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Tout ce qui a été posté par West'ier
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RC Lens : « Maintenant, je suis le maître de ma réussite », confie Gervais Martel « En activité », Gervais Martel avait toujours mille casseroles sur le feu. Maintenant « retraité », il en compte bien le double avec un imposant versant caritatif qui lui tient à cœur. Le sport et la jeunesse sont deux de ses grandes passions, il s’efforce de les servir au travers de deux associations, en France et au Sénégal. Et puis il y a l’autre versant, à la télévision, dans l’univers du golf ou de l’entreprise. Des activités intimement liées qui le rendent « maître de (sa) réussite ». Gervais Martel, sa vie d’après Gervais Martel n’est plus président du Racing Club de Lens depuis quelques années déjà. Il reste cependant un des rares en France dont le nom peut être cité comme ayant marqué à ce poste le football français des dernières décennies. Un statut qu’il partage avec Jean-Michel Aulas à Lyon, Louis Nicollin à Montpellier, Carlo Molinari à Metz. De vraies personnalités, des patrons passionnés et unis par un amour inconditionnel pour leur club, à une époque révolue où se taper dans la main avait valeur d’engagement. Concurrence, mais respect et confiance. À 67 ans, Gervais Martel se dit retraité. Pourtant, son agenda est aussi noirci que celui d’un coiffeur une veille de déconfinement. Qu’est-il devenu ? Durant plus de deux heures, il s’est laissé aller au fil des confidences, des souvenirs, des projets mais aussi d’un quotidien qu’il continue de vivre à un rythme effréné, entre le bureau de sa holding GIM2 dans le centre de Lens, celui qu’il occupe à l’Arena Stade couvert de Liévin pour La Chance aux Enfants où il nous a reçus, une association pour laquelle il s’investit énormément, sans oublier ses fréquents voyages au Sénégal où son implication pour les jeunes et le football est aussi très forte. Des journées qui, parfois, débutent dès 6 heures du matin sur un parcours de golf à Arras ou se terminent dans la nuit, de retour de Paris où il enfile chaque lundi son costume de consultant en direct sur la chaîne L’Équipe. Un moyen pour lui de continuer à parler foot, à dire ce qu’il pense, mais aussi à entretenir une certaine notoriété loin d’être inutile dans le cadre de ses démarches solidaires, lorsqu’il faut aller frapper aux portes pour financer tel ou tel projet. Dix, quinze fois, son téléphone a sonné durant ces deux heures. Toujours il a répondu. Ce qui peut être réglé tout de suite n’aura pas à l’être demain. Tellement plus détendu, le visage tellement moins marqué par la fatigue même s’il confie ne dormir que très peu, Gervais Martel est apparu en très grande forme, boosté par une étonnante énergie, celle des grands passionnés amoureux de la vie. En peu de mots simples, l’œil heureux et rieur, il en expliquera le moteur : « J’adore ce que je fais ! » Avez-vous complètement tourné la page RC Lens ? « Le lien reste fort, je suis toujours aussi passionné, mais je ne suis plus dans l’opérationnel. Je prends beaucoup de plaisir à échanger avec Joseph (Oughourlian, actuel président du RCL). On s’appelle fréquemment. Tout cela m’a finalement permis de vivre d’autres moments passionnants. » Vous arrive-t-il de retourner à la Gaillette ? « Oui, c’est arrivé. J’ai discuté avec Florent Ghisolfi (coordinateur sportif du RCL). Ce qui est bien lorsque j’y vais, c’est qu’il n’y a pas d’objet particulier, c’est mieux pour moi. Je suis content d’y aller. J’étais prêt à partir sur autre chose, comme La Chance aux enfants qui n’est pas une chose nouvelle. J’ai fait ce que j’avais à faire. Même dans des moments difficiles, j’ai sauvé la baraque. J’ai connu trois années terribles et je suis fier de voir le club rebondir avec Joseph. » « Il m’est arrivé récemment, en tribune, de demander à l’un ou l’autre de fermer sa bouche parce qu’il disait des conneries » Vous êtes aussi de tous les matchs à Bollaert… « Bien sûr… Comme un supporter lambda. J’ai mon avis, quand il y a des compositions d’équipes ou des changements de joueurs, on ne m’empêche pas de penser. Mais je ne suis pas dans l’excès car je sais aussi comme c’est compliqué pour un entraîneur ou pour les dirigeants. Il m’est arrivé récemment, en tribune, de demander à l’un ou l’autre de