Mick Posté(e) le 2 décembre 2009 Posté(e) le 2 décembre 2009 (modifié) la jaquette :o la plus belle que j'ai vu je crois. (j'espère que se sera l'officiel) je me le prend celui la normalement ! le conflit en afghanistant, nikel ça Modifié le 2 décembre 2009 par Mick Citer
Lmarco Posté(e) le 2 décembre 2009 Auteur Posté(e) le 2 décembre 2009 Je suis devenu l'heureux papa d'une petite PS3 Slim il y a qq minutes, elle pèse 250 Go et me ressemble beaucoup, elle est très belle. La Poste est passée pendant mon absence mais j'ai tenté le coup pour la récupérer dès ce soir avant que ça ferme et c'est bon, je l'aie Tout est ok : console, les deux Blu-Ray, la télécommande, le cable HDMI (dans un simple emballage mais je m'en plaindrai pas ^^) et FIFA 2010. Il me reste juste à acheter un cable avec prise française pour l'alim (mais celui de la PS2 doit pouvoir dépanner d'après ce que j'avais lu). Tout assez bien protégé et mis dans un carton Amazon avec la facture et qq prospectus. Je recommande vivement cette solution pour ceux qui souhaiteraient s'acheter ou offrir une PS3... Le colis passe totalement inaperçu puisque ça inscrit "Amazon Orléans" et que sur le carton c'est "Amazon.fr, Amazon.de, Amazon.co.uk". C'est géré par La Poste avec n° de suivi donc peu de risques. Citer
Mick Posté(e) le 2 décembre 2009 Posté(e) le 2 décembre 2009 félicitation à toi et à la maman. je ferais ça quand ma PS3 lâchera (je sens que c'est pour bientot :lol: ) Citer
Milouloute dins t'guif Posté(e) le 2 décembre 2009 Posté(e) le 2 décembre 2009 Qui a le XBOX LIVE ici ? ^^ Citer
Invité H2H2 Posté(e) le 2 décembre 2009 Posté(e) le 2 décembre 2009 Mi, lensois76210 le pseudo. COD MW2 et fifa 10 ou je joue le plus. Citer
Cricri Posté(e) le 2 décembre 2009 Posté(e) le 2 décembre 2009 Je suis devenu l'heureux papa d'une petite PS3 Slim il y a qq minutes, elle pèse 250 Go et me ressemble beaucoup, elle est très belle. La Poste est passée pendant mon absence mais j'ai tenté le coup pour la récupérer dès ce soir avant que ça ferme et c'est bon, je l'aie Tout est ok : console, les deux Blu-Ray, la télécommande, le cable HDMI (dans un simple emballage mais je m'en plaindrai pas ^^) et FIFA 2010. Il me reste juste à acheter un cable avec prise française pour l'alim (mais celui de la PS2 doit pouvoir dépanner d'après ce que j'avais lu). Tout assez bien protégé et mis dans un carton Amazon avec la facture et qq prospectus. Je recommande vivement cette solution pour ceux qui souhaiteraient s'acheter ou offrir une PS3... Le colis passe totalement inaperçu puisque ça inscrit "Amazon Orléans" et que sur le carton c'est "Amazon.fr, Amazon.de, Amazon.co.uk". C'est géré par La Poste avec n° de suivi donc peu de risques. :banana: :banana: :banana: :banana: bon jeu :thumbsup: Citer
Lmarco Posté(e) le 2 décembre 2009 Auteur Posté(e) le 2 décembre 2009 Thx, je me suis inscrit au Playstation Network. Faut que j'enregistre la console encore (un Bravia à gagner, on y croit ! ^^). Citer
Mick Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 FIFA 2010... quand té ok on se fait un pti match ^_^ ptain, moi ça fais longtemps que j'ai pas joué à fifa. Citer
Invité H2H2 Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Popopoo j'ai déjà deux 360 mais rien qu'avec cette offre là, j'ai envie d'en prendre trois (au cas ou si la premier casse et que la deuxieme aussi :ph34r: ) Non en tout cas il est énorme ste pack. Citer
Mick Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 :lol: il a vraiment un problème ce type Citer
Invité H2H2 Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 (modifié) Heureusement que cela était pour rire (d'en reprendre une troisième d'où le :ph34r: ) Sinon c'est quand même un super pack je trouve Sinon, oui je suis fou et ? Au moins je sais que je suis fou c'est un bon point non ? :yahoo: :lol2: Modifié le 3 décembre 2009 par H2H2 Citer
