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manico

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Tout ce qui a été posté par manico

  1. Létang qui dit à demi-lot que le titre de champion de son club est dû à la chance et anticipe déjà les mauvaises performances à venir de son équipe. C'est sûr, ça va motiver ses joueurs et son coach cette grande marque de confiance envers eux ? https://www.footmercato.net/a411382551692966837-la-surprenante-analyse-de-letang-sur-le-titre-du-losc
  2. Jour de match 876 : France-Finlande Publié le 7 septembre 2021 - Bruno Colombari Les équipes qui ont battu deux fois d’affilée les Bleus au 21e siècle, les matchs du 7 septembre, 2021 candidate au record de matchs nuls, Lloris espère autant de victoires que Desailly et la génération 1993 au coude-à-coude avec celle de 1955. 876e match depuis 1904 : 435 victoires, 185 nuls, 255 défaites ; 1557 buts marqués, 1208 encaissés) 543e match à domicile : 262 victoires, 89 nuls et 101 défaites ; 904 buts marqués, 522 encaissés 366e match en compétition : 208 victoires, 80 nuls, 77 défaites ; 700 buts marqués, 363 encaissés 10e match contre la Finlande : 8 victoires, 1 défaite ; 18 buts marqués, 5 encaissés 3e match à Décines-Charpieu : 1 victoire, 1 nul ; 3 buts marqués, 2 encaissés Pas deux fois de suite, quand même ! Dernier vainqueur des Bleus (en novembre 2020, 2-0 au Stade de France), la Finlande a bon espoir de récidiver, compte tenu des performances actuelles des champions du monde et du classement du groupe. S’il n’est pas fréquent que l’équipe de France perde deux fois d’affilée face au même adversaire, ça arrive : lors des vingt dernières années (ou au 21e siècle, comme vous voulez), l’Allemagne l’a fait en 2013 (2-1) et 2014 (1-0), tout comme l’Argentine en 2007 (1-0) puis 2009 (2-0), le Brésil en 2013 (3-0) et 2015 (3-1) et l’Ecosse en 2006 et 2007 (1-0 à chaque fois). L’Espagne a même fait mieux (ou pire) avec trois victoires consécutives en 2008 (1-0), 2010 et 2012 (2-0). Mais seule l’Ecosse l’a fait deux fois de suite en compétition depuis 2000, alors que l’Argentine a enchaîné deux victoires en France. Jouer un 7 septembre Ce n’est que dans la période très récente, depuis 2010, que le 7 septembre est devenu une date récurrente dans le calendrier des Bleus. Avant, on ne trouve date que de trois matchs à l’extérieur avec des fortunes diverses : une victoire en amical en Pologne, une défaite au Danemark pour les débuts de Joël Bats et un nul en Slovaquie en 1994. Depuis 2010, c’est beaucoup mieux : hormis un nul à Belgrade contre la Serbie (1-1) dans un match sans enjeu, les Bleus ont gagné à Sarajevo contre la Bosnie, à Helsinki face à la Finlande (pour la dernière sélection d’Abou Diaby, auteur d’un but ce soir-là), en 2015 contre la Serbie à Bordeaux et il y a deux ans face à l’Albanie à Saint-Denis. Pologne (1974) à Wroclaw - 2-0 - Amical Danemark (1983) à Copenhague - 1-3 - Amical Slovaquie (1994) à Bratislava - 0-0 - qEuro Bosnie (2010) à Sarajevo - 2-0 - qEuro Finlande (2012) à Helsinki - 1-0 - qCM Serbie (2014) à Belgrade - 1-1 - Amical Serbie (2015) à Bordeaux - 2-1 - Amical Albanie (2019) à Saint-Denis 4-1 - qEuro Finlande (2021) à Décines-Charpieu - qCM Les stats à surveiller Avec six nuls, l’année 2021 est bien partie pour faire au moins aussi bien que 2004, qui en a compté sept, un record. Cette année-là, qui faisait suite à 2003 sans le moindre nul (une défaite et treize victoires consécutives) avait vu les Bleus caler aux les Pays-Bas