daykatana

On connait le joueur maintenant ... Source : Sofoot Valenciennes engage une procédure de licenciement contre Taylor Moore VDLE LUNDI 08 AVRIL À 13:37 11 Réactions Partager 31 Imaginez vivre une relégation, une demie de Coupe de France et un licenciement dans la même saison. C’est ce qui est en train d’arriver à Taylor Moore, défenseur du VAFC. La Voix du Nord révèle que le club valenciennois a engagé une procédure de licenciement pour faute grave contre le joueur anglais. En février, lors d’un match avec l’équipe réserve, le sosie non officiel de Kylian Mbappé avait frappé un supporter au visage. Dans ce derby face à la N3 du LOSC, les joueurs valenciennois avaient été chambrés par leurs propres fans. « Vous êtes des joueurs de Ligue 2 et vous vous faites balader par des gamins de N3 », pouvait-on entendre ce jour-là. Le nom du joueur valenciennois impliqué n’avait jamais fuité jusqu’à présent. Première recrue de VA après le rachat du club par le fonds danois Sport Republic à l’été 2023, Taylor Moore a disputé 21 matchs sous les couleurs rouge et blanc. Cette saison, le joueur formé à Lens est titulaire en défense centrale, au sein d’une équipe qui se dirige tout droit vers le National. Pour sa défense, il n’aura qu’à demander conseil à Michy Batshuayi.

Légende de Liverpool and de Hambourg

Ça me fait penser a Clauss a Angers, sauf que Clauss c était volontaire vu le soleil dans les yeux de la terreur Bernardoni

Même hors jeu ou presque qu a l aller ...

Neil a la place de Salis

On n'a plus le ballon

Punaise, notre dernière victoire face au Havre (domicile comme extérieur) remonte a 2016 et un but de Cristian Lopez ! Ça remonte à loin ....

Arf, pas de réussite ....

La qualif aux TAB, c est pas l année des 2 victoires justement ? Il me semble que c est pendant la jauge a 5000 personnes avec la Marek déplacee en niveau 1

