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Tout ce qui a été posté par Tibbs

  1. Tibbs

    Lens - Reims / J35 / 12-05-23

    Seko Fofana porté en triomphe après son but victorieux contre Reims (2-1). (Franck Faugère/L'Équipe.) Foot L1 exclusivité abonnés Les tops-flops de Lens-Reims : Fofana encore capital Le capitaine du RC Lens Seko Fofana a de nouveau offert le but de la victoire à son équipe face à Reims (2-1), vendredi lors de la 35e journée de Ligue 1, au terme d'une prestation dévorante d'énergie. Nathan Gourdol et Cyril Olivès-Berthet, à Bollaert12 mai 2023 à 23h30 ma liste commenter réagir partager Tops Jonathan Gradit (Lens) : 7/10 Au-delà de ses fameuses percées, il a encore fait parler sa sobriété pour tenir la défense artésienne. Il a été capital après l'expulsion de Danso, avec plusieurs interventions et dégagements capitaux, dont un tacle d'école sur Balogun (48e). Très précieux dans son jeu long également. Przemyslaw Frankowski (Lens) : 7/10 Le Polonais n'a pas tremblé pour transformer son troisième penalty en autant de tentatives cette saison. Au-delà de son sang-froid pour égaliser, il a multiplié les courses tranchantes sur son côté droit. Son centre bouillant a été repoussé par Diouf (11e), et son coup-franc sur la tête de Thomasson n'a pas fait mouche (30e). lire aussiMené et réduit à dix, Lens renverse Reims et conforte sa deuxième place Seko Fofana (Lens) : 7/10 Le capitaine a été fidèle à lui-même, avec une grosse débauche d'énergie, du brouillon et du génie. Précieux à la récupération (10 duels gagnés sur 12), mais dangereux sur plusieurs pertes de balles (16e, 35e, 36e), il signe un but aussi beau que capital pour donner l'avantage à Lens, avec des feintes tranchantes pour mystifier Cajuste et Agbadou et une frappe croisée parfaite (55e). Folarin Balogun (Reims) : 6/10 Il est toujours un poison pour les défenses adverses, par son intensité, son activité, son envie débordante ou ses dribbles déroutants (et réussis !). Auteur de l'ouverture du score sur penalty, son 19e but de la saison, il a été averti pour avoir simulé une faute de Samba sur lui dans la surface, à la 74e. Pas de quoi gâcher un match durant lequel il a touché de nombreux ballons chauds dans la surface, sachant remiser quand il le fallait (4 passes clés). Alexis Flips (Reims) : 6/10 Aligné dans l'axe du losange de Will Still, l'ancien Lillois a encore prouvé qu'il était un joueur sous-côté. Louvoyant entre les lignes, il a posé des problèmes au RCL. Sa passe pour Munetsi, qui a obtenu le penalty de l'ouverture du score, a été délicieuse, comme d'autres transmissions bien senties. Des défaillances dans le dernier geste, comme à la 36e. Les notes de Lens-Reims. Flops Salis Abdul Samed (Lens) : 4/10 De retour dans le onze de départ après avoir purgé trois matches de suspension, le Ghanéen est apparu en manque de rythme. Malgré du coeur à l'ouvrage, il a souvent couru à contretemps. Il se fait trop facilement effacer par Flips qui peut lancer Munetsi sur l'action du penalty. Le Rémois l'a énormément embêté dans sa zone. Kevin Danso (Lens) : non noté On a senti l'Autrichien fébrile dès les premières minutes, pas tranchant au duel (0 gagné sur 2) et peu inspiré dans ses relances, avec notamment une transversale en touche (18e). L'impression s'est confirmée lorsqu'il a commis un penalty pour avoir poussé Munetsi sans s'intéresser au ballon, avec un carton rouge à la clé (19e). Emmanuel Agbadou (Reims) : 3/10 Il a longtemps joué en claquettes, avant de perdre les pédales. L'Ivoirien a concédé un penalty évitable en poussant Thomasson dans la surface, alors qu'il n'y avait aucun danger (38e). En deuxième période, il a été pris par le jeu de corps de Fofana, qui a marqué le deuxième but. Pas aussi solide qu'à son habitude. Jens Cajuste (Reims) : 3/10 Un match à l'image de sa saison très irrégulière. Aligné comme relayeur dans le 4-4-2 rémois, le Suédois a touché beaucoup de ballons, sans rien créer. Après avoir gâché un contre très intéressant à la 16e, il a été pris par la feinte de Fofana sur le deuxième but lensois. Très fragile dans le duel (deux remportés sur 14). lire aussiToutes les notes L'Équipe publié le 12 mai 2023 à 23h30
  2. Tibbs

    Lens - Reims / J35 / 12-05-23

    Waouh quelleS emotionS sur ce match et cette fin de match. Le scénario, les tensions (et ici aussi), le but d’anthologie de Seko, la masterclass sur le match de Franko, La Défense de guerrier jusqu’au bout en donnant tout ce qu’il leur restait, la scène de de délivrance qui veut tout dire, la scène avec Haise et le public, la communion de folie entre joueurs et supporters. Il y a encore quelque chose de plus qui s’est passé ce soir. Indescriptible, mais ça va au delà de la simple victoire.
  3. Tibbs

