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La banque en ligne islandaise Icesave – filiale britannique de l'établissement islandais en difficulté Landsbanki – annonce le gel des comptes de ses clients.

Invité Mathdu59
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La banque en ligne islandaise Icesave – filiale britannique de l'établissement islandais en difficulté Landsbanki – annonce le gel des comptes de ses clients.

 

Ce qui veut dire que les clients ne peuvent plus toucher à leur argent?

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Ce qui veut dire que les clients ne peuvent plus toucher à leur argent?

 

Et oui :banana:

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Ce qui veut dire que les clients ne peuvent plus toucher à leur argent?

 

Voilà un résumé (en anglais, sorry ^^). Il va y avoir des poursuites côté anglais, mais on sait pas si ça va aboutir. De toute façon ceux qui avaient plus de 50 000£ perdront gros.

 

 

Customers of Icelandic web bank Icesave may have to claim their money back through compensation schemes after its parent company went bust. Icesave is owned by Landsbanki, Iceland's second-largest bank by value which has gone into receivership, forcing the country's government to part-nationalise it.

 

The Icelandic Financial Supervisory Authority has already led to the part-nationalisation of the country's number-three bank Glitnir amid new legislation to give the government sweeping powers over the banking sector.

 

A notice on the Icesave website said: "We are not currently processing any deposits or any withdrawal requests through our Icesave internet accounts.

 

"We apologise for any inconvenience this may cause our customers. We hope to provide you with more information shortly."

 

D'après le Times

 

The Treasury today guaranteed that no British customers of Icesave would lose their savings after the Icelandic online bank collapsed yesterday.

 

The Prime Minister issued a blanket guarantee that the 300,000 UK customers would get all their money back – and he threatened legal action against the Icelandic authorities to force it to honour its duty to compensate savers.

 

Treasury officials went further, making clear that it will ensure that Icesave customers recover all their cash, up to and above the £50,000 limit. It hopes to be able to clarify later how, and when, Icesave customers will get their money back.

 

Officials indicated that it is likely that savers will be able to make a single application to Britain's Financial Services Compensation Scheme for the return of all their money.

 

 

More than 300,000 British customers had around £4 billion deposited in Icesave accounts, with the average saver having about £15,000 with the bank. Some had much more than this, though. One saver, Peter Amodio, has told The Times that he had £180,000 on deposit with Icesave. Another saver had her £200,000 life savings there.

Invité Mathdu59
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J'espère que les guichetiers des autres banques sont efficaces car moi à la place des islandais, j'irais vider mon compte ^^

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Témoignages "Une révolution financière" pour les traders

LEMONDE.FR | 08.10.08 •

 

 

* Un moment historique, par Philippe Moustaki

 

Bien que les perspectives s'assombrissent pour nos métiers, on a l'impression de vivre de l'intérieur un moment historique. Tous les mécanismes classiques, les comportements "normaux" du marché sont chamboulés ; on ne peut plus se fier à aucun signe. Mais c'est parfois l'occasion de gagner de l'argent. Ce n'est pas parce que les Bourses plongent que tous les traders dans les banques perdent de l'argent. Certaines salles de marchés s'en sortent au contraire plutôt très bien en tirant partie de ces mouvements erratiques. Mais l'ambiance générale n'est pas au beau fixe, les médias amplifiant largement le climat presque de terreur qui s'installe jusque dans les salles de marché.

 

* Une révolution financière, par Franck Pradier

 

 

Trader depuis 2001, ces moments représentent pour moi un tournant de l'histoire au-delà de ces journées incertaines qui ont commencé dès décembre 2007 avec l'incroyable explosion des matières premières. Si le comportement des prix signifie souvent quelque chose, dans le court terme, on comprend que de nombreuses banques vont fusionner ou se faire racheter (Dexia, RBS, Natixis, Morgan Stanley, Bank of NY, Commerzbank, UBS... malgré le protectionnisme économique européen), se lançant dans des programmes de licenciements d'envergure et de redéfinition de leurs activités. L'économie réelle et industrielle va alors subir de pleins fouet ce premier choc (chômage de 8 % aux Etats-Unis, 9 % au Royaume-Uni, 11 % en France dans les deux ans) puis un second choc lié à la résurgence des cours des matières premières.

