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Un domaine qui m'intéresse beaucoup et qui n'avait pas encore de place dédiée ici :)

 

Grâce au Monde j'ai découvert ce we le blog de Cécile Traverse, docteur en STAPS mention psychologie qui a plus de dix ans d'expérience en psychologie du sport. Je trouve qu'un de ses messages résume assez bien la chose et le scepticisme chronique infondé des Français à ce sujet :

 

Un petit mot pour vous signaler que les Journées d’Etude de la Société Française de Psychologie du Sport (SFPS) se tiennent aujourd’hui et demain à Lyon sur le thème suivant : Du sport à la santé… ou de la santé au sport. Pour les passionnés de sport et de psychologie, ces journées sont toujours très enrichissantes. Pour les autres, qui pensent que le sport n’a pas besoin de psychologie, ce peut être l’occasion d’écouter des intervenants qui sauront, par leur expérience et leur compétence, sinon les convaincre tout du moins susciter certaines interrogations.

 

Les recherches effectuées dans ce domaine sont, à mon sens, trop souvent ignorées, rejetées, par les différents acteurs du système sportif. Le monde du terrain et celui de la recherche éprouvent encore certaines difficultés lorsqu’il s’agit de se rencontrer, leurs échanges faisant souvent naître des incompréhensions mutuelles. Pourtant, ils ont tant à partager.

 

Certains clubs sportifs professionnels ont su reconnaître l’intérêt d’unir les compétences des uns et des autres en vue de faciliter l’optimisation de la performance. Pourquoi former tant de spécialistes de différents champs, tous centrés sur la compréhension du sportif de haut niveau en action, si l’objectif prioritaire ne réside pas dans l’association des savoirs ? Dans le cas du football, en 2002, l’AC Milan ouvre le chemin d’une approche pluridisciplinaire en son sein par l’inauguration du MilanLab. Il a pour projet de « contribuer puissamment à optimiser les résultats de l’équipe » par l’apport de « la science, la technologie, la cybernétique et la psychologie ». Cette dernière se voyant même attribuer une « mindroom ». Cette pièce permet « à huit joueurs de se détendre dans des sièges ergonomiques après l’entraînement et de se relaxer pendant vingt minutes tandis que leur état mental est analysé par des électrodes attachées à leur chevelure, à leur cage thoracique et à leurs doigts et transmettant à un ordinateur des mesures de l’activité de leur cerveau, de leur tension musculaire et de leur transpiration ». D’autres clubs, comme Chelsea, suivront l’exemple de la « mindroom ».

 

Si la création de tels complexes n’est pas envisageable pour toutes les disciplines et tous les niveaux de compétence, les journées d’étude de la SFPS offrent, quant à elles, tous les ans, l’opportunité aux scientifiques et aux hommes de terrain de se retrouver, de s’écouter et de dialoguer. Seuls ces moments de partage et d’écoute répétés pourront nous faire comprendre que nous avons tout à gagner à nous associer.

 

  • 2 months later...
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Intéressant à relever, l'équipe d'Allemagne a son psychologue attitré pour cette coupe du monde. Bierhoff : "Il a pas mal d'entretiens individuels. Certains joueurs ont besoin d'entendre des choses agréables, d'autres d'être un peu secoués." Il était déjà présent en 2006 et 2008, choisi à l'époque par Klinsmann.

 

Hans-Dieter Hermann a étudié la psychologie à l'université d'Anvers et de Wurzburg. Il s'est ensuite spécialisé en psychologie du sport, et a travaillé dans diverses disciplines sportives avec des équipes nationales, y compris les équipes de football, les gymnastes et l'équipe de ski autrichienne.

Il travaille également avec les cadres supérieurs d'entreprises afin d'améliorer la performance et la motivation, le renforcement des équipes et de développer la confiance en soi. Il donne des conférences à l'Université de Heidelberg Institut de science du sport et à l'Institut de Recherche Appliquée en Gestion Erding.