Mick Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 une belle offre effectivement. et tu es vraiment fou aussi oui effectivement. Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Lara Croft à la rue La communauté vidéoludique a l’occasion de faire entendre sa grosse et ténébreuse voix pour honorer la belle. Depuis quelques mois, la ville de Derby en Angleterre demande à la plèbe de choisir un nouveau nom pour deux de ses rues. En juillet, il y avait plus de 100 propositions, mais le choix s’est maintenant réduit à huit, avec l’avis des internautes qui est demandé pour décider des deux appellations qui seront retenues. En quoi ça nous concerne ? Tout simplement parce l’une des propositions n’est autre que la Lara Croft Way du fait que Core Design, le studio à l’origine de la série Tomb Raider, était basé à Derby avant sa fermeture en 2006. Et le meilleur dans tout ça est que le vote est ouvert à absolument tout le monde ! En vous rendant sur la page d’accueil du site de la ville, vous pouvez donc donner votre avis dans la colonne de droite. Vu la capacité des joueurs du monde entier à se rassembler pour ce genre d’initiative, on peut affirmer sans sourciller que la Lara Croft Way de Derby sera bientôt une réalité, choisie à une écrasante majorité loin loin loin devant les autres propositions… :lol: :lol: Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Lara Croft à la rue La communauté vidéoludique a l’occasion de faire entendre sa grosse et ténébreuse voix pour honorer la belle. Depuis quelques mois, la ville de Derby en Angleterre demande à la plèbe de choisir un nouveau nom pour deux de ses rues. En juillet, il y avait plus de 100 propositions, mais le choix s’est maintenant réduit à huit, avec l’avis des internautes qui est demandé pour décider des deux appellations qui seront retenues. En quoi ça nous concerne ? Tout simplement parce l’une des propositions n’est autre que la Lara Croft Way du fait que Core Design, le studio à l’origine de la série Tomb Raider, était basé à Derby avant sa fermeture en 2006. Et le meilleur dans tout ça est que le vote est ouvert à absolument tout le monde ! En vous rendant sur la page d’accueil du site de la ville, vous pouvez donc donner votre avis dans la colonne de droite. Vu la capacité des joueurs du monde entier à se rassembler pour ce genre d’initiative, on peut affirmer sans sourciller que la Lara Croft Way de Derby sera bientôt une réalité, choisie à une écrasante majorité loin loin loin devant les autres propositions… :lol: :lol: En parlant de Bimbo du jeu vidéo,la démo de Bayonetta sera disponible ce jeudi 3 Décembre sur le PSN et le Xboxlive Citer
Invité H2H2 Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 J'avoue que dans Bayonetta il y a de sacré morceaux Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Voici les 30 premiéres minutes de The Saboteur: :thumbsup: Part 1: http://www.youtube.com/watch?v=iHxqDT3bvi8 Part 2: http://www.youtube.com/watch?v=AMBiKu0v2Q4 Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Et enfin Part 3: http://www.youtube.com/watch?v=aTls_bwSpHM Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 GT Academy, Course contre-la-montre imminente Paris, le 3 décembre : Sony Computer Entertainment Europe (SCEE) et Polyphony Digital Inc annoncent l'arrivée imminente d'une course contre-la-montre jouable extraite de Gran Turismo®5 pour PlayStation®3 (PS3™). Une démo téléchargeable comprenant un circuit et la Nissan 370Z débarquera sur PlayStation®Network le 17 décembre et ce sera du lourd : une course contre-la-montre sur l'un des jeux les plus attendus de l'histoire du jeu vidéo. Cette course contre-la-montre est bien plus qu'une simple introduction à Gran Turismo®5. Elle constitue