fermer sa bouche parce qu’il disait des conneries. Mais, forcément, je vis les choses différemment maintenant. » Avoir été de l’autre côté de la barrière vous fait-il être plus compatissant vis-à-vis des décideurs actuels ? « Évidemment. J’ai connu ça. Mais ces débats sur le jeu, ça reste le côté passionnant du foot. Parce que si plus personne ne dit plus rien, c’est une catastrophe. Le football se nourrit d’excessivité, quand ça gagne comme quand ça perd… L’expérience que j’ai acquise en tant que président me permet juste de prendre plus de recul. Je vis les choses très différemment. Il faut bien expliquer aux gens : quand tu joues ta tête sur certains matchs, que ce match décide d’une descente ou pas, que tu as des problèmes financiers presque insurmontables, la victoire vaut évidemment – pour toi – bien plus que trois points… Ça dépasse de plus en plus le seul cadre du sport. » Ce n’est plus aujourd’hui « votre » argent qui est en jeu. Cela vous libère-t-il d’un poids ? « C’est sûr. Quand vous descendez en L2 par exemple, cela engendre plein de problématiques derrière, y compris dans la tête. C’est plus facile aujourd’hui mais cela ne m’empêche pas de compatir. Quand Lens a joué le match retour des barrages à Dijon en 2019, j’étais hospitalisé. J’ai contracté une septicémie. J’avais 42 de fièvre et le spécialiste que j’ai vu à l’hôpital m’a dit que si j’étais venu aux urgences un jour plus tard, j’y restais. Bref, même dans mon état et sans être à la place qui a été la mienne au club, j’étais mal pour le Racing de le voir louper la montée. Je me suis mis à la place de Joseph (Oughourlian). Puis des supporters. Je sais ce que ça représente pour les gens. » Quelques années plus tard, le feuilleton Mammadov résonne-t-il encore en vous comme une blessure ? « À l’époque, je me suis mal expliqué, il n’y a pas de honte à le reconnaître. Ce qui a fait mal, c’est qu’on me traite de menteur. Avant Mammadov, j’ai voyagé partout pour trouver de l’argent. Cinq fois j’ai rencontré les représentants d’un émir de Dubaï avec avocats et tout ce qu’il faut. Il se disait intéressé. Il devait venir à la Gaillette, nous avions eu les autorisations pour qu’il se pose en hélico à la Gaillette. Il n’est jamais venu. J’ai tout vu dans cette affaire. Des escrocs, des faisans, des rêveurs… Je savais que ça allait se planter avec le Crédit Agricole. Mammadov a sauvé le club mais la suite était complètement imprévisible. On a subi ça avec un mec qui a eu des problèmes personnels. J’ai visité ses puits de pétrole, j’y suis allé avec Olivier Dacourt et Jean-Pierre Papin. Puis le pétrole s’est cassé la gueule. » Avez-vous tiré un trait définitif sur l’idée de revenir aux affaires ? « Oui, parce que je suis beaucoup plus heureux comme ça. Contrairement à ce qu’on pense, je suis quelqu’un de pudique et réservé. J’aime bien regarder les matchs comme je le fais aujourd’hui. Je n’aime pas être emmerdé, j’aime ma tranquillité. Je vais vous faire une confidence : à la fin de mon aventure de président, je n’aimais plus trop aller dans les salons VIP de Bollaert-Delelis après les matchs. Parce que c’est là que ça pouvait partir en vrille. Un mec qui aurait bu un coup de trop et qui aurait commencé à critiquer mon équipe… Cela m’était devenu insupportable. Je restais avec les joueurs dans le vestiaire. Ce lien avec les joueurs me manque, c’est vrai. Mais, avant, les événements faisaient que je subissais ma vie, maintenant, c’est moi qui la dirige, c’est moi qui règle mon emploi du temps, je suis le maître de ma réussite. Et surtout, j’adore ce que je fais. » « Je suis sanguin, excessif, je ne suis pas fait pour la politique, ce n’est pas mon truc » Fut un temps où on vous a prêté des ambitions politiques… « J’ai été sollicité par tous les bords politiques, à gauche, à droite. À l’exception des extrêmes… ce n’est pas la peine. Le maire de Lens m’a demandé un coup de main pour les municipales, j’y suis allé. Idem avec Xavier Bertrand à la Région. Non, la politique est un métier difficile, je n’aurais pas la patience. Je suis sanguin, excessif, je ne suis pas fait pour ça, ce n’est pas mon truc. »
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https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Transferts-lens-recrute-le-lateral-polonais-przemyslaw-frankowski-chicago-fire/1276491 Bon résumé.
