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HIMYM saison 4 n° 10 vu :) Pas mon préféré, mais ça devient de plus en plus drôle au fil de l'épisode je trouve.

 

Le 8 et le 9 sont vraiment énorme ! C'était difficile de faire aussi bien avec le 10... même si il y a de très bonnes scènes dans cet épisode 10 ! La saison avait démarré tout doucement, je pense qu'on peut dire que ça a repris du poil de la bête !

 

Sinon, il y a la saison 8 de Scrubs qui va être diffusée en début d'année ! =)

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Le 8 et le 9 sont vraiment énorme ! C'était difficile de faire aussi bien avec le 10... même si il y a de très bonnes scènes dans cet épisode 10 ! La saison avait démarré tout doucement, je pense qu'on peut dire que ça a repris du poil de la bête !

 

Sinon, il y a la saison 8 de Scrubs qui va être diffusée en début d'année ! =)

Scrubs, je m'y suis mis y a pas longtemps, je vais attaquer la saison 3, je suis fan ! Bon ça va, j'ai encore 4 saisons à rattraper :lol:

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HIMYM saison 4 n° 10 vu :) Pas mon préféré, mais ça devient de plus en plus drôle au fil de l'épisode je trouve.

Pour ceux qui aiment Neil Patrick Harris (Barney), il a joué dans une micro-série pendant la dernière grève des scénaristes. Elle s'appelle Dr Horrible's sing along Blog. Elle est composée de 3 épisodes de 15 minutes chacun et ont été diffusées sur Internet. J'ai trouvé les torrents en VOST pour ceux que ça intéresse ;) C'est réalisé et écrit par Joss Whedon et est tout en chanson, c'est bien décalé.

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Pour ceux qui aiment Neil Patrick Harris (Barney), il a joué dans une micro-série pendant la dernière grève des scénaristes. Elle s'appelle Dr Horrible's sing along Blog. Elle est composée de 3 épisodes de 15 minutes chacun et ont été diffusées sur Internet. J'ai trouvé les torrents en VOST pour ceux que ça intéresse ;) C'est réalisé et écrit par Joss Whedon et est tout en chanson, c'est bien décalé.

 

Yep, je les avais vu ! Je les ai sur mon disque d'ailleurs. Vraiment décalé et sympa cette mini-série !

 

Sinon on peut aussi le retrouver là-dedans :

http://www.dailymotion.com/video/knKXAlNvpLkZLORByJ :D

(~2 min)

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Cette semaine on m'a fait découvrir la série Dexter. J'aime beaucoup !

 

Synopsis: Brillant expert scientifique du service médico-légal de la police de Miami, Dexter Morgan est spécialisé dans l'analyse de prélèvements sanguins. Mais voilà, Dexter cache un terrible secret : il est également tueur en série. Un serial killer pas comme les autres, avec sa propre vision de la justice.

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Cette semaine on m'a fait découvrir la série Dexter. J'aime beaucoup !

 

Synopsis: Brillant expert scientifique du service médico-légal de la police de Miami, Dexter Morgan est spécialisé dans l'analyse de prélèvements sanguins. Mais voilà, Dexter cache un terrible secret : il est également tueur en série. Un serial killer pas comme les autres, avec sa propre vision de la justice.

1ere saison tout simplement géniale ! :) La 2e est clairement à chier ... :rolleyes: La 3e renoue avec un bon gros niveau et est sur le point de se terminer ;) Elle a d'ailleurs été prolongée. Un de ses scénaristes était parti créer Pushing Daisies (très bien également ;) ) mais malheureusement cette série n'a pas eu les audiences qu'elle méritait. Et il a annoncé revenir dans l'équipe des scénaristes il y a peu ! :banana:

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1ere saison tout simplement géniale ! :) La 2e est clairement à chier ... :rolleyes:

J'ai terminé la saison 1 en début de semaine, énrome. :)

Là, je suis rendu à l'épisode 6 de la saison 2, c'est vrai que c'est différent de la première, moins intrigant je trouve.

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J'ai terminé la saison 1 en début de semaine, énrome. :)

Là, je suis rendu à l'épisode 6 de la saison 2, c'est vrai que c'est différent de la première, moins intrigant je trouve.

et encore, tu verras la fin de la saison avec la grève ... -_-

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Bon ça y est, je viens de m'envoyer les 2 saisons de Califonication en 4 jours et que dire ... excellent !

