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Le standard va bcp mieux depuis le depart de fifi ?
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L O L
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Deja que la LDC avec toujours les mêmes club cela devient barbant! alors les memes matchs tous les samedis ? vive les championnats nationaux!
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Voila ce qui arrive avec les extrêmes! a bon entendeur ?
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[La saison 2020-2021 du RC Lens] Le Racing de retour dans l'élite
vince a répondu à un(e) sujet de Eduardo62470 dans RC Lens
RC Lens : Bollaert dans le «Larousse des stades mythiques du foot» Publié le Mercredi 30 Décembre 2020, 10:50 Par Julien Lechevestrier Bollaert-Delelis figure dans le «Larousse des stades mythiques du foot». Un livre, écrit par un journaliste de « L’Équipe », sorti peu de temps avant les fêtes. L’antre des «Sang et Or» apparaît dans la catégorie «Tribunes de feu». Retrouvez notre vidéo. Rémy Fière, dans ce Larousse des stades mythiques du foot , parcourt toutes les enceintes à travers le monde. Elles sont classées par thème par ce journaliste à L’Équipe : les historiques comme Wembley, le Maracana, ceux où il y a eu des drames comme le Heysel, Furiani (Bastia), ou encore ceux où l’équipe de France a brillé comme le Luzhniki (Moscou) ou souffert comme le Sanchez-Pizjuan (Séville). Le stade Bollaert-Delelis de Lens se retrouve à côté d’enceintes prestigieuses comme Anfield (Liverpool), San Paolo (Naples), la Bombonera (Buenos Aires) ou encore le Celtic Park (Glasgow). Une fierté sûrement pour les supporters « Sang et Or » d’être classés dans la catégorie « Tribunes de feu. » Comme l’écrit Rémy Fière, Bollaert-Delelis, « c’est un stade qui vibre autant qu’il vit, un monument, une cathédrale dans ce Nord minier où le football est devenu à la fois un exutoire, un passe-temps et un chant d’amour. » Avec un clin d’œil, un peu plus loin, aux « Corons » évidemment. Vivement qu’on retrouve à Bollaert ce public qui doit se contenter en ce moment de regarder les matchs du RC Lens à la télévision en raison du contexte sanitaire. Stades mythiques du foot, Larousse, 19,95 euros. -
Le barca, c’est d’une nullité ??
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[La saison 2020-2021 du RC Lens] Le Racing de retour dans l'élite
vince a répondu à un(e) sujet de Eduardo62470 dans RC Lens
L'équipe type des Français de la première partie de saison L'année 2020 touchant à son terme, c'est l'occasion de revenir sur les satisfactions tricolores du début d'exercice, en Ligue 1 comme à l'étranger. Voici notre onze, essentiellement basé sur nos sélections hebdomadaires. Simon Bolle25 décembre 2020 à 17h30 partager Depuis la reprise, cet été, nous avons publié, les lundis, douze formations de « Français du week-end ». La première le 14 septembre, et la dernière le 21 décembre. Au total, 86 joueurs différents, répartis un peu partout en Europe, y ont fait leur apparition. Une base de travail pour le onze type qui suit. Gardien : Mandanda, sur sa lancée Aucun portier n'est vraiment sorti du lot jusque-là. En Premier League, Alphonse Areola, avec Fulham, et Illan Meslier, avec Leeds, ont parfois brillé, mais leurs équipes encaissent trop de buts. Benoît Costil (Bordeaux), Mike Maignan (Lille) et Steve Mandanda (OM) se sont aussi distingués en Ligue 1. Pour les départager, le juge de paix a été le classement des notes de L'Équipe, et c'est le Marseillais, déjà excellent la saison passée, qui détient la meilleure moyenne française en 2020-2021 (5,93). On retiendra notamment son immense 9/10 contre le PSG, mi-septembre. Le onze Mandanda (OM) - Clauss (Lens), Koundé (Séville), Zouma (Chelsea), Digne (Everton) - Mbappé (PSG), Doucouré (Everton), Ndombele (Tottenham), Bamba (Lille) - Laborde (Montpellier), Benzema (Real). Défense : Zouma et Digne rois d'Angleterre Pour eux, il n'y a pas débat. Kurt Zouma(Chelsea) et Lucas Digne (Everton), revenus au premier plan avec les Bleus, ont été sélectionnés cinq fois sur douze. Personne ne fait mieux. Le premier nommé est devenu un pilier des Blues, formant la paire en charnière avec Thiago Silva. Et il a déjà inscrit quatre buts en Championnat. De son côté, le second a affiché un très haut niveau avec les Toffees (quatre passes décisives, entre autres), avant de se blesser fin novembre. Bref, deux joueurs majeurs outre-Manche. Zouma, la cisaille des Blues. (Mark Leech/Presse Sports) Lui n'a pas - encore - été appelé par Didier Deschamps. Une question de temps, si Jules Koundé (Séville) parvient à maintenir sa forme du moment. C'est, à 22 ans, une des révélations espagnoles et européennes des derniers mois. Pas étonnant, donc, que les grosses écuries se soient déjà positionnées. Enfin, pour la ligne défensive, voilà une petite surprise. Encore inconnu du grand public cet été, Jonathan Clauss (Lens) a découvert l'élite à 28 ans. Avec réussite. Le piston s'est fait sa place dans le couloir droit du Racing. Ils n'étaient pas loin : Ruben Aguilar (Monaco), Dayot Upamecano (Leipzig), Wesley Fofana (Leicester), Maxence Lacroix (Wolfsburg), Presnel Kimpembe (PSG), Romain Perraud (Brest), Théo Hernandez (Milan)... Milieu : des rocs et des flèches Les « Frenchies » de PL ont décidément la cote cette saison. Comme Digne, Abdoulaye Doucouré (Everton) est un des hommes de base de Carlo Ancelotti. Que ce soit en double pivot dans un 3-4-3 ou un 4-2-3-1, ou en relayeur dans un 4-3-3. Pur milieu « box to box », qui défend autant qu'il attaque, l'ancien joueur de Watford n'a manqué aucun match de Championnat. Il a clairement franchi un cap. Doucouré rayonne avec Everton. (Jon Super/Reuters) Quant à lui, Tanguy Ndombele(Tottenham) revit chez les Spurs. Après une première année mitigée, entre blessures et conflits avec José Mourinho, l'ex-Amiénois et Lyonnais a gagné en régularité, malgré la concurrence. Il évolue un cran plus haut sur le terrain, quasiment en position de meneur. Plus libre, il s'épanouit. Retour en France désormais, pour y retrouver le meilleur buteur, Kylian Mbappé (PSG, 12), et l'un des - à égalité avec Thauvin, Laborde et Delort - meilleurs passeurs de L1, Jonathan Bamba (Lille, 6). Une habitude pour Mbappé, mais une renaissance pour Bamba, plutôt transparent lors du précédent exercice. Avec de telles ailes, les avants-centres devraient être servis. Ils n'étaient pas loin : Adrien Rabiot (Juventus), N'Golo Kanté (Chelsea), Thomas Lemar (Atlético), Maxime Gonalons (Grenade)... Attaque : un duo Laborde-Benzema C'est peut-être un des joueurs les plus sous-cotés actuellement. Mais, à force d'être décisif, Gaëtan Laborde(Montpellier) ne surprend plus et attise même les convoitises. En 17 rencontres de Ligue 1, le Montpelliérain en est à 6 buts et 5 passes décisives. Un attaquant complet, qui a su s'excentrer à droite pour laisser l'axe à Andy Delort. Le MHSC pourra-t-il les garder six mois de plus ? Laborde survole la concurrence. (F.Porcu/L'Equipe) Les années passent et Karim Benzema(Real) paraît, lui, de mieux en mieux. Déjà très performant en fin de saison dernière, « KB9 », 33 ans, est au top depuis deux mois (11 buts et 4 passes décisives, sur la période, en Liga et Ligue des champions ; quatre sélections dans nos équipes). Plus que jamais une référence. Ils n'étaient pas loin : Wissam Ben Yedder (Monaco), Alassane Plea (Mönchengladbach), Kingsley Coman (Bayern), Hatem Ben Arfa (Bordeaux)... publié le 25 décembre 2020 à 17h30 -
Allez les filles ??