    Lens - Reims / J35 / 12-05-23

    Tain, mais vous (enfin certains) êtes relous, à parler tout le temps de l’arbitrage quand ça n’a pas lieu d’être, jaune par ci ou là etc… Il n’y a pas de faute grossière de l’arbitre. Le rouge me paraît sévère (double peine et poussette) pour Danso si je lis bien les règles, mais je les ai peut-être mal lues ou mal interprétées. L’arbitre est un professionnel, il connaît mieux les règles que moi, c’est tellement gros, qu’il ne pas y avoir d’erreur grossière. Ça fait juste chier pour nous, pour Danso, pour ce match et la fin de saison. L’arbitre n’y est pour rien. Maintenant ça fait 1-1, on a dominé Paris en 2nde mi-temps à 10 vs 11. La saison dernière, on a gagné plusieurs matchs à 10, dont le mémorable Lens-Nice. Donc croyons en notre équipe et acceptons le scénario.
  4. Je n’ai pas retrouvé l’antériorité avant la saison 73/74, hors A.Oudjani (63-64) cité ici, voici les meilleurs buteurs en L1/L2 sur une saison du club : (édité avec les buteurs avant 73/74 et après guerre) 1 - A. Oudjani (63/64) : 30 2 - Jönsson (56/57) : 29 3 - Lech (66/67) : 25 4 - Levandowski (50/51) : 21 5 - Lafranceschina (61/62) : 20 5 - Boli (93/94) : 20 6 - Openda (22/23) : 19 (en cours) 6 - Thordarson (81/82) : 19 8 - Stanis (45/46) : 18 9 - Stopyra (53/54) : 17 9 - A.Oudjani (62/63) : 17 9 - Lech (65/66) : 17 9 - Brisson (83/84) : 17 10 - Jönsson (55/56) : 16 10 - A.Oudjani (59/60) : 16 10 - Lech (67/68) : 16 10 - Lopez (16/17, L2) : 16 10 - Gomis (18/19, L2) : 16 15 - A.Oudjani (64/65) : 15 15 - Marx (75/76) : 15 17 - Wisnieski (54/55) : 14 17 - Courtin (57/58) : 14 17 - Argyroudis (73/74) : 14 17 - Ehrlacher (79/80) : 14 17 - Tiéhi (94/95) : 14 17 - Drobjnak (97/98) : 14 23 - Argyroudis (74/75) : 13 23 - Bousdira (76/77) : 13 23 - Six (77/78) : 13 23 - Xuereb (82/83) : 13 23 - C.Oudjani (87/88) : 13 23 - Cousin (05/06) : 13 23 - Maoulida (08/09, L2) : 13 30 - Vercruysse (84/85) : 12 30 - C.Oudjani (88/89) : 12 30 - Moreira (01/02) : 12 30 - Sibierski (02/03) : 12 30 - Utaka (04/05) : 12 30 - Touzghar (13/14, L2) : 12 30 - Kalimuendo (21/22) : 12 + - Deloffre (63/64) : 18 buts (2e meilleur buteur derrière A.Oudjani) - Wisnieski(56/57) 16 buts (2e meilleur buteur derrière Jönsson) + A noter : - Stanis (42/43) : 43 buts - Stanis (43/44) : 41 buts
  5. Avec la traduction (Google, pas moi 😹😹) L'UEFA approuve le format définitif et la liste d'accès pour ses compétitions interclubs à partir de la saison 2024/25 mardi 10 mai 2022 Plus d'accès accordé en fonction des coefficients du club. Huit matches au lieu de dix dans la nouvelle phase de championnat. À la suite d'une consultation exhaustive des parties prenantes du jeu, le Comité exécutif de l'UEFA a approuvé aujourd'hui à Vienne le format définitif et la liste d'accès pour les compétitions interclubs européennes à partir de la saison 2024/25, suite à sa décision du 19 avril 2021 d'introduire le soi-disant "Système suisse". Les principaux amendements concernent la réduction de 10 matches à 8 dans la phase de championnat de l'UEFA Champions League et le changement des critères d'attribution de deux des quatre places supplémentaires en UEFA Champions League, supprimant l'accès basé sur le coefficient du club. Cela confirme le ferme engagement de l'UEFA envers le principe des compétitions ouvertes et du mérite sportif, tout en reconnaissant la nécessité de protéger les ligues nationales. Les huit matches de l'UEFA Champions League se joueront sur les dix semaines européennes prévues par la décision prise en avril 2021. L'UEFA Champions League, l'UEFA Europa League et l'UEFA Europa Conference League bénéficieront toutes d'une semaine d'exclusivité calendaire. Les quatre places supplémentaires créées par le passage de 32 à 36 équipes dans la phase de championnat de l'UEFA Champions League seront réparties comme suit : • Une place ira au club classé troisième du championnat de l'association en cinquième position au classement des associations nationales de l'UEFA. • Une place sera attribuée à un champion national en faisant passer de quatre à cinq le nombre de clubs qualifiés via la soi-disant « voie des champions ». • Les deux dernières places reviendront aux associations ayant réalisé la meilleure performance collective de leurs clubs lors de la saison précédente (nombre total de points obtenus divisé par le nombre de clubs participants). Ces deux associations gagneront une place pour le club le mieux classé dans le championnat national derrière les positions de l'UEFA Champions League. Par exemple, à la fin de la saison en cours, les deux associations ajoutant un club à la Ligue des champions, sur la base des performances collectives de leurs clubs, seraient l'Angleterre et les Pays-Bas. • Le Comité exécutif de l'UEFA a de nouveau confirmé que tous les matchs avant la finale se joueront toujours en milieu de semaine, reconnaissant l'importance du calendrier national des matchs à travers l'Europe. Commentant ces décisions, le président de l'UEFA, Aleksander Čeferin, a déclaré : "L'UEFA a clairement montré aujourd'hui que nous sommes pleinement attachés au respect des valeurs fondamentales du sport et à la défense du principe clé des compétitions ouvertes, avec une qualification basée sur le mérite sportif, pleinement conforme aux valeurs et au modèle sportif européen solidaire. "Les décisions d'aujourd'hui concluent un vaste processus de consultation au cours duquel nous avons écouté les idées des supporters, des joueurs, des entraîneurs, des associations nationales, des clubs et des ligues pour n'en citer que quelques-uns, dans le but de trouver la meilleure solution pour le développement et le succès du football européen. , tant au niveau national que sur la scène internationale des clubs. "Nous sommes convaincus que le format choisi trouve le bon équilibre et qu'il améliorera l'équilibre compétitif et générera des revenus solides qui pourront être distribués aux clubs, aux ligues et au football de base à travers notre continent tout en augmentant l'attrait et la popularité de nos compétitions interclubs" "Je suis vraiment ravi qu'il s'agisse d'une décision unanime du Comité exécutif de l'UEFA, l'Association européenne des clubs, les ligues européennes et les associations nationales étant toutes d'accord avec la proposition faite. Une nouvelle preuve que le football européen est plus uni que jamais. "La qualification restera donc purement basée sur la performance sportive et le rêve de participer restera pour tous les clubs." Résumé des formats En faisant passer le nombre total d'équipes de 32 à 36 en UEFA Champions League, le plus grand changement verra une transformation de la phase de groupes traditionnelle en une phase de championnat unique incluant toutes les équipes participantes. Chaque club se verra désormais garantir un minimum de 8 matchs de championnat contre 8 adversaires différents (quatre matchs à domicile, quatre à l'extérieur) au lieu des six matchs précédents contre trois équipes, disputés à domicile et à l'extérieur. Les huit meilleures équipes de la ligue se qualifieront automatiquement pour la phase à élimination directe, tandis que les équipes terminant de la neuvième à la 24e place s'affronteront dans un barrage à deux pour assurer leur chemin vers les 16 derniers de la compétition. Des changements de format similaires seront également appliqués à l'UEFA Europa League (8 matches en phase de championnat) et à l'UEFA Europa Conference League (6 matches en phase de championnat) et les deux comprendront également 36 équipes en phase de championnat.
  6. Tibbs

