On a jouait avec le frein à main, mais on avait besoin de se rassurer défensivement, d'ailleurs si Clauss et surtout Frankowski ont étaient moins présent offensivement ce n'est sans doute pas un hasard, d'autant que face à Rennes il valait mieux être très prudent, quitte à lâcher les chevaux sur la fin. J'ai apprécié gagner cette rencontre car il s'agissait d'une guerre des nerfs, pour laquelle il fallait allier solidité et patience, ce qui change de notre jeu plutôt euphorique bien sûr, mais hier soir on a su s'adapter à notre adversaire.