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Droits TV, Diffuseurs, Offres et tout le bazar
West'ier a répondu à un(e) sujet de Y_chti dans Football national et international
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Jour de retour à Bollaert, du mal à y croire !
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Confirmé ici, Bordeaux et des clubs du Moyen-Orient sont dessus aussi : https://www.republicain-lorrain.fr/sport/2021/07/30/fc-metz-john-boye-va-t-il-revenir
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Droits TV, Diffuseurs, Offres et tout le bazar
West'ier a répondu à un(e) sujet de Y_chti dans Football national et international
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Foot vs Coronavirus
West'ier a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Les-ultras-de-montpellier-boycotteront-les-matches-a-cause-de-passe-sanitaire/1273414 -
Pourtant pour l'instant le parcage de la première journée à Rennes est bien d'actualité, environ 1 300 places sont réservées aux supporters lensois et la vente est ouverte aux différentes sections.
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Ouais fin à l'Euro le masque était aussi annoncé comme obligatoire dans toutes les enceintes qui accueillaient des matchs, d'ailleurs ils en distribuaient à l'entrée, résultat je sais même pas si 30% des gens le portaient dans le stade (convenablement, j'entends). Donc bon, pas de quoi en faire un drama.
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Ca doit pas être facile tous les jours de bosser au stade Pierre Mauroy...
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"N'est-ce pas!"!
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https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Thierry-ambrose-quitte-metz-pour-ostende/1272717
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The Revenant !
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https://letsgometz.com/enzo-daoud-rejoint-fc-metz/
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Rumeurs et transferts
West'ier a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
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[La saison 2020-2021 du RC Lens] Le Racing de retour dans l'élite
West'ier a répondu à un(e) sujet de Eduardo62470 dans RC Lens
Oui, tout est précisé ici : https://www.rclens.fr/fr/news/rc-lens-udinese-calcio-le-31-juillet-bollaert -
[Départ] Jonathan Clauss (Marseille)
West'ier a répondu à un(e) sujet de Teddy dans Les transferts lensois
RC Lens : « Je ne changerai pas de statut », assure Jonathan Clauss Le piston droit du Racing est devenu, en un an, une valeur sûre d’une Ligue 1 qu’il découvrait. À 29 ans, pro depuis quatre ans seulement, le Strasbourgeois revient sur un parcours peu ordinaire tout en zigzags et conviction. Jonathan, comment s’est passé le stage ? Le groupe a-t-il retrouvé ses repères ? « En se retrouvant tous ensemble, en dehors de chez nous, à profiter des choses hors terrain, on apprend à connaître plus vite les gens. L’ambiance est incroyable, on s’amuse bien. C’est comme si les nouveaux avaient toujours été là. On a gardé quasiment tout le monde, ça ne peut que continuer à bien se passer. On n’a pas eu de problèmes l’an dernier, je ne vois pas pourquoi on en aurait cette année. » Le groupe aborde-t-il la saison différemment avec plus d’assurance, de certitudes ? « Pour le moment, on aborde surtout le travail. Pour la saison, c’est un peu tôt. Mais on ne part pas de zéro comme l’an dernier où c’était un tout nouveau groupe. On a déjà nos bases, c’est hyper important, c’est plus facile de travailler dessus que de devoir les construire. On est un peu en avance tactiquement. » Il y a un an, vous débarquiez dans un club promu pour votre première saison de Ligue 1, vous êtes désormais un joueur cadre. Sentez-vous une différence ? « Non. Qu’on me considère comme un titulaire aujourd’hui ou pas, c’est à moi de le prouver sur