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L'Australie se qualifiera-t-elle avec la France? Un joueur doit le souhaiter...

Przemyslaw Frankowski, la bonne pioche polonaise du RC Lens Alors qu’il doit affronter l’Arabie Saoudite avec la Pologne samedi, le Lensois Przemyslaw Frankowski confirme après avoir été une bonne surprise lors de sa première saison chez les Sang et Or. Przemyslaw Frankowski s’est fait un nom dans l’Artois. Débarqué au RC Lens en provenance de la MLS lors de l’été 2021, le Polonais fait partie des valeurs sûres de Franck Haise cette saison encore. Le piston est un habitué de sa sélection, avec laquelle il totalise presque 30 sélections depuis ses débuts fin 2017. Entré à une vingtaine de minutes de la fin contre le Mexique mardi (0-0), il espère une place de titulaire pour le match de la Pologne face à l’Arabie Saoudite samedi. Premier buteur polonais pour le Racing depuis Jacek Bak, 17 ans plus tôt, Przemyslaw Frankowski a bouclé sa première saison lensoise avec 6 buts et 5 passes décisives en 37 matchs. Celui qui a disputé les 15 premières rencontres de l’exercice en cours totalise 2 offrandes en championnat, lui qui peut jouer dans les deux couloirs. Déniché aux États-Unis Mais il serait réducteur de ne parler de Frankowski que par le prisme des statistiques. Déniché par l’ex-coordinateur sportif Florent Ghisolfi aux États-Unis (Chicago Fire), le natif de Gdansk se distingue par sa vivacité, sa qualité technique et son sens du collectif. « Quand il y a de la réussite, ou des aspects décisifs dans son jeu, c'est encore mieux », saluait son entraîneur Franck Haise. « Il est calme, talentueux et peut jouer à plein de postes. Peu importe où il joue, il est très bon. Je pense que sa plus grande qualité est l'intelligence de jeu. Il est très juste techniquement et sublime souvent les autres », commente le gardien Jean-Louis Leca. Pologne et Lens, duo historique Arrivé en août 2021, Frankowski n’avait pas mis beaucoup de temps à s’adapter, passeur décisif avec le RC Lens moins de 15 jours après son dernier but outre-Atlantique. Des débuts parfaits pour un joueur à la mentalité exemplaire, comme le souligne son entraîneur : « C'est un joueur ouvert, souriant, et aussi intelligent que technique. Cela fait beaucoup de bons éléments pour s'acclimater et s'intégrer facilement. » Ce tableau ressemble à celui d'autres renforts attirés par les dirigeants lensois ces dernières années. « De nouveau, nous avons eu des recrues avec beaucoup de qualités footballistiques et humaines », atteste Haise. « C'est un garçon très attachant, très professionnel, abonde Leca. Quand il est arrivé, il a dit qu'il n'avait pas trouvé qu'un club de football, mais une famille. » La famille lensoise a décidé de faire un peu de place à une nation polonaise qui lui a si souvent rendu service, avec Jacek Bak donc mais aussi Joachim Marx, Pawel Kryske ou le buteur des années 1970 Eugeniusz Faber.