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Non du tout! Il a sa place bien tranquille ici au hac! il faudrait un cataclysme
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Et que dire de Nancy et son coach vedette, Pep Garcia ?
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Gervais: C’est-à-dire ? Il a été écrit partout pendant le confinement que Gérard Lopez était le nouveau conseiller financier de la Ligue. Mais bon, pour emprunter avec des intérêts à 12 %, Gilbert Montagné n’a même pas besoin de son labrador. ????
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Téléfoot, la chaîne de Mediapro, de l'euphorie du lancement à l'angoisse d'une fermeture Devenue, à la rentrée, le principal diffuseur de la Ligue 1, la chaîne Téléfoot s'est lancée pendant l'été sans encombre... Et s'interroge aujourd'hui sur sa survie. Sacha Nokovitchmis à jour le 11 décembre 2020 à 00h09 partager Jeudi encore, la rédaction de Téléfoot organisait ses reportages et la couverture de la 14e journée de Ligue 1 qui s'ouvre vendredi soir avec Saint-Étienne-Angers à 21 heures. Une rédaction au travail... mais dans une atmosphère bien différente de l'été dernier. 29 juillet. À la Plaine-Saint-Denis, à proximité des grands studios de télévision, Jaume Roures pénètre dans les locaux flambant neufs de sa nouvelle chaîne. Au milieu des travaux, le patron de la maison-mère Mediapro annonce, aux premières équipes en place, une bonne nouvelle : il a finalisé un accord commercial avec Netflix qui permettra de vendre un abonnement couplé attractif pour le consommateur et de booster le lancement de Téléfoot. lire aussi La fermeture de la chaîne Téléfoot évoquée en interne Après l'accord de marque avec TF1, incluant notamment le prêt du duo de commentateurs phares Grégoire Margotton-Bixente Lizarazu, et un premier accord de distribution avec l'opérateur SFR accompagné de la co-diffusion de la Ligue des champions, ce troisième coup rassure, encore un peu plus, les recrues. Les journalistes ont en effet conscience de prendre un risque en rejoignant un acteur en développement, tout en étant excités par le challenge. lire aussi Quels recours pour les abonnés de Téléfoot ? Une interview de Zidane et de Camavinga pour le lancement Le 18 août, le grand studio de 300 m2 de Téléfoot accueille cette fois la presse. L'état-major est réuni au grand complet pour présenter l'ensemble des jeunes visages (34 ans de moyenne d'âge) et des programmes de la chaîne. Néanmoins, la direction doit déjà faire face à un souci : le report de sa première affiche, Marseille-Saint-Étienne (en raison du protocole sanitaire lié à l'épidémie de Covid-19), remplacée dans l'urgence par Bordeaux-Nantes. Jaume Roures peste : « On a demandé à la Ligue, il y a deux semaines, de reporter le démarrage de la saison d'une semaine. Il y avait les problématiques liées au Covid, on l'a vu avec le report de matches amicaux et celui d'aujourd'hui... Mais il y avait aussi la Ligue des champions avec des clubs français toujours en lice... Leur qualification pour les demi-finales est une très bonne nouvelle pour le foot français, et une très bonne nouvelle pour Téléfoot pour la suite, mais ce n'était pas l'idéal pour le lancement. Il y a eu aussi les matches décalés (du PSG et de Lyon en Championnat) et on savait aussi que tous les regards seraient logiquement tournés vers cette actualité européenne les jours suivants... Malheureusement, on n'a pas trouvé d'accord ». Ce ne sera pas la dernière fois. Jaume Roures a tenté de rassurer ses équipes. (J. Prévost/L'Équipe) lire aussi Mediapro a fait une mauvaise affaire avec son accord de co-diffusion et de distribution avec SFR Le 21 août, Téléfoot