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West'ier

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  1. West'ier

    [Prêté] Tom Ducrocq (Bastia)

    EXCLU - TOM DUCROCQ ? : « JE SUIS UN JOUEUR DÉFENSIF QUI AIME CRÉER » Prêté par Lens au SC Bastia, Tom Ducrocq est à deux doigts de décrocher le titre de champion de National avec le club corse. Le gamin du nord s’en est allé progresser sur l’île de beauté mais n’oublie pas le RC Lens qu’il suit avec attention. Entretien avec un joueur à la tête bien faite. Tu viens de décrocher ton ticket pour la L2 avec Bastia. Comment as-tu vécu cet événement ? Franchement c’est magnifique. On ne s’y attendait pas forcément parce qu’on était un promu. On savait qu’on avait une belle équipe mais on ne savait pas comment on allait se positionner dans ce championnat. C’est magnifique, ce qu’on a fait c’est quelque chose de grand pour l’histoire du club. Maintenant il faut continuer de travailler pour aller chercher le titre. Avez-vous rencontré des difficultés à disputer ce championnat de National avec le Covid-19 ? C’était compliqué dans le sens où il y avait plusieurs matchs de reportés. Le classement ne voulait plus rien dire puisque certains clubs avaient trois voire quatre matchs de retard. C’était un peu difficile dans ce sens-là, mais sinon globalement tout s’est bien passé. On a fait une bonne saison, on a enchaîné les matchs comme il fallait. C’était une bonne saison. Qu’est-ce que tu peux dire du public bastiais malgré le contexte ? Sont-ils aussi légendaires qu’on le dit ? Je peux dire que j’ai connu sans connaître parce que je n’ai jamais connu le stade plein. J’ai fait le premier match à domicile, contre Boulogne et il n’y avait que 5500 supporters. Je ne vais mentir, rien qu’avec 5500 personnes j’étais impressionné alors je n’imagine pas le stade plein. On sent la ferveur des supporters à Bastia même s’ils ne sont pas au stade, ils sont présents avec nous. On se sent beaucoup entourés, on sent qu’il y a beaucoup d’attente, de la pression, une bonne pression. C’est l’histoire du club qui veut ça. Les gens ici sont passionnés et aiment le club, le football. En plus le club reste sur trois montées d’affilée, du coup la passion est encore plus belle. Mais du coup, tu es simplement prêté à Bastia par le RC Lens. Quel est ton rapport au club ? Je suis un jeune du nord, mes parents habitent à 45 minutes de Lens. Déjà juste quand le club s’intéresse à toi, c'est quelque chose de grand. Tous les gamins du coin veulent intégrer le RC Lens. J’ai fait toutes mes classes là-bas jusqu’au contrat professionnel puisque j’ai signé un contrat de 2 ans la saison dernière avec le club. Le contrat n’est pas une fin en soi car je suis jeune et j’ai envie de jouer. Il me fallait un prêt pour m’aguerrir, prendre en expérience, en maturité et je suis très content d’avoir été prêté dans un club comme Bastia. Quels sont tes objectifs pour la saison prochaine ? Je suis toujours sous contrat à Lens, il me reste une année. Logiquement, je devrais prolonger si tout se passe bien. Ensuite on verra si j’ai la possibilité de jouer à Lens ou non, on verra ce qu’il se passe mais je ne ferme pas la porte à un nouveau prêt en Ligue 2. Je suis jeune, il faut que je prouve que j’ai le niveau, étape par étape. Je sais que Bastia est intéressé par un nouveau prêt, je ne ferme pas la porte, je suis prêt à progresser et prouver. Finalement, tes deux clubs réussissent plutôt bien ! Qu’est ce que ça te fait de voir la belle saison de Lens ? Comme pour Bastia, personne ne s’attendait à une aussi belle saison du RC Lens. En plus d’avoir les résultats, l’équipe pratique un football qui est magnifique à voir, ça joue au ballon, ça ne balance pas, ça ressort proprement. C’est incroyable ce qu’ils ont fait cette année et j’espère que ça sera la même chose dans les années à venir. Le grand public ne connaissait pas forcément Franck Haise. Qu’est ce que tu peux nous dire sur ce coach qui impressionne pas mal de monde en ce moment ? Je ne suis pas surpris parce que je l’ai