Je suis de ceux, qui pour avoir (et encore maintenant) voué un culte sans fin à X Files, avais le plus grand mal à voir David Duchovny autre part que dans cette série. Et bien là, chapeau le rôle lui va comme un gant.

 

Maintenant long va être le temps avant de pouvoir regarder la suite des aventures de Hank Moody...... B)

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Tain j'devais la regarder pendant les vacances, et mon disque dur externe sur lequel toutes les séries sont est HS... :cray: :(

 

Pas de panic mon gars..... ;)

 

Par MP

 

Il y a toutes les séries que tu veux :rolleyes:

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Oui, vraiment très bon Californication, me reste un bout de la saison 2 à finir :)

 

T'as bien de la chance d'en avoir encore à regarder ^_^

Mon problême, c'est que quand je demare une serie, il faut que je me l'envoie d'une traite, je sais pas faire durer le plaisir ...... ;) Du coup intervient à la fin, comme un phénomene de manque .... bizard :rolleyes:

 

Je pense me lancer dans HIMYM, vu que tout le monde à l'air d'apprécier ici !

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Bon ça y est, je viens de m'envoyer les 2 saisons de Califonication en 4 jours et que dire ... excellent !

Je suis de ceux, qui pour avoir (et encore maintenant) voué un culte sans fin à X Files, avais le plus grand mal à voir David Duchovny autre part que dans cette série. Et bien là, chapeau le rôle lui va comme un gant.

 

Maintenant long va être le temps avant de pouvoir regarder la suite des aventures de Hank Moody...... B)

 

 

Pinaise toi je t'aimes bien :lol: :lol: X-Files un jour X-Files toujours ^_^

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Pinaise toi je t'aimes bien :lol: :lol: X-Files un jour X-Files toujours ^_^

 

Ah et puis attends t'as rien vu :lol: Entre posters, livres, DVD, revus...goodies en tout genre que j'ai dut laisser dans des cartons à cause de ma femme :rolleyes: J'ai même une réplique d'une carte du FBI avec ma photo .... que j'avais eu dans le éphémere X-Files magazine ..... ! B)

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T'as bien de la chance d'en avoir encore à regarder ^_^

Mon problême, c'est que quand je demare une serie, il faut que je me l'envoie d'une traite, je sais pas faire durer le plaisir ...... ;) Du coup intervient à la fin, comme un phénomene de manque .... bizard :rolleyes:

 

Je pense me lancer dans HIMYM, vu que tout le monde à l'air d'apprécier ici !

 

Oui, c'est très drôle HIMYM, bcp moins lisse que Friends et ça passe d'autant mieux :)

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Le blog séries TV du Monde a fait un article remarquable sur The Shield. Long mais très vrai.

 

The Shield - This is The End

 

 

the_shield.jpg

 

The Shield s’achève. On se tient là, tout seul, au bord d’un champ de ruines qui s’étend à perte de vue. On aperçoit des destins tordus surgissant de terre comme des croix, des vies brisées en deux, fichées dans le sol, des passés réduits à des monticules de cendres et un avenir dans lequel errent les survivants. C’est la fin de sept saisons qui ont retracé le récit d’une guerre, celle qu’un homme a menée contre une ville, contre ses supérieurs, contre ses ennemis et contre ses amis, contre la Terre entière finalement, à l’exception de sa famille.

 

La série, créée par Shawn Ryan, fait partie des plus grandes jamais diffusées, en raison de sa cohérence, de la maîtrise d’une histoire souvent compliquée, de la qualité constante des saisons et du jeu de ses acteurs, presque tous irréprochables. On pourrait reprendre les premiers épisodes (datant de février 2002) et les regarder à nouveau avec un plaisir quasiment intact. Car entre l’assassinat de Terry Crowley, qui marque le point de départ de l’histoire, et l’ultime scène, qui constitue un contre-pied (PAS DE SPOILERS DANS LES COMMENTAIRES SVP), il existe une effrayante logique. On a pu comparer The Shield avec la tétralogie écrite par James Ellroy, mettant en scène son quatuor de Los Angeles dans les années 40 et 50. Les deux projets s’imposent comme des sagas, relatant sur une période de temps relativement longue les aventures d’un groupe d’hommes confrontés à la question de la violence, des hommes obligés de s’impliquer dans l’éternel combat du Bien et du Mal.

