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Et on fait ce qu'on peut, je vais pas me laisser gagner par la morosité ambiante!!!

J'ai pris le contre pied, seul face à la crise, je vais me battre pour redonner le sourire aux français!!!

Ce soir je commence par une tournée des restaurant de Lille, demain je fais la tournée des commissariats et apres demain la tournée des putes!!! :D

 

Fait plutot un peu de chaque tous les jours :lol:

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Pour en revenir à la bourse, y'a quand même pas grand chose de rationnel à la chute de nombreux titres, peu concerné directement pas la crise financière. C'est un vent de psychose généralisée :mellow:

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Voilà les premieres victimes de la crise...si si je vous jure c'est ecrit dans le texte!!!

Les animaux ont purement et simplement decidé de disparaitre plutot que d'avoir des dettes.

Je trouve la méthode de l'extinction purement et simplement scandaleuse, ces animaux ont prit le parti de ne pas se battre et de ne pas affronter en face leurs erreurs!!!

Moi je trouve ça tres lache!!!

En plus dans l'article on nous prend pour des cons on nous parle de la disparition d'un heros de dessins animés...c'est bon on me la fait pas à moi!!!

 

 

 

 

 

La moitié des espèces de mammifères sont en déclin et probablement un tiers sont menacées d'extinction, selon la "liste rouge" des espèces menacées publiée lundi par l'Union mondiale pour la nature (UICN), à Barcelone.

 

 

Des intervenants présentent la "liste rouge" des espèces menacées lors du Congrès de l'Union mondiale pour la nature (UICN), le 6 octobre 2008 à Barceloneagrandirphoto 2/2photo : Lluis Gene , AFP

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Les experts de l'UICN, un organisme qui fait autorité en matière de biodiversité, ont consacré aux mammifères l'étude la plus complète jamais réalisée sur le sujet.

 

Elle confirme la gravité de la crise actuelle: une espèce de mammifère sur quatre est en danger de disparition, soit 1.141 sur 5.487 espèces recensées.

 

Mais la réalité pourrait s'avérer pire encore en raison d'un manque d'informations concernant 836 mammifères, a averti l'organisation qui tient son 4ème congrès jusqu'au 14 octobre à Barcelone.

 

Pour les scientifiques, l'absence d'informations concernant une espèce est généralement de mauvais augure.

 

"En réalité, le nombre de mammifères menacés d'extinction pourrait atteindre 36%", estime Jan Schipper, un expert de l'UICN, dans un article publié lundi dans la revue Science.

 

"Nos résultats donnent une image très sombre de la situation globale des mammifères dans le monde", souligne-t-il, précisant que "la moitié sont en déclin".

 

La crise actuelle est considérée comme celle de la sixième grande période d'extinction des espèces, la précédente ayant été celle de la disparition des dinosaures il y a 65 millions d'années.

 

Au total, la liste rouge de l'UICN créée en 1963, répertorie 16.928 espèces d'animaux ou de plantes menacées d'extinction contre 16.306 en 2007 sur un total de 44.838 espèces mises sous surveillance contre 41.415 précédemment.

 

3.246 espèces sont classées dans la catégorie à risques la plus élevée - "en danger critique" - 4.770 sont considérées comme "en danger" et 8.912 comme "vulnérables".

 

L'expression "en danger critique" signifie que la probabilité d'extinction de l'espèce est très importante.

 

Dans la liste rouge 2008, 188 mammifères ont été classés dans cette catégorie, comme le lynx ibérique (Lynx pardinus).

 

Certaines espèces comme le cerf du Père David d'origine chinoise (Elaphurus davidianus) n'existent même plus à l'état sauvage et survivent seulement en captivité.

 

Près de 450 mammifères ont été classés dans la catégorie "en danger", comme le diable de Tasmanie (Sarcophilus harrisii), un marsupial carnivore dont la population a chuté de plus de 60% au cours des dix dernières années, en raison d'une multiplication des cas de tumeur cancéreuse faciale encore inexpliqués.

 

Le chat viverrin (Prionailurus viverrinus), en Asie du sud-est, est passé de la catégorie "vulnérable" à "en danger", victime de la destruction de son habitat naturel.

 

Même situation pour le phoque de la Caspienne (Pusa caspica), dont la population a plongé de 90% depuis une centaine d'années, victime des chasseurs.

 

Il est pourtant possible de redresser la situation: grâce à différentes mesures de conservation, des résultats encourageants ont été obtenus pour 5% des mammifères menacés.

