daykatana

ah ah ah ah, Seko qui joue à Football Manager !!!

j ai pas vu chef je regardais le match de loin (il etait sur l'écran de gauche du PC) Pis sur le coup, j ai cru que bosetti avait frappé à coté :)

Facundo Medina, défenseur argentin de Lens : « Le foot m'a sauvé » Le défenseur argentin du RC Lens raconte son enfance difficile à Villa Fiorito, le quartier de Diego Maradona, en banlieue de Buenos Aires. Où il a connu la faim et les tentations. Facundo Medina, défenseur du RC Lens, posant à Avion (Pas-de-Calais), lundi 30 janvier. (B. Papon/L'Équipe) Romain Lafont, à Avion (Pas-de-Calais)mis à jour le 4 février 2023 à 18h05 ma liste commenter réagir partager Il maîtrise plutôt bien le français mais Facundo Medina, 23 ans, est surtout un expert dans le maniement des gros mots dans la langue de Molière. Arrivé à Lens en 2020 en provenance du Talleres de Cordoba, le défenseur argentin semble s'être parfaitement adapté à sa nouvelle vie. Sur le terrain, il est un titulaire indiscutable de la défense la plus imperméable de L1 et figurait même en novembre dans une préliste de 32 joueurs de l'Albiceleste susceptibles d'aller au Qatar. Celui qui vient de prolonger dans l'Artois jusqu'en 2026 est aussi l'un des DJ du vestiaire, avec Brice Samba. C'est peu dire que le joueur formé à River Plate a l'art de prendre la vie du bon côté. Sans doute parce que la sienne a commencé du mauvais. Pendant quarante-cinq minutes, il s'est livré, cette fois en espagnol, sur cette enfance qui a forgé son caractère. « Parlez-nous de vos tatouages, qui semblent raconter une histoire... J'en ai un de Carlos Gardel (figure du tango du XXe siècle) sur le mollet. Je dois le continuer. Ici va venir Che Guevara (il montre une autre partie de mollet) et ici Maradona (sur sa cuisse). Pour Maradona, c'est par rapport à l'endroit d'où je viens (le quartier de Villa Fiorito). Gardel, mon grand-père l'adorait. Il m'emmenait au cimetière de la Chacarita, où il y a sa statue (devant son tombeau). Il aimait venir lui rendre hommage. Ça me permet aussi un peu de me rappeler de lui, des valeurs qu'il m'a transmises. Le vestiaire célèbre la prolongation de Medina jusqu'en 2026 Quelles sont ces valeurs ? Le respect, le travail, l'effort, l'éducation. C'est grâce à ces valeurs, et grâce à ma mère, qui m'a appris la vie, que je suis devenu ce que je suis aujourd'hui : quelqu'un qui respecte tout le monde, quel qu'il soit. C'est primordial. Le respect, l'humilité, le sens du sacrifice et le travail influent beaucoup dans ce sport. Et au-delà des titres, de la célébrité, ce que j'aimerais, plus que tout, c'est être une bonne personne. « Si aujourd'hui tu m'offres un alfajor, je suis l'homme le plus heureux du monde. Parce que je mesure ton effort, ton temps » Comment s'est déroulée votre enfance ? J'ai eu une enfance de fou. Ça a été un peu difficile mais j'ai toujours essayé de ressortir les choses positives et j'ai toujours senti le soutien de ma famille. Gamin, je ne comprenais pas ce qu'était le monde. Et à mesure que l'on grandit, on regarde et on commence à se poser des questions. Pourquoi dois-je passer par ce dénuement ? Pourquoi dois-je avoir faim ? Pourquoi je dois sortir travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour avoir à manger, même pas pour avoir des choses dont j'ai envie ? Ma famille a su me protéger, on a lutté, on s'est bagarré. Et un jour, quand tu as enfin un peu plus, ça te permet de donner beaucoup plus de valeur à des choses simples, comme un plat de nourriture. Si aujourd'hui tu m'offres un alfajor(biscuit rond souvent fourré à la confiture de lait), je suis l'homme le plus heureux du monde. Parce que je mesure ton effort, ton temps. Les gens pourraient dire : "C'est un simple alfajor", mais ça dit quelque chose de la personne que tu es. Facundo Medina s'est fait tatouer le visage de la figure du Tango Carlos Gardel sur le mollet gauche. (S. Boué/L'Équipe) C'est un miracle, votre parcours ? Non, ce sont des décisions. La vie est faite de moments où tu dois être conscient de ce