    Lens - Reims / J35 / 12-05-23

    Seko Fofana entre Cengiz Ünder et Loïs Openda lors de Lens-OM (2-1), samedi. (A.Réau/L'Equipe) Foot L1, Lens issu du journal Face à Reims, Reims peut valider le podium pour de bon Lens, qui enregistre le retour d'Abdul Samed, terminera officiellement sur le podium s'il bat Reims et que Monaco ne gagne pas contre Lille. Romain Lafont12 mai 2023 à 00h12 ma liste commenter réagir partager Fini les cols hors catégorie, place à la moyenne montagne. Lens s'est remarquablement sorti de son dernier mois de gala, où il affrontait les autres membres du top 4. Il est tombé contre le PSG (1-3), mais il a fait valser Monaco (3-0)et résisté au grand début de match de l'OM (2-1) pour récupérer samedi la place de dauphin. L'affrontement électrique contre les Marseillais était encore au menu de la conférence de presse des Artésiens, mercredi, mais Franck Haise a joué les démineurs. lire aussiÀ Lens, la force de l'équipe repose aussi sur l'esprit de famille qui règne dans le vestiaire Le communiqué olympien sur l'arbitrage ? « On l'avait fait il y a quelque temps. C'était un peu plus musical de notre côté, un peu plus littéraire pour eux, ils défendent leur intérêt. »La gifle de Dimitri Payet sur son adjoint Yannick Cahuzac ? « Ce qui m'embête, c'est que ce soit parce qu'il y a eu plus d'images sur ce match-là. Si ç'avait été vu sur le coup... Il n'y a rien eu de très grave. » Le manager général reste en revanche convaincu qu'il y avait faute d'Alexis Sanchez sur Kevin Danso. Florian Sotoca devance Jordan Veretout lors de Lens-OM, samedi dernier (2-1). (A.Réau/L'Equipe) Le but a bien été annulé, les Lensois ont gagné et il serait dommage d'avoir fait tous ces efforts pour se planter dans des affiches moins tape-à-l'oeil mais pas moins piégeuses. À commencer par Reims, qui a pris 2 points contre le PSG (0-0 et 1-1) et a donné une leçon au Lille de Paulo Fonseca samedi dernier (1-0). Haise : « Ce serait une grave erreur de se dire que ce sera plus simple que Marseille ou Monaco. Ils sont 5es ou 6es de L1 depuis que Will Still est arrivé (*). Ils exercent un énorme pressing, quasiment du même niveau que Marseille. Souvent, je dis que ce sera un match difficile, là je dis extrêmement difficile. » (*) Reims est 6e avec 42 points sur les 24 dernières journées, depuis la nomination du Belge mi-octobre. Bollaert ne sera pas totalement plein D'autant que pour une fois, les Artésiens ne pourront bénéficier d'un stade Bollaert totalement plein. La faute aux feux d'artifice tirés le 22 avril à l'occasion du match contre Monaco, qui ont eu pour conséquence la fermeture pour un match des espaces réservés aux groupes KSO et Red Tigers de la tribune Marek. Environ 500 personnes sont concernées par cette décision de la commission de discipline, auxquelles il faut ajouter les membres des Devils, qui ont annoncé ne pas venir au stade en solidarité avec les groupes sanctionnés. Sur la pelouse, Lens devrait en revanche pouvoir compter sur toutes ses forces vives à l'exception de Wesley Saïd (reprise). En délicatesse avec son dos en début de semaine, le défenseur Jonathan Gradit devrait bien être de la partie. Surtout, l'entraîneur récupère son marathonien et gratteur de ballons Salis Abdul Samed, qui a purgé ses trois matches de suspension. En son absence, Jean Onana a fait le boulot dans l'entrejeu et Lens a fait le plein. lire aussiLe classement de L1 De quoi faire vaciller la hiérarchie ? « Junior a fait de bonnes choses, mais je ne peux pas oublier non plus que Salis a fait des bonnes choses pendant 30 matches », a confié Haise. Ils sont nombreux, à Lens, à avoir fait de bonnes choses, et la récompense n'est plus très loin : s'ils battent Reims et que l'ASM ne gagne pas dimanche contre le LOSC, ils seront assurés de finir sur le podium. publié le 12 mai 2023 à 00h12
  7. En gros la différence entre les 30/40 et les 5/10 % que tu estime, ce sont les « suiveurs » (comme à l’école quand 1 ou 2 perturbateurs entraînent plusieurs élèves avec eux). Et ces suiveurs n’auraient pas l’idée ou le courage de faire seuls les différents actes répréhensibles.
