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Savanier et surtout Touzghar dont la faute était vraiment dangereuse prennent autant que SAS.
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COMMISSION DE DISCIPLINE : LES DÉCISIONS DU 26 AVRIL 2023 Réunie le 26 avril 2023, la Commission de Discipline de la LFP a pris les décisions suivantes : EXCLUSIONS LIGUE 1 UBER EATS Trois matchs fermes de suspension Téji SAVANIER (Montpellier Hérault SC) Yoann TOUZGHAR (AC Ajaccio) Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1 Uber Eats, Coupe de France, Trophée des Champions) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du mardi 2 mai 2023 à 0h00. Emmanuel AGBADOU (Stade de Reims) Ismaël DIALLO (AC Ajaccio) Mounaïm EL IDRISSY (AC Ajaccio) Boubakar KOUYATÉ (Montpellier Hérault SC) Bamo MEÏTÉ (FC Lorient) Corentin TOLISSO (Olympique Lyonnais) POLICE DES TERRAINS Usage d’engins pyrotechniques et expressions orales constatées LIGUE 1 UBER EATS 31ème journée de Ligue 1 Uber Eats : Olympique de Marseille – ESTAC Troyes du 16 avril 2023 Comportement des supporters de l’Olympique de Marseille : usage d’engins pyrotechniques et expressions orales constatées • Fermeture pour deux matchs fermes dont un match par révocation du sursis de l’espace réservé aux Fanatics du virage Nord de l’Orange Vélodrome. • Fermeture pour un match avec sursis de l’espace réservé aux Winners du virage Sud de l’Orange Vélodrome. La sanction prend effet à partir du mardi 2 mai 2023. La prochaine réunion de la Commission de Discipline aura lieu le mercredi 3 mai 2023 à 18h.
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Ce serait donc pour Reims et/ou pour le dernier match de la saison à Bollaërt face à Ajaccio.
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Ce n'est malheureusement pas près de changer
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En même temps, si tu commences à être sérieux où va-t-on.
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Toulouse FC – RC Lens (mardi 2 mai, 21h00) Arbitre principal : Bastien DECHEPY Arbitres assistants : Brice PARINET LE TELLIER et Julien HAULBERT 4e arbitre : Mehdi MOKHTARI Arbitres assistants vidéo : Dominique JULIEN et Christian GUILLARD
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Interview croisée : Julien Lacour et Mickaël Delestrez (Toulouse FC) Julien Lacour, directeur du centre de formation du Toulouse FC, et Mickaël Delestrez, directeur technique du centre de formation, se confient sur leur rôle respectif et le fonctionnement de la formation toulousaine. A l’occasion de l’émission « Passe D » consacrée au TéFéCé depuis le Stadium sur la chaîne Twitch de la Ligue 1 Uber Eats il y a quelques semaines, Julien Lacour, directeur du centre de formation, et Mickaël Delestrez, directeur technique du centre de formation, ont expliqué leur rôle, détaillé leur vision de la formation et partagé certains discours qu’ils transmettent aux jeunes tout au long de leur apprentissage. Quels ont été vos parcours avant d’arriver au Toulouse FC ? Julien Lacour (directeur du centre de formation) : Ça fait deux ans que je suis en fonction au sein du club. Auparavant, j’ai travaillé pendant 15 ans dans le monde du rugby, à l’ASM Clermont et à Oyonnax, et je viens à l’origine du monde du judo. Mickaël Delestrez (directeur technique du centre de formation) : Pour ma part, je suis un nouvel arrivant au TéFéCé puisque j’ai rejoint le club en juillet dernier. Avant cela, j’ai passé l’essentiel de ma carrière à la formation dans le nord de la France, au LOSC et au RC Lens, et j’ai également été entraîneur adjoint à deux reprises, à Boulogne et Tubize. Pouvez-vous nous détailler vos rôles respectifs au sein du centre de formation ? JL : On a un fonctionnement un peu singulier. Peu de structures sont organisées comme la nôtre (avec