 

 

Trad automatique parce que mon allemand n'est guère plus convaincant :

 

«Les joueurs sont très intéressés et ouverts d'esprit. Surtout, ils ne seraient jamais publiquement de telles informations rencontres. Ils savent aussi mieux que tout étranger, que le véritable objectif de mon travail dans la formation psychologique dans le groupe. "Droit franchement, il ne peut pas parler, malheureusement. Le sujet est tabou, et l'homme est formé pour traiter avec les gens des médias -, il les a délivrés à des séminaires de conseils psychologiques et stratégiques sur les entrevues pour des entrevues.
  • 3 months later...
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Un bon livre pour ceux que ça intéresse, "Mind Gym, an athlete's guide to inner excellence".

 

Préface du joueur de baseball Alex Rodriguez (3 fois MVP, 12 fois all-star, joueur le plus jeune à atteindre les 500 home-runs, etc).

 

Ecrit par Gary Mack, consultant en psychologie du sport. Consultant NBA pour les Suns, il bosse avec des athlètes de NFL, NBA, NHL, WNBA... Ecrit en collaboration avec un journaliste de bon niveau, très intéressant là aussi, des cas concrets, des études, des exemples précis... Et toujours les mêmes conclusions, à valeur égale l'athlète ou le groupe préparé mentalement de façon régulière et compétente dépassera en termes de performances celui qui ne reçoit pas cet accompagnement.

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T'as vu, Blanc a annoncé vouloir recruter un préparateur mental pour les Bleus ;)

 

J'ai vu ça, bonne initiative qui sera sans doute raillée... Faut dire que là c'est un peu particulier, il semble vouloir gérer ça de façon individuelle directement dans les clubs. Mais il faut un début à tout, c'est bien de débuter un travail à ce niveau et d'avoir conscience qu'il y a des charlatans à éviter, et de vrais spécialistes basées sur des méthodes scientifiques, avec une déontologie médicale derrière et le respect du travail des staffs techniques...

  • 1 year later...
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On pourrait citer beaucoup de choses de Cécile Traverse, mais celui-ci je le trouve suffisamment intéressant pour parler à un certain nombre de personnes, les sportifs, les travailleurs...

 

Pour le commun des mortels, la souffrance est une rencontre dont il convient de se préserver. L’inconfort et les douleurs qui l’accompagnent, encouragent le plus grand nombre à s’organiser en vue de l’éviter. Le sportif, et a fortiori le sportif de haut niveau, ne peut se permettre d’adopter ce type de raisonnement. C’est même exactement le contraire. Pour lui, la souffrance est une sorte de rendez-vous quotidien, nécessaire et convenu. En effet, c’est par l’intermédiaire de ses rencontres répétées avec cette dernière, que l’athlète s’assure des bénéfices ultérieurs, tant physiques que psychologiques, pour sa performance.

Dans le Sport & Vie n°127 (Juillet-Août 2011, p.40), Michel Dufour consacre le « dossier psychologie » du mois à ce thème, sous le titre : « No pain, no gain », en clair : « Pas de souffrance, pas de progrès ». Au cours de cet article, il nous raconte la relation particulière qui unit sportifs de haut niveau et souffrance et s’interroge sur les dangers potentiels à faire de la douleur « un art de vire » (p.41). Exemples à l’appui, il explique que le dosage est un exercice subtil d’autant que chacun ne part pas à égalité en ce qui concerne les seuils de tolérance à la douleur...

Un des passages rédigé par Michel Dufour a particulièrement retenu notre attention. Il explique : « Le point clé demeure que l’attitude du sportif envers l’inconfort est entraînable et qu’elle varie selon que l’athlète considère le mal d’entraînement commeévitable ou inévitable, choisi ou pas, mérité ou injuste, utile ou inutile. Lorsque l’athlète comprend et accepte le caractère désagréable de la situation, les chemins de progrès des performances sont moins chaotiques. Dès lors qu’il perçoit la pénibilité non pas comme un signal d’arrêt mais comme un signal d’entrée dans une zone déstabilisante source de progrès, la probabilité qu’il aille jusqu’au bout de lui-même est plus élevée » (p.44).