connu un peu plus de deux ans avec la réserve de Lens. Quand on parle football avec lui, on sent que c’est quelqu’un qui connaît beaucoup le football moderne. Il a ses idées, son propre style de jeu, sa façon de faire, sa manière de voir le jeu. Ce qui me surprend, c’est que je ne m’attendais pas à le voir si haut si vite. Par contre, je savais déjà qu’il avait les qualités pour être un grand coach de Ligue 1. Que ce soit en tant qu’homme ou coach c’est vraiment une personne bien. Parle nous un peu de toi du style de joueur que tu es. Dans ma formation, j’ai souvent été numéro 10 en soutien de l’attaquant. J’étais petit et frêle, mais au fur à mesure du temps je suis descendu, là j’évolue en pointe basse, en 6. Je suis un joueur pas très athlétique, ni très rapide, mais j’essaie d’être là dans la mobilité, la lecture du jeu, les récupérations, le nombre de ballons touchés ... Cette année, j’ai fait beaucoup de progrès défensivement, j’essaye aussi de beaucoup parler à l’équipe parce qu’en pointe basse, c’est important. J'essaye de me rendre disponible et de ressortir proprement les ballons, je suis un joueur défensif qui aime créer et participer au jeu. Quels sont tes modèles dans ta position ? Quand on recherche des modèles, on regarde toujours les joueurs qui sont au top du top. Moi les miens c’était Xavi et Iniesta qui sont pour moi le top du top. Après, quand je suis arrivé à Lens, dans le vestiaire des pros, il y avait des Cahuzac, Gillet … J’essayais de regarder leur comportement sur le terrain, leur façon de faire et leurs habitudes. J’ai beaucoup appris d’eux. Est-ce que tu t’es fixé un poste définitif sur le terrain, ou est-ce que tu restes un joueur qui peut-être utilisé sur plusieurs positions différentes ? Au début de saison, le coach de Bastia m’a beaucoup utilisé en 8. Au milieu de l’année il m’a fait redescendre en 6, en pointe basse. Je me sens à l’aise dans les deux rôles, c’est vrai que j’ai un peu plus de repères en 6 mais je peux totalement jouer en 8 et me projeter un peu plus. Est-ce que le championnat de National réputé rugueux t’a aidé à progresser physiquement, toi le joueur frêle à la base ? Oui ! J’ai beaucoup progressé défensivement. Comme je n’ai pas le physique d’un monstre athlétique et que je ne peux pas récupérer les ballons grâce à mon corps, je me suis un peu adapté, je suis plus dans l’anticipation et dans l’engagement total. Si je ne m’engage pas totalement, je risque de récupérer beaucoup moins de ballons. J’essaye d’anticiper et réfléchir avec ma tête. C’est clair que cette expérience en National m’a beaucoup servi. Il y a des championnats qui te font rêver ? Je suis bien en France parce que j’aime bien le football français. Le rêve serait l’Espagne parce que c’est un football magnifique à voir, ça joue au ballon et ça joue beaucoup avec la tête. C’est vraiment le football qui me correspond le mieux. Qu’est ce qu’on peut te souhaiter pour la fin de saison et pour l’avenir ? Déjà, le titre avec Bastia, on veut la première et être champion. Pour les saisons à venir, je veux jouer beaucoup et le plus de matchs possible tout le temps, toutes les saisons. Après, me souhaiter la santé c’est le plus important ! Être heureux et prendre du plaisir. Si je suis heureux, c’est qu’au niveau foot ça se passe bien. Un message à passer aux supporters bastiais et lensois qui vont te lire ? Je suis fier d’appartenir à Lens et d’être prêté à Bastia. C’est vraiment une fierté de pouvoir connaître ces deux clubs historiques français. J’espère que cette mauvaise passe des stades vides va vite se terminer et que les stades des deux clubs seront pleins très bientôt. C'est deux publics magnifiques à voir, que ce soit pour nous les joueurs ou bien les amoureux de football en général. Sans le public rien n’est pareil, donc j’espère que tout le monde va pouvoir retourner dans les stades et crier comme il se doit. https://www.onzemondial.com/national/exclu-tom-ducrocq-je-suis-un-joueur-defensif-qui-aime-creer-473736
  2. West'ier

    Et si on se faisait un petit kif?