 

Dans ce contexte, on comprend toute la pertinence de l'analyse économique de Jim Rogers dans "Hot Commodities" ou il entrevoit le passage entre une domination américaine à la chinoise dans les dix prochaines années. Si les cinq derniers débuts de siècles ont connu une guerre de grande importance pour redistribuer les cartes politiques et économiques, notre siècle sera-t-il épargné ? Pour les financiers, la donne va changer : des bonus nettement moins appétissants et maintenant en actions, moins de postes, moins de fun. Cela va favoriser l'entreprenariat.

 

* Passionnant, par Christophe Ange

 

Nous, traders, nous sommes au summum de l'adrénaline, ce qui est notre moteur. Ce qui est nouveau, c'est que toutes les règles volent en éclat : il faut revoir toutes nos stratégies. Hier, deux résistances majeures ont volé en éclat, mettant à mal de nombreuses stratégies boursières. Bien entendu, tout cela est perturbant : nous ne faisons plus notre métier tranquillement, mais ceux – dont je faisais partie – qui riaient d'une défaillance complète de notre système ne rient plus : cela devient plus que possible ; voire probable. Est-ce une catastrophe ? Oui sans doute pour mon métier, mais cela est terriblement sain, tant nous vivons dans nos salles des marchés des situations complètement déconnectées d'une réalité de plus en plus pesante.

 

Le monde ira-t-il mieux après ? Je ne peux que l'espérer, même s'il va sans doute me falloir chercher un autre job. Je suis désolé pour ceux pour qui les écrans sont la seules perspectives, mais en tant que joueur, je trouve cela intéressant que les règles soient ainsi remises sur le tapis. Cependant, avant de s'en prendre aux traders, il faut voir que le système global était contraignant. Il était impossible, sans perdre son job, de garder une quelconque éthique et de garder un quelconque sens des réalités. Je ne dis pas cela pour m'exonérer, mais plus pour renvoyer les responsabilités à ceux qui les ont réellement, les hommes politiques en premier. Relisez le programme électoral de notre président, il voulait faire comme les Etats Unis. Je me suis acheté un manuel de jardinage, cela peut servir...

 

* Témoignage, par Samuel Gaston

 

L'impression générale est que nous sommes entrés dans un grand chaos, une sorte de fin d'époque et que plus rien ne sera jamais comme avant. Les bureaux se vident, les visages sont livides et prennent des rides. Toute action est un bide. La grande machine à faire de l'argent s'est grippée. Les modèles ne marchent plus, chaque semaine de nouvelles pertes sont découvertes plombant chaque fois un peu plus les banques survivantes...

 

* Plutot confortablement, par Fte

 

Je suis trader independant et ce que l'on appelle un "scalpeur". En gros, je joue sur la volatilité des marchés et sur des micro-mouvements. Donc la journée de lundi, comme un grand nombre des dernières journées, a été très fructueuse. Surtout que les produits financiers sur lesquels je travaille autorisent autant les ventes que les achats. Cette crise est donc pour moi plutôt une excellente opportunité mais je sais que je représente une petite minorité. Beaucoup d'amis, restés en salle dans les banques, souffrent pas mal – surtout du manque de liquidité des marchés interbancaires mais également du manque de visibilité sur l'avenir de leur maison. D'ailleurs beaucoup ont déjà commencé a refaire leur CV...

 

* Prédictibilité relativement préservée dans ce marché chaotique, par Simplet

 

La première remarque serait que les marchés surprennent par la violence de leurs mouvements et sont donc éreintants. La volatilité impose de passer à des échelles de temps très rapides en marge, voire au dehors de la "zone de confort" à laquelle on est habitués. En revanche, il n'y a pas de réelle surprise sur la direction de ces mouvements. Les outils d'analyses mathématiques fonctionnent donc toujours aussi bien. On ressent toutefois le besoin impérieux de confirmer tous les indicateurs sur toutes les échelles de temps, ce qui est très particulier à cette crise, mais une fois encore, à laquelle nous nous sommes pour la plupart adaptés depuis un an déjà.

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15 h 10 : Pour François Fillon, "la crise aura des conséquences sur l'activité, l'emploi et sur le pouvoir d'achat des Français".