également votre billet d'entrée pour la GT Academy 2010, la compétition qui aura pour mission de dénicher les meilleurs pilotes virtuels européens et de les entraîner sur le célèbre circuit britannique de Silverstone pour faire d'eux de véritables pilotes de course ! L'an dernier, l'étudiant espagnol Lucas Ordoñez a vu sa vie transformée en incorporant la GT Academy de PlayStation® et Nissan pour en ressortir en tant que membre à part entière de l'équipe Nissan, après avoir gagné ses galons lors des 24H de Doubaï. Saisissez votre chance de suivre les traces de Lucas et de devenir un véritable pilote de course. C'est peut-être votre tour de le rejoindre. Téléchargez la course contre-la-montre Gran Turismo®5 le 17 décembre et essayez de battre le chrono. Votre meilleur temps sera publié dans le classement national et vous pourrez toujours essayer de l'améliorer autant que vous le souhaitez, jusqu'à la suppression de la démo fin janvier. À cette occasion, les 20 pilotes français les plus rapides seront invités à participer à une finale nationale, où ils devront s'affronter en face à face sur Gran Turismo®5 et passer une série de tests d'aptitude. Ensuite, les meilleurs se rendront à Silverstone, où ils pourront prendre place au volant d'une véritable Nissan 370Z dans le cadre de GT Academy 2010. Le premier titre Gran Turismo® pour PS3™, Gran Turismo®5, vous proposera encore plus de réalisme, de design et de physique automobile que ce qui a fait la réputation de la franchise, c'est l'expérience d'une vie. Vous pourrez vous frotter aux circuits internationaux les plus réputés, représentés en graphismes haute définition, et vous pourrez vous installer au volant de voitures légendaires, des origines du sport automobile à notre époque. La renaissance d'un mythe vidéo ludique est imminente et elle se dévoilera à vous sous la forme d'une course contre-la-montre téléchargeable le 17 décembre. Que vous courriez après la gloire dans GT Academy ou que vous vouliez juste être parmi les premiers à découvrir le circuit de Gran Turismo®5, il s'agit là d'une expérience à ne pas rater. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.gran-turismo.com. Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Bioshock 2 aura aussi une Rapture Edition En complément de l'édition collector récemment dévoilée, Bioshock 2 : Sea of Dreams aura droit à une autre édition moins fournie certes mais tout aussi alléchante. Cette Rapture Edition comprendra en plus du jeu un prometteur artbook de 96 pages. Elle sera uniquement disponible en Europe, Nouvelle-Zélande et Australie où les réservations ont été ouvertes chez certaines enseignes. Bioshock 2 : Sea of Dreams sera commercialisé à partir du 9 février 2010 sur le Vieux continent. Une date à marquer d'une croix rouge sang dans votre calendrier ! Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Test The Saboteur de JV.com Habituellement, un GTA-like nous emmène plutôt vers une grande mégalopole, ou à la rigueur une île lointaine. The Saboteur choisit pour sa part de nous plonger au coeur de la capitale pour y apprendre à poser des bombes. Avouez qu'on ne voit pas ça tous les jours Se promener dans Paris dans un jeu vidéo n'arrive pas souvent. Bon il y a bien eu Paris Marseille Racing mais il y a des souvenirs douloureux que l'on préfère oublier. Avec The Saboteur, la première chose que nous offre Pandemic c'est un contexte assez inhabituel, le Paris de l'Occupation, aux côtés de la Résistance. Que voilà un sujet délicat dont le contexte a été, comment dire, traité de façon peu orthodoxe. Attention, amoureux de l'Histoire, sachez qu'il faut approcher The Saboteur comme un jeu qui ne se prend pas, mais vraiment pas au sérieux dans sa reconstitution. Vous risquez par exemple d'avoir un sacré choc en découvrant que Paris est