Ceux qui lisent régulièrement les notes de ce blog ne seront pas surpris par les propos qui vont suivre. Une fois de plus, tout n’est qu’une question de sens : lorsque la souffrance a un sens, elle n’est plus interprétée de la même manière. Elle ne s’apparente plus à une rencontre à éviter mais à une rencontre orchestrée, organisée, souhaitée en vue de dépasser ses limites, d’y puiser de la confiance et de faire naître le progrès. Les témoignages suivants le démontrent : Justine Hénin raconte : « Ce dont je me souviens maintenant, c’est du travail fait en décembre. J’en arrivais presque aux larmes. Mon préparateur physique m’a dit : « Tu te souviendras de ces moments là quand tu auras le trophée ». C’est vrai » (In Les sportifs de l’année, 2003, p.83). Ou encore Bouabdellah Tahri : « La vie, c’est ça, un thé au lait après la souffrance de l’entraînement, tout simplement. En Europe, on a oublié le bonheur de ces choses simples parce qu’on est parasité par tout un tas d’activités secondaires. Ici (Kenya), il n’y a que l’essentiel. C’est pour cela que je voulais venir, pas pour la carte postale. Mais pour me retrouver. Revenir à l’essentiel. Dormir, se nourrir, courir, souffrir » (L’Equipe, Vendredi 18 Février 2005, p.9).

Comme le souligne Michel Dufour, l’individu peut apprendre à souffrir. La tâche la plus ardue à mener pour l’encadrement ne sera donc probablement pas de parvenir à cet apprentissage, mais, d’accompagner le jeune sportif afin qu’il perçoive le sens de la douleur au cœur de sa performance. Lorsqu’un individu sait pourquoi il souffre et où cette souffrance le mène, dans les moments les plus difficiles, la douleur a plus de chance de devenir supportable. La souffrance devient désirée en vue des « effets subséquents ». C’est lorsque le sportif ne sait plus (ou pas) pourquoi il souffre que les ennuis commencent, pour lui, pour son encadrement, son club voire sa nation. C’est une des raisons fondamentales pour laquelle il faut toujours s’assurer, dès le plus jeune âge, que l’athlète dessine son propre chemin plutôt que d’en suivre un, imposé par d’autres.

Quand la souffrance n’a plus de sens, qui s’amuse à la côtoyer, à moins de vouloir se faire du mal et/ou d’appeler à l’aide? En début de note, nous parlions de la différence entre le commun des mortels et les sportifs de haut niveau au sujet de la relation à la souffrance. Elle trouve ses racines, vous l’aurez compris, dans la notion de sens. Si la plupart d’entre nous cherchent à éviter la souffrance, c’est qu’elle n’a pas de sens. A partir du moment où elle en revêt un, l’individu lambda se comporte différemment. Il suffit de regarder le nombre de participants dans des épreuves de marathon pour s’en persuader. Un sportif de haut niveau ne sachant plus pourquoi il s’impose autant de souffrance est en difficulté. C’est ainsi que certains s’arrêtent quelques mois ou mettent un terme à leur carrière. Quant au commun des mortels, s’il identifie des raisons valables à la souffrance en vue d’une quête à mener, il s’avère tout à fait capable de se l’imposer (même si ses seuils de tolérance seront différents). Sportif de haut niveau ou pas, pour les être humains que nous sommes, la situation pourrait se résumer ainsi : « Aide moi à comprendre pourquoi je souffre et si ça a un sens, je souffrirai ! ».