 

Ainsi, le putois à pieds noirs (Mustela nigripes), est considéré simplement comme "en danger", après avoir été réintroduit avec succès au Mexique, alors qu'il était classé auparavant comme "éteint à l'état sauvage".

 

De même, le cheval sauvage (Equus ferus) a fait l'objet de réintroductions fructueuses en Mongolie.

 

Mais "plus nous attendrons, plus cela coûtera cher pour empêcher de nouvelles extinctions d'espèces", a averti Jane Smart, responsable du programme des espèces à l'UICN.

 

site de l'UICN

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Voilà les premieres victimes de la crise...si si je vous jure c'est ecrit dans le texte!!!

Les animaux ont purement et simplement decidé de disparaitre plutot que d'avoir des dettes.

Je trouve la méthode de l'extinction purement et simplement scandaleuse, ces animaux ont prit le parti de ne pas se battre et de ne pas affronter en face leurs erreurs!!!

Moi je trouve ça tres lache!!!

En plus dans l'article on nous prend pour des cons on nous parle de la disparition d'un heros de dessins animés...c'est bon on me la fait pas à moi!!!

 

ça corrobore ce que répète inlassablement ce brave Hulot (putain la classe ce type quand même, je l'ai vu sur BFM et dans Ripostes, il troue le derche) : soit on choisit nous mêmes de procéder au changement, soit la Terre s'en chargera pour nous, et ça sera beaucoup, beaucoup plus douloureux, et plus coûteux.

 

Au choix: un ou 2 pts de PIB maintenant ou plusieurs dans quelques années.

 

ça me rappelle Yves Paccalet : l'homme est comme un moustique sur la Terre, et à un moment elle va lui foutre une grosse claque, et ça sera bien fait pour sa gueule (en fait la nôtre).

 

Alors la bourse, comme disait notre ancien président : ça m'en touche une sans faire bouger l'autre.

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ça corrobore ce que répète inlassablement ce brave Hulot (putain la classe ce type quand même, je l'ai vu sur BFM et dans Ripostes, il troue le derche) : soit on choisit nous mêmes de procéder au changement, soit la Terre s'en chargera pour nous, et ça sera beaucoup, beaucoup plus douloureux, et plus coûteux.

 

Au choix: un ou 2 pts de PIB maintenant ou plusieurs dans quelques années.

 

ça me rappelle Yves Paccalet : l'homme est comme un moustique sur la Terre, et à un moment elle va lui foutre une grosse claque, et ça sera bien fait pour sa gueule (en fait la nôtre).

 

Alors la bourse, comme disait notre ancien président : ça m'en touche une sans faire bouger l'autre.

 

 

:pogo: :pogo: :pogo: :pogo: :pogo:

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Arno il a pété son cable :lol2: :lol2:

 

Je croyais que le cannabis c'était uniquement quand tu serais dans le Larzac :lol:

 

Ohhhh je fume pas Monsieur ou alors à Amsterdam c'est tout!!!

J'avoue j'ai un peu pété un cable, je m'en excuse peuple Milien, promis je recommencerai plus je serai sage dorenavant!

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Allez, on r'met ça

 

Les Bourses européennes repassent dans le rouge

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 07.10.08 •

 

 

10 h 25 : Après avoir ouvert en nette hausse, les places boursières repassent dans le rouge. Le CAC 40 abandonne 0,20 %, à 3 704,38 points. A Francfort, le DAX affiche une baisse de 1,48 %, à 5 307,44 points. A Londres, le Footsie perd 1,56 %.

 

10 h 11 : Les grandes banques européennes dévissent. A Londres, le titre Royal Bank of Scotland, la deuxième banque britannique, perd 30,05 % en milieu de matinée. A Francfort, Commerzbank cède plus de 9 % et Deutsche Bank plus de 13 %.

10 h 06 : Le gouvernement belge annonce que le groupe belge Fortis, dont la plupart des activités bancaires et d'assurance viennent d'être vendues, va faire un geste pour ses actionnaires, qui ont vu l'action s'effondrer puis être suspendue. "Une convention sera conclue avec le groupe Fortis, octroyant aux actionnaires de ce groupe le droit à la partie de la plus-value et du résultat qui dépasse la charge financière de l'investissement total de l'Etat, majorée d'une prime de risque raisonnable, selon des modalités à déterminer et qui seront à approuver par le conseil des ministres", indique le gouvernement dans un communiqué.