  8. Kevin Danso, Florian Sotoca, Brice Samba et Jonathan Gradit se sont imposés face à l'OM (2-1, samedi dernier), et les Lensois occupent désormais la deuxième place de Ligue 1. (B.Fernandez/Icon Sport) Foot L1, Lens issu du journal À Lens, la force de l'équipe repose aussi sur l'esprit de famille qui règne dans le vestiaire L'incroyable saison de Lens repose sur l'unité d'un groupe où la notion de famille revient dans chaque discours. Plongée dans le vestiaire artésien. Nathan Gourdolmis à jour le 12 mai 2023 à 00h00 ma liste commenter réagir partager Il faudrait avoir du temps devant soi pour compter combien de fois le champ lexical de l'unité est revenu dans les discours lensois cette saison. « On forme vraiment une famille, peu importe le statut de chacun, tout le monde se respecte. Je n'avais jamais connu un vestiaire comme ici », témoignait encore le défenseur autrichien Kevin Danso, mercredi. « Cette force, elle transpire de partout, ça pue même », poursuit le gardien Brice Samba, arrivé l'été dernier. Ce ciment social, évidemment renforcé par les victoires, est le socle de la plus belle saison comptable de l'histoire du club (72 points), comme le confirme le manager général, Franck Haise : « Pouvoir s'appuyer sur un vestiaire qui s'apprécie, qui accepte de corriger les erreurs des autres et les failles de chacun, je ne sais pas quelle part ça a dans notre réussite, mais évidemment que ça compte énormément. » lire aussiLens : calendrier et résultats « Il y a des petits groupes mais qui forment un ensemble uni » Steven Fortes, défenseur de Lens Ancien pilier du vestiaire artésien (2018-2020), Walid Mesloub, désormais entraîneur adjoint de la réserve (N3), le ressent même sans y être : « Quand je passe une tête, je ne vois que des sourires, de la bonne humeur, pas d'état d'âme. Il y a une cohésion dingue, et ça fait la force de ce groupe. » Il insiste sur l'importance de ses ex-coéquipiers, Jean-Louis Leca, Massadio Haïdara, Steven Fortes, Florian Sotoca et Jonathan Gradit « qui étaient là à la renaissance du club, ont appris les valeurs et principes avant de les transmettre ». « À moins d'être ultra-renfermé, c'est impossible de ne pas t'intégrer dans ce vestiaire, assure le défenseur Fortes, 31 ans, qui joue peu (6 minutes en L1) mais constitue un totem. J'ai connu des effectifs où il y avait des clans qui ne communiquaient quasiment pas. C'est tout l'inverse ici, il y a des petits groupes mais qui forment un ensemble uni. » Plusieurs cercles d'affinités existent, mais ils se mélangent. Des figures émergent, évidemment, comme le gardien corse Jean-Louis Leca, « le doyen du vestiaire (37 ans), qui encadre, capable d'être déconneur avec tout le monde et d'être ultra-sérieux quelques secondes après », selon Fortes. Sotoca surnommé « Poulette », Openda, « Tchoupi » Les inséparables, Gradit et Sotoca, arrivés à l'été 2019, fédèrent énormément, et les recrues hivernales, Adrien Thomasson et Julien Le Cardinal, ont logiquement choisi de se mettre sous leur aile. lire aussiComment Lens s'est installé à la table des plus grands de Ligue 1 « Ils sont cul et chemise », s'amuse Brice Samba. Si Sotoca, alias « Poulette », est un rigolard discret, Gradit fait partie du groupe des chambreurs. « C'est un spécimen, il est très moqueur, comme moi, Wesley Saïd, David Pereira Da Costa, qui fait sage mais qui n'en manque pas une, ou Ismaël Boura », avance Fortes, dit « la Forteresse », proche d'Haïdara et du buteur belge Loïs Openda, alias « Tchoupi ». Loïs Openda, le buteur lensois. (A. Réau/L'Équipe) L'emblème cap-verdien désigne ensuite Salis Abdul Samed comme roi des ambianceurs : « Dès qu'il entre dans une pièce, tu sais qu'il est là, il est toujours en train de danser, de sauter, de crier. C'est capital d'avoir un mec comme ça. "Salissou" transmet sa joie de vivre. Même un jour où tu es moins bien, tu es obligé de rigoler parce qu'il fait le con. » Facundo Medina, « le plus extravagant, que tu entends hurler partout », et Junior « Papi » Onana, « sacrément touché aussi », rivalisent en termes de folie. « Brissou » Samba, lui, est l'intouchable DJ. « Il y a de tout, musique africaine, rap, etc. On n'a pas un son qui revient. Mais c'est moi qui contrôle », tient à préciser le gardien. « Que ce soit à 6 heures du matin ou à 19 heures, il va te mettre son enceinte à fond. Il n'arrête que dix secondes avant l'entraînement », complète