    23 ans déjà...
  3. Info But ? ? C'était un secret de polichinelle.
  4. De toute façon, à partir du moment où un pseudo commence par "bibi", ça commence mal...
  5. L'Equipe 21 en live du Louvre Lens.
  6. West'ier

    [Coach] Franck Haise

    https://www.ouest-france.fr/sport/football/franck-haise-que-faites-vous-seul-dans-le-vestiaire-pendant-l-echauffement-des-joueurs-d1dfbb2a-7105-11eb-b656-5e2e7c0cc0a5
  7. Un but victorieux à la 91ème minute et tu vivras ta meilleure soirée d'anniversaire, Seko.
  8. Alors qu'ils pourraient y aller en avion...
  9. Ca bosse pas le vendredi à Lille ? ?
  10. Lens-Lille: avant de revoir son équipe, le public lensois était déjà heureux de se retrouver Plus de 2 000 supporters du RC Lens s’étaient donné rendez-vous à la Gaillette, à Avion, jeudi en fin d’après-midi. À la veille d’un derby qui s’annonce bouillant, les fans artésiens ont savouré ce moment de ferveur populaire. Dès 15 heures, alors que le défenseur Loïc Badé klaxonne en débarquant devant les grilles du centre sportif, les premiers arrivants se postent devant les portes de la Gaillette. Il y a chez eux comme une excitation de rentrée des classes, celle qui accompagne les retrouvailles. « Tiens, tu sais que j’ai été papa il y a deux mois », balance-t-on ici à gauche. « Ah, bah moi, j’ai eu mon troisième ! », lui répond-on à droite. Le Covid-19 n’a pas seulement ôté les stades de leur âme. Il a aussi éloigné ceux qui avaient tellement l’habitude de se retrouver, deux fois par mois au minimum, dans les travées de Bollaert-Delelis comme dans celles de toutes les enceintes françaises. On a pris jeudi en pleine face ces liens naturellement distendus par la pandémie, même chez ceux qui partagent la même passion, qui ont le même point de ralliement depuis des décennies pour certains. Certains avaient fait plus de deux heures de route On s’est souvenu comme la passion pour le RC Lens draîne large au Nord de Paris. De Villers-Côtterets dans l’Aisne à Grande-Synthe, d’Avesnes-sur-Helpe à Armentières et de Béthune à Cambrai, c’est la grande famille Sang et Or qui était émue de se retouver. Elle a patienté, sagement, presque timidement, derrière la butte placée au bout de la Gaillette. Elle a bien sûr piétiné d’impatience lorsqu’elle a enfin vu ses joueurs apparaître au loin, sortant des vestiaires. Des joueurs qui ont bien saisi le message présent sur le grillage qui leur faisait face : « Saison magnifique, rendez-la fantastique ! » Il était 16 h 28. Elle attendait ça depuis de si longs mois : pouvoir vraiment remercier cette équipe qui lui a rendu les week-ends confinés un peu moins compliqués à vivre. Les premiers chants s’envolent mais manquent de décibels. Le vent n’est pas la seule excuse, on sent que chacun doit aussi retrouver ses marques. Et puis ils repartent de plus belle, et trouent le ciel nuageux d’Avion. En fermant les yeux, certains doivent se revoir à Bollaert-Delelis ou en parcage à l’extérieur. Avant d’aller s’entraîner à l’abri des regards, les Sang et Or saluent ce public qui avait été un critère à leur venue en Artois. Jonathan Clauss, arrivé cet été de Bielefeld (D2 allemande), n’en loupe pas une miette. « Franck, je t’aime », crie un supporter à Haise, l’entraîneur lensois qui s’approche et sourit. « Bah oui, je n’ai pas encore eu l’occasion de lui dire en vrai, ce qu’il fait c’est extraordinaire », explique le fan. Certains ont pris leur journée, d’autres ont un peu baratiné à leur patron. « Mais on se devait d’être là, reprend une supportrice. Tout ça nous manque tellement. » En repartant après quelques minutes de partage, les fans du Racing s’en sont retournés à leurs espoirs de gagner le derby. Simplement heureux de ses courts moments volés à la pandémie.
  11. Ca y est j'ai la trique à plus de 24h du coup d'envoi.
  12. Bravo à Eden Hazard qui devient le joueur le plus haï de Madrid. Acheté à Chelsea 160 millions ?
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