deux directeurs) mais c’est une volonté de notre Président Damien Comolli dans laquelle on se retrouve pleinement. D’un point de vue personnel, je m’occupe de la gestion managériale, financière et de l’organisation. MD : De mon côté, j’ai sous ma responsabilité la partie technique. C’est-à-dire la méthodologie des entraînements et la gestion des effectifs et des éducateurs. Puis, je suis également entraîneur des U17 nationaux. Où situez-vous le centre de formation du TéFéCé par rapport aux autres clubs français ? JL : Sans mauvais ego, je pense qu’on se situe sur le devant de la scène. On fait partie des structures qui ont trouvé leur bon rythme de fonctionnement depuis plusieurs saisons. Le club permet à de nombreux joueurs de passer professionnels chaque saison. Le cap qui nous est donné, c’est qu’à moyen terme 50% de l’effectif pro soit issu de la formation. « Le premier critère qui est indispensable pour jouer chez nous, c’est de comprendre le jeu » Cet objectif est fixé dans le but d’apporter une identité plus locale au sein de l’équipe première ? JL : C’est une volonté conforme à la stratégie et à la culture du club. Cela a été validé par l’ensemble de la direction il y a déjà quelques mois. Le centre doit être un des piliers de fonctionnement de la structure. C’est une preuve de bon sens à la fois économique et stratégique. On considère aussi que vis-à-vis de nos fans et de nos partenaires, c’est quelque chose dans lequel ils se retrouvent. Finalement, c’est une stratégie à l’image du club, qui est à nouveau jeune, qui s’offre un nouveau souffle. A quoi correspond aujourd’hui l’identité inculquée au centre de formation du Toulouse FC ? MD : On transmet un état d’esprit. C’est-à-dire l’idée que les gens viennent au stade pour voir une équipe qui attaque et qui est actrice de son projet. On veut enchaîner les succès. Aujourd’hui, si on veut acquérir ça avec le plus de certitudes, il faut essayer de mettre plus de buts que l’adversaire. Dans toutes les équipes de jeunes, on est proactifs, on cherche à attaquer. Si on ne peut pas le faire parce que le rapport de force nous est défavorable, alors on tente d’attaquer d’une autre manière. Mais on ne veut pas être amené à subir. Le premier critère qui est indispensable pour jouer chez nous, c’est de comprendre le jeu. C’est l’essence même de notre méthodologie de recrutement. Justement, comment est organisé le recrutement pour les équipes de jeunes ? MD : Tout d’abord, le joueur doit évoluer dans des équipes qui ont un certain niveau. Pourquoi ? Car le potentiel du joueur recherché doit pouvoir s’exprimer à haut niveau de performance. On a une cellule de recrutement qui observe un certain nombre de matchs et qui, en connaissance de nos effectifs, compare les uns et les autres. Si elle estime qu’un joueur répond à l’ADN du club, à l’état d’esprit, à la mentalité et à un profil recherché au sein de nos effectifs, elle nous l’amène sur des séances d’entraînement ou lors d’un stage. Ensuite, un choix collégial est pris avec l’ensemble des éducateurs du club et la direction. Au-delà du football, les jeunes semblent très encadrés dans tous les domaines au sein du centre de formation du Toulouse FC… JL : C’est ce qu’on souhaite mettre en place au quotidien. Intégrer un centre de formation, c’est une aventure humaine. C’est exigeant pour l’ensemble des acteurs, des garçons aux encadrants, qui consacrent beaucoup de temps et de passion. C’est ce qu’on a convenu dans nos règles collectives : prendre soin des gens. « La réussite ne passe pas uniquement par une carrière professionnelle » Vous évaluez les joueurs chaque semaine. Le comportement et les résultats scolaires comptent-ils autant que les qualités footballistiques dans vos critères ? JL : C’est un tout. Si un garçon est performant sur le terrain mais qu’il n’est pas