se lance néanmoins, à l'heure dite, dans une ambiance festive et professionnelle, sans accroc et avec quelques coups comme une interview de Zidane et de Camavinga. Un mois plus tard, dans l'euphorie générale, Anne-Laure Bonnet, animatrice de l'émission phare du dimanche soir, interrogée sur le plateau de l'émission Quotidien sur la multitude d'abonnements nécessaires pour suivre le foot aujourd'hui, déclare maladroitement : « J'aime beaucoup RMC Sport, mais ça ne sert plus à rien ». lire aussi Toute l'actualité des médias Ça passe mal auprès de nombreux confrères, même si la journaliste justifie rapidement son propos en expliquant que sa chaîne diffuse exactement les mêmes matches de Coupe d'Europe que celle du groupe Altice. Malgré cette sortie et quelques couacs techniques, notamment lors de la 2e journée avec le plantage mondial de son principal fournisseur de serveurs, la plupart des émissions et des rendez-vous de Téléfoot s'installent bien auprès des premiers abonnés. Les prestations des nouveaux consultants, Mathieu Bodmer et Christophe Jallet, sont relevées pour leur pertinence et les clubs, à l'exception d'un PSG plus frileux, ouvrent facilement leurs portes à la chaîne. (L'Équipe) Attaque en justice de Canal+, renégociation du prix des droits TV Avant le PSG-OM (0-1) programmé volontairement dès le 13 septembre, Téléfoot a enfin signé avec l'ensemble des opérateurs télécoms... mais toujours pas avec Canal+. Ce dernier assigne même alors Mediapro en justice pour « inégalité de traitement » dans les négociations autour de la distribution... Une façon de justifier à ses abonnés la non disponibilité de la chaîne dans ses offres avant le Classique, match toujours très attendu. Mais le 8 octobre, Jaume Roures lâche une bombe dans L'Équipe. Il réclame un rabais sur la facture de cette saison et, en attendant, gèle le paiement des droits. La rédaction de Téléfoot est stupéfaite. Plusieurs réunions sont organisées pour rassurer les équipes et leur assurer que les chiffres sur les abonnements sont bien meilleurs que ceux sortis dans la presse (400 000 via les opérateurs télécoms, hors offre numérique Téléfoot, à cette date selon L'Équipe). Deux semaines plus tard, Roures annonce même 600 000 abonnés. En dépit de l'arrêt des paiements, les clubs continuent de jouer le jeu, ouvrent leurs portes, notamment afin d'alimenter l'émission quotidienne Au coeur des clubs, en duplex depuis leurs centres d'entraînement. lire aussi LFP-Mediapro : la conciliation s'arrête le 18 décembre Les rédacteurs en chef multiplient les coups de téléphone pour maintenir le lien de confiance. Un lien qui n'est pas rompu mais abîmé. Les présidents ne veulent en fait surtout pas se mettre à la faute au niveau juridique. Ces derniers jours, ils sont néanmoins montés d'un ton. « Certains sont allés jusqu'à nous dire par textos qu'on ne ferait pas PSG-Lyon(dimanche soir) », assure l'un des journalistes. Ces messages ont obligé, mardi après-midi, Jean-Michel Roussier, le responsable éditorial de la chaîne, à informer sa rédaction de deux hypothèses : le maintien de la chaîne avec une cession de certains matches, mais aussi une possible fermeture. Ces dernières heures, si certains voulaient encore garder espoir, la rumeur d'un arrêt imminent circulait allégrement dans les couloirs. Avec son lot d'angoisses... D'autres chaînes techniquement prêtes Alors que les discussions et tentatives de sorties de crise s'éternisent entre la Ligue et Mediapro, une question se pose : serait-il possible de voir un diffuseur - Canal+, beIN Sports voire RMC Sport - prendre, dans la foulée d'un arrêt de la chaîne Téléfoot, le relais pour diffuser les prochaines journées de Ligue 1 ? Il en reste en effet quatre d'ici la fin de l'année : la 14e ce week-end, la 15e le mercredi 16 décembre, la 16e le week-end du 19-20 décembre et la 17e le mercredi 23 décembre. Techniquement, c'est possible. Ces diffuseurs disposent tous de canaux additionnels disponibles, d'équipes de journalistes et de consultants en nombre suffisant et bien sûr des moyens de production nécessaires et mis en place rapidement. Les sociétés de services techniques françaises historiques, AMPVisual TV et Euromedia, produisent en effet toujours cette saison les matches pour Canal+ en L1 et de beIN Sports en L2 et seraient toutes disposées à envoyer « faire chauffer leurs cars » comme le dit en souriant un observateur sur tous les stades de Ligue 1 et de Ligue 2. Mediapro, dont le coeur de métier est la production, avait en effet logiquement décidé de faire travailler ses propres équipes, quitte à faire venir des moyens du Portugal ou d'Espagne, et privant ainsi les sociétés françaises de près d'un quart de leurs revenus. publié le 10 décembre 2020 à 23h30mis à jour le 11 décembre 2020 à 00h09
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Voili-voilou Foot Médias exclusivité abonnés La fermeture de la chaîne Téléfoot évoquée en interne Mardi après-midi, la rédaction de Téléfoot, la chaîne de Mediapro, a été informée de la possibilité d'une fermeture pure et simple à court terme. Etienne Moatti et Sacha Nokovitch (avec A. H.)mis à jour le 8 décembre 2020 à 19h22 partager Si le centre de décision se situe au siège de Mediapro, à Barcelone, les salariés de la chaîne payante Téléfoot travaillent à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), à proximité du périphérique parisien. Alors que le processus de conciliation est censé aboutir ces prochains jours entre la Ligue de football professionnel et Mediapro (ce dernier a demandé un rabais sur sa facture - 830M€ - des droits Ligue 1-Ligue 2, cette saison), la rédaction de Téléfoot a été conviée à un point d'information ce mardi après-midi par sa direction. lire aussi Seulement 480 000 abonnés à Téléfoot Le discours tenu n'a pas été de nature à la rassurer. Il y a désormais deux options pour l'avenir à court terme : un maintien de la chaîne en perdant certains lots - dont le prestigieux du dimanche soir - mais aussi un possible arrêt de celle-ci... Une hypothèse qui n'avait jamais été évoquée devant la rédaction jusqu'ici. « On nous a dit que cette éventualité existait et qu'il n'était pas possible de l'occulter », rapporte un journaliste présent à la réunion. Les textos des présidents de clubs de L1 Cette prise de parole de Jean-Michel Roussier, le responsable éditorial de la chaîne, aurait notamment fait suite à l'envoi de plusieurs textos de présidents de club, dans la soirée de lundi, annonçant à certains journalistes qu'ils ne couvriraient plus la Ligue 1 prochainement... Ces présidents venaient de s'entretenir téléphoniquement, lors d'un collège de Ligue 1, avec Vincent Labrune, le président de la LFP, et Marc Sénéchal, le conciliateur nommé par le tribunal de commerce de Nanterre, qui ne croient pas Mediapro capable d'honorer son contrat et qui cherchent un diffuseur solvable. « Certains sont allés jusqu'à dire qu'on ne ferait pas PSG-Lyon (dimanche soir) », assure l'un des journalistes. Et un autre de conclure : « Quel délire ! ». lire aussi Négociation Mediapro-LFP : Canal+ durcit le ton publié le 8 décembre 2020 à 19h12mis à jour le 8 décembre 2020 à 19h22
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[La saison 2020-2021 du RC Lens] Le Racing de retour dans l'élite
vince a répondu à un(e) sujet de Eduardo62470 dans RC Lens
Très bonne initiative ? -