Fortes. Fofana, lien entre jeunes et anciens, et entre joueurs et staff Seko Fofana assume de son côté le rôle du « capitaine qui peut s'amuser avec tout le monde », poursuit le défenseur. Il n'y a aucune fracture entre les jeunes et les plus anciens, ou avec les étrangers, et c'est grâce à un mec comme Seko par exemple. » Seko Fofana, le milieu et capitaine du RC Lens. (A. Réau/L'Équipe) Le capitaine forme, avec Samba, Gradit et Sotoca, un groupe de quatre cadres choisis par Haise pour assurer le lien groupe-staff. Ce sont d'ailleurs souvent eux qui se permettent de perturber les conférences de presse des copains à la Gaillette, quand ce n'est pas Medina qui se pointe avec une casquette à oreilles de vache pour soutenir son pote, Deiver Machado. Malgré quelques parties de cartes pendant les trajets en car, les écrans ont pris le pas sur le plan des activités hors football. Samba, Sotoca, Machado et Medina s'écharpent en ligne au Ludo (jeu qui se rapproche des petits chevaux), où « Fac' est pas mal », concède difficilement Samba. Il y a aussi la bande des « geeks » qui s'affrontent à divers jeux vidéo, avec Angelo Fulgini, Danso, Openda et Haïdara, d'ailleurs surnommé « Maskass », en lien avec un personnage de Super Mario. lire aussiEn changeant de dimension, Lens se retrouve face à de nouvelles problématiques En dehors du club, certains se retrouvent parfois à des padels organisés par Leca et Sotoca durant les trêves internationales. Le groupe a aussi pris l'habitude de sortir après les matches à domicile qui se terminent bien, pour cultiver l'esprit de cohésion. Le succès face à l'OM, samedi dernier (2-1), a ainsi été dignement fêté, et tout un groupe espère se lâcher à nouveau cette nuit. publié le 12 mai 2023 à 00h00mis à jour le 12 mai 2023 à 00h00
  9. Thomas Léonard : - Marseille -Montpellier : 1-1 - Angers - Lens : 1-2 - Clermont - Angers : 2-1 Benoit Millot : - Marseille - Lille : 2-1 - Marseille - Lens : 0-1 - Marseille - Troyes : 3-1 - Montpellier - Angers : 5-0
  10. Le pire que j’ai vu, c’était il y a un peu plus de 20 ans, lors d’un déplacement à Rennes (l’année où on gagne sur un doublé d’Ismaël je crois) : retour du match, on s’arrête sur une aire de repos, le bac réfrigéré de sandwich est passé de 3/4 plein à 3/4 vide : 2 ou 3 personnes (dont moi) sont passées en caisse… La pauvre caissière était toute seule face à 40 énergumènes enivrés et/ou sous l’emprise de substance illicite. Le pauvre bus rempli de cadavre de bières et de mégots de cigarettes (alors que interdit). Sans compter qu’aller, on démarre de Lens en début de matinée (vers 8/9h je sais plus), à peine le péage d’Arras passé (donc 20-25 minutes de bus à tout cassé), on s’arrête sur la première de repos pour la première vidange de certains de ces messieurs…
  11. Brice Samba présente la défense de Lens composée de Facundo Medina, Massadio Haïdara, Jonathan Gradit et de Kevin Danso. (L'Équipe) Foot L1, Lens issu du journal La perceuse, le mec de la salle, le mangeur de viande... Brice Samba présente la défense de Lens Brice Samba, gardien de la meilleure défense de Ligue 1 avec Lens, présente ses partenaires de l'arrière et décrit leur alchimie. Nathan Gourdol, à Avion (Pas-de-Calais)mis à jour le 11 mai 2023 à 19h42 ma liste commenter réagir partager Pas toujours enclin à parler de lui, Brice Samba n'a pas hésité lorsqu'on lui a proposé de mettre en avant ceux qui, au plus proche de lui, constituent les principaux piliers de la meilleure défense de Ligue 1 (26 buts encaissés) : le trio Gradit-Danso-Medina, complété par le joker Haïdara, alias « le calme, le costaud, le disjoncteur et l'exemplaire ». lire aussiToute l'actu des Sang et Or « Ce sont mes soldats préférés, je leur dois énormément, assure le gardien lensois. Sans eux, on n'aurait pas fait la même saison, je ne pense pas que je serais en équipe de France. On se tire tous vers le haut, on peut tous compter sur chacun. Ils diront la même chose. Je gueule pas mal, je sais parfois que je suis chiant, mais c'est pour gagner. » Avec humour et respect, le gardien de 29 ans raconte ses lieutenants. Jonathan Gradit (30 ans) : « On l'appelle "la Perceuse" » « Je le connais depuis longtemps maintenant, sa vie perso aussi, et ça n'a pas toujours été