De Lacazette à Dante en passant par Lafont, focus sur tous les capitaines cette saison en Ligue 1 Uber Eats. Au total, ce sont 46 joueurs qui ont porté le brassard au coup d’envoi d’une rencontre en 2022/23. Avec cinq capitaines, l’ESTAC Troyes est l’équipe qui a eu le plus de porteurs du brassard différents depuis l’ouverture de la saison : Tardieu et Rami 5 fois, Gallon 3 fois, Salmier et Palmer-Brown une fois. Birama Touré (AJ Auxerre), Alexandre Lacazette (Olympique Lyonnais) et Yunis Abdelhmid (SdR) sont les trois seuls joueurs à avoir porté le brassard lors des 15 journées disputées cette saison. Lors du match d’ouverture de la saison contre Ajaccio, le capitaine des Gones a même retrouvé son brassard plus cinq ans après la dernière fois (vs MHSC, mai 2017). Derrière les Troyens, le RC Strasbourg Alsace, le Paris Saint-Germain, l’OM, l’AC Ajaccio, Angers SCO et le Clermont Foot sont les 6 clubs à avoir connu trois capitaines en 2022/23. Depuis la J01, 11 joueurs ont été capitaines de leur formation à une seule reprise au coup d’envoi : Nouri-ACA, Doumbia-SCO, Magnin-CF, Bamba-LOSC, Guendouzi-OM, Blas-FCN, Lemina-OGCN, Verratti-PSG, Thomasson-RCSA, Salmier-ESTAC et Palmer-Brown-ESTAC. Seulement 3 joueurs ont été nommés capitaines par leur entraîneur cette saison, alors qu’ils n’évoluaient pas au club en 2021/22 : Pierre Lees-Melou au SB29, Nabil Bentaleb au SCO et Alexandre Lacazette à l’OL. Même si ce dernier a un statut à part, puisqu’il effectue son retour dans son club formateur. De Lafont à Dante Le doyen des capitaines de Ligue 1 Uber Eats est Dante avec l’OGC Nice. Le Brésilien, âgé de 39 ans, a porté à 14 reprises le brassard des Aiglons après 15 journées. Il est de deux mois l’aîné de José Fonte (LOSC) qui fêtera ses 39 ans cinq jours avant le déplacement des Lillois à Clermont lors de la J16 le 28 décembre prochain. Derrière le duo d’expérimenté, 14 capitaines cette saison ont dépassé les 30 ans, dont même six les 35 ans : Riad Nouri (37 ans), Adil Rami (37 ans le 27 décembre), Mathieu Coutadeur (36 ans), Dimitri Payet (35 ans), Yunis Abdelhamid (35 ans), Pierrick Capelle (35 ans), Dimitri Liénard (34 ans), Johan Gastien (34 ans), Florent Ogier (33 ans), Vincent Le Goff (33 ans), Florian Sotoca (32 ans), Alexandre Lacazette (31 ans), Brecht Dejaegere (31 ans), Téji Savanier (31 ans le 22 décembre). Déjà capitaine à 14 reprises, Alban Lafont (23 ans) est le plus jeune joueur de Ligue 1 Uber Eats à avoir été porteur du brassard au coup d’envoi cette saison. Capitaine marseillais face au LOSC en septembre, Mattéo Guendouzi est lui le 2e plus jeune, puisqu’il est trois mois plus âgé que le Nantais. A 24 ans, Axel Disasi complète le podium avec ses 4 capitanats sur le Rocher. Du côté des postes, Alban Lafont fait partie des deux seuls gardiens à avoir été capitaines. Le Canari est accompagné par le Troyen Gauthier Gallon, nommé à trois reprises par son coach. Les joueurs offensifs sont aussi clairement minoritaires parmi les capitaines en Ligue 1 Uber Eats avec comme représentants, Nouri (ACA), Lacazette (OL), Sotoca (RCL), Bamba (LOSC), Payet (OM), Ben Yedder (ASM), Savanier (MHSC), Blas (FCN), Bourigeaud (SRFC). Soit 9 joueurs sur 46 capitaines au total.

Ce qui est tordu c'est de célébrer un but que tu n'as pas inscrit et d'essayer de faire croire que tu l'as marqué, juste pour de la stat personnelle.

Et il s'est permis de célébrer comme s'il avait marqué (comme dab pour ses stats) en sachant pertinemment que ce n'était pas le cas, une attitude gerbante de plus de sa part sur un terrain et irrespectueuse pour Bruno Fernandes le buteur. Déjà qu'il a volé un penalty en simulant contre le Ghana, zéro classe ce joueur.

Ça fait 3 pays à 6 points après 2 matchs sur cette phase de poules, la France, le Brésil et le Portugal. Pas très convaincants les portugais mais ça ne veut pas dire grand chose sur la suite et les matchs à élimination directe à venir, on l'a vu avec nous en 2018.

Pas la meilleure des ambiances avant d'aborder un match crucial face à la Croatie. Ça sent la fin de leur fameuse "génération dorée". Je ne les vois pas battre les croates.

Bessière et Dubois sont là ou déjà libérés ?

Ben il paraissait évident à tout le monde sauf à Deschamps de prendre davantage de latéraux plutôt que de ne prendre quasiment que des joueurs axiaux de métier, surtout quand tu annonces que tu vas jouer avec une défense à 4.

Un comble de mettre arrière gauche un milieu remplaçant du Real Madrid au lieu de sélectionner et de mettre le titulaire du poste au Real Madrid.

Camavinga devrait bien être titualire au poste d'arrière gauche mercredi. Il y aurait 8 changements attendus pour l'instant, seuls Varane, Griezmann et M'Bappé seraient reconduits dans le 11. Les 8 joueurs pressentis : Mandanda, Pavard, Konaté, Camavinga, Guendouzi, Fofana, Coman et Thuram.

Gala apprécie que les bleus reprennent son titre.

Le gros plus pour la France par rapport à tous les autres (en attendant demain les résultats de Brésil-Suisse et Portugal-Uruguay) c'est le fait de d'ores et déjà être qualifiée et de pouvoir faire tourner sur le 3ème match de poule. C'est loin d'être négligeable, surtout compte tenu que la période à laquelle se joue la compétition n'a pas permis de réelle préparation à la plupart des sélections.

Et de 2, ça va mal pour les belges. Le Maroc qui va probablement passer, la Croatie ou la Belgique sera éliminée en poule.

Toujours pas d'Openda.

Cette fois il est valable.

Oui, Onana sur cette mi-temps et Courtois qui leur a sauvé la mise sur le 1er match.

Déjà il faut qu'ils se qualifient, c'est loin d'être fait. Une défaite face à la Pologne et ils passent à la trappe. Même un nul pourrait ne pas être suffisant.

La Belgique a du cul pour l'instant, entre le Canada qui les a archi dominé et là le but marocain qui se joue à peu de choses.

Il y a un hors-jeu de position. Il joue le ballon même s'il ne le touche pas, ça va être refusé logiquement.