le terrain, ça s’arrête là. Si je suis bon, je jouerai, sinon, je ne jouerai pas. Je ne veux surtout pas avoir cette image de cadre qu’il faut respecter parce qu’il fait partie des têtes de l’équipe, ça ne bougera pas. Je suis toujours accueillant avec les gens, souriant avec tout le monde. J’aime bien être avec les jeunes, car ils ont parfois aussi besoin de sentir qu’ils ont le soutien d’au-dessus. Je ne changerai pas de statut. » Piston, c’est le poste qui colle à votre profil ? « Oui, j’ai été formé ailier, puis je suis passé latéral et redevenu ailier. J’ai toujours alterné sur les deux postes. Au final, je suis entre les deux, et c’est parfait pour moi. J’avais fait une saison comme ça à Avranches. C’est là que je me sens le mieux : je ne suis pas un vrai latéral défensivement, mes qualités sont plus offensives que défensives. Ça me permet d’être suffisamment bon en défense avec Jonathan Gradit qui compense souvent car il comprend mon jeu. Je préfère défendre en avançant que subir. Plus j’avance, mieux je me porte et plus je suis performant. » Vous avez été élu dans l’équipe type de la Ligue 1. Avec le recul, vous sentiez-vous capable de vous imposer à ce point ? « En arrivant au club, je voulais d’abord essayer d’être titulaire, puis quand je l’ai été, le rester. Et pour le rester, il faut être bon. Je ne pensais peut-être pas à ce point-là. Mais je savais que si je venais, c’est parce que je voulais jouer. Et si je voulais jouer, il fallait que je prouve que j’étais bon. Il a fallu bien travailler et aussi avoir confiance et ça, j’en ai pris pas mal aussi parce que le groupe me l’a permis. Le premier match à Lorient, j’étais stressé comme en 16 ans nationaux ! Je me suis mis une énorme pression. J’avais eu la période Covid, j’étais arrivé un peu en retard, j’avais l’impression de ne pas être intégré complètement. La meilleure façon de l’être, c’était d’être très bon sur le terrain. Après, c’est allé mieux. Le regard du groupe est important. Si au moins sur le terrain, on est bon, c’est plus facile de s’intégrer et de parler de choses plus personnelles. » Vous avez signé votre premier contrat pro en 2017 seulement, à Quevilly (Ligue 2), bossé de nuit, été étudiant en STAPS, joué en D6 allemande (à Linx). Mesurez-vous le chemin parcouru ? « Non, pour l’instant, je ne mesure rien parce qu’au fond de moi, j’ai toujours voulu ça. La progression est incroyable mais je me suis toujours dit que c’était là ou rien du tout. Ce n’est pas un aboutissement, je mesurerai vraiment en fin de carrière. » Quand vous jouiez en D6 allemande, vous vous imaginiez en Ligue 1 ? « Je me suis dit à mon niveau si j’ai une chance, il faut que je la saisisse mais je ne me suis pas imaginé arriver en Ligue 1 et prouver que j’étais capable d’y jouer. Il a fallu un concours de circonstances monstre, beaucoup de chance, un peu de talent mais plus de chance que de talent. J’ai pu prouver à chaque niveau que je pouvais jouer et en ayant été un peu meilleur que les autres à chaque fois à mon poste, attirer l’œil d’un club au-dessus. Je ne me posais pas la question de savoir si j’allais finir pro mais j’ai pris toutes les étapes que je pouvais. » Ne pas avoir été conservé au centre de formation de Strasbourg ne vous avait pas fait renoncer ? « Je me suis très longtemps dit que c’était fini pour moi. J’ai fait des essais à droite à gauche, ça n’a pas marché, je voulais arrêter. J’ai signé dans un club proche (Vauban Strasbourg, en Régional 1), parce que ça me facilitait le trajet pour aller à la fac, c’était tout. Le foot, c’était du loisir pur et dur, très secondaire. Je ne m’empêchais ni de sortir, ni d’aller boire avec mes potes. Peu importe l’heure à laquelle je rentrais même si j’avais match le lendemain. » Comment est-ce revenu ? « Lors de ma troisième saison à Linx, un coach m’a fait faire un essai en Bundesliga avec Hoffenheim mais j’avais déjà 21 ou 22 ans, je n’ai pas pu signer en jeunes et, pour les