J ai jamais été dans le match et j ai l impression que les joueurs non plus

David Pereira da Costa, le dix de cœur du RC Lens Par Florent Caffery, à LensLE VENDREDI 29 MARS À 06:00 14 Réactions Partager 34 Adoubé Petit Prince de la Gaillette, David Pereira da Costa est à 23 ans le joyau le plus précieux issu de la formation lensoise. À l’aube d’un derby inscrit dans son ADN et en quête d’une qualification européenne, il convenait de rouvrir son livre. Février 2024, la Beaujoire. Facundo Medina aux yeux de lynx trouve l’intervalle en direction de David Pereira da Costa. Le milieu de terrain offensif lensois s’ouvre un boulevard avant de croiser du gauche et d’offrir la victoire aux siens. En zone mixte, le portier artésien Brice Samba est mi-élogieux, mi-psychologue à l’endroit de l’unique buteur du soir : « Je suis content pour lui. C’est là-haut, dans la petite tête… il a compris les choses. Il réalise tout son potentiel. C’est un garçon en confiance, j’espère qu’il ne va pas s’arrêter là. » Onze titularisations en dix-neuf apparitions cette saison en L1, trois buts et trois passes décisives, le môme d’Almada, dans les faubourgs de Lisbonne, semble enfin avoir trouvé la clé de la réussite. Et de la régularité qui lui faisait défaut depuis ses débuts chez les pros à l’automne 2020. « Il a compris qu’il devait se sortir les doigts du cul et s’imposer, balance son recruteur à Lens, André Charlet, 73 balais et pas sa langue dans la poche. Là, il est vraiment sorti de sa boîte. » Fais pas ton timide Une boîte dans laquelle il aurait pu rester s’il ne s’était pas délesté de sa timidité. Au gré des échanges, le personnage de David Pereira da Costa ne peut éviter les qualificatifs de « taiseux », « discret » ou « réservé ». C’est simple, pour Thomas Heuls, son équipier pendant six années chez les Sang et Or, aujourd’hui à Arras (R1), « en dehors du terrain, c’était le plus timide ». Débarqué du Portugal à 9 ans pour rejoindre son père maçon dans le Nord, DPDC « ne parlait pas totalement la langue au début », se cantonnait au rôle de « gamin calme avec un côté un peu foufou », tout de même capable d’amuser la galerie lorsqu’il est en confiance. Lors de son passage à Lestrem (2011-2012), avant sa bascule au Racing Club de Lens, son éducateur Jérémy Carpentier raconte un « jeune qui parlait très lentement pour se faire comprendre. Administrativement, ce n’était pas simple non plus, nous avions aidé ses parents pour qu’il puisse obtenir sa licence. Et entre deux matchs durant les tournois, David était souvent à l’écart des autres ». À l’image de sa famille, le môme est gavé « d’humilité », abonde André Charlet. « Ses parents ne sont pas des gens qui ramènent leur fraise, et c’est rare dans ce milieu. David a un véritable entourage familial qui l’aide à avancer et ne pas faire n’importe quoi. » « Un contexte favorable, ouvrier, où l’on est épaulé », prolonge Pascal Leprovost, son coach en U14. Mais l’humilité, aussi louable soit-elle, ne peut entièrement façonner un joueur. Dixit son recruteur au Racing, « cette humilité peut être un défaut sur le terrain. Franck (Haise, NDLR) sait que David est un phénomène sur le plan du talent, mais au départ, il manquait un peu de personnalité sur la pelouse ». Benjamin Balla, son premier éducateur en France Un gazon où « il s’exprimait pleinement », selon Jérémy Carpentier, l’un de ceux à avoir pris une claque en le découvrant. « En début de saison, on faisait des tests. Là où des gamins de 10-11 ans faisaient quelques jongles, lui n’arrêtait pas. À un moment donné, j’ai arrêté de compter. » Comme Benjamin Balla, son premier éducateur en France. À la fin des