 

9 h 55 : Les ministres européens confirment qu'une action commune de l'UE est à l'étude face à la gravité de la crise financière pour relever la garantie bancaire minimale des particuliers, en cas de faillite, de 20 000 euros à 100 000 euros. Des sources diplomatiques européennes avaient indiqué dès lundi soir à Luxembourg que le projet visant à multiplier par cinq le seuil minimal de garantie de l'épargne bancaire des particuliers était sur la table. Les pays européens entendent par ce biais apporter une première réponse commune à la crise financière, après avoir jusqu'ici privilégié le chacun pour soi. Une manière aussi de rassurer les épargnants afin d'éviter des retraits massifs des comptes, qui mettraient en péril les banques.

 

9 h 50 : Le constructeur automobile allemand Opel annonce qu'en raison de la crise, il interrompt sa production dans deux usines en Allemagne, où travaillent plus de 6 500 personnes. Opel veut également fermer provisoirement son usine en Espagne et ses deux sites en Angleterre.

 

9 h 46 : Face à la crise, les autorités suisses se disent prêtes à "tout mettre en œuvre" pour assurer la sécurité des dépôts des épargnants. Le gouvernement helvétique "prépare d'éventuelles mesures destinées à produire rapidement leur effet", déclare le département fédéral des finances, qui "salue" la décision prise par l'Union européenne pour rassurer les clients des banques. Devant le risque de panique chez les petits épargnants, les pays européens envisagent de porter de 20 000 à jusqu'à 100 000 euros le seuil minimum de garantie bancaire par personne dans le cas d'une faillite.

 

9 h 30 : Dans le sillage des autres places financières, la Bourse de Milan, qui a clôturé lundi sur une chute historique de 8,24 %, est repartie à la hausse mardi matin. L'indice vedette SP/Mib ouvre en hausse de 2,3 %, à 24 324 points.

 

9 h 23 : Le CAC 40 continue de progresser et prend 3,34 %. A 9 h 16, l'indice vedette gagne 123,94 points, à 3 835,92 points. Les titres ayant le plus chuté lundi se reprennent nettement et tirent la cote vers le haut : Vallourec grimpe de 5,73 % à 118,94 euros, Alstom de 4,37 % à 44,88 euros, et Alcatel-Lucent prend 4,88 % à 2,38 euros.

9 h 15 : Le conseil d'administration du groupe bancaire franco-belge Dexia suit la proposition du gouvernement belge en élisant l'ex-premier ministre belge Jean-Luc Dehaene à sa tête et en désignant le Français Pierre Mariani comme administrateur délégué. L'annonce de l'arrivée de ce nouveau tandem à la tête de Dexia est la première étape des changements qui se dessinent pour la banque en difficulté. Lundi soir, Yves Leterme, premier ministre belge, avait indiqué à Paris que des "initiatives" allaient être prises "dans les jours qui viennent" pour "renforcer" le groupe bancaire, à l'issue d'un entretien avec Nicolas Sarkozy.

9 h 10 : Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, estime qu'il n'y a"aucune raison de penser" que les Bourses mondiales vont continuer de "s'écrouler". "Les entreprises sont fondamentalement solides, elles ont une activité qui est ralentie, mais elles continueront à faire des bénéfices dans les années qui viennent", dit M. Noyer sur Europe 1.

 

9 h 02 : Après un lundi morose, les différentes places boursières européennes ouvrent en hausse. Le CAC 40, qui a subi une chute historique de 9,04 % lundi, progresse de 2,66 % à l'ouverture. A Londres, le Footsie connaît un net regain de 1,50 %, progressant de 69,01 points par rapport à la clôture de lundi. A Francfort, le DAX est également en progression de 1,18 % à 5 450,38 points, après une chute de plus de 7 % à 5 387,01 points la veille à la clôture.

 

8 h 45 : L'UMP appelle à "garder son sang-froid". Invité de France 2, Frédéric Lefebvre, porte-parole du parti, estime qu'"il ne faut pas s'attacher aux soubresauts, qui sont parfois violents, des marchés financiers", assurant qu'à Wall Street "les analystes attendent un rebond aujourd'hui".

 

8 h 32 : Moscou suspend les cotations sur le RTS et le Micex, les deux places moscovites. "Les échanges sont suspendus sur ordre du Service fédéral des marchés financiers. Ils reprendront à 13 heures (11 heures, heure de Paris)", déclare une porte-parole du RTS à l'AFP.

 

8 h 06 : La Bourse de Tokyo termine la séance de mardi en baisse de 3,03 %. Un moindre mal après une séance mouvementée qui l'a vue plonger de plus de 5 % et passer brièvement sous la barre des 10 000 points, du jamais vu depuis le 11 décembre 2003. De son côté, la Bourse de Sydney, qui avait ouvert en baisse, termine la séance de mardi sur une hausse de 1,7 %, dopée par l'annonce par la banque centrale australienne d'une baisse de son taux directeur. L'indice de référence S&P/ASX 200 a gagné 78,3 points, à 4 618,7 points.