structuré en dehors, ça ne peut pas fonctionner. On ne peut pas dissocier les deux. C’est une phrase facile mais c’est vraiment ce qu’on ressent au quotidien. Il faut des garçons structurés, qui comprennent ce qu’on attend d’eux, qui soient capables d’entendre l’objectivation et d’y répondre petit à petit. Après, on ne peut pas non plus leur demander que tout soit acquis dès le début du parcours mais le but, c’est de les accompagner jusqu’à leur meilleur niveau de performance. Après, c’est un système pyramidal, il y a des sélections. Existe-t-il un accompagnement pour les joueurs qui n’ont pas la chance de signer pro ? JL : L’accompagnement, il se fait en permanence. C’est une relation qu’on crée avec les garçons qui nous entourent. On ressasse souvent que c’est pyramidal, que tout le monde ne sera pas amené à avancer à la même vitesse et n’obtiendra pas forcément le sésame sur lequel il se projette souvent. Mais ce sont des ados, ils y croient. On n’a pas envie d’être destructeur ou clivant, donc on tâche de les amener à bien se positionner sur ce qui va se passer. Puis, au fur et à mesure de leurs parcours, on les rend conscients que ce sont aussi les citoyens de demain et qu’il faut qu’ils soient en connexion avec la vie en dehors du foot. De cette manière, même si demain ils deviennent des athlètes de très haut niveau, ça ne leur empêchera pas de comprendre comment évolue le système et comment on se socialise. MD : L’idée est de leur faire comprendre que la réussite ne passe pas uniquement par une carrière professionnelle. On veut que les jeunes du TFC puissent suivre un cursus scolaire normal, dans lequel ils s’impliquent car ils ont conscience que les études sont importantes. Comme ça, si les portes du monde pro ne s’ouvrent pas lorsqu’ils sortent du centre de formation, ils peuvent continuer à étudier tout en jouant à un bon niveau amateur, avec une vie sociale plus classique. Devenir professionnel est une réussite mais c’est loin d’être la seule. Cela doit être difficile à faire comprendre à un jeune… MD : C’est compliqué mais c’est la réalité. Aujourd’hui, leur cacher la réalité, c’est aussi leur demander de s’investir dans quelque chose qui est parfois inatteignable. L’idée, c’est d’y aller étape par étape et de leur dire : « Vous vous projetez vers le monde pro, c’est très bien. Vivez avec vos rêves, ça doit vous motiver. Mais vous devez aussi avoir conscience que sur dix, il n’y en aura que trois ou quatre pros. » Comment faites-vous pour conserver vos meilleurs éléments face aux intérêts de plus en plus précoces des clubs étrangers ? JL : On commence à être sûr de nos forces. Il me semble que les joueurs qui sont là, ils sont heureux de porter le maillot violet, donc on se retrouve dans la très grande majorité des cas avec des discussions où tout le monde a envie qu’on avance ensemble. Après, le foot est universel et fait partie d’un grand marché mondial, on sait qu’on est dans une activité où il peut y avoir des enjeux de lucrativité... MD : On montre qu’on compte sur eux. Je pense que c’est une obligation de la part du club. Quand on investit du temps et qu’on favorise leur épanouissement, ce n’est pas pour rien donc il faut ensuite pouvoir leur permettre de s’exprimer au plus haut niveau. Et c’est ce que le club fait. Dans la construction de l’effectif pro, le Président et le staff font attention au fait qu’il n’y ait pas trop de joueurs qui pourraient éventuellement bloquer nos jeunes sur lesquels on compte. On a un projet où les joueurs peuvent réussir en équipe première. « Philippe Montanier est en adéquation avec notre politique » Quelle place accordez-vous aux résultats dans les catégories de jeunes ? MD : On a souvent tendance à opposer la formation et la compétition mais il n’y a pas lieu de le faire. Les joueurs quand ils entrent sur le