en mars (0-0), contre le Brésil en mai (0-0), face à la la Croatie en juin (2-2), contre la Bosnie en août (1-1), devant Israël en septembre (0-0), l’Irlande en octobre (0-0) et la Pologne en novembre (0-0), les trois derniers à Saint-Denis d’ailleurs. Avec cinq 0-0, 2004 établissait au passage un autre record aux vertus soporifiques. Il n’y en a pas eu un seul (pour l’instant) en 2021. Qui sera le 919e Bleu de l’histoire de l’équipe de France ? Il ya trois candidats qui ne sont pas entrés en jeu à Kiev : Théo Hernandez (AC Milan), Nordi Mukiele (RB Leipzig) et Mattéo Guendouzi (OM). Il est probable qu’un des trois au moins fera une apparition contre la Finlande, en fonction de l’évolution du score. Même si les changements concernent plutôt les joueurs offensifs. En cas de victoire, Hugo Lloris rejoindra Marcel Desailly au nombre de matchs gagnés (78). Mais le champion du monde 1998 n’a eu besoin que de 116 sélections pour atteindre ce total, contre 132 pour Lloris. Et le gardien des Bleus a perdu 22 fois contre 12 pour le défenseur central. Le record à battre, détenu par Lilian Thuram (93) sera difficile à aller chercher. La génération 1993 (celle de Pogba, Varane, Digne et Veretout, pour ne parler que du groupe actuel) va certainement rejoindre, et peut-être dépasser, celle de 1955 au cumul de sélections. La génération dorée de Platini, Bossis, Tigana ou Rocheteau (qui compte six autres joueurs) a terminé son parcours avec 288 capes. Celle de 1993 en est à 286. Parmi les joueurs contemporains, c’est la troisième au cumul des sélections après 1986 (346 pour 8 joueurs dont Lloris et Giroud) et 1987 (337 dont Benzema et Matuidi). Le record est détenu par 1977 avec 382 capes en seulement 7 joueurs (dont Henry, Gallas et Trezeguet). Joueurs et buteurs contre la Finlande 90 joueurs ont participé à au moins un match contre la Finlande, mais ils ne sont que quatre à l’avoir fait trois fois : Bixente Lizarazu, Marcel Desailly, Christian Karembeu et Didier Deschamps entre 1992 et 1998. Benzema, Lloris et Pogba, qui en comptent deux, pourraient les rejoindre mardi. Côté buteurs, là aussi c’est très modeste, puisque seuls Jean-Pierre Papin, Maryan Wisniewski et Jacques Faivre ont marqué deux fois. Onze autre joueurs ont inscrit un but : Benzema (seul international contemporain), Ribéry, Blanc, Pedros, Cantona, Trezeguet, Abou Diaby, Loko, Piantoni, Schultz et Ujlaki. https://www.chroniquesbleues.fr/Jour-de-match-876-Finlande
  3. Deschamps prépare déjà le terrain pour une éventuelle contre-performance contre la Finlande : Sur qui pouvez-vous compter pour demain contre la Finlande ? C'est une bonne question. On vient d'apprendre que Jules (Koundé) a pris deux matches (de suspension). Il n'est pas disponible. Aurélien (Tchouaméni) va mieux. Il peut marcher et courir. Mais comme c'est un coup sur le pied, pour la prochaine étape, taper dans le ballon, il faudra voir. Kingsley (Coman) a un petit souci au mollet. Il doit passer des examens. J'ai rappelé Wissam (Ben Yedder) qui nous rejoindra ce soir en attendant de voir la situation de Kingsley. Thomas (Lemar) a eu une petite gêne musculaire et derrière une gastro assez forte mais il sera dans la séance aujourd'hui. J'espère me tromper mais avec Deschamps on va avoir une équipe du style: Lloris - Dubois, Varane, Kimpembe, Digne - Pogba, Veretout - Diaby, Griezmann, Rabiot - Benzema
  4. M'Bappé, Coman out. Il va rappeler quelqu'un ou pas? Après Rabiot-Coman on va avoir Rabiot-Guendouzi pour jouer sur les ailes?