 

7 heures : La Bourse de Séoul se ressaisit à mi-séance : elle enregistre une hausse de 2,45 %. Le Nikkei limite également la chute : à la mi-séance, l'indice cède 3,1 %, à 10 148,46 points.

 

2 h 30 : La Bourse de Séoul ouvre en baisse de 1,3 %, tandis que le Nikkei dévisse à Tokyo avec une chute de près de 5 %.

 

2 heures : A l'ouverture, les marchés asiatiques connaissent de fortes baisses après un lundi noir sur les places occidentales. La journée de mardi débute à Tokyo par un glissement de 1,38 % de l'indice Nikkei. A Sydney, la Bourse a ouvert en baisse de 1,8 %.

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Ohhhh je fume pas Monsieur ou alors à Amsterdam c'est tout!!!

J'avoue j'ai un peu pété un cable, je m'en excuse peuple Milien, promis je recommencerai plus je serai sage dorenavant!

je t'avais dis de garer ton radiateur mieux que ca ! :lol:

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je t'avais dis de garer ton radiateur mieux que ca ! :lol:

 

Puis ce que c'est comme ça, je pars en crabe.

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L'Islande menacée de faillite

LEMONDE.FR avec AFP •

 

La crise financière et bancaire frappe durement l'Islande. Pour preuve, l'Etat islandais va prendre le contrôle de la deuxième banque du pays, Landsbanki, a annoncé, mardi 7 octobre, l'autorité de surveillance financière, alors que le secteur bancaire menace de s'effondrer. Par ailleurs, la première banque islandaise, Kaupthing Bank, a annoncé mardi avoir reçu un prêt de 500 millions d'euros de la part de la banque centrale du pays nordique afin de faciliter ses opérations.

 

Lundi, le premier ministre islandais a agité le spectre d'une faillite du pays. "Il y a un véritable danger que l'économie islandaise, dans le pire des scénarios, puisse être entraînée dans le tourbillon avec les banques, et la conséquence possible serait la faillite", a affirmé Geir Haarde.

 

MENACES SUR L'ÉCONOMIE

 

En effet, le secteur financier, très dépendant des capitaux étrangers, représente une large part de la croissance économique islandaise de la dernière décennie, de 4 % par an en moyenne, avec un pic en 2004 à 7,7 %, et de 4,9 % l'an passé. Si le secteur va mal, c'est donc toute l'économie qui est menacée. Face à cette situation, il a annoncé la mise en œuvre d'un arsenal législatif sans précédent en Europe donnant la possibilité à l'Etat de diriger tout le système bancaire.

 

La crise qui frappe le pays, l'un des plus prospères de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), s'est traduite par une forte dépréciation de la couronne islandaise (- 46 % depuis le 2 juillet 2007 et - 20 % en septembre), et le gouvernement a été contraint, le 29 septembre, de voler au secours de la troisième banque du pays, Glitnir, qu'il a nationalisée à 75 %, une mesure présentée comme provisoire. Le Fonds monétaire international a, quant à lui, fait savoir lundi que, compte tenu des menaces pesant sur l'Islande, il y avait dépêché une équipe.

 

Par ailleurs, la Russie a démenti mardi avoir accordé un prêt de 4 milliards d'euros à la banque centrale d'Islande, notant qu'aucune négociation n'avait été engagée et "aucune décision" prise.

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La monnaie islandaise est désormais le bec de macareux :mellow:

Invité lensois_02
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je viens de voir a l'instant un reportage de BFM TV sur l'immobilier a paris:

 

hausse continuel des prix, les prix ont augmenté de 10% en un an.

dans le même temps paris subit une baisse des ventes de 15%.

 

y'a vraiment qu'a paris qu'on peut voir sa.

 

et puis ils nous informaient aussi que 50 agences ORPI (plus grands réseaux d'agences immobilières de france) allaient fermé d'ici la fin de l'année.

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et puis ils nous informaient aussi que 50 agences ORPI (plus grands réseaux d'agences immobilières de france) allaient fermé d'ici la fin de l'année.

ouf, j'ai mis mon appart chez guy hocquet ! :rolleyes:

 

Ps : j'ai eu une visite ce samedi pendant mon absence ! petite touche mais risqué à cause du prix, faut négocier !

Posté(e)
je viens de voir a l'instant un reportage de BFM TV sur l'immobilier a paris:

 

hausse continuel des prix, les prix ont augmenté de 10% en un an.

dans le même temps paris subit une baisse des ventes de 15%.