tombé aux mains de l'ennemi trois mois seulement après le début de la guerre. Si on comprend assez bien les autres libertés prises par le studio, on cherche toujours à saisir la raison de celle-ci. Clairement, le contexte est passablement loufoque, tout autant que la reproduction de Paris qui, et c'est sans doute finalement assez heureux d'un point de vue ludique, est le fruit des images idéalisées de la capitale, telle qu'on la voit depuis l'étranger. Tous les monuments sont regroupés les uns près des autres, mais fidèlement modélises, tout est empreint d'un glamour très « années folles » et la carte, de fort bonne taille, vous permet de quitter la ville et de rejoindre le Havre, la Picardie ou même la Lorraine en 5 minutes chrono. Voilà qui ne fera aucun mal à la majorité de la population mondiale même si pour le Gaulois de base, il aurait sans doute été plus cohérent de présenter ces contrées comme de simples voisinages ruraux de Paris. On ne cachera pas qu'au début, ces aménagements de convenance peuvent faire doucement rigoler. D'autant qu'il y a d'autres incohérences dans le background du jeu. Comme la bande-son dans laquelle on retrouve des titres datant en fait des années 60 voire plus. Preuve que s'il y a des choses qui s'expliquent par des raisons ludiques, d'autres sont clairement le résultat d'un manque de souci du détail. Puis, on s'habitue, surtout lorsqu'on finit par admettre que The Saboteur joue à fond la carte du cliché assumé. Ici, pas question de lutter contre l'envahisseur. Irlandais d'origine, Sean Devlin mène la vie dure aux Allemands (qui sont tous Nazis dans le jeu, il faut le savoir) pour venger la mort de son camarade Jules et mettre la main sur son responsable. Mais puisque leurs objectifs concordent, le voilà travaillant main dans la main avec la Résistance et les services secrets britanniques. Un antihéros, plongé dans un monde divisé en deux, le bien et le mal. Dans Paris, on trouvera deux environnements. Ceux qui ploient sous la domination allemande nous font adopter un point de vue en noir et blanc où les seules pointes de couleur sont les bannières nazies et le sang. La plupart du temps, il y pleut et le ciel est zébré d'éclairs Esthétiquement, c'est franchement une réussite et une vraie originalité. Les zones libérées au contraire sont colorées, les oiseaux gazouillent, le ciel est bleu, on se croirait dans Notre Dame de Paris de Disney. Un contraste violent, bien manichéen, bien cliché assumé comme on le disait. Votre but est donc évidemment de rendre ses couleurs à la ville. Et retrouver l'assassin de Jules évidemment. Deux objectifs qui s'atteignent en remplissant les missions de guérilla de deux factions du jeu. Vols, assassinats et surtout destruction de dépôts, de transports, de matériel ou de ponts, bref d'objectifs stratégiques clefs qui paralysent l'armée allemande. La bonne surprise de ce GTA-like, c'est que ces missions sont plutôt variées et tentent de laisser une certaine latitude au joueur dans leur accomplissement. Choix des armes, même si la dynamite ne quitte jamais votre poche, et aussi choix de l'approche. Car The Saboteur aimerait bien vous voir jouer la carte de l'infiltration. Pour ce faire, Sean peut approcher discrètement d'un soldat, lui régler son compte et prendre son uniforme, façon Hitman. Ensuite, tout est affaire de distance. Le jeu intègre un système de suspicion assez classique, une jauge qui augmente jusqu'à ce que différents niveaux d'alarme soient déclenchés. Pour s'infiltrer, le costume ne suffit donc pas, il faut veiller à ne pas trop se frotter aux soldats et surtout, choisir son point d'entrée en passant un peu de temps à fouiller les environs. Malheureusement, réussir une infiltration parfaite de bout en bout tient de l'exploit. La plupart du temps on parvient à entrer