 

La comparaison avec les Quatre de L.A. n’est pas totalement juste. Dans Le Dahlia Noir, Le Grand Nulle Part ou encore L.A. Confidential, Ellroy tentait de peindre le portrait d’une époque révolue de la Cité des Anges, une époque de son enfance, dont il a gardé sinon la nostalgie, du moins des souvenirs profondément ancrés en lui. The Shield dresse partiellement le tableau d’une ville, ou plus précisément de l’un de ses quartiers (fictif), Farmington. Cela dit, le rapprochement de ces deux oeuvres majeures est pertinent sur un point. La mise en mouvement du destin est inarrêtable. Les hommes se découvrent prisonniers des événements qu’ils ont déclenchés. Pour Vic Mackey (Michael Chiklis), comme pour Dudley Smith, la vie n’est plus qu’une longue et lente fuite en avant, et la survie devient, comme dans une tragédie classique, l’ultime et unique enjeu.

 

“You are a sick twisted man”, affirme l’agent fédéral, Olivia Murray, s’adressant à Mackey. D’un point de vue moral, elle a raison. Sa place n’est pas à la tête de la Strike Team, mais dans une cage avec le chef de gang Antwon Mitchell. Ces deux-là, s’ils s’affrontent sans pitié, partagent tant de valeurs communes qu’ils devraient se trouver du même côté de la barrière. Malgré tout, les choses ne sont pas aussi simples. Jusqu’au bout, Mackey reste un élément précieux pour la police dans la lutte contre la délinquance. Il obtient des résultats et l’idée qui est suggérée est que pour combattre efficacement les monstres, il faut parfois être comme eux, vivre selon les mêmes règles, partager les mêmes lois, se nourrir de la même violence. Ryan aurait pu s’en tenir à ce constat, comme le fait Ellroy. La grande subtilité de The Shield est que cela va plus loin.

 

Il est possible de combattre le crime, de tenter de servir l’ordre, en employant les armes de ses adversaires, mais il est également possible de mener cette bataille en tentant de sauver son âme. C’est la raison d’exister de Claudette Wyms (CCH Pounder) et de “Dutch” Wagenbach (Jay Karnes). Avec mention spéciale pour ces deux acteurs. La beauté de The Shield est d’avoir su mettre en regard ces deux conceptions du métier de flic, en leur accordant une part équivalente, en ne privilégiant pas l’une par rapport à l’autre. Le credo de Mackey et de la Strike Team est celui de l’efficacité rapide, toutes les fins justifiant tous les moyens. La philosophie de Wyms et de Wagenbach est d’admettre que les moyens sont le plus souvent limités par la morale, mais que cette limite n’exclut pas d’atteindre une fin.

 

En imposant des règles du jeu qu’il a lui-même définies, Mackey oblige ceux qui l’entourent à se poser des questions sur eux-mêmes. Il les contraint à prendre position, pour ou contre lui. Sa simple présence interdit la neutralité, telle que la revendique sa femme Corrine (Cathy Cahlin Ryan) -qui n’a qu’une envie, être débarrassée de son mari- ou l’agent Danni Sofer (Catherine Dent) qui regrette très vite d’avoir laissé cet homme entrer dans son existence. Sans que cela soit dit clairement, on a le sentiment que Mackey est porteur d’une malédiction. Son fils souffre d’autisme. Il abime tout ce qu’il crée, tout ce qu’il touche, la corruption de son caractère est contagieuse et il n’existe pas d’antidote. Cela est particulièrement évident pour ses proches, Shane Vendrell (Walton Goggins), Ronnie Gardocki (David Rees Snell) et Curtis Lemansky (Kenny Johnson), mais également pour ceux qui s’opposent à lui.

 

Wagenbach est, un moment, pris de doutes. Il flirte avec l’illégalité et enfreint les règles pour surmonter la frustration de l’échec. Wyms envisage, elle aussi, un instant de ne plus jouer le jeu, de faire tomber Mackey à tout prix. Avant de se ressaisir. L’ancien capitaine David Aceveda, à l’origine de l’enquête contre Mackey, comprend qu’il est obligé de coucher avec le diable, de se laisser embarquer dans son lit, s’il veut un jour devenir maire de la ville. Enfin, l’officier des Affaires internes John Kavanagh (incarné magnifiquement par Forest Whitaker) n’échappe pas à la contagion. Ne parvenant pas à réunir les éléments nécessaires pour inculper son rival, il se laissera guider par la haine, la folie et le besoin d’assouvir sa vengeance: il fabriquera des preuves et réduira à néant tous ses efforts, se détruisant lui-même.