 

y'a vraiment qu'a paris qu'on peut voir sa.

 

et puis ils nous informaient aussi que 50 agences ORPI (plus grands réseaux d'agences immobilières de france) allaient fermé d'ici la fin de l'année.

 

Le pire c'est que ça ralentit, comparé aux années précédentes. Même le 19e vient de passer à 5000€ le m². Ah ça si on voulait en faire la capitale des bobos c'est réussi...

 

La municipalité de Paris a pendant trop longtemps décidé de ne pas soutenir le logement social, de laisser des quartiers à l'abandon et de ghetoïser le nord-est, devenu un vaste amalgame d'arrondissements dortoirs dont on commence seulement à se préoccuper... Le pire étant d'avoir laissé les spéculateurs étrangers faire main basse sur les quartiers les mieux cotés. 25% du 8e appartient à je ne sais plus qui (des Américains ?), 25% du Marais aux Italiens, etc, etc. Le 8e c'est l'ex typique, tellement d'explosion des loyers que cette avenue qui pendant un siècle était LE temple du ciné parisien les voit fermer les uns derrière les autres, plus que du luxe et des clubs à pétasse, des restos, de l'esbrouffe... Les commerces traditionnels et ciné migrent vers les coins moins chers du 8es et font à leur tour grimper les prix, etc, tout le monde sait de quoi on parle. Bref, ça fait longtemps que ça devient invivable. La mairie n'a jamais osé franchir le pas de classer certains monuments ou bâtiments, ce qui aurait permis de garder les cinés du 8e par ex, jamais de mesure contre les enc*** de promoteurs qui rachétent un immeuble entier et font exploser d'un coup les loyers...

 

Delanoé a fait bcp de bonnes choses pour le logement étudiant et social heureusement, pendant plusieurs années il a gelé les impôts locaux aussi (ils vont réaugmenter en 2009 d'ailleurs). Mais bon, avec ses projets de tour à la con dans Paris et autres délires narcissiques, on en oublie que les vrais arrondissements vivants et populaires (au sens "noble" du terme) crévent à petit feu. Une énergie folle consacrée à faire des couloirs cyclables débiles impraticables et planifier des tours pyramidales surréalistes alors que pendant ce temps là le problème du logement (et du transport) est affolant....

 

Les Français se rendent même pas compte que leur capitale appartient de moins en moins à la France et qu'on en fait un Disneyland géant pour bobos. Il y a qq jours on lisait "Nous devons empêcher Paris de devenir une ville-musée", oh mon dieu que c'est brillant de lucidité :secret:

 

Curieux de voir ça dans 10 ans, cette ville n'aura plus d'âme populaire si on la laisse se faire ainsi gangrener par le fric et la spéculation sans discernement. De ce point de vue, j'hurle alléluia si l'immobilier s'effondre ici, et je suis pas le seul impatient. Ca finira par remonter a priori, mais au moins certains spéculateurs étrangers abjects l'auront pris dans la gueule, que ça leur fasse mal au portefeuille ou pas.

 

(Orpi va en ouvrir 80 ailleurs je crois, Le Monde en parlait, je sais plus exactement l'info)

Invité lensois_02
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euh je connais trés peu paris lmarco, mais mis a part les quartiers du coin de barbès (je ne peut connaitre que par réputation vu que je connais assez peu paris, donc excuse moi d'avance pour les caricatures), sa fait longtemps que paris s'est "boboiser".

 

aujourd'hui il n'y a que dans l'émission de plaza sur la 6 qu'on nous fait voir encore quelques quartier vivants dans paris, mais paris n'est destiné qu'a devenir une ville d'argent et de luxe.

je serais vraiment surpris de savoir le pourcentage de retraité vivant a paris même.

 

sinon pour finir une chose m'a frappé.

ayant discuter avec des étudiants provinciaux (rémois) ayant migrer vers paris pour leurs études, ils sont aller dans le 16ème et la la première question qu'on leur a posé quand ils sont arrivés: "tes le fis de qui toi?"

 

sa m'a vraiment choqué quand j'ai entendu sa, mais a la limite sa me surprend presque pas au vu de la réputation du quartier.

 

concernant delanoé, qu'une chose a dire les couloirs de bus tout le monde s'en plaint.

 

et puis paris s'est fait une réputation de beauté de part son architecture, alors la construction de tour dans paris hors de la défense, serait la mort de paris.