que tu veux réellement, aussi bien pour toi que pour ceux que tu aimes. Dans mon cas, ma mère, qui était une battante, une guerrière, qui a toujours tout donné, laissé de côté tout ce qu'elle aimait faire pour me donner le meilleur. C'est quelque chose qu'il faut apprécier. Je ne voulais pas tomber dans la drogue, je ne voulais pas me perdre dans la nuit, je savais très bien où il fallait que je concentre mes efforts, mon énergie, ma jeunesse : avec le ballon. Parfois, avec ma mère, nous nous asseyons à discuter de ces choses-là. Et elle se sent mal, se met à pleurer. Et moi aussi, il y a certaines nuits où je me mets à pleurer. Mais de joie, dans le sens où, grâce à Dieu, je ne passe plus par ce genre de moments. Ça me permet d'apprécier ce plat que je suis en train de manger, le fait que mes frères puissent étudier. Quand je vivais seul avec ma maman, nous sommes passés par des choses que d'autres ne vivront jamais, mais que je vais garder pour moi. Beaucoup de mes amis ont mal fini, peu s'en sont sortis. « Parfois, la rue est bonne mais en même temps dangereuse car il y a les tentations... J'ai été très intelligent dans le sens où je ne me suis jamais mis dans les mauvaises choses » Vous avez, dans votre enfance, été "cartonero", un "travail" apparu après la crise argentine de 2001. C'est, en gros, recycler les ordures, pour l'expliquer simplement. On les récupérait et on les revendait pour avoir quelque chose à manger. J'étais tout petit, entre 7 et 10 ans. On marchait dans les rues de la capitale, dans un secteur de quelques pâtés de maisons. Les gardiens d'immeuble nous connaissaient, les mecs de la sécurité aussi. On sortait de la maison à 16 h 30-17 heures et on rentrait vers minuit. Et le lendemain matin, on se levait tôt pour recycler dans le patio de la maison et aller le midi vendre et avoir de quoi manger. Et ainsi de suite, tous les jours. C'était dur, il y a des gens qui continuent de le faire... La vie, c'est une lutte permanente. Parfois d'ailleurs, les gens ne racontent pas ce genre de choses car ils ont un peu honte. Moi, je le dis avec une totale simplicité, avec fierté même parce que ces choses que j'ai vécues me permettent d'apprécier beaucoup plus les petites choses de la vie. 5,79 La note moyenne de Facundo Medina, cette saison, dans les colonnes de L'Équipe : la 19e meilleure pour un joueur de champ, avant le début de la 22e journée. À 11 ans, vous vous retrouvez à River Plate. Le changement de vie est brutal. River a su m'offrir un refuge. Ils ont vu des choses en moi que je n'avais jamais imaginées. J'étais alors quelqu'un d'un peu fou, j'avais beaucoup traîné dans la rue. Parfois, la rue est bonne mais en même temps dangereuse car il y a les tentations... J'ai été très intelligent dans le sens où je ne me suis jamais mis dans les mauvaises choses. À River, j'ai commencé à connaître ce qu'était tout simplement le fait de vivre au centre. On faisait quatre repas par jour, petit-déjeuner, déjeuner, collation, dîner... Chez moi, je faisais juste le dîner... Rien de plus, peut-être un thé le matin... On vit et on s'adapte. C'est à River que j'ai commencé à être un peu plus ordonné, à faire attention à mes affaires, à l'hygiène, à essayer de communiquer avec des gens que je ne connaissais pas... J'ai appris à me libérer, à ne pas être une personne timide qui ne sache pas tenir une conversation. Et j'ai pu me consacrer à 100 % au foot. Ça vous a donné de la tranquillité ? De la tranquillité, non. Car quand je rentrais le week-end à la maison pour passer du temps avec ma famille, je voyais la réalité. Quelle différence ! On commence à se dire, mais pourquoi je dois en passer par là ? Pourquoi je ne peux pas avoir ça, pourquoi je n'ai pas pu manger quelque chose ? Pourquoi je ne peux pas faire un cadeau... Je me suis battu, battu, battu. J'ai travaillé, travaillé. Mes proches m'ont accompagné. J'ai fait des erreurs, comme tout le monde. Et je me suis consacré au foot et grâce à Dieu, le football m'a beaucoup donné, le football m'a sauvé. » Source : l'Equipe.fr