  5. manico

    [Coach] Franck Haise

    RC Lens : Franck Haise salue « un très bon mercato» L’entraîneur lensois dresse le bilan d’un mercato réussi dans l’équilibre qu’il souhaitait donner à un groupe qui a encore une belle marge de progression. Didier Deschamps doit-il prendre Jonathan Clauss ? « Le choix lui appartient. Ce qui est sûr, c’est que Jo, ça fait une quinzaine de mois qu’il est avec nous et quand on l’a recruté, on savait qu’on avait affaire à un bon joueur. Il a franchi des étapes et il peut encore en franchir. Je ne sais pas où il s’arrêtera. Il a progressé sur les aspects défensifs. Il a aussi progressé dans la variété de ses déplacements. Et puis à l’image de son but contre Lorient, on travaille depuis presque un an de façon hebdomadaire avec quelques joueurs sur les coups de pied arrêtés. Sur les coups francs, à J-2 le week-end dernier, quand on a fait la séance, il avait un but sur deux. On avait fait vingt coups francs, il y avait eu dix buts et cinq qui étaient ou un arrêt exceptionnel ou une barre ou un poteau. Un joueur qui marque ou qui fait marquer trois, quatre, cinq, six buts, c’est aussi une plus-value. » Le mercato est terminé, c’est une bonne chose ? « On a été assez sereins. D’abord parce qu’on est en phase avec Flo (Ghisolfi) et la cellule recrutement et la direction. On a réussi à faire assez vite un certain nombre de joueurs qu’on voulait avec les conditions qu’on connaît, notamment économiques. On savait qu’il y aurait au moins une vente, il fallait une vente importante. Ça s’est fait avec Loïc Badé parce que c’est là que ça a bougé assez vite. On avait bien avancé dès le départ avec Macha (Machado) et Wesley (Saïd). Sur la fin, on a été patients pour Frankie (Frankowski) qui a remplacé Clément (Michelin) et Kevin (Danso). Et pour le dernier, Kali(Kalimuendo), ça s’est fait un peu plus tard. On savait que c’était une possibilité, mais il y a tellement de choses qui ne dépendaient pas de nous sur ce dossier. Après, on avait trop d’attaquants. Dans notre système, c’est bien d’en avoir cinq plus un jeune qui j’espère tapera à la porte à un moment dans la saison (Baldé). Mais six attaquants d’expérience, c’était un de trop. On a eu une opportunité pour Simon(Banza) qui progresse et qui va encore progresser, c’est un bon challenge pour lui (prêté à Famalicao). On a fait Chris (Wooh) assez vite et je ne parle pas des options d’achat (Kakuta, Farinez) et des prolongations. Et des jeunes de la formation ou post-formation qui arrivent (Varane, Louveau, Baldé, Pandor, Camara, Lesieur). On verra comment eux évolueront parce que ce sont des joueurs à potentiel. Au final, ça fait un tiers de l’effectif qui a bougé. L’ossature a été conservée, sur les 16 joueurs qui ont beaucoup joué, on en a gardé 15. Pour nos joueurs prêtés (Camara au Mans, Oudjani à Saint-Brieuc), j’espère qu’ils passeront des caps. » Comment jugez-vous votre effectif tel qu’il est par rapport à la saison dernière ? Est-il plus armé ? « Sur les pistons et dans l’axe, on a voulu avoir au moins aussi performant que ce qu’on avait. J’espère qu’il se confirmera qu’ils le sont même un peu plus. Je trouve qu’au vu des conditions, on a fait un très bon mercato. Avec l’effectif que j’ai, je suis à la fois content de la qualité des joueurs, ça confirme ce qu’on avait étudié, et en même temps, sur le plan humain, on ne s’est pas non plus trompés. Un recrutement, on sait qu’il est réussi à la fin de la fin de saison, mais pour moi, il est réussi. » Il s’est terminé par un retour presque inattendu, celui d’Arnaud Kalimuendo… « Ça n’a pas été simple. À partir du moment où c’est un très bon jeune joueur, il y avait du monde dessus. Beaucoup de clubs en France et à l’étranger, pour des prêts, des transferts. Flo et la direction du club ont été bons. Kali sait