terrain, quelle que soit la catégorie, ils jouent pour gagner. Ce qu’il faut, c’est qu’autour, les encadrants, les éducateurs et les bénévoles aient le recul nécessaire de se dire que ce n’est pas l’essentiel. Certes, on veut que les joueurs gagnent, mais le plus important, c’est de se poser les bonnes questions. Qu’est-ce qu’on a mis en œuvre pour pouvoir gagner ? Est-ce que notre niveau d’engagement a été suffisant ? Est-ce que notre niveau de compréhension du jeu a été bon ? C’est ça l’idée de la formation. Comment faites-vous pour que les jeunes qui ont l’opportunité de s’entraîner avec les pros gardent les pieds sur terre ? MD : Qu’un joueur ne prenne pas la grosse tête, c’est notre rôle en tant qu’encadrant. Quand un jeune redescend d’une séance avec les professionnels, c’est à nous de le questionner. Comment ça s’est passé ? Quel est ton sentiment sur ta marge de progression ? Puis, à ce moment-là, on lui fait un petit rappel : « Attention, tu as fait une bonne séance avec les pros, mais demain tu seras peut-être avec la N3 ou les U19 ». Après, dans l’apprentissage, on ne peut pas non plus négliger que la confrontation avec des adversaires de haut niveau, c’est ce qui fait passer un cap. Donc, quand on décèle un potentiel, il faut l’envoyer, avec parcimonie, à des séances avec le groupe. Et Philippe Montanier est en adéquation avec notre politique. A quel moment savez-vous qu’un joueur est prêt pour devenir professionnel ? JL : Ce sont les joueurs qui déterminent quand ils sont prêts. Ils doivent nous amener à ce que cela devienne une évidence pour nous. Après, il y a des commissions techniques et des discussions avec le Président, qui est au fait de l’ensemble des générations, qui vont nous conduire à prendre des décisions. MD : C’est très difficile de dire untel va devenir professionnel. Plus on se projette tôt, plus on a de chance de se tromper. A chaque niveau d’âge, le joueur doit être confronté à une difficulté supplémentaire. Mais ceux qu’on pense en capacité de passer dans le monde adulte, car ils sont très bons dans les catégories de jeunes, n’arrivent pas forcément à passer le cap. Et, à l’inverse, des joueurs peuvent être un peu en retard et, finalement, quand ils basculent dans le monde adulte, tout va très vite pour eux. -
Capitaine du TFC, Brecht Dejaegere a évoqué dans l’émission consacrée aux Violets sur la chaîne Twitch de la Ligue 1 Uber Eats, la mentalité du club, ses liens avec van den Boomen mais aussi son avant TFC. Vous êtes dans votre 3e saison au Téfécé, dont vous êtes le capitaine. Pouvez-vous résumer les valeurs présentes dans l’équipe ? Tout d’abord, c’est une fierté pour moi d’être capitaine dans un pays étranger. J’essaye de faire le maximum pour y arriver. Ici, nous sommes des amis. J’estime que l’important n’est pas d’être des amis en dehors du terrain, mais sur le terrain pour se donner à fond les uns pour les autres. Si tu sais que tu peux compter sur tes coéquipiers pour t’aider, ça te donne des forces. Quand tu sais que les autres donnent tout, tu sais que tu peux aller très loin avec ton équipe. Donc on s’encourage, ce qui nous donne à tous de l’énergie. Notre force au TFC : c’est notre état d’esprit. Nous sommes tous de bons joueurs, mais avec ça nous pouvons aller encore plus haut. Vous pouvez justement aller « encore plus haut » avec la finale de Coupe de France, samedi. Après le titre remporté en Ligue 2 BKT, ça serait magnifique de pouvoir la gagner. C’est une Coupe nationale d’un grand pays européen. Mais nous n’en sommes pas encore là. « Branco déteste perdre…même à l’entrainement » Vous maitrisez très bien le français. Cela vous permet-il de faire le lien avec notamment les trois Néerlandais de l’équipe (Spierings, Dallinga et van den Boomen) ? Nous nous entendons très bien tous les quatre ! Il nous arrive de faire