années 2000, exit les bords du Tage pour la fratrie Pereira da Costa, composée de six enfants. Le petit David pose ses valises à Houplines, à 20 bornes de Lille et surtout à « 50 mètres du stade », calcule l’entraîneur. « Je l’ai vu arriver avec son ballon à la main. Il nous manquait un joueur à l’entraînement, et je lui ai proposé de jouer. » Encore marqué, Benjamin Balla jure avoir été « choqué » par l’habileté de sa nouvelle pépite : « Il a mis le bordel à des joueurs qui avaient trois ans de plus que lui. Il était tout petit, très fin, mais il pouvait dribbler tout le monde. » Le début de l’histoire pour le passionné de Benfica et ses aînés, Samuel et Oswaldo, qui rejoignent aussi le club local. « Lors des tournois, des éducateurs d’autres équipes venaient me voir en me disant que la présence de David n’était pas normale, rejoue son éducateur. Je devais montrer sa licence pour prouver qu’il n’était pas plus âgé que les autres. Il était au-dessus techniquement. » Avec Houplines, son premier club en France. Petit Prince et grand monde Les recruteurs du LOSC viennent rapidement rôder dans le secteur. « Au moins quatre fois, d’après Balla, mais ils disaient que David était trop altruiste, qu’il ne marquait pas assez. » Idem à Lestrem où la taille de Pereira da Costa (1,68 m aujourd’hui) jure avec les besoins lillois. Jérémy Carpentier confirme : « Le LOSC le trouvait trop petit. D’autres clubs du secteur comme Hazebrouck ou Béthune s’intéressaient aussi à David, mais il devait aller se confronter à des joueurs de son niveau, plus haut. Le RC Lens a su faire ce qu’il fallait. » Et André Charlet le premier, frappé par « la technique et la vitesse de la technique. Ce qu’on le voit faire aujourd’hui en Ligue des champions, il le faisait quand il avait 11 ans. Dès qu’il a un peu d’espace, quelques mètres, ses qualités s’expriment. Avec son petit gabarit, s’il est très serré au marquage, c’est compliqué. Mais il a un sens du jeu hors du commun. » Le Racing est séduit et donne au gamin de 12 ans pour seul privilège deux entraînements par semaine au lieu de trois en raison des contraintes familiales pour le conduire à la Gaillette, le centre d’entraînement lensois. Pascal Leprovost Là encore, le chemin n’est pas linéaire. Champion du monde des U13 à la Danone Cup face au Brésil à Wembley – « quand Zizou me touche la tête (après la victoire), je me dis que je ne vais plus me laver la tête  », se marrait récemment Pereira da Costa –, le milieu de terrain n’est pas encore « le Petit Prince de la Gaillette » comme le clame à chaque match le speaker de Bollaert. « Il ne l’a d’ailleurs jamais été, remballe Pascal Leprovost. David n’a pas été couvé et il n’était pas au-dessus du lot comme a pu l’être Gaël Kakuta. » À l’arrivée à l’internat, en U14, des larmes coulent. Éloignement familial, bascule dans le grand monde, rien n’est aisé. « Il savait l’exigence que j’avais avec lui, on le mettait au pied du mur pour le faire progresser », explique Leprovost. Son ex-coéquipier Alexandre Nutte, aujourd’hui en R3 à Desvres (Pas-de-Calais), rappelle « Jonathan Varane (frère de) et Adam Oudjani, deux gros noms de sa génération qui avaient un énorme potentiel. En face, David partait de rien, même s’il faisait partie des favoris pour être pro un jour. » Le long de la main courante, André Charlet entend régulièrement les sceptiques dire « un coup d’épaule et il vole » au sujet du Portugais, mais Leprovost balaye les critiques : « Son gabarit ne me posait pas de problème, que ce soit sur un côté ou derrière l’attaquant ». Seulement, « il était au service de l’équipe avec un vrai état d’esprit », mais sans « prendre