comment on fonctionne. Même si le groupe a un peu changé, le noyau dur est toujours là. Il sait quelle est la vie à l’intérieur du groupe. Un autre élément fort, il sait qu’il est attendu. Il a joué dans un stade vide et ça va lui faire passer un autre cap de jouer avec nos supporters. S’il est là, c’est évidemment du fait de tout ça, parce que des propositions bien supérieures, il en a eues. Kali sait très bien ce qu’il veut faire. C’est un jeune joueur très intelligent, qui a mesuré que pour encore franchir une étape, c’était bien de le faire ici. » On a vu votre équipe faire de très bons matchs, refuser la défaite, mais a-t-elle de la marge ? « On a le 16e ou 17e budget. Si on pense qu’à 80 % on va pouvoir performer… On ne fait pas tout bien. Avec ces imperfections, je sais qu’on a tout donné. On est loin d’être à 100 %. On a progressé sur certains points, dans la capacité à se créer des occasions, à remonter le ballon. Faire un match aussi solide à Monaco, qui a frappé presque tout le temps hors de la surface sans se créer une véritable occasion, ça veut dire quand on est capable de ça, qu’on a progressé sur certains aspects. Le plus dur, c’est de mettre toutes ces choses chaque week-end. Et ne pas louper un ingrédient ou deux. Tant que j’ai des joueurs qui sont tournés vers le collectif, dans l’effort, je vais accepter qu’untel me loupe deux passes faciles pour lui, qu’untel loupe un but dont je me dis il n’était pas trop compliqué à mettre, qu’untel me fasse une erreur derrière qui coûte un but. Tant que les mecs sont dans le travail pour l’équipe, dans les principes et dans ce qu’on a demandé. » Il y a eu beaucoup de nouveaux derrière, êtes-vous satisfait des nouveaux automatismes ? « Ça dépend des matchs, des entraînements. L’aspect défensif dépend de l’ensemble de l’équipe. Plus ils vont s’entraîner ensemble, plus ils vont jouer ensemble… parce qu’on a quand même des nationalités différentes, encore plus qu’avant. La défense, ça nécessite des réglages au détail pour que ce soit très performant et pour anticiper les problèmes de com’ et au fait qu’on ne peut plus s’entendre de la même manière. Il y a des choses pour lesquelles ça doit être instinctif où juste un regard ou un positionnement doit leur permettre de comprendre qu’on doit gagner trois mètres ou on doit contrôler un adversaire, reculer ensemble, coulisser plus vite. Il faut qu’ils aient des repères communs. » Vous donnez beaucoup de consignes, est-ce qu’avec les stades pleins, ça change votre façon de coacher ? « Je parlais un peu, mais le peu était entendu par les joueurs. Là, ça peut être pendant une coupure, des signes, un regard. Après quand ils sont concentrés dans le match, quand ça joue, ça joue. C’est pour ça que ce qui compte, c’est le travail de la semaine et qu’eux se créent le plus de repères en communs. » Est-ce qu’un an de coupure de public nécessite de réapprendre certaines choses ? « Il faut retrouver justement des repères, pas vocaux mais visuels, de situations à lire très vite. Il ne faut pas être embarqué dans l’émotion. Inévitablement, il y a une réadaptation. Bollaert, ce n’est pas n’importe quel stade, pas n’importe quelle ambiance. Il y a un peu d’adaptation à avoir. Moi ce qui m’a plu, c’est qu’on a eu des moments difficiles à domicile, mais qu’on envoie jusqu’au bout. On a une grosse force mentale. » Source: VDN / VDS
  6. Finalement, son transfert à Lille a capoté: Eddy Zdziech a estimé que les propositions étaient insuffisantes. « Venir à la dernière journée du mercato cela fait partie du jeu et on était flatté que le LOSC s’intéresse à un de nos joueurs. Mais l’affaire n’est belle que si tout le monde est content et ce n’était pas le cas pour nous. Ce n’est pas au club le moins riche de se sacrifier. »
  7. manico

    [Retraite] Yannick Cahuzac