facile. Je suis très fier de son parcours, c'est un super mec. On parle souvent de notre saison à Caen (2018-2019) où on avait souffert (19es et relégués). Maintenant, on rayonne. Il est hyper régulier, le plus régulier de nous tous. Sur un terrain, il ne fait pas de bruit, mais il est là, toujours à 100 %. "Jo", c'est la constance. Il ne tacle pas pour tacler. Neuf fois sur dix, il prend le ballon. On échange énormément sur les sorties de balle, on a des petits signes que je n'ai pas forcément avec les autres, et ça fonctionne bien. Il est très juste techniquement, propre dans les relances, et puis si on l'appelle "la Perceuse", ce n'est pas pour rien. C'est le défenseur moderne, qui colle parfaitement avec notre façon de jouer. Il est à pleine maturité. Des anecdotes sur "Jo" ? Mais j'en ai trop ! C'est un gros radin, mais notre radin à nous. Il nous calme sur nos dépenses. Je lui dis de vivre, mais il n'y a rien à faire (rires). » Kevin Danso et Jonathan Gradit ont plutôt bien contrôlé l'attaque marseillaise, samedi 4 ai, 2-1 pour Lens). (A. Réau/L'Équipe) Kevin Danso (AUT, 24 ans) : « Je vous parie qu'il est encore à la salle » « C'est le mec avec qui je m'embrouille le plus. Nos deux caractères se cognent. Mais si on se frite, c'est pour le bien de l'équipe, parce qu'on est exigeants. On habite à côté, parfois on vient ensemble. Kevin, c'est travail, travail, travail. Au moment où je vous parle, je vous parie qu'il est encore à la salle (pari gagné). Il est ultra dur avec lui-même, c'est la force brute, c'est la puissance. Il vise très haut et il s'en donne les moyens. C'est plus qu'un perfectionniste, il veut toujours tout réussir, le moindre duel à l'entraînement. Parfois, j'essaie de lui dire que ce n'est pas possible, mais ça ne marche pas trop. On a l'impression qu'il est discret de l'extérieur, mais c'est vraiment quelqu'un qui ne se laisse pas faire. Le coach avait dit qu'il faisait partie des meilleurs défenseurs d'Europe, je suis d'accord. Il a tout, il est incroyable dans les duels, il a la relance. Parfois je me demande même s'il ne laisse pas passer le mec (l'adversaire) exprès pour avoir à intervenir ensuite (rires). » lire aussiDimitri Payet a mis une claque à Yannick Cahuzac pendant Lens-OM Facundo Medina (ARG, 23 ans) : « Il mange trop de viande » « C'est un mélange de tout, de la folie, de vice. J'ai envie de dire, Argentin, en fait (rires). Je me souviens de leur capacité à faire disjoncter les mecs à la dernière Coupe du monde : hé bien, Fac', c'est ça. Il est fou. Tout le monde déteste jouer contre lui, mais quand tu l'as avec toi, tu te rends compte de ce qu'il t'apporte. Contre l'OM par exemple (2-1, samedi dernier), après la petite embrouille (causée par un dégagement de Medina vers le banc marseillais), on a vu une autre équipe de Lens, ensuite. Je ne dis pas qu'il doit faire ça à chaque fois, mais c'est un détail qui compte. On a besoin d'un joueur comme ça. C'est aussi notre premier relanceur, l'un des meilleurs d'Europe. Ce qu'il réalise avec le ballon, j'ai rarement vu ça chez un défenseur, il a une telle facilité. Cela a pu lui jouer des tours, mais de moins en moins. Si je suis un très grand club européen qui joue à trois centraux, je vais le chercher illico. Tu es obligé d'aimer un mec comme lui. Le seul truc, c'est qu'il mange trop de viande, il m'envoie des photos de ça non-stop. Ça vient peut-être de là sa folie. » Avec Massadio Haïdara et Facundo Medina, Lens peut voir venir. (B. Papon/L'Équipe) Massadio Haïdara (MAL, 30 ans) : « Il est sculpté de partout » « C'est notre homme de vestiaire, la clé de 12, le couteau suisse. Lorsque "Jo" s'est blessé en début de saison (fracture d'une clavicule) et que le coach l'a mis axe droit, j'ai été surpris. Mais en fait, peu importe où tu le mets il va être excellent. C'est mon soldat exemplaire ! Tu regardes son corps, il est sculpté de partout. C'est un bijou pour un entraîneur, il fera toujours le taf et c'est un pilier. » publié le 11 mai 2023 à 17h39mis à jour le 11 mai 2023 à 19h42
  12. Calendrier à la con, décisions de certains clubs à la con, et équipe presqu’en bois. Dommage ne pas voir les Wahi, Doué, Ben Senghir, Zaire-Emery, Gusto, Kumbedi, I. Touré, Cherki, Thel pour ne citer qu’eux
  13. Tibbs