Foot Médias exclusivité abonnés Mediapro a fait une mauvaise affaire avec son accord de co-diffusion et de distribution avec SFR L' accord de distribution de la chaîne Téléfoot et de co-diffusion de la Ligue des champions permet à Mediapro de ne pas régler de droits pour la Coupe d'Europe... Mais lui rapporte aussi très peu d'argent cette saison. Sacha Nokovitchmis à jour le 7 décembre 2020 à 16h44 partager Mediapro n'a pas réglé le groupe Altice pour avoir le droit de co-diffuser, cette saison, la Ligue des champions et de la Ligue Europa. Mais cela n'a rien à voir avec le gel des paiements des droits de la Ligue 1 et de la Ligue 2 que le groupe audiovisuel sino-espagnol inflige depuis octobre dernier à la Ligue de football professionnel (LFP), espérant obtenir via une procédure de conciliation auprès du tribunal de Commerce, un rabais sur le montant de la facture due pour cette saison (830 M€). Cette fois, Jaume Roures, le patron du groupe, ne fait que respecter le contrat conclu en juillet dernier avec le groupe Altice, la maison-mère de SFR et de RMC Sport. En effet, selon nos informations, Altice n'a pas réclamé d'argent à Mediapro pour partager la diffusion de ses compétitions européennes, qu'il règle 350 M€ par saison à l'UEFA pour la période 2018-2021. Le groupe de Patrick Drahi a trouvé une autre formule... En juillet dernier, lors de la signature du contrat de quatre ans, Mediapro - qui lançait sa chaîne Téléfoot un mois plus tard - devait à la fois enrichir sa grille en semaine pour compléter son offre Ligue 1-Ligue 2 du week-end (huit matches par journée de chaque Championnat), et débloquer un premier accord de distribution avec un opérateur pour appâter le chaland et inciter les autres (Bouygues, Free, Orange) à suivre... D'autant que les discussions avec Canal+ étaient au point mort et qu'on s'inquiétait déjà de leur rentabilité et de leur visibilité. Environ 200 000 abonnés à Téléfoot viendraient de SFR Il a alors été décidé que pour la première saison, l'opérateur SFR ne réglerait aucun minimum garanti à Mediapro et, surtout, récupérerait l'intégralité du montant des abonnements à l'offre couplée RMC Sport-Téléfoot générés lors de cette première année de collaboration avec le nouvel acteur. En contrepartie, Mediapro a obtenu cette précieuse co-diffusion de la Ligue des champions et de la Ligue Europa nécessaire pour booster son lancement et la campagne promotionnelle l'accompagnant. Mais, problème pour Mediapro, environ 200 000 des 600 000 abonnés à Téléfootannoncés par la chaîne aujourd'hui proviendraient de SFR. Et en large majorité de la fameuse offre couplée que SFR a logiquement mise en avant sur son site et dans ses campagnes de pub en la bradant, à la rentrée, à 19,90 € par mois. Des ventes flash à ce tarif étaient d'ailleurs encore organisées ces dernières semaines. Si les chiffres n'emballent ni l'opérateur ni Mediapro, qui s'attendaient tous deux à mieux, environ un tiers du parc d'abonnés à Téléfoot proviendrait donc de SFR, soit pratiquement autant de revenus potentiels qui n'entreraient pas dans les caisses de Mediapro depuis son lancement. Une raison supplémentaire pour réclamer une ristourne auprès de la LFP sur le premier exercice. À compter de la saison prochaine, Altice ne détenant plus les droits de la Ligue des champions et de la Ligue Europa, l'accord prévoit en effet cette fois un système de partage de revenus classique entre l'opérateur et le diffuseur. SFR devra alors rétrocéder à Mediapro un important pourcentage du revenu de chaque abonnement généré par son biais. Mais ce second pan de l'accord s'activera seulement à l'été 2021... Mediapro sera-t-il toujours présent sur le marché français à ce moment-là ?