 

merci delanoé. <_<

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Lundi noir, mardi gris, mercredi noir

 

Les Bourses européennes s'effondrent

LEMONDE.FR avec AFP| 08.10.08 •

 

 

Dans le sillage des Bourses asiatiques qui ont connu des pertes record, les Bourses européennes ont vécu une chute brutale quelques minutes après l'ouverture : à Paris, le CAC 40 qui avait ouvert en baisse de 2,61 %, s'est effondré avant dix heures, tombant en quelques minutes à - 5 %, puis - 6 %, -7 %, jusqu'à 8,18 % vers 10 heures, atteignant son plus bas niveau depuis 2003.

 

Le calcul du CAC 40 a alors été arrêté pendant quinze minutes mercredi matin compte tenu du nombre très important des valeurs réservées à la baisse. Une porte-parole de Nyse-Euronext a indiqué qu'il s'agissait d'une règle appliquée quand 65 % de la capitalisation boursière de l'indice est réservée à la baisse. Une mesure qui semblait avoir permis d'enrayer la chute : quand le calcul a repris à 10 h 34, le CAC 40 perdait 6,14 % à 3 502,89 points. Vers 11 heures, il perdait - 5,77 %.

 

BROWN POUR UN PLAN EUROPÉEN

 

Les autres places européennes connaissaient sensiblement la même situation. Peu après 10 heures, le DAX chutait de 7,17 % après avoir ouvert en baisse de 1,68 %, pour se redresser vers 11 heures à - 6,09 %. A Londres, malgré l'annonce d'un plan d'aide à huit grandes banques britanniques par le ministre des finances avant l'ouverture de la Bourse, l'indice de référence Footsie-100 accusait également un net recul dès l'ouverture et perdait plus de 7 % vers 10 heures, remontant vers 11 heures à - 5,17 %. Dans la matinée, la Bourse de Bruxelles est également tombée à - 6,53 % quand Amsterdam atteignait - 9,05 %.

 

Aucune des multiples initiatives des autorités n'a apporté le moindre réconfort aux investisseurs, qu'il s'agisse de la garantie des dépôts bancaires des particuliers dans l'Union européenne ou du coup de pouce de la réserve fédérale américaine au financement des entreprises ou de l'annonce d'un plan britannique. Parallèlement, de nouveaux signes de la contagion de la crise à l'économie sont apparus : le géant américain de l'aluminium Alcoa a publié des résultats plus mauvais que prévu au troisième trimestre, et les crédits à la consommation ont reculé aux Etats-Unis pour la première fois depuis plus de dix ans.

 

Wall Street a ainsi clôturé en forte baisse mardi soir, le Dow Jones perdant 5,11 %, le Nasdaq 5,80 %, tandis que les Bourses asiatiques vivaient une journée noire, Tokyo, en particulier, connaissant sa pire séance depuis le krach de 1987, en baisse de - 9,38 % en clôture.

 

Devant la situation, le premier ministre britannique, Gordon Brown, a annoncé mercredi, lors d'une conférence de presse, avoir "invité" les autres pays de l'UE à adopter un "plan européen de financement à moyen terme" du système bancaire, précisant en avoir parlé en début de matinée au président français, Nicolas Sarkozy.

Invité lensois_02
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je vais peut etre tenter d'ouvrir un compte de titre moi.

 

la sa vaut vraiment le coup de joueur en bourse, parceque vu le niveau sa va forcément remonter, et la y'a de gros benef a faire.

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La Bourse de Paris plonge au plus bas depuis quatre ans

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 08.10.08 •

 

 

11 h 50 : Le fonds anti-crise doté de 30 milliards d'euros pour soutenir le marché du crédit en Espagne, va alourdir la dette publique espagnole de près de trois points, à 41,5 % du PIB en 2009, annonce le secrétaire d'Etat au budget Carlos Ocaæa. Dans le projet de budget 2009, détaillé la semaine passée au parlement, le gouvernement espagnol tablait pour l'an prochain sur une dette publique équivalent à 38,8 % du PIB contre 36,8 % pour 2008.

 

11 h 43 : Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad affirme que la crise frappant les marchés financiers occidentaux est due à l'absence de foi en Dieu. "Leur économie s'effondre (...) la raison de leur défaite est qu'ils ont oublié Dieu et la piété". M. Ahmadinejad ajoute que la crise financière est le signe de la fin de la domination des "voleurs internationaux" sur le monde. "Ce sont là les signes de la réalisation de la promesse de Dieu selon laquelle les tyrans et les corrompus seront remplacés par les gens pieux et croyants".

 

11 h 37 : L'économie américaine pourra rebondir une fois la crise financière passée, grâce au fait que son économie est la plus compétitive du monde, prédit le Forum économique mondial.