des paris entre nous et celui qui perd doit par exemple aller laver la voiture de celui qui a gagné ou allait lui faire ses courses. Nous essayons d’être inventifs ! Le fait de parler la même langue nous aide aussi sur le terrain. Mais ce n’est pas parce qu’il y a beaucoup d’étranger dans l’équipe que nous n’allons pas parler français. La preuve Branco parle français maintenant. Il le fait parce qu’il veut s’adapter. Lui, c’est plus qu’un ami pour moi. Il est venu à mon mariage. Cela fait trois ans que l’on joue ensemble. Nous sommes vraiment unis avec lui et Stijn. Branco c’est un maestro. Il sait casser les lignes avec une passe, créer des occasions. C’est un vainqueur. Il déteste perdre, même à l’entraînement…C’est aussi un leader devant le groupe. Pouvez-vous nous rappeler dans quel contexte avez-vous rejoint le Toulouse FC en Ligue 2 BKT en 2020 ? L’année avant de venir ici je ne jouais plus à La Gantoise avec le nouveau coach (Bölöni). Je ne voulais pas rester dans un grand club juste pour le nom. Ce que je voulais c’était jouer. Alors quand Toulouse s’est présenté sur ma route, j’ai saisi cette chance. Enfin, il paraît que vous n’avez toujours évolué comme milieu de terrain. A quel poste avez-vous débuté dans le foot ? J’étais gardien jusqu’à mes 16 ans. Mais comme j’étais trop petit (1,73m), j’ai changé de poste. Mon père m’a toujours dit : « comme joueur tu as du talent, mais comme gardien tu étais super talentueux ». J’étais en formation au Club Brugge, où ils faisaient déjà très attention aux gardiens qui devaient faire tous les entraînements techniques avec les joueurs. Du coup, mon premier modèle a été Buffon, puis après comme joueur Zidane et surtout Messi.
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A Bollaert, pas les bienvenus chez les Ch’tis Encore vainqueur à Bollaert samedi, le RC Lens continue d’impressionner à domicile. Personne ne fait mieux en Europe. Focus en stats.
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Malheureusement non. Dès la moindre légère baisse de régime...
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La vente de Wooh reste pour moi une connerie. D'ailleurs Haise l'a dit que ce n'était pas prévu et qu'il fallait le remplacer. La venue de Le Cardinal était aussi pour sa polyvalence. De toute façon Wooh n'a pas été remplacé qualitativement et il faudra clairement recruter à ce poste cet été. Moi les pessimistes c'est surtout ceux qui sous-estimaientt notre niveau et ce qu'on est capable de faire, et il y en encore aujourd'hui. C'est même ceux qui dénigraient certains joueurs (Sotoca,Fofana...) pendant notre période de creux et il y en avait beaucoup qui doutaient à la fois des joueurs mais aussi du coaching de Haise...
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
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https://www.lequipe.fr/Football/Article/L-as-saint-etienne-pourrait-etre-vendue-avant-l-ete/1393145
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A un moment donné le club a aussi sa part de responsabilité, on donne trop de pouvoir à ces supporters là. Et au final c'est toujours le plus grand nombre qui paye les pots cassés. On est capable de les identifier, qu'on agisse en conséquence.
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Le pire sur les RS c est qu il n y a aucun mea culpa de leur part, bien au contraire. Ils s en tapent totalement et s approprient une fois encore le club, Lens c est eux quoi. Ils s en tapent également de punir + de 95% de la Marek qui n a rien fait et qui sont susceptibles d être privés de stade. J espère que le club punira les personnes concernées, il n y a personne d indispensable a Bollaert contrairement à ce qu ils pourraient penser. La liste d attente au niveau des abonnés est très longue effectivement et ils seraient vite remplacés.