    Lens - Reims / J35 / 12-05-23

    On pourrait aussi ajouter la CDF, non conclu par une victoire (hors TAB) : - Lorient - Lens, 1-1 (avant TAB) : Fulgini (21eme) 0-1 ; Le Fée (84e) 1-1 - Nantes - Lens, 2-1 : Fofana (28eme) 0-1 : Delort (31eme, 59eme) 1-1 puis 2-1
  14. Tibbs

    Lens - Reims / J35 / 12-05-23

    Montpellier - Lens, 1-1 : Fulgini (4eme) 0-1 ; Maouassa (59eme) 1-1
  15. Gastien (L2 et L1) Edit : Pantaloni (Ajaccio) depuis 2014
  16. Tibbs

    Lens - Marseille / J34 / 06-05-23

    Si on s’en tient aux notes de l’équipe : Lopes Todibo - Danso - Medina Frankowski - Abdul Samed - Verratti -Nuno Mendes Messi - Openda - Neymar RP : Samba, Lopez - Gradit, Mbemba, Marquinhos - Cabella, Golovine, Munetsi, André, Le Fée - Lacazette, Mbappé Entraineur : Haise
  17. Le piston Przemyslaw Frankowski à la lutte avec les Marseillais Leonardo Balerdi et Jordan Veretout samedi au stade Bollaert (2-1). (Alexis Réau/L'Équipe) Foot Lens exclusivité abonnés Ligue 1 : les secrets de la maîtrise du RC Lens La façon dont Lens a maîtrisé l'OM (2-1) ce samedi pour reprendre la deuxième place de Ligue 1 a confirmé que son collectif avait atteint un pic physiquement, mais surtout qu'il avait franchi plusieurs paliers sur le plan de la gestion. Nathan Gourdol (avec J. D.)07 mai 2023 à 19h18 ma liste commenter réagir partager Si Lens a enfin trouvé un adversaire à sa taille en termes d'intensité, pas comme lors de sa démonstration contre Monaco deux semaines plus tôt où l'ASM avait abdiqué avant même d'avoir essayé (3-0, le 22 avril), sa dimension physique a encore impressionné samedi contre l'OM (2-1). Les données de courses ont été affolantes, dans la lignée des deux derniers mois, et cette constante a permis d'obtenir un bras de fer superbe que Lens n'a toutefois pas fait basculer avec ses muscles, mais avec sa tête. lire aussiArt du buzz et créativité, comment Lens a révolutionné sa com Comme à Toulouse mardi (1-0), et à maintes reprises cette saison, le RCL a été supérieur à son opposant dans la gestion des temps faibles. « Après la première demi-heure, même si Marseille était entreprenant, je trouvais qu'on défendait intelligemment » Franck Haise, entraîneur du RC Lens L'énorme pressing marseillais du début de match aurait fait craquer bien des formations - et certainement le Lens de la saison dernière -, mais le collectif de Franck Haise sait désormais plier sans céder comme personne en Ligue 1. « Après la première demi-heure, même si Marseille était entreprenant, je trouvais qu'on défendait intelligemment », glissait d'ailleurs le manager général lensois, avant de souligner la gestion millimétrée de son groupe : « On sait mettre des gros moments d'intensité, et défendre un peu plus bas à d'autres moments. Sortir sous pression, ce n'était pas simple au début, mais on a fait de mieux en mieux. » lire aussiUn staff à l'Haise au RC Lens Quand l'OM a maintenu son pied enfoncé sur l'accélérateur jusqu'à épuisement, Lens a su jouer avec l'embrayage pour durer. En cela, le match de Przemyslaw Frankowski a été exemplaire car le piston polonais a su réguler le tempo à merveille depuis son côté droit, avec métier et lucidité. « En globalité, on gère bien, même si sur le début de match, parfois on ne gérait pas nos émotions. On a su re-rentrer dans le match », complétait le capitaine Seko Fofana, pour qui l'annulation par le VAR du but d'Alexis Sanchez (8e) a été un avertissement salutaire pour ses troupes. « On est tous forts mentalement, on est unis », poursuivait l'homme providentiel du sprint final, Loïs Openda, auteur de dix buts lors des huit dernières journées (19 au total), au sujet du secret de la maîtrise lensoise. Une mécanique lensoise qui se renforce semaine après semaine Le vestiaire tout entier partage cette observation et se surprend lui-même vis-à-vis de cette solidité. Un sentiment de plénitude s'est lentement diffusé dans l'équipe cette saison, à force de constater que la mécanique résistait et se renforçait semaine après semaine. L'unité aurait pourtant pu voler en éclats à mesure que les matches couperets arrivaient, complexifiant les choix. Mais la cohésion a toujours résisté. Ce n'est d'ailleurs pas anodin d'avoir vu le joker de luxe Massadio Haïdara lancer le chant Chicoté samedi dans un Bollaert incandescent. Passeur décisif à Toulouse mardi, le Malien a retrouvé le banc pour ce soir de gala, mais accepte ce rôle de couteau suisse pour le groupe. Tout le monde ne le vit pas aussi bien, mais Haise a réussi le tour de force de gérer les ego sans porter atteinte à l'état d'esprit général ni freiner la prise de maturité de son équipe. « Le foot est une machine qui s'enraye vite donc continuons à être simples, sereins, à prendre du plaisir entre nous » Jean-Louis Leca, gardien numéro 2 de Lens L'intérim réussi de Jean Onana durant les trois matches de suspension de Salis Abdul Samed, qui devrait retrouver le onze contre Reims vendredi, va aussi dans ce sens. « Le foot est une machine qui s'enraye vite donc continuons à être simples, sereins, à prendre du plaisir entre nous », philosophait l'expérimenté gardien numéro 2, Jean-Louis Leca, ému du parcours réalisé depuis la remontée il y a trois ans. L'Europe assurée, et pourquoi pas le titre du Championnat Déjà assuré de terminer au moins dans le top 4 et donc de disputer la Ligue Europa dans le pire des scénarios, Lens plane à une hauteur qu'il n'avait jamais connue (72 points) et bat ses records historiques semaine après semaine. Avec deux longueurs d'avance sur l'OM, le Racing a la main pour garder la deuxième place, voire rêver d'un écroulement du PSG. La force tranquille qu'il dégage ces dernières semaines laisse sérieusement penser qu'il ne tremblera pas. lire aussiToute l'actu du RC Lens publié le 7 mai 2023 à 19h18
  18. Donc Wahi est le 2e joueur à avoir perdu un match en ayant marqué un quadruplé
  19. Sinon voilà la liste sur le site de la ligue 1 (19/01/2023) : https://www.ligue1.fr/Articles/ANALYSES/2023/01/19/historique-les-records-des-buteurs-sur-un-match-de-ligue-1-uber-eats
  20. Avis aux archives, a quand date le dernier match avec un double quadruplé (2 joueurs) en ligue 1 ?
  21. Cool ! Gradit, Thomasson et Sotoca vont pour y postuler 😹😹
  22. Tibbs