 

11 h 25 : La Bourse égyptienne est en chute libre, son principal indice le CASE-30, plonge de plus de 13 %. En moins d'une heure de transactions, l'indice phare des 30 valeurs vedettes de la bourse du Caire et d'Alexandrie avait chuté de 13,4 %, à 5.100 points, après son effondrement de 16,47% la veille en clôture. "C'est simple, nous sommes débordés", a déclaré à l'AFP Ahmad Hefnaoui, un analyste de EFG Hermès, une banque d'investissement leader dans la région, résumant l'atmosphère de panique.

 

11 h 15 : Les groupes mutualistes Banque Populaire et Caisse d'Epargne augmentent leur participation dans leur filiale commune Natixis, franchissant le seuil des 70 %, selon un communiqué de l'Autorité des marchés financiers (AMF). Les deux banques détiennent désormais chacune 35,25 % du capital de Natixis, contre 34,5 % auparavant. "Cette variation résulte de la souscription des membres du concert à l'augmentation de capital de Natixis" et de l'acquisition de plus de 20 millions d'actions sur le marché, détaille l'AMF.

 

11 heures : Le ministre italien de l'économie, Giulio Tremonti, convoque une réunion avec les patrons et les banquiers pour faire le point sur la crise financière qui balaye l'Europe. L'Italie a été relativement épargnée par la crise jusqu'à présent, ses banques étant moins exposées à l'étranger que leurs consœurs britanniques ou allemandes, mais le ministre souhaite faire le point sur l'état du système bancaire et la situation du crédit aux entreprises, selon la presse. Selon le quotidien économique Il Sole-24 Ore, ils pourraient examiner un recours plus facile aux fonds de la Caisse des dépôts italienne d'un montant de 90 milliards d'euros, en cas de besoin, notamment de stabilisation du système bancaire.

 

10 h 50 : Selon l'AFP, le directeur général de Natixis, Dominique Ferrero, est "conforté dans ses fonctions" par les deux actionnaires de la banque d'investissement, les groupes Caisse d'épargne et Banque populaire. Par ailleurs, M. Ferrero a "décidé de renforcer son équipe" en faisant rentrer au directoire de Natixis Julien Carmona, membre du directoire de la Caisse nationale des caisses d'épargne, en charge des finances et des risques.

 

10 h 40 : Le calcul du CAC 40 a été arrêté quinze minutes compte tenu du nombre très important des valeurs réservées à la baisse, a indiqué une porte-parole de Nyse-Euronext. Elle a expliqué que quand 65 % de la capitalisation boursière de l'indice est réservée à la baisse, Nyse Euronext a pour règle d'arrêter le calcul de l'indice quinze minutes. Vers 10 h 34, le calcul ayant repris, le CAC 40 perd 6,14 % à 3.502,89 points.

 

10 h 37 : Le premier ministre britannique, Gordon Brown, annonce avoir "invité" les autres pays de l'UE à adopter un "plan européen de financement" du système bancaire, précisant en avoir parlé en début de matinée au président français, Nicolas Sarkozy.

 

10 h 30 : La Bourse de Hongkong chute en clôture de 8,2 %.

 

10 heures : La Bourse de Paris accélère sa chute (lire la synthèse), le CAC 40 lâche 8,18 % après avoir franchi en quelques minutes les paliers de - 5 %, - 6 % et - 7 %, dans un marché affolé par la poursuite de la crise financière et ses répercussions sur l'économie. A Londres, le Footsie s'enfonçe également dans le rouge perdant plus de 7 %.

 

9 h 50 : La Bourse de Paris creuse encore ses pertes,le CAC 40 lâche 5,22 % à 3 537,35 points.

 

9 h 45 : La Banque centrale européenne annonce une nouvelle offre de liquidités pour 70 milliards de dollars, d'une maturité d'un jour. Le taux d'intérêt, qui sera connu dans la journée, sera désormais variable pour chaque banque en fonction de sa demande, et non plus le même pour tous. Depuis plusieurs semaines, la BCE multiplie les interventions sur les marchés, en y injectant massivement des liquidités pour pallier la méfiance très forte des banques qui refusent de se prêter de l'argent entre elles en raison de la crise financière.

 

9 h 40 : La Bourse de Stockholm s' approche du krach, en baisse de 9,61 %.

 

9 h 30 : A la chaîne d'information continue Skynews qui lui demande si le plan annoncé mercredi matin serait suffisant pour stabiliser les marchés, le ministre britannique des finances, Alistair Darling, répond : "C'est un pas important en avant mais ce n'est pas le seul."