des responsabilités, sans oser. Il avait un temps d’avance techniquement, mais il devait être plus combattant, plus agressif ». André Charlet accourt, « s’il ne devenait pas plus méchant, il allait se faire exploser ». Contrôle de régularité, s’il vous plaît Le Lusitanien franchit les étapes step by step « en comprenant que s’il n’avait pas le jeu sans ballon, il jouerait au foot mais pas à un tel niveau », insiste Pascal Leprovost. « Chaque année, on lui disait de se surpasser. Des gens ne peuvent pas le faire, car il y a une limite. D’autres écoutent, et David a écouté. » En U17 et U19, ses entraîneurs lui filent le brassard de capitaine, histoire de lui élargir la carrure dans le vestiaire. Le premier contrat pro est paraphé en 2019 (seuls trois joueurs de sa génération signeront), mais l’écho de Pascal Leprovost rejoint celui de Franck Haise, son coach depuis la réserve. Au gré de ses apparitions à Bollaert, d’abord sous l’aile de Kakuta lors du retour en L1, puis en concurrence directe avec Adrien Thomasson et Angelo Fulgini, Pereira Da Costa convainc avant de peiner à enchaîner. En mai 2022, Haise y va franco : « Si un joueur fait six, sept matchs positifs, mais après le cinquième ou le sixième commence à en faire moins à l’entraînement, à la salle et dans l’investissement général, mon rôle, et celui du staff, est de dire attention. Sept matchs, c’est pas une carrière. Quand on a des qualités comme celles de David, tu peux faire 400 matchs au très haut niveau. Et c’est ça qu’il doit aller chercher. » Bis repetita en mars 2023 : « David a de très bonnes statistiques pour faire rentrer le ballon dans les 30 derniers mètres et dans la surface, mais sur toutes les autres statistiques, il a du retard. On n’est pas en U17, mais dans le haut niveau de la Ligue 1. La concurrence doit amener les très bons joueurs à se surpasser. » David Pereira da Costa et Gaël Kakuta, lignée royale de la formation lensoise. Message enfin reçu depuis décembre dernier, après deux années à n’être titulaire qu’à mi-temps. Mieux, les épaules de l’international espoirs portugais, qui l’envoyaient régulièrement à l’infirmerie, le laissent désormais tranquille. Mais Franck Haise, il y a quelques semaines, savait qu’il ne lâcherait pas de sitôt celui prolongé jusqu’en 2026. « Il doit faire plus, faire mieux. Cela passe par une totale prise de conscience. Il est sur ce chemin-là, qui doit être durable. Ce n’est pas l’histoire de quinze jours, de trois semaines, mais de dix ans. » Chef cuistot, entraîneur personnel pour les trêves, Pereira da Costa soigne désormais le labeur de l’ombre. Et ose prendre le chemin du but. « Franck Haise lui a remis les idées en place en lui disant de ne pas griller une telle chance, observe Thomas Heuls. Finalement, son parcours est exceptionnel. » Parmi ses anciens entraîneurs, certains lui tracent un destin à la Benjamin Bourigeaud, lui aussi pur produit artésien. « Il doit marcher dans les traces de ce joueur, remarque Pascal Leprovost. C’est un exemple qui a su devenir indiscutable à Rennes. David doit déjà faire une saison complète comme il joue actuellement. Et avec Haise, il a tout pour avancer et s’inscrire dans une longue carrière pro. » Et bientôt à un niveau supérieur ? « J’espère que des gens ne vont pas lui mettre le grappin dessus, achève André Charlet, même si j’ai confiance en ses parents. Il ne faudrait pas lui faire miroiter le PSG, Manchester City, le Real Madrid. Aujourd’hui, ça le dépasserait. Il doit avant tout confirmer avec Lens. » Le Petit Prince, qui veut « tout donner pour ce club » dont il a l’ADN, doit d’abord devenir roi en sa demeure. Source: SoFoot