 

Sans déc' ^^

 

Sans lien avec la citation précédente :

 

Le Fonds de garantie suffirait-il à indemniser les épargnants français ?

Le FGD ne dispose que de 1,8 milliard d'euros. Il est efficace en cas de faillite d'une banque, certainement pas face à la faillite simultanée de plusieures grosses banques... Dans un tel scénario catastrophe, il ne pourrait garantir les 70 000 euros sans l'aide massive de l'Etat. Il faut savoir que le total des dépôts en France est de 1 650 milliards d'euros…

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Nouvelle débâcle pour la Bourse de Paris

Le Palais Brongniart, place de la Bourse à Paris

© AFP/Archives Jean-Pierre Muller

 

La Bourse de Paris a de nouveau clôturé en très forte baisse mercredi, l'indice CAC 40 lâchant 6,31% au terme d'une séance mouvementée, dans un marché toujours affolé par la crise financière malgré les baisses de taux de sept grandes banques centrales.

 

A l'heure de la clôture, l'indice affichait une perte de 6,39% avant de se stabliser à -6,31%. L'indice parisien a donc abandonné 235,33 points à 3.496,89 points, après avoir dégringolé de plus de 8% en cours de matinée, touchant un plus bas depuis décembre 2003.

 

Affolés par les développement de la crise financière et de ses répercussions sur l'économie, les investisseurs n'ont pas été rassurés par l'annonce de baisses de taux par sept grandes banques centrales, dont la BCE et la Fed.

 

:wacko:

Invité Mathdu59
Posté(e) (modifié)

Et ça continue, encore et encore...

 

Apr?šs les pertes record enregistrées d'abord à Wall Street jeudi soir, puis en Asie pendant la nuit, les Bourses européennes se sont effondrées d?šs l'ouverture, vendredi 10 octobre.

 

A Paris, le CAC 40 s'est enfoncé tr?šs rapidement, ouvrant à - 6,36 % puis tombant à - 7 %, - 8 %, puis - 9,77 % en moins de dix minutes. Francfort et Londres connaissaient des chutes similaires. Le DAX ouvrait à - 5,99 % et plongeait au-delà des 10 %, quand Londres qui avait débuté presque à l'équilibre à 0,06 %, tombait à - 10,20 %, sous les 4 000 points, pour la premi?šre fois depuis 2002. Il est d'usage de parler de krach lorsqu'un indice baisse de plus de 10 %.

 

10 h 02 : La livre sterling tombe a 1,6792 dollar, un plus bas depuis 2003.

 

 

9 h 56 : La cotation est suspendue jusqu'? au moins midi ? la Bourse de Vienne car plusieurs valeurs chutaient de plus de 10 % ? l'ouverture.

 

9h 42 : Les transactions ? la Bourse de Bangkok sont suspendues apr?s une chute de l'index composite de plus de 10 %.

 

9 h 30 : La Bourse de Shangha? ferme en baisse de 3,59 %.

 

9 h 29 : La Banque centrale europ?enne annonce une nouvelle offre de liquidit?s d'un montant de 100 milliards de dollars, d'une maturit? de quatre jours. Le r?sultat de l'offre sera connu dans la matin?e.

 

9 h 23 : La Bourse de Milan plonge ? - 9,09 %.

 

9 h 15 : Londres perd 8,11 %, Paris 8,21 %, Francfort 8,23 %. Les autres places du continents perdent en moyenne de 4 ? 8 % ? la m?me heure (Bruxelles - 6,49 %, Helsinki - 6,99 %, Madrid - 6,71 %, Milan - 4,63 %...). L'indice Eurostoxx 50 est en recul de 7,75 %.

 

9 h 10 : Les Bourses europ?ennes s'?croulent. Paris perd 9,77 %, Londres 10 % et Francfort 10 %.

 

9 h 02 : La Bourse de Paris ouvre en nette baisse de 6,36 %. Francfort plonge ?galement de 5,99 %, Madrid 6,30 %. Seul Londres reste stable ? - 0,06 %.

 

8 h 02 : Les deux Bourses de Moscou annoncent qu'elles resteront ferm?es vendredi.