 

9 h 15 : A Paris, le CAC 40 plonge à - 4,85 %, au plus bas depuis quatre ans. A Moscou, devant l'ampleur des baisses, les échanges sont suspendus.

 

9 heures : Dans le sillage des Bourses asiatiques, les places européennes ouvrent en forte baisse. La Bourse de Paris chute de 2,61 % à 3 634,72 points. A Londres, l'indice Footsie-100 perd 1,64 %, malgré l'annonce d'un plan d'aide au système bancaire par le gouvernement. A Francfort, le DAX ouvre en baisse de 1,68 %.

 

8 h 45 : Le gouvernement britannique annonce un plan de soutien aux huit plus grandes banques du pays, passant par une prise de participation pouvant aller jusqu'à 50 milliards de livres (65 milliards d'euros), ce qui équivaut à une nationalisation partielle (lire la synthèse). Le gouvernement annonce également le déblocage d'une ligne de crédit de 200 milliards de livres (258 milliards d'euros). Les huit banques concernées sont Abbey qui appartient à l'espagnol Santander, Barclays, HBOS qui est en train d'être rachetée par Lloyds TSB, HSBC, Lloyds TSB, Nationwide Building Society, la plus grosse banque non cotée du pays, Royal Bank of Scotland et Standard Chartered.

 

8 h 33 : Le Micex, une des deux Bourses de Moscou, perd 12,52 % à 651,53 points au cours des premiers échanges. L'autre place moscovite, le RTS, chute de 8,65 % à 783,90 points.

 

8 h 13 : L'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo termine la séance de mercredi sur une chute de 9,38 %, le pire crash enregistré par le marché tokyoïte depuis le "lundi noir" de 1987. L'indice Nikkei 225, moyenne non pondérée des 225 valeurs vedettes, a chuté de 952,58 points (- 9,38 %) à 9.203,32 points, se rattrapant très légèrement en fin de séance après avoir fondu de plus de 9,81 %. Il s'agit de la plus forte baisse de l'indice tokyoïte en clôture depuis le "lundi noir" du 20 octobre 1987, quand il avait terminé sur un plongeon de 14,90 %. C'est également la troisième plus grosse chute de toute l'histoire du Nikkei, derrière une baisse de 10 % enregistrée en 1953.

 

7 h 22 : La Bourse de Shanghaï chute de 3,08 % à la mi-séance. L'indice composite perdait 66,40 points à 2.091,44 points. A Singapour, à mi-séance, la Bourse enregistre une baisse de près de 5 %, l'indice Straits Times cédant 108,63 points, soit 4,99 %, à la mi-séance à 2 069,92 points.

 

7 heures : Les Bourses asiatiques plongent (lire la synthèse). Les investisseurs sont paniqués par la crise financière mondiale et totalement indifférents aux mesures annoncées par les autorités monétaires et les gouvernements pour tenter de reprendre le contrôle de la situation. A Tokyo, l'indice Nikkei replonge allègrement sous le seuil psychologique des 10 000 points et s'effondre de 7,32 %, une des plus grosses chutes de son histoire en cours de séance, dépassant celle qui avait été enregistrée dans le courant de la journée du 12 septembre 2001 (- 6,72 %), au lendemain des attentats du 11- Septembre aux Etats-Unis. La séance a été suspendue à Djakarta pour une "durée indéterminée" alors que le principale indice de la place chutait de 10,38 %. La déconfiture atteignait des proportions tout aussi catastrophiques ailleurs dans la région. A 7 heures, Hongkong perd 5,55 %, Séoul 4,80 %, Sydney 4,97 %, Shanghaï 3,08 %, Singapour 4,98 %, Bombay 5,50 %, Bangkok 5,62 %, Taïpeh 5,30 %, Manille 4,80 %, Kuala Lumpur 2,19 % et la Nouvelle-Zélande 1,90 %.

Invité lensois_02
Posté(e) (modifié)

moi je vais surement m'ouvrir un compte de titre, avec ce qu'on va investir la y'a moyen de ce faire pas mal d'argent a moyen terme. :banana:

 

ps: merde doublon

Modifié par lensois_02
Posté(e)
je vais peut etre tenter d'ouvrir un compte de titre moi.

 

la sa vaut vraiment le coup de joueur en bourse, parceque vu le niveau sa va forcément remonter, et la y'a de gros benef a faire.

 

Un peu comme Eurotunnel :whistling:

Invité lensois_02
Posté(e)
Un peu comme Eurotunnel :whistling:

eurotunel aux dernières nouvelles était pas mal remonté.

la sa se recasse la geule.

mais c'est pas vraiment sur quoi je parierai. ;)

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