dans la place, mais les soldats, pourvus d'une IA assez singulière, finissent toujours par vous démasquer sans que l'on comprenne trop pourquoi. Peu à peu, on laisse donc de côté cette option, ou on se contente de l'utiliser pour s'approcher le plus possible avant de sortir les armes et de faire un véritable carnage. Dommage, car si cette dimension avait réellement été poussée, The Saboteur y aurait vraiment gagné. Mais le résultat est finalement bien trop aléatoire. Le plus ennuyeux étant que parfois, en marchant simplement dans la rue sans intention aucune, il n'est pas rare que toute l'armée allemande se mette à vous en vouloir. Dans ces cas-là, une seule solution : fuir. Une fois l'alarme déclenchée et selon son niveau, un périmètre rouge s'affiche sur votre carte, cercle dont il faudra sortir pour semer ses poursuivants. Un classique du genre et surtout, une action que l'on effectuera de très nombreuses fois. Pandemic y a toutefois ajouté une petite subtilité : les points de ripostes. Si vous parvenez à rejoindre un groupe de résistants, vous tendrez une embuscade à l'ennemi et il suffira d'en décimer suffisamment pour les faire fuir. En cas de grosses alertes, la chose peut s'avérer utile, dans la mesure où ce sont carrément des zeppelins qui se lanceront à vos trousses. Puisque l'infiltration est un peu bancale, on se rabat sur la méthode sauvage qui reste sympathique. Dans l'esprit de Mercenaries, du même studio, The Saboteur se pose comme un jeu dans lequel ceux qui aiment tout faire péter vont être servis. Si les missions principales, bien qu'inégales, sont variées et pas déplaisantes, le jeu attend également de vous que vous accomplissiez quelques missions libres. Dans le lot, on retient surtout la destruction de nids de snipers, de hauts-parleurs de propagande, de dépôts de carburant ou de DCA. Ces objectifs sont souvent l'occasion de mettre en œuvre l'agilité de Sean qui, à l'image des héros d'Assassin's Creed aime grimper sur les toits. Bon, on ne cachera pas qu'après avoir joué au titre d'Ubisoft, Sean semble bien rigide dans sa progression d'altitude mais la chose étant rare pour un GTA-like, on l'appréciera à sa juste valeur, même si cette raideur peut parfois se montrer assez crispante. Cette prise de hauteur offre par ailleurs l'opportunité de réaliser quelques actions amusantes, comme s'emparer du canon d'une DCA pour faire un peu de pétard ou faire partir en fumée un zeppelin bien gonflé. De plus, ces petits à-côtés vous permettent de travailler un peu vos compétences et de débloquer certains bonus venant booster vos capacités. Quelques tirs au fusil de snipe vous font gagner en stabilité, l'usage fréquent d'explosifs vous fait gagner en rapidité etc. De prime abord, The Saboteur peut faire une drôle d'impression. Puis on lui pardonne ses défauts qui lui coûtent néanmoins le statut d'incontournable. Son IA pataude, son infiltration bancale forcément décevante, ses approximations diverses, sa technique qui manque de finition, sa grimpette rigide et d'autres pour se prendre au jeu de semer la panique dans un bac à sable glamour et drôle, plein de clichés qui font sourire et d'explosions en tout genre, le tout plongé dans un style graphique maîtrisé. S'il n'est donc pas incontournable, The Saboteur est au moins un GTA-like sympathique et original, et on ne croule pas souvent sous l'originalité. Les notes Graphismes 14/20Esthétiquement, rien à redire, le style graphique est empreint d'une réelle personnalité, l'effet noir et blanc avec pointe de couleur est une réelle originalité. Techniquement en revanche, la moindre prise de hauteur dévoile une distance d'affichage réduite masquée par un pseudo brouillard. Les bugs de collision sont également nombreux et la physique parfois étrange. Jouabilité 14/20 On déplore de nombreux