Pas top, top. Pas beaucoup de ballons. De ce que j'ai vu, il avait l'air d'être en pointe. Par contre, super but de Cafaro pour Saint E

Je viens de voir ton post. moi je suis là-dessus https://mamahd.best/ match St E - annecy : STE-FCA

Faut pas oublier qu'on mène 3-0 très tranquillement et qu'on se relâche après le 3è but et on se fait punir de suite. Avant ça, Brest touche pas un ballon si je me souviens bien. Donc quand on prend le score brut, 3-2, c est pas une rouste je suis d'accord. Sur le contenu du match, c'est tout de suite moins évident.

Il me semble que c est ni l un ni l autre sauf exception ci dessous

Gros turnover pour une fois !

La FFL en PLS avec Angers qui mène ...

Au moins, Annecy est pas dépaysé non plus

Merci @Amaury, j'essaye de suivre Annecy quand je suis dispo. Il a quand même pas beaucoup joué au début (rapidement blessé à la cuisse en plus). Ses débuts sur le terrain ont été plutôt timides voire laborieux. Son but face à Sochaux en sortie de banc lui a fait du bien je pense. La, sur les derniers matchs, il a fait de très bonnes choses. Comme tu le dis, il a encore du travail mais sa polyvalence est un atout. Par contre, en milieu offensif, je suis pas sûr de ce que cela pourrait donner, je le trouve un peu fruste avec le ballon mais ca peut etre mon erreur bien sûr. Je pense pas qu'il ait, pour l'instant, la capacité de faire les passes clés que sont capables de faire nos MO actuels. A suivre donc (bon, à l'occase, faudra que j'aille au stade quand meme).

