu n’y sois pas ". Ce n’est pas un trop plein de confiance ou une histoire de grosse tête, c’est juste un constat qui m’a fait comprendre que si je suis bon, j’y retournerai. La liste, ça m’a fait un pincement bien sûr, mais plus le même que le premier. Cette fois, je me disais, je mérite sans doute d’y retourner. J’ai intégré ça. » Ce rassemblement, c’est un challenge, quatre matchs pour aller à la Coupe du monde ? « C’est quatre matchs pour conforter ma place en équipe de France, prouver que le sélectionneur ne s’est pas trompé et que j’ai ma place dans le groupe des 23. Ce qui voudra sans doute dire aller à la Coupe du monde. Mais la Coupe du monde, c’est encore un grand mot, il y a beaucoup de distance encore. » Vous mettez-vous beaucoup de pression là-dessus ? « Non, je m’en mettrai les jours de match, comme toujours mais je ne me dis pas : " Il faut absolument que je me sublime ". Il faut que je sois bon, très bon, très concentré. Il faut que je sois moi-même et après on verra. » Vous êtes en équipe de France, convoité par des grands clubs, à l’étranger, mesurez-vous le chemin parcouru ? « Non, je ne mesure rien du tout. Je ne me retourne pas, je me retournerai à la fin. »
  12. West'ier

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  13. https://www.leparisien.fr/sports/football/psg/mercato-le-psg-suit-de-pres-le-dossier-seko-fofana-06-06-2022-N6AKZBR6AJHSFFLE57BRKMNJII.php?xtor=AD-366
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