problèmes de caméra, notamment en phase de conduite, une mauvaise gestion des collisions qui peut devenir pénible quand on grimpe et une prise en main globalement moyenne. Mais les possibilités offertes, notamment l'escalade, sont appréciables, le contenu varié et amusant, on parvient donc à passer outre et à finalement passer un bon moment à faire exploser la moitié de Paris. Durée de vie 15/20 La campagne principale est assez solide et on trouve une myriade de bidules à faire exploser. Dommage que le niveau de difficulté ne soit pas un poil plus exigeant. Bande son 13/20 Les thèmes musicaux, même si beaucoup sont anachroniques, sont excellents. En revanche, la bande-son souffre d'un nombre effarant de bugs de mixage, de raccords de dialogues, de volume voire parfois de soubresauts d'anglais chez les passants. Scénario 14/20 Pas d'idéal politique mais une bonne vieille vendetta personnelle dont la trame peut parfois laisser un peu froid. En revanche, le côté caricatural des personnages et des dialogues, à prendre au 28ème degré, a son charme. Note Générale 15/20 Si les premières heures de The Saboteur auront été un tantinet laborieuses, il faut bien admettre que le temps aidant, on en vient à se prendre au jeu. Tout n'est pas parfait et le titre n'est pas un hit interstellaire, pour cela, il lui manque une IA plus finaude et moins fofolle dans ses réactions loufoques, il aurait fallu que l'infiltration soit mieux maîtrisée ou que la technique soit fignolée mais dans le genre bac à sable explosif, il tire son épingle du jeu et on passe un moment bien agréable à errer dans les rues parisiennes bardé de dynamite. The Saboteur est donc un GTA-like sympathique qui tire son charme de sa personnalité pas banale. Citer
Valens Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Pas extraordinaire donc apparemment... D'ici 1 semaine, j'y aurai joué un peu pour voir ce qu'il donne ;) Citer
Cricri Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 Pas extraordinaire donc apparemment... D'ici 1 semaine, j'y aurai joué un peu pour voir ce qu'il donne ;) Je te trouve sévéré Valens,15 c'est une bonne note(ce n'est pas Uncharted mais avec sa personnalité ça peut le faire :thumbsup: ,dit m'en plus si tu y joues avant moi :thumbsup: Moi je le prendrais en import suivant les langues incluses,puisque le jeu en France est censuré donc pas de croix gammé :thumbsup: Test d'Avatar de JV.com: James Cameron's Avatar : The Game On sait tout l'appétit des Hommes, tout de leur insatiable désir de conquête, tout de leur soif de pouvoir et de leur désir d'asservir leurs semblables au nom de la "civilisation". C'est un fait, l'Histoire humaine s'est écrite avec le sang de peuples oubliés. Avec ceci en tête, on imagine sans peine que l'humanité, devenue maîtresse des étoiles, ne changera pas de nature et poursuivra, comme elle l'a toujours fait, son rôle tragique de gigantesque bulldozer. C'est là tout le propos d'Avatar, le dernier film de James Cameron, et également de son adaptation vidéoludique, confiée aux bons soins d'Ubisoft. Jeu d'action grand public, Avatar met en scène le combat d'une race indigène pour défendre sa culture face aux vues expansionnistes de l'Homme et de sa technologie. C'est dans la peau du soldat Ryder, "spécialiste des signaux", que vous serez invité à vivre cette étrange aventure. Une aventure qui se veut d'ailleurs distincte de la trame du film, même si elle en reprend évidemment les bases. Affecté sur la lointaine lune Pandora, vous avez été choisi parmi des milliers d'autres pour participer au programme Avatar. L'idée consiste à vous faire contrôler une créature hybride, conçue à partir de votre propre ADN et de celui de l'espèce intelligente locale : les Na'vis. Les avatars sont destinés à évoluer avec plus de facilité sur un monde dont