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Très bon magazine Sport et Vie, j'en achète un de temps en temps (en vente sur le net au même prix qu'en librairie). La présentation n'est pas terrible, mais le contenu est vraiment pas mal.

Je l'avais découvert grâce au rédacteur en chef Gilles Goetghebuer qui est choniqueur au Journal de la Santé.

  • 7 months later...
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Losc. Un psy à temps plein

 

8 mars 2011 -

 

Son cas est unique. Plus précisément, Marc-Antoine Verkrusse (36 ans) est le seul psychologue du sport employé à plein temps par un club de football français. «J'ai de la chance, sourit l'intéressé, d'autant que je travaille ici sur un projet à long terme.» Ici, c'est au Losc Lille Métropole, peut-être le club de Ligue 1 de demain. D'abord immergé dans le monde social et scolaire, puis comme psychologue dans un IME auprès d'adolescents déficients, Marc-Antoine Verkrusse est venu au foot par passion. Ou plutôt, c'est le foot qui est venu à lui. En 2006. «Je suis arrivé au Losc à la demande de Jean-Michel Vandamme et Frédéric Paquet. Tous les deux avaient identifié le besoin de travailler la ressource mentale des pensionnaires du centre de formation.»

 

À l'écoute des jeunes

 

D'abord salarié à mi-temps, celui qui a décroché un Master de psychologie clinique du sport à l'université de Montpellier intègre totalement l'encadrement nordiste un an plus tard. «Il y a eu beaucoup de demandes de la part des jeunes», glisse-t-il modestement. Les sujets de préoccupation ne manquent pas au moment des entretiens individuels. «Mon premier devoir est d'être à l'écoute. Ils me parlent de l'éloignement familial, de leurs relations avec les partenaires, de leurs problèmes scolaires... Certains événements familiaux stressants peuvent les perturber. Il y a aussi la blessure de longue durée qui n'est jamais facile à vivre. C'est, pour beaucoup, un travail de connaissance de soi.» Bien sûr, chez ces apprentis footballeurs, il y a surtout «l'angoisse d'y arriver ou pas». Comprenez : de faire carrière ou non. De façon pragmatique, le psy décortique avec ses élèves les mécanismes de la concentration, l'anxiété d'avant-match ou la gestion du stress. «Je procède aussi par petits ateliers. La préparation mentale fait partie intégrante de leur cursus. Il s'agit ici d'éducation sportive.»

 

Intégré au staff

 

 

Au final, Marc-Antoine Verkrusse s'est fondu tout naturellement dans le staff lillois. Au même titre que le kiné, l'ostéopathe, le médecin ou les entraîneurs. «Je fais partie du dispositif d'accompagnement et de formation.» En juillet dernier, Marc-Antoine Verkrusse a même participé à la préparation d'avant-saison des pros. «J'ai rencontré tous les joueurs». L'homme dit aujourd'hui «apporter sa pierre à l'édifice». Psychologue du sport dans les clubs de foot? À coup sûr, un métier d'avenir.

 

On parle de lui dans L'Equipe Mag dans un bon dossier sur le mental et les ressources intellectuelles dans le foot

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On parle de lui dans L'Equipe Mag dans un bon dossier sur le mental et les ressources intellectuelles dans le foot

 

Je vois que le sujet t'intéresse toujours autant. Je crois que c'est toi qui avait envie de voir des gens avec ce profil dans les clubs de foot. Crois-tu que ça fait partie des choses qui auraient pu rendre le Racing meilleur cette saison ?

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Vu l'article de présentation et les résultats du LOSC, la question ne se pose même pas ^^

 

Ouais enfin on n'a pas les mêmes profils de joueurs qu'à Lille justement, donc le débat est intéressant.