  8. Non au contraire, on l'autorise même à sévir dans un autre club français.
  9. manico

    Anciens Lensois

    https://maligue2.fr/2021/09/06/guinee-issiaga-sylla-toulouse-parle-du-coup-detat-on-est-a-10-minutes-de-laeroport-mais-on-ne-peut-pas-bouger/
  10. LOSC : Olivier Létang met les choses au point sur les finances du club, « on n’a rien à cacher » Le président du LOSC fait le point sur la situation financière du club nordiste et en profite pour rétablir quelques vérités, chiffres à l’appui. Mercredi soir, Gérard Lopez était l’invité de RMC et il est revenu sur son éviction du LOSC en maintenant que le club ne serait pas en cessation de paiement en janvier 2021. Une situation qu’Olivier Létang avait dénoncée à son arrivée fin décembre en précisant l’apport immédiat de 40 millions d’euros de Merlyn Partners. Le PDG du LOSC a tenu à rétablir la vérité, chiffres à l’appui. « Je n’aime pas critiquer ce qui s’est passé auparavant. Mais au bout d’un moment je dis stop, surtout si on me soupçonne de mentir, il faut dire la vérité et arrêter de raconter des histoires. Pour revenir sur le LOSC, quand un club génère un déficit opérationnel structurel, et présente une dette au 31/12/2020, hors dette financière, de 160 M€ (87 M€ de dettes auprès des clubs à qui vous avez acheté des joueurs, 39 millions de dettes fournisseurs dont 29 millions de dettes d’agents, 33 millions de dettes fiscales et sociales dont 18 millions de dettes vis-à-vis de l’URSSAF) avec un cash disponible de 9 M€ (selon nos informations la dette financière est de 220 M€), ce club est dans une situation de naufrage économique. Le club aurait été incapable de répondre à ces échéances et était donc en état de cessation de paiement. Ce sont des chiffres validés par notre commissaire aux comptes », a détaillé Olivier Létang avant de s’attarder sur le transfert d’Osimhen. « On n’a rien à cacher » « Vous voulez tout savoir. Au départ tout le monde pense que la vente d’Osimhen, c’est 81 M€. La vente d’Osimhen sur l’accord de transfert c’est 68 M€. Comme vous le savez, quatre joueurs sont arrivés en provenance de Naples. La valorisation de ces quatre joueurs, en cumulé, c’est selon les acteurs spécialisés au maximum 500 000 Euros. Or ces quatre joueurs ont été achetés 20 M€. À cela viennent s’ajouter des choses dont je ne peux pas parler puisque notre commissaire aux comptes a fait des révélations auprès du procureur de la République. J’ai aussi entendu qu’aucun agent n’avait été mandaté pour le transfert d’Osimhen. Un agent a bien été mandaté le 27 juillet 2020 et le contrat de transfert a été signé le 27 juillet 2020. C’est factuel aussi ça donc il faut arrêter de mentir et manipuler. » Le PDG du LOSC ne comprend pas la communication de son prédécesseur. « Il est très fort mais la communication n’est pas plus forte que les chiffres. À un moment, il faut un discours vrai. Les comptes du LOSC n’étaient jamais déposés. Aujourd’hui nos comptes sont à disposition et on n’a rien à cacher. C’est ça être responsable. Ma mission est de prendre soin de ce très beau club, de le pérenniser, pas de faire croire n’importe quoi et de vivre chaque année en le mettant en danger comme ça a été fait. Le LOSC existait avant nous et il existera après. » Source: VDN
  11. On a perdu a domicile contre la Finlande en novembre dernier. Et on reste sur 5 nuls (une 1ère dans l'histoire des bleus) en grande partie face à des pays moyens ou faibles, je pense que c'est surtout ça et un jeu en déliquescence qui est souligné.
  12. Je dois être un des rares à ne pas être du tout emballé à l'idée que Zidane soit sélectionneur. Deschamps semble désormais dépassé mais à la base il est un bien meilleur tacticien que Zidane à mon sens même si son style de jeu n'a jamais été celui que j'aime.
  13. J'espère au moins qu'on aura Mukiele et T. Hernandez sur les côtés face à la Finlande.
  14. Pour l'Ukraine dans cette poule ça fait 5 matchs, 5 nuls.
  15. Magnifiques le contrôle et la remise de Benzema.
  16. L'air de rien on se souviendra du but de Martial, c'est le 700ème but de la France en compétition. Pour le reste, encore 49 et il rejoint Thierry Henry.
  17. L'équipe ne perdrait pas forcément au change avec un Savanier (par exemple) à la place de Griezmann (qui n'est depuis un bon moment plus que l'ombre de ce qu'il a été).
  18. Il rejoint notamment Debuchy, Boghossian ou Sakho avec 2 buts en EdF ?
  19. Martial a marqué ?
  20. Ripoll va bientôt pouvoir prendre la relève
  21. Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'il est critiqué, déjà à la CDM 2018 il se faisait défoncer avec la phase de poule pathétique et surtout ce fameux "match" contre le Danemark. A l'époque il y avait tout de même de la cohérence avec la solidité défensive, là c'est devenu du grand n'importe quoi et il semble clairement dépassé à tous les niveaux.
  22. Sinon petit rappel de Martial en bleu : 1 but en 28 matchs (et demi), il a le même ratio que Boumsong ou Roche, défenseurs centraux.
  23. Trop tard il joue pour le Cap-Vert.
  24. Deschamps il te sort Varane du 11 au moment d'affronter l'adversaire le plus dangereux du groupe chez lui, ça c'est du coaching. Au moins il aurait pu le replacer par Koundé. Ah ben non il l'a fait jouer à un autre poste qu'est le sien et il s'est pris un rouge.
  25. Au top Kimpembe et Zouma sur le but ? Quant à Digne il est où?
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