Pas abonné mais petite extension chrome (ceux qui veulent des infos, me contacter en MP) pour lire les articles payants Stade, ambiance, style de jeu… Le RC Lens, la plus anglaise des équipes de Ligue 1 Invincible à domicile cette saison avec un bilan de dix victoires en autant de rencontres, le RC Lens reçoit Nice ce mercredi (21 heures). Le dauphin du PSG cultive des spécificités qui rappellent celles de nos voisins d’Outre-Manche. L'architecture du stade Bollaert-Delelis et la ferveur de ses supporters donnent un air de Premier League au RC Lens. Icon Sport/Christophe Saidi 0 Par Arnaud Detout Le 1 février 2023 à 12h00 Sa situation géographique en fait le club de L1 le plus proche de l’Angleterre. Depuis Lens, on parcourt en effet 6 km de moins en voiture que depuis Lille pour se rendre Outre-Manche. Mais, le RC Lens, dauphin du PSG à trois longueurs, est surtout le club le plus british de notre championnat pour de nombreuses raisons. Explications. Un stade qui vibre comme à Leeds et Liverpool Rénové pour l’Euro 2016 lors duquel il a accueilli 4 rencontres, le stade Bollaert-Delelis de Lens est reconnaissable par son architecture anglaise avec 4 tribunes totalement indépendantes, rectangulaires et proches de la pelouse. Cette enceinte anguleuse, qui peut contenir 38 200 spectateurs, contraste avec la forme arrondie de plusieurs stades de l’Hexagone comme le Stade de France (Saint-Denis), le stade Vélodrome (Marseille) ou encore le Stadium de Toulouse. « Benoît Delaval, notre nouveau directeur de la performance, me racontait qu’on se rapproche beaucoup de Leeds et de son stade, Elland Road. C’est une ville ouvrière du Nord de l’Angleterre avec un stade au cœur de la ville qui fait office de centralité, un phénomène très courant en Angleterre », déclare Arnaud Pouille, le directeur général du RC Lens. En 2018, les sièges du bas de tribune des deux virages ont été enlevés à la demande des supporters. « On a attendu d’avoir les autorisations des autorités pour faire les modifications dans le stade. Cela donne un côté festif, avoue Arnaud Pouille. On aimerait faire grandir la capacité, car on refuse du monde. Bollaert affiche complet depuis un long moment. » Le public est très familial, comme de l’autre côté de la Manche, avec notamment une tribune, Trannin, dédiée aux parents accompagnés de leurs jeunes enfants. À l’instar du Liverpool FC et de son chant mythique « You’ll Never Walk Alone » (« Tu ne marcheras jamais seul »), le club nordiste possède lui aussi son hymne. Ou plutôt ses deux hymnes. « La Lensoise » (sous l’air de « la Marseillaise ») avant la rencontre, et « les Corons » durant la pause. À lire aussi«Un groupe incroyable, sans clan», «le meilleur coach de L1» : dans les secrets du RC Lens, dauphin du PSG « Les supporters aiment ce moment de partage, ces chants parlent du club et de la région, indique Sylvano, le speaker du stade Bollaert depuis trois ans et ancien Ultra chez les Tigers. Comme en Angleterre, il existe une implication caritative du club dans sa région, à travers notamment le fonds de dotation Racing Cœur de Lens. Il y a aussi des ventes de maillots reversés à des associations. Les supporters ramènent également des jouets avant une distribution faite par les joueurs et les associations. » Un style de jeu « so british » Les observateurs reconnaissent que le RC Lens possède le jeu le plus abouti de la L1 cette saison. Physiquement au top, les Nordistes récupèrent de nombreux ballons avant d’aller de l’avant. C’est une équipe qui veut marquer et contrôler le match. Des caractéristiques qui rappellent les formations de Premier League. Newsletter PSG express Nos informations sur le club de la capitale S'inscrire à la newsletterToutes les newsletters « On essaie surtout de mettre de l’intensité au bon endroit et au bon moment. On est capable d’avoir un bloc haut qui presse et contre-presse et un bloc plus médian qui cherche à toujours défendre en avançant. On cherche les transitions rapides mais on a aussi travaillé sur les attaques placées, car on a la 3e possession de L1, explique Franck Haise, le technicien lensois. Nous enrichissons notre palette pour répondre à un maximum de situation qu’on rencontre. On aime le beau jeu tourné vers l’avant, mais quand on rencontre une équipe avec un bloc bas, on ne doit pas faire n’importe quoi. Il faut adopter un jeu de position et des mouvements coordonnés pour déséquilibrer l’adversaire. L’idée du spectacle que j’ai, c’est de gagner les matchs et marquer plus de buts que l’adversaire. » Les Lensois ont idéalement commencé l'année avec une victoire méritée sur le PSG le 1er janvier à Bollaert. FEP/Icon Sport/Philippe Lecoeur 2023 Icon Sport Le public apprécie ses joueurs généreux dans l’effort et le côté spectaculaire de son équipe qui se procure de nombreuses occasions à chaque rencontre. « Le contexte lensois aide car le public aide les joueurs à se surpasser régulièrement. C’est notre 12e homme », appuie Franck Haise. « Les supporters aiment se reconnaître dans les joueurs et leur implication, leur envie de bien faire et leur générosité, ajoute Sylvano. Il existe une bonne harmonie en tribune et sur le terrain. » Comme souvent en Angleterre, les équipes de jeunes adoptent le même schéma tactique que celui de l’équipe fanion. « On leur apprend tous les systèmes, mais à partir d’un certain âge, quand ils sont susceptibles d’intégrer le groupe pro pour les entraînements, on préfère qu’ils aient l’habitude donc l’équipe réserve et les U 19 jouent comme la L1 (en 3-4-3), précise Arnaud Pouille. Si on veut les intégrer, c’est bien qu’ils connaissent nos principes de jeu chez les pros. » Un manager à l’anglaise Dans la foulée du départ de son directeur sportif Florent Ghisolfi pour Nice en octobre dernier, le RC Lens a changé d’organisation. Franck Haise a été promu manager jusqu’en 2027, dans un rôle qui se rapproche de la fonction des techniciens en Premier League. Ses prérogatives ne s’arrêtent pas seulement à l’équipe fanion. « On voulait lui donner plus de transversalité dans le club, car à la base, c’est un formateur, explique Arnaud Pouille. On espère que cela va porter ses fruits à terme. Sa mission première reste l’équipe première, mais il met beaucoup de cœur à accueillir des familles, expliquer le parcours d’un gamin… Parfois, il y a des scissions dans les clubs entre la formation et les pros. Ici, on travaille tous ensemble. » Franck Haise, le manager du RC Lens, bénéficie de prérogatives élargies par rapport aux autres coachs de Ligue 1. Icon Sport/Franco Arland « Cela fait six ans que je suis arrivé à Lens. À mon poste d’entraîneur, j’appréciais déjà d’avoir une vision assez large avant cette proposition, confie Franck Haise. J’ai désormais un regard sur l’ensemble du domaine sportif, c’est-à-dire de l’école de foot à la préformation, formation, post-formation et féminine. Le recrutement de la formation et des pros également. Mais sur chaque pôle, il y a des managers, et c’est avec eux que j’ai des rendez-vous, pour les écouter et voir ce qu’on peut mettre en place pour améliorer les choses. Je suis consulté aussi sur la communication et le marketing. C’est intéressant et enrichissant. Même si je garde mes prérogatives, J’ai un staff auprès de moi très compétent. J’ai juste un peu moins de temps libre (sourire). »