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https://www.jeunesfooteux.com/OM-Jonathan-Clauss-compte-bien-faire-taire-les-critiques_a63804.html
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RC Lens : Franck Haise raconté par son fils Maël, «c’est le special one, il réunit toutes les qualités» Désormais à Compiègne (N3), Maël Haise (21 ans) a passé quatre ans au RC Lens, devenu son « club de cœur », dont une saison en réserve, entraîné par son père (2019-2020). Quel regard de joueur portez-vous sur votre père ? « Son management est le même pour tout le monde, basé sur l’humain. Car avant d’être des joueurs, on est des humains, des jeunes en construction, d’autres plus matures. On crée une complicité avec lui et quand il a des choix à faire, ils sont plus faciles, plus respectés. Il est attentif à tout le monde et à des petits détails. Ce n’est pas un coach qui parle pour rien, ni tout le temps. C’était au vestiaire, à des moments précis, de courte durée, pour que son message passe facilement et ne soit pas trop "bla-bla". Là, on savait qu’on devait écouter car c’était important. Ça continue avec les pros. » Était-il accessible ? « La porte était toujours ouverte pour discuter. Et les joueurs savaient que ça serait tranquille, un vrai échange avec des conseils honnêtes. À l’entraînement ou en match, il n’est pas dans le négatif, mais quand il fait une remarque, on sait qu’elle est pertinente. Et quand il valorise, ça fait plaisir car il le pense vraiment, il ne sort pas le compliment à chaque fois. » Quel entraîneur a-t-il été pour vous ? « On peut dire qu’il l’a été pendant 15 ans ! En vrai coach, il l’a été pendant un an à Lens, ma meilleure année foot. J’ai surkiffé tout ce qu’il s’est passé, pas juste parce que c’était mon père. On a eu les résultats, on était un vrai groupe comme chez les pros, un groupe de potes, un tout. C’est l’année où j’ai le plus progressé : au bout de trois mois, j’avais basculé avec les pros à l’entraînement. Il ne devait pas faire du trop mauvais boulot. Il avait mis les bases pour tout le monde. Au début, il était beaucoup plus strict avec moi, c’était une forme de protection. Alou Diarra avait temporisé. J’ai eu de très bons coachs, mais lui, c’est le special one, car il réunit toutes les qualités : dans la confiance qu’il donne et tactiquement, il est super-fort. À l’entraînement, on prenait tous du plaisir et en match on se régalait. Maintenant, il est à son prime chez les pros, ça se voit dans la façon dont les joueurs sont avec lui, comme après la victoire contre le PSG (le 1er janvier), les gars lui avaient demandé d’aller chanter devant les supporters. En trois ans, je n’ai pas vu un joueur faire la gueule en sortant, il n’y a jamais de grosse crise. C’est qu’il y a de la confiance, on voit d’ailleurs l’importance de nos remplaçants depuis trois ans. Et comme le vin, il se bonifie avec le temps. » Il délègue beaucoup ? « Il est super-bien entouré. Lilian (Nalis, son adjoint) est un proche et à l’entraînement, son binôme, hypercomplémentaire, son bras droit. Ils se connaissent depuis des années. Le côté athlétique, la performance, ce n’est pas lui qui gère. C’est : " Je vous délègue cette partie car je ne m’y connais pas assez ". Chacun s’y retrouve. C’est tout un staff qui fait que l’équipe rayonne. » Quelles sont ses inspirations ? « Il a pris un peu dans chaque personne qu’il a aimée, il a fait son puzzle et ajouté sa touche. Il a aussi suivi énormément de formations quand il passait ses diplômes, sur la gestion émotive, le management. Il y a tellement de choses qu’il a lues, apprises, dans des livres sur le vestiaire des All Blacks par exemple… » VDN / VDS
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Vincent Duluc :
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Voilà dans un peu moins de 2 semaines avec Machado dans le rôle d'Adjovi-Boco et Openda dans le rôle de Roger Boli...
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
A Reims aussi on peut/doit gagner si le penalty sur Openda est sifflé par Wattellier en fin de match dans les arrêts de jeu.