8 h 01 : A Tokyo, l'indice Nikkei termine en tr?s forte baisse, ? - 9,62 %, perte record en pourcentage depuis le krach boursier d'octobre 1987 (- 14,9 %). Il s'agit de la troisi?me plus grosse chute de toute l'histoire du Nikkei, cr?? en 1950.

 

7 h 23 : La Bourse de Sydney cl?ture sur une chute de 8,3 %, ? son plus bas niveau en cinq ans.

 

7 h 20 : La banque centrale indienne annonce l'injection de 400 milliards de roupies (8,2 milliards de dollars) dans le syst?me financier du pays gr?ce ? la baisse d'un taux d'int?r?t.

 

6 h 50 : Le Japon, qui pr?side le G8 actuellement, se dit pr?t ? organiser un sommet des huit pays les plus industrialis?s si le G7 des ministres des finances pr?vu vendredi apr?s-midi ?choue.

 

6 h 49 : La Banque du Japon (BoJ) proc?de ? sa troisi?me injection de liquidit?s pour la seule journ?e de vendredi. Cette injection de 1 000 milliards de yen porte ? 4 500 milliards de yens (34 milliards d'euros) le montant des sommes allou?es par la BoJ, ce qui constitue un record absolu pour une seule journ?e.

5 h 20 : Le baril de p?trole Brent pour livraison en novembre tombe sous les 80 dollars dans les ?changes ?lectroniques en Asie. Dans les ?changes matinaux, le baril de p?trole Brent pour livraison en novembre perdait 3,58 dollars ? 79,08 dollars, apr?s avoir termin? ? 82,66 dollars jeudi ? Londres.

4 heures : Les bourses asiatiques s'?croulent, paniqu?es par la chute de Wall Street. La Bourse de Tokyo chute lourdement de 10,64 % ? la mi-s?ance, nettement sous la barre des 9 000 points, pour la premi?re fois depuis juin 2003. La compagnie japonaise Yamato Life Insurance s'est d?clar?e dans la matin?e en cessation de paiement, devenant le premier assureur nippon ? se d?clarer en faillite depuis le d?but de la crise financi?re internationale. Les principaux autres march?s asiatiques retombe aussi dans le rouge : Hongkong perd 7,7 %, S?oul 7,5 %, Sydney 7,4 %, Singapour 7 % et Shangha? 3,79 %.

Modifié par Mathdu59
Posté(e)

Voban si tu nous lis.... ^^

 

Le krach boursier mondial met le G7 sous pression

LE MONDE •

 

La débâcle des marchés financiers s'aggrave de jour en jour. Vendredi 10 octobre les Bourses européennes ont à nouveau ouvert sur des reculs très sévères. A l'ouverture Paris s'effondrait de 9,68 %, Londres de 6,43 %, et Francfort de plus de 10 %. En Asie, l'indice Nikkei, a aussi plongé de 9,62 %, sa pire chute depuis vingt et unans. En séance l'indice a reculé jusqu'à 11 %. La Bourse de Sydney a, elle, clôturé en baisse de 8,34 % et Séoul de 4,13 %. La veille, le marché américain avait reculé de 7,33 %, enregistrant sa septième baisse consécutive.

 

Désormais plus rien ne semble retenir la chute des indices, nulle part dans le monde. Pour les investisseurs la crise est mondiale et ses effets seront dévastateurs à la fois sur les systèmes financiers mais aussi sur le reste de l'économie. La plupart mise sur une récession mondiale en 2009 et un effondrement des profits des entreprises.

 

Au Japon les opérateurs considéraient jusqu'ici que le système bancaire serait relativement épargné. Après la violente crise de la fin des années 1980, les banques s'étaient restructurées, le système s'était assaini et les établissements nippons ont peu investi dans les produits risqués. Mais vendredi, les opérateurs ont appris que la compagnie japonaise Yamato Life Insurance s'est déclarée en cessation de paiement.

 

Il s'agit du premier assureur nippon à se déclarer en faillite depuis le début de la crise financière. Les investisseurs se sont aussi inquiétés pour la banque Mitsubishi Financial qui doit renflouer l'américaine Morgan Stanley à hauteur de 9 milliards de dollars. "Même si le système bancaire est plus sain, aucun établissement qui agit sur un marché global se sera épargné", constate Benoit Peloille, de Natixis.