But de Tom Ducrocq pour Bastia également

et son but à Monaco après 30 secondes de jeu

Et nouvelle passe D pour Ibra

Joli coup franc de Mauricio. Il en a pas tiré des comme ça chez nous

Je viens de la voir, effectivement y'a match ...

Comme dit Adjo, pas un scandale et plutôt logique d'ailleurs puisque si Danso ne fait pas faute, le troyen rentre dans la surface. Bon c 'est vrai qu'on a deja vu des arbitres faire preuve de diplomatie en considérant que c'est que la 5è minute. Mais is Turpin fait ça dans l'autre sens (pédagogie et pas de jaune), ça crie au scandale et au complot anti lensois ...

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Aucun-tir-cadre-lors-de-clermont-nantes-une-premiere-depuis-2006/1377589 Un match passionnant dites moi

Pour Angers maintenant, l'objectif est trouvé : marquer au maximum 8 points sur les 18 deniers matchs, comme ça ils récupèrent nôtre record de la saison 88-89 Allez le SCO, on y croit !!! ,💪

Excellent exemple de panic buy après la vente de Mendy a Chelsea ...

Et passe D pour Ibra !!

Va falloir faire rentrer Stannis alors 😁

Pis ça fait double camouflet pour les sardines. D'abord Moffi qui refuse pis Dieng qui se fait refouler. Ça m'aurait fait rire de voir comment ils auraient fait si Moffi avait accepté de signer et que Dieng se fasse refouler, pas sûr qu'ils auraient pu aligner les ronds pour Moffi

J ai quasi la même que toi avec Ito au milieu et Messi (a la place de Bellegarde et Moffi)