    Lens - Marseille / J34 / 06-05-23

    Saïd Ennjimi sur le but refusé à Alexis Sanchez durant Lens-OM : « Il y a une faute évidente » Saïd Ennjimi, l'ex-arbitre international approuve la décision de refuser le but à Alexis Sanchez. (L'Équipe) Saïd Ennjimi, ex-arbitre international et consultant pour la chaîne L'Équipe, a estimé juste la décision de Clément Turpin de refuser l'ouverture du score à Alexis Sanchez, l'attaquant de l'OM, auteur d'une faute flagrante sur le Lensois Kevin Danso (8e), samedi en Ligue 1. Julien Baudotmis à jour le 7 mai 2023 à 00h10 ma liste commenter réagir partager Un énième pressing haut de l'attaquant marseillais, Alexis Sanchez embrouillait la coordination cerveau-jambes de Kevin Danso, samedi lors du choc de la 34e journée de Ligue 1 entre Lens et Marseille (2-1). En difficulté, l'Autrichien laissait passer le ballon entre ses jambes. Plus vif, Sanchez piquait le cuir, effaçait Brice Samba d'un passement de jambes et ouvrait le score pour les Marseillais (8e). Alerté par l'assistance vidéo, l'arbitre de la rencontre entre Lens et l'OM Clément Turpin est revenu sur sa décision. Une juste décision pour l'ex-arbitre international et consultant pour la chaîne L'Équipe Saïd Ennjimi. lire aussiLe film de Lens - OM « Il s'agit d'une erreur manifeste. La vidéo a été pertinente » Saïd Ennjimi, ex-arbitre international « Personnellement, je vois une faute flagrante d'Alexis Sanchez sur le défenseur lensois. Il faut se fixer sur le bas du corps. Sanchez percute les jambes de Danso et créé la faute, a précisé Saïd Ennjimi. Je pense que Clément Turpin aurait dû siffler tout de suite. Mais, il n'avait pas détecté la faute de Sanchez, alors il est revenu dessus parce qu'il s'agit d'une erreur manifeste. La vidéo a été pertinente. » lire aussiGrâce à sa victoire contre l'OM, Lens reprend la deuxième place Questionné sur la recherche de la faute de Danso, Saïd Ennjimi a confirmé la complexité de l'analyse : « C'est la difficulté de laisser la part belle à la vidéo. Au ralenti, impossible de voir si Danso veut venir chercher la faute. À vitesse réelle, ça peut être différent. » Mais, ici, pas de quoi dénoncer la prise de décision de Clément Turpin. publié le 7 mai 2023 à 00h06mis à jour le 7 mai 2023 à 00h10
  23. Ça sert à rien de calculer, faut juste kiffer les moments présents, on retrouve l’Europe pour sur. Se dire qu’on peut encore jouer le titre (même si les probas sont très faibles mais mathématiquement tant que c’est faisable…), qu’on sera fier de cette de cette saison et de ce club à tout niveau quoi qu’il arrive. Rien que retarder le plus tard possible le probable titre de Paris qui lui tend les bras, c’est kiffant, et en mode JC Dusse, oublie que t’as aucune chance, sur un malentendu…
  24. Tibbs

    Lens - Marseille / J34 / 06-05-23

    Sincèrement on voit le geste du bras de Sanchez sur le dos de Danso. C’est sanctionnable. Après est-ce que Danso se laisse facilement tomber, je ne sais pas, c’est ça qui laisse planer le doute. Mais le geste de Sanchez reste sanctionnable selon moi.
  25. Tibbs

    Lens - Marseille / J34 / 06-05-23

    Je suis aussi fatigué que les joueurs. 😹😹 Pas forcément un niveau technique de fou, mais une intensité folle et des rebondissements.
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