Nous on sait qu'on a des bourrins, mais au-delà de ce constat un peu simpliste, on peut voir qu'on a un mélange entre jeunes qui ont faim, anciens qui ont vécu la galère à Lens l'an passé et recrues qui sont venues avec des promesses (Bérenguer, Ben Saada, Maurice...). Or, pour faire fonctionner le tout, et pour créer une entente positive, je ne suis même pas certain qu'un coach psychologique aurait suffit lol. Déjà quant tu vois Garcia s'époumoner pendant 90mns le long de la ligne de touche, c'est peut-être avant tout lui qui a besoin d'un psy ^^. Nan mais bon tout ça pour dire qu'on attendait tous en vain une prise de conscience collective mais qu'au final ils ont tous coulé ensemble. Je pense tout simplement qu'il faut se séparer de plusieurs joueurs qui entravent la progression des maigres talents que nous avons.

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Je pense qu'ailleurs c'est pareil. Y a plein de profils différents, l’entraîneur qui gueule sur le banc ne sert à rien (je me souviens plus de qui l'avait déjà dit), après on ne parle pas de leur capacité à jouer au foot mais de leur tête. Pour ça, je pense qu'ils sont largement équivalents intellectuellement parlant...

Posté(e) (modifié)

après on ne parle pas de leur capacité à jouer au foot mais de leur tête. Pour ça, je pense qu'ils sont largement équivalents intellectuellement parlant...

 

Oui oui je parlais de ça aussi :38: Y'a d'ailleurs un papier très intéressant de Stéphane Kohler dans l'Equipe Mag du 12 mai (relevé aussi par Lmarco un peu plus haut). L'article s'intitule : "les footballeurs ont-ils un cerveau ? / l'autre muscle du footballeur" lol. On peut l'appeler aussi le "QI foot". Et à l'inverse de ce que tu avances (enfin j'ai cru comprendre), le QI foot moyen des Lensois est à mon avis très largement inférieur au QI foot moyen des Lillois. Autrement dit, on a aucune intelligence de jeu à Lens. Et ce qui fait peur, c'est que même en ajoutant un coach avec apparemment un bon QI foot, on creuse encore plus dans la nullité...

Modifié par Jack
Posté(e) (modifié)

Sorry pour le doublon mais comme Lmarco a repris un article parlant de Marc-Antoine Verkrusse, psychologue du sport au LOSC, j'ai trouvé intéressant de publier ce qu'il entend par QI foot

 

"Un QI foot peut s'appréhender au travers de quatre concepts principaux :

 

- l'intelligence fluide, à savoir la capacité créatrice, la résolution de problèmes, notamment tactiques, à travers des passes et des gestes inattendus

- l'inteligence cristallisée, c'est à dire l'ensemble des connaissances acquises inhérentes au football, la réflexion sur les réussites ou les échecs pasés

- l'intelligence émotionnelle, qui est la capacité à gérer ses émotions en situation de haute compétition

- l'intelligence sociale, c'est à dire la rapidité et la capacité à prendre place dans un groupe, à communiquer, à développer du leadership, de l'altruisme"

 

source : Marc-Antoine Verkrusse dans l'Equipe Mag (12 mai 2012)

Modifié par Jack
Posté(e)

Oui oui je parlais de ça aussi :38: Y'a d'ailleurs un papier très intéressant de Stéphane Kohler dans l'Equipe Mag du 12 mai (relevé aussi par Lmarco un peu plus haut). L'article s'intitule : "les footballeurs ont-ils un cerveau ? / l'autre muscle du footballeur" lol. On peut l'appeler aussi le "QI foot". Et à l'inverse de ce que tu avances (enfin j'ai cru comprendre), le QI foot moyen des Lensois est à mon avis très largement inférieur au QI foot moyen des Lillois. Autrement dit, on a aucune intelligence de jeu à Lens. Et ce qui fait peur, c'est que même en ajoutant un coach avec apparemment un bon QI foot, on creuse encore plus dans la nullité...

 

Non, je rappelais juste (vu que tout le monde est au courant) qu'au foot, ce sont rarement des lumières.

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