pros, la marche était trop grande. Mais là, je me suis dit, si je n’ai pas été ridicule, pourquoi pas ? Après le CFA 2 (ex-N3 à Raon-l’Étape), c’était le moment de me faire voir en France, j’ai fait une bonne saison. Ensuite, concours de circonstances, Cheick Traoré quittait Avranches (National) qui, du coup, cherchait un latéral droit, ça s’est fait comme ça. Bielefeld (D2 allemande), après Quevilly, pareil. Je ne voulais pas rejouer en National. J’ai attendu, je n’avais pas de club. On m’a envoyé en Biélorussie, une semaine à l’essai au Dinamo Brest… Mes agents me faisaient miroiter des choses et puis finalement rien. Tous les clubs ont repris, j’étais chez moi. Là, le latéral droit de Bielefeld se blesse, on me demande de venir du jour au lendemain, à l’essai une semaine. Je signe. Le week-end d’après, j’étais titulaire. C’était incroyable. » Avez-vous conscience que votre parcours est très différent de celui de beaucoup de pros ? « Je sais que j’ai un parcours différent mais j’en suis très content, ça m’a permis de grandir différemment. Je suis très fier aussi de mon évolution. C’est ce qui parfois fait ma force. Je ne m’attendais tellement pas à être là que tout ce que j’ai, j’en profite à 300 % comme si ça ne devait plus se reproduire. » Vous mettez-vous des limites ? « Non, ça passe ou ça casse. Si j’ai l’opportunité de prouver encore et encore je le ferai, si je peux grimper, je le ferai. Je ne me ferme pas de portes. Je ne néglige pas Lens, au contraire, en disant que je veux absolument partir. Pas du tout. Mais si un club qui joue la Ligue des champions me porte un intérêt, je serai obligé d’y réfléchir forcément. » Vous avez l’air épanoui à Lens… « J’ai l’impression d’être chez moi. C’est incroyable, les gens sont souriants. On peut rigoler quand on veut, le coach ne nous prend jamais la tête. Quand il a des choses à dire, c’est très carré. Quand on prend une remarque, derrière, on a une discussion. Il est très ouvert. Même avec les autres joueurs, on peut s’engueuler sur le terrain pendant une heure parce qu’on subit, qu’on est nerveux, et on rentre au vestiaire, on rigole. C’est très mature, je trouve » Votre valeur marchande a doublé, comment le prenez-vous ? C’est une forme de satisfaction ? « Je ne pourrai même pas répondre… J’ai vu ça, tout le monde me l’a dit. Je prends beaucoup de distance par rapport à ça, ce ne sont que des chiffres. C’est cool mais je ne dis pas : " Je vaux 8 millions, respectez-moi ". Mais c’est dingue quand même ! À Bielefeld, je valais 200 000 euros et je me disais déjà quand même c’est incroyable. Pendant les vacances, j’ai fait une petite remarque à ma copine : " Regarde quand même à qui tu parles " (rires). Pour elle, et les gens autour de moi, ça ne change rien du tout. » Avez-vous eu des sollicitations pour partir ? « Les rumeurs sont énormes (l’Inter Milan a été évoqué, Everton dernièrement). J’ai toujours été clair avec tout le monde, tant que je n’ai pas de contrat sur table, je n’y porte pas d’intérêt car ça me sortirait de mon truc. Ce serait le meilleur moyen de me perdre. Le jour où il y a vraiment quelque chose à discuter, il y a le directeur sportif, le président, ceux qui m’entourent. Je suis focalisé stage, préparation. Si demain il doit y avoir discussion, il y aura. Mais il n’y en a pas eu jusqu’à maintenant. Partir pour partir ou juste pour arrondir mon compte en banque ne m’intéresse pas. Je ne m’attendais déjà tellement pas à ça, à Lens. J’ai envie de jouer, pas de dire je joue dans tel club, la Ligue des champions mais sur 35 journées, je suis 30 fois sur le banc. » https://www.lavoixdunord.fr/1046608/article/2021-07-19/rc-lens-je-ne-changerai-pas-de-statut-assure-jonathan-clauss -
[La saison 2020-2021 du RC Lens] Le Racing de retour dans l'élite
West'ier a répondu à un(e) sujet de Eduardo62470 dans RC Lens
La billetterie en ligne pour Lens-Udinese est ouverte. Objectif guichets fermés pour le retour à Bollaert ? ? -