 

La force de Vic Mackey est celle d’un survivant. Au fil des affaires dans lesquelles il est impliqué, on s’aperçoit que plus la situation est compliquée, plus il marche sur le fil du rasoir, et moins il a le vertige. Plus, il est à l’aise. Son talent, c’est de négocier, de trouver un double-fond dans le double-fond du double-fond du tiroir, et de créer le doute et la confusion parmi tous ceux qui l’entourent. C’est à l’instant où l’on croit que la situation va lui glisser entre les mains, qu’il s’y arrime encore plus solidement et tire sur la corde pour faire pencher le plateau de la balance de son côté. Aucun autre ne possède ce talent et aucun autre ne peut donc rivaliser avec lui. Mackey est également habité par la conviction qu’il est plus malin que les autres, plus malin que tous les autres, qu’il pourra toujours -même au prix de renoncements profonds- se jouer d’eux et finir par s’en sortir. A sa manière, il les méprise et les écrase de son regard bleu clair. On en vient alors à se poser cette question: n’y a-t-il pas en lui quelque chose d’indestructible ? La réponse est, sans doute. Ce qui est suggéré (là non plus, sans être dit), c’est qu’il existe quelque part des hommes comme lui, et qu’il en existera toujours, qu’ils seront encore là demain pour répandre le malheur autour d’eux, tout en affirmant vouloir faire le bien et en étant convaincus qu’au fond, c’est ce qu’ils font.

 

Au fil des sept saisons, Mackey ne change pas. Il n’évolue pas vraiment, contrairement aux autres. Il est le seul à demeurer le même et c’est ce qui constitue sa force. Il sait faire des choix, aussi douloureux soient-ils quand les circonstances le lui imposent. Chaque saison peut se regarder indépendamment, mais pour ceux qui n’auraient pas encore poussé la porte du commissariat de Farmington, le mieux est de commencer… par le commencement. Et puis, de se laisser porter par l’histoire. La manière de filmer est tout à fait étonnante et a fait école. Dans certaines scènes, la multiplication des plans est telle, que l’on en a le vertige.

 

La saison 5 reste certainement comme un moment à part, traversée par une furie longtemps contenue avant d’exploser dans une tirade de Kavanagh à la fois magnifique et désolante parce que sonnant comme un aveu d’impuissance absolu. Elle est à mettre en regard, du point de vue de l’intensité, avec la fin de la saison 7 et notamment avec les deux derniers épisodes qui sont juste sublimes. On en reste pantois, la bouche sèche, et légèrement sonné comme après avoir reçu un coup sur la tête.

 

On pourrait écrire encore bien des choses sur The Shield tant est grande la richesse de cette série. Mais, certainement, le mieux est de la regarder, de se laisser submerger et ensuite de la ranger religieusement à côté de The Wire ou des Sopranos, en attendant un jour lointain, où on la descendra de l’étagère pour contempler à nouveau un champ de ruines qui s’étend à perte de vue.

 

Fiche technique

 

Producteurs exécutifs: Shawn Ryan, Glen Mazzara. Producteur: Michael Chiklis. Scénariste: Shawn Ryan. Genre: drame policier. Saisons: 7. Début saison 1: 12 février 2002. Durée épisode: 42 minutes.

 

Casting: Vic Mackey (Michael Chiklis), Shane Vendrell (Walton Goggins), Dutch Wagenbach (Jay Karnes), Julian Lowe (Michael Jace), Danni Sofer (Catherine Dent), David Aceveda (Benito Martinez), Claudette Wyms (CCH Pounder), Corrine Mackey (Cathy Cahlin Ryan), Ronnie Gardocki (David Rees Snell), Curtis Lemansky (Kenny Johnson)

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Ah et puis attends t'as rien vu :lol: Entre posters, livres, DVD, revus...goodies en tout genre que j'ai dut laisser dans des cartons à cause de ma femme :rolleyes: J'ai même une réplique d'une carte du FBI avec ma photo .... que j'avais eu dans le éphémere X-Files magazine ..... ! B)

 

 

Copain :lol: ^_^

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