 

Comment arrêter la débâcle ? Jusqu'ici aucune action entreprise ou envisagée par les autorités monétaires ou politiques n'a été jugée efficace. Pas même la baisse des taux d'intérêt coordonnée d'une ampleur inédite des grandes banques centrales, dont la Réserve fédérale américaine et la Banque centrale européenne, décidée dans l'urgence mercredi. Ni la mise en place du "Plan Paulson" aux Etats-Unis de 700 milliards de dollars. Ni le plan britannique de 50 milliards de livres destiné à sauver les banques. Les opérateurs sont d'autant plus inquiets que les besoins de financement des Etats, pour sauver les systèmes bancaires, s'annoncent colossaux, ce qui pourrait entraîner une hausse durable des taux d'intérêt à long terme.

 

Désormais seule une action massive de la part des sept pays industrialisés (G7) qui devaient se réunir vendredi à Washington semble à même de restaurer la confiance. Ils devaient "discuter des démarches entreprises par chacun pour faire face à cette crise et des moyens de renforcer nos efforts collectifs", a assuré le secrétaire américain au Trésor Henry Paulson. Le président George Bush devait faire une déclaration assurant que "les responsables économiques agissent énergiquement pour stabiliser notre système financier".

 

INITIATIVE "RÉVOLUTIONNAIRE"

 

"La situation est très grave mais dans le même temps nous pouvons résoudre les problèmes si nous agissons vite, énergiquement et de façon concertée", a déclaré jeudi le directeur général du Fonds monétaire international (FMI). Le FMI a indiqué par ailleurs avoir réactivé le système de financement d'urgence employé lors de la crise asiatique de la fin des années 1990.

 

La presse japonaise mentionnait, vendredi, l'initiative du ministre des Finances, Shoichi Nakagawa, qui pourrait proposer au G7 la création d'un fonds d'urgence d'environ 200 milliards de dollars pour prêter de l'argent aux petits pays affectés par la crise financière mondiale. Le Japon, qui préside cette année le G8 (G7 plus Russie), est également prêt à convoquer un sommet extraordinaire de ce club de grandes puissances. "Si aucune conclusion n'émerge, en tant que président, je convoquerai" un sommet, a prévenu le premier ministre japonais Taro Aso.

 

Dans une tribune publiée dans le quotidien britannique The Times, vendredi, le premier ministre britannique Gordon Brown a appelé les gouvernements du monde entier à adopter une initiative "révolutionnaire" pour secourir le système bancaire, calquée sur le plan britannique. "Les vieilles solutions d'hier ne nous seront pas utiles pour les défis d'aujourd'hui et de demain. Donc, nous devons abandonner les dogmes périmés et adopter de nouvelles solutions."

 

Selon un sondage Ifop pour Le Monde, 73 % des Français considèrent que le sauvetage des banques relève de la responsabilité nationale avec des coopérations entre Etats au cas par cas. Et 10 % disent avoir songé ces derniers jours retirer de leur banque tout ou partie de leurs économies.

 

Claire Gatinois

Posté(e)
-9.06% à 13h54

 

LA FIN DU MONDE C'EST LA FIN DU MONDE!!!

 

Retournons aux vraies valeurs, délaissons l'argent et les choses matérielles. Vivons tous nus. Enfin laissons les Miami dancers commencer d'abord :secret:

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La Bourse de Paris recule encore en début d'après-midi, le krach s'aggrave

 

PARIS (AFP) — La chute de la Bourse de Paris s'accélérait vendredi après-midi, l'indice CAC 40 chutant de 9,35% à 3.120,86 points à 15H11 (13H11 GMT) dans un marché nerveux et inquiet, une demi-heure avant l'ouverture de Wall Street.

 

Lâchant 6,36% dès l'ouverture, la place parisienne avait rapidement sombré, essuyant même un bref recul sous les 10%, à 3.097,63 points. Elle avait clôturé sur un net repli jeudi (-1,55%), après avoir dégringolé lundi (-9,04%) et mercredi (-6,31%). Londres perdait 7,65% et Francfort 9,95%, tandis que l'Eurostoxx 50 se repliait de 9,73%.