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Sa voiture coupée en 2 par le rail de sécurité. Il est resté bloqué 32s dans sa F1 en flamme!!
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Grosjean miraculé
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????
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Tiens ? Canal+ prêt à faire une offre pour les droits télé de la Ligue 1 Si la situation se décante, le diffuseur « historique » pourrait proposer autour de 740 millions d'euros annuels à la LFP, incluant notamment des bonus liés à une hausse éventuelle de ses abonnements. Étienne Moatti et Arnaud Hermant23 novembre 2020 à 19h45 partager Entamée depuis plusieurs semaines, la conciliation entre Mediapro et la Ligue patine. Pour l'heure, ce sont surtout les avocats des deux parties qui discutent, mais sans avancée notable. Du côté du groupe sino-espagnol, on souhaite obtenir une baisse des montants dus cette saison sans apporter, pour l'instant, de garanties pour les suivantes (le contrat court jusqu'en 2024). Tandis qu'à la LFP, on veut surtout s'assurer de la solvabilité du principal diffuseur de la L1 et de la L2. Avec le conciliateur, Marc Sénéchal, au coeur de la mêlée, qui se démène pour faire avancer le dossier. Comme L'Équipel'a révélé, il s'est fixé l'échéance du 7 décembre pour tenter de trouver une solution. Elle passera forcément par une refonte du paysage actuel, où Mediapro est censé payer 780 millions d'euros pour huit matches de L1, quand Canal+ débourse 330 millions pour deux rencontres (Free règle 50 millions pour des extraits en quasi-direct). lire aussi La LFP prise au piège En marge de la conciliation, la LFP fait évidemment le tour du marché pour trouver une solution alternative à Mediapro, qui n'a pas réglé son échéance du 5 octobre (172 millions d'euros), invoquant la crise économique provoquée par la pandémie de Covid-19. Canal+ est évidemment au centre du jeu pour pallier la défaillance de la société présidée par Jaume Roures. D'autant que les autres contacts établis (RMC Sport, Orange...) n'ont pas donné de résultat tangible. Canal+ n'est pas pressé Mais le diffuseur « historique » du Championnat de France n'est pas pressé. Il a déjà deux affiches par journée de Championnat, n'a pas budgété de dépenses supplémentaires pour la L1 cette saison. Il a également fortement investi sur la Ligue des champions qui revient sur ses antennes en 2021-2022 et n'assiste pas vraiment à une baisse sensible de ses abonnés depuis le démarrage de Mediapro cet été. lire aussi Pour Jean-Michel Blanquer, l'État n'a pas à compenser les problèmes liés à Mediapro Canal+ n'a pas formulé de proposition formelle, mais a évoqué une offre potentielle de 740 millions d'euros pour l'ensemble des droits de la L1 incluant notamment des bonus si ses abonnements augmentent. Mais il faut d'abord que Mediapro accepte de lâcher les droits tout en réglant la facture pour les matches diffusés et pas payés. Ce qui reste à démontrer et pourrait faire traîner les choses. La LFP, elle, est dans l'urgence. Dès le mois prochain, si Mediapro n'honore pas son échéance du 5 décembre, les clubs seront en très grande difficulté. Son souci est donc d'obtenir un montant proche des sommes promises cette saison, quitte à accepter une baisse plus sensible pour les trois suivantes. publié le 23 novembre 2020 à 19h45
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LOL le cf suedois ???
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Low va se faire virer
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T arrive à voir son regard lorsqu’il recoit un ballon?? ??
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[La saison 2020-2021 du RC Lens] Le Racing de retour dans l'élite
vince a répondu à un(e) sujet de Eduardo62470 dans RC Lens
Le staff a préparé le match contre dijon. Tu ne changes pas tout à 4 jours! on n’est pas leur pute! Tu joues la LDC, tu te demerdes pour ça! -
Mouais, des supputations! Ils n’ont pas les comptes et l’actionnaire est là pour garantir le pire!