C est clair mais ne faisons pas la fine bouche tant mieux pour nous

STATS Performances athlétiques : Lens fait la différence Publié le 26/03 à 12:30 - VL Distance parcourue, sprints… Quels joueurs sortent du lot après 26 journées ? Quel classement pour les 18 clubs de Ligue 1 Uber Eats ? Réponses en chiffres. Alors que le sprint final va démarrer en Ligue 1 Uber Eats, la trêve internationale de mars offre l’opportunité de faire un point sur les différentes performances athlétiques de la saison. Petit tour d’horizon après 26 journées. Un RC Lens dominant Le RC Lens sort du lot. Depuis le début de cet exercice 2023/24, les hommes de Franck Haise ont fait leur preuve dans le domaine athlétique, avec beaucoup de courses et une intensité élevée. Il n’est donc pas surprenant de les retrouver en tête dans deux catégories physiques. Le club sang et or est ainsi l’équipe qui court le plus en Ligue 1 Uber Eats cette saison, avec 121,3 km parcourus par match en moyenne, mais aussi celle qui règne sur le nombre de sprints effectués par rencontre (172 sprints par match). Ces qualités seront un atout supplémentaire pour les Artésiens dans la course à l’Europe, alors qu’ils occupent actuellement la sixième place à cinq points du deuxième. Engagé dans une difficile course au maintien, étant actuellement lanterne rouge, le Clermont Foot63 ne ménage pourtant pas ses efforts. La formation auvergnate est la deuxième équipe de Ligue 1 Uber Eats à parcourir le plus de distance par match cette saison et talonne le RCL avec ses 121,1 km avalés par partie. Le FC Lorient (120,8 km), autre mal-classé, prend la troisième place. Respectivement cinquième et quatrième de la catégorie, le Stade Rennais et le Stade de Reims ont su signer une performance de choix en étant les deux seules équipes à dépasser la barre des 130 km parcourus sur un match cette saison. Les Rennais détiennent le record du championnat en 2023/24 avec 130,9 km couverts face au PSG lors de la 8e journée. Les Rémois ne sont pas loin avec 130,3 km parcourus face au LOSC à l’occasion de la 6e journée. Actuel leader de Ligue 1 Uber Eats, le PSG confisque le ballon depuis l’arrivée de Luis Enrique sur son banc. Avec 65,65% de possession de balle en moyenne, les Parisiens arrivent loin devant la concurrence dans ce domaine, le LOSC prenant la deuxième place avec 57,25%. Ce jeu de possession explique en partie la position du club de la capitale sur la distance. Tout comme le Stade Brestois 29, les Rouge et Bleu font partie des clubs qui ont couvert le moins de kilomètres cette saison, avec 116,2 km parcourus en moyenne par match. Monaco et Rennes sur le podium du sprint Concernant les sprints, la domination du RC Lens est encore plus nette. Le RCL est la seule équipe de Ligue 1 Uber Eats à faire plus de 170 courses de ce type en moyenne par rencontre. L’AS Monaco d’Adi Hütter, entraîneur adepte d’intensité et de verticalité, se classe deuxième de la catégorie avec 166 sprints par match, juste devant le Stade Rennais et le RC Strasbourg Alsace (164). En bas de classement sur la distance, le PSG se rattrape sur les courses à haute intensité. L’actuel leader du championnat prend la sixième place au rayon des sprints (159 par match), juste derrière l’OM (160). Concernant le record de la saison sur un match, il appartient au RC Lens, avec 220 sprints enclenchés à Nantes lors de la 20e journée. Le Stade Rennais arrive non loin derrière avec 216 sprints signés dans le même match que celui de son record de kilomètres parcourus, face au PSG lors de la 8e journée. Johan Gastien en route vers le triplé ? Double tenant du titre de la catégorie, Johan Gastien est une nouvelle fois au sommet du classement des joueurs qui parcourent le plus de kilomètres par match cette saison. A 36 ans, l’infatigable milieu du Clermont Foot 63 n’a rien perdu de son incroyable endurance puisqu’il fait pour le moment mieux que la saison dernière avec ses 12 km couverts par match (11,87 en 2022/23). Mais l’Auvergnat va devoir se méfier de Laurent Abergel. Le milieu de terrain du FC Lorient partage la première place avec le Clermontois, après 26 journées. Ruben Aguilar, troisième du classement et premier défenseur, est dans la roue des deux hommes, lui qui ne ménage pas ses efforts sur le côté droit de l’équipe du RC Lens. Avec 11,9 km avalés par rencontre, il peut également viser la première place. Si l’on se penche sur la distance parcourue par 90 minutes, on s’aperçoit que c’est encore un Clermontois qui est à la fête. Avec 13,9 km couverts par 90 minutes, Yohann Magnin devance le Lensois Adrien Thomasson (13,8), le Niçois Hicham Boudaoui (13,4) et… Johan Gastien (13,4 également). Habib Keita offre au CF63 un troisième joueur dans le Top 10, avec 13,1 km parcourus par 90 minutes. Emanuel Emegha, l’infatigable sprinteur Très mobile sur le front de l’attaque strasbourgeoise, Emanuel Emegha propose beaucoup de solutions à ses partenaires. L’international U21 néerlandais est le joueur qui réalise le plus de sprints par match depuis le début du championnat (26,3). Le numéro 10 du RC Strasbourg Alsace détient le record du nombre de sprints effectués sur un match cette saison (43 face au HAC lors de la J15) et également la deuxième meilleure marque (39 sprints face au SdR lors de la J14). Seuls Adrien Truffert et Ruben Aguilar s’approchent des performances de l’attaquant, avec chacun une pointe à 38 sprints sur un match. Le piston droit du RC Lens, déjà bien placé sur la distance, brille également dans la répétition des efforts violents. Il se classe deuxième derrière Emegha sur la moyenne de sprints par match (25,7). Achraf Hakimi, autre latéral droit, complète le podium. L’international marocain du PSG effectue 22,9 sprints par match en moyenne cette saison. Source : site ligue1.fr

Ca pue pour Nantes pour le maintien ...

Frankie contre la France a l euro

Mais qu'est ce qu ils sont stupides de siffler les parisiens ... Mais quel public de.m****

Clauss blessé 😔 Dommage il avait une grosse carte à jouer ce soir

But de Diouf !

Andy Diouf titulaire avec les Olympiques

Ça sera Delajod

Dans l'article de l équipe (pas pratique a partager sur le téléphone, ça ne.selectionne pas tout. ..) 17 des 18 présidents de L1 - Marc Keller pour Strasbourg n'a pas voté puisqu'il était au comité exécutif de la FFF au même moment J'ai gagné

Carrément Le seul problème de l ancienne règle (a mes yeux) était qu elle continuait à s'appliquer pendant la prolongation, donnant un net avantage a l équipe visiteuse, car si elle marquait, l équipe receveuse devait marquer 2 fois pour se qualifier et pas juste égaliser sur l ensemble des 2 matchs pour aller aux TAB.

Pas sûr que ce soit Paris, je vois bien Strasbourg s'abstenir vu la position de Keller a la 3F (membre (ou ex membre) du ComEx

Leca titulaire lors du derby !!