 

La Bourse de New York avait connu jeudi une séance cauchemardesque, la pire depuis le krach d'octobre 1987, le Dow Jones plongeant de 7,33% (soit -678,91 points) et atteignant son plus bas niveau depuis cinq ans.

 

Les places asiatiques ont plongé dans son sillage: à Tokyo, l'indice Nikkei s'est effondré de 9,62%, sa pire baisse en une séance depuis 21 ans, et Hong Kong a abandonné 7,19%.

 

Ni la multiplication des mesures et garanties gouvernementales en faveur du secteur bancaire, ni l'annonce mercredi de baisses de taux concertées de sept grandes banques centrales, n'ont suffi à rassurer un marché fébrile, paniqué par la propagation de la crise financière et ses répercussions économiques.

 

Pour Valérie Plagnol, directrice de la stratégie au Crédit Mutuel-CIC, "ça krach (sic)": "la contagion gagne les marchés de la planète alors que l'assèchement des liquidités atteint son paroxysme".

 

La réaction des marchés "montre que le ralentissement de la croissance économique devient un motif d'inquiétude et que les investisseurs sont confrontés à une énorme inconnue, ce qui pourrait être une profonde récession", relèvent dans une note les analystes de Global Equities.

 

L'ensemble des valeurs vedettes, tous secteurs confondus, enregistrent de très fortes baisses: Alcatel Lucent s'effondre de 10,79% à 1,78 euro, tandis que Total lâche 9,81% à 32,42 euros, Saint-Gobain 10,19% à 26,01 euros, et ArcelorMittal 11,42% à 22,23 euros.

 

Ce sont les titres financiers qui souffrent le plus durement: Société Générale s'enfonce de 14,42% à 49,21 euros, Axa de 13,68% à 16,60 euros, BNP Paribas de 13,96% à 57,55 euros et Crédit Agricole de 9,80% à 11,73 euros. Cette nouvelle débâcle des marchés renforce la pression sur la réunion des ministres de l'Economie et des Finances et des gouverneurs des banques centrales des sept pays les plus industrialisés (G7), qui débute à Washington à 14H00 locales (18H00 GMT).

Posté(e)
Indeks największych spółek WIG20 przekroczył psychologiczną barierę 2 tysięcy punktów. To najniższy poziom od czerwca 2005. Tuż przed godziną 15 indeks WIG20 spadał o ponad 10 procent. O 15.30 było to już 12 procent, ostatecznie zakończyło się na wskaźniku 8,1 procent.

- Nie ma miary, która mogłaby zmierzyć dalsze spadki. Spadamy, ponieważ rynki zagraniczne spadają - powiedział Marek Przytuła z Millennium DM.

 

- Dobrze, że dziś mamy piątek - skomentował główny analityk First International Traders Marek Rogalski, który ma nadzieję, że weekend da szansę na zahamowanie paniki na rynkach kapitałowych.

Posté(e)
T'en as qui vont se faire des couilles en or.

 

A se demander si certains investisseurs ne favorisent pas cet effondrement de valeur histoire de se blinder quand ca va remonter.

Invité Mathdu59
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En parlant de ça, le bon plan en ce moment c'est de prendre des parts chez Dexia...

Ils sont descendu bien bas avec une action a 6€... Elle a été nationalisée et ne va faire que remonter petit à petit mais sûrement, surtout que sa reste une entreprise sûre malgré tout...

Emettre des prêts aux collectivités locales c'est pas ce qu'il y a de plus risqué ^^

Posté(e)
En parlant de ça, le bon plan en ce moment c'est de prendre des parts chez Dexia...

Ils sont descendu bien bas avec une action a 6€... Elle a été nationalisée et ne va faire que remonter petit à petit mais sûrement, surtout que sa reste une entreprise sûre malgré tout...

Emettre des prêts aux collectivités locales c'est pas ce qu'il y a de plus risqué ^^

ouais ... enfin, si ce n'était pas du tout risqué, je pense que Dexia n'aurait pas été nationalisée ;)

 

le problème, c'est ce dans quoi ils mettent leur argent, pas leur activité ... -_- là-dessus, t'inquiètes pas pour eux, ils sont tous dans le vert ... :rolleyes:

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