la faune et la flore s'avèrent incroyablement hostiles. Il faut dire que les entrailles de Pandora renferment un minerai aux propriétés extraordinaires qui suscite les convoitises des leaders humains. L'utilisation des avatars permet en outre de se rapprocher des singuliers Na'vis et de tenter de comprendre la nature du lien quasi magique qui les unissent avec leur planète. L'ethnologie ici, n'est plus qu'un outil de plus pour assujettir les indigènes et exploiter Pandora sans la moindre entrave. Les Na'vis, peuple tribal ancré dans la tradition et le respect de la nature, se voient peu à peu déposséder de leurs terres au nom du "progrès". Dans ce contexte, le conflit paraît bien sûr inévitable. Avatar cherche donc ainsi à nous faire vivre la lutte d'un monde, d'un écosystème entier, contre un envahisseur extérieur soutenu par une redoutable technologie. Le thème de l'arc contre le fusil ou plus clairement, celui de la nature contre la machine, joue à plein. Dans ces conditions, on ne peut que regretter que la mise en scène soit aussi convenue et aussi maladroite, à l'image de la séquence où l'on devra finalement choisir son camp. En effet, c'est après une petite heure de jeu et quelques missions basiques destinées à vous inculquer les bases du gameplay (en tant que soldat de base ou en tant qu'avatar) que vous devrez opter pour l'une des deux factions, et ainsi accéder à l'une des deux campagnes disponibles. Le jeu a tout de même le bon goût d'opérer une petite sauvegarde automatique supplémentaire, histoire de permettre au joueur de s'attaquer à l'autre campagne quand il le souhaitera. Il ne s'agit pas là d'une simple entourloupe commerciale car les deux aventures sont bel et bien distinctes. Elles offrent des missions et un gameplay réellement différents, en dépit de quelques environnements communs. Chaque branche pourra d'ailleurs être terminée en 6 ou 7 heures, ce qui confère au titre une durée de vie plus que raisonnable. En choisissant de participer au "xénocide" des Na'vis aux côtés des humains, vous traverserez une aventure assez similaire à celle proposée par un certain Lost Planet, mais en version light. En tant que soldat, vous devrez accomplir toute une tripotée de missions assez semblables qui consistent essentiellement à tout éradiquer sur votre passage. Il faudra tout d'abord vous coltiner les Na'vis eux-mêmes qui compensent largement leur équipement rudimentaire par une force herculéenne, une vitesse démoniaque et une capacité à se fondre dans l'environnement de Pandora. Mais les grands aliens à la peau bleue ne seront pas les seuls à vouloir votre mort. On comptera ainsi sur des plantes carnivores capables de projeter un gaz toxique, des bulbes artilleurs, des mines végétales ainsi que sur des loups-vipères aussi fragiles que hargneux. Occasionnellement, vous devrez même fricoter avec quelques spécimens hypertrophiés de la faune, comme ce sympathique titanosaure qui ne demandait pourtant qu'à vivre tranquillement sa vie dans son coin de forêt. Pour parvenir à pulvériser tout ce joli petit monde, vous disposerez bien sûr d'une bonne petite panoplie d'armes bien cradingues : un fusil d'assaut, deux pistolets, une mitrailleuse à clous, un lance-grenades et un lance-flammes. Chaque victime ou mission terminée vous permettra de grappiller de l'expérience et donc de voir votre matos s'améliorer automatiquement. Le tout s'accompagne en outre de "talents", des pouvoirs particuliers à sélectionner préalablement dans le menu et qui vous conféreront de précieux avantages : invisibilité, défense ou dommages accrus, vitesse amplifiée, possibilité de générer une onde de choc pour repousser les ennemis proches ou même capacité à solliciter un puissant tir d'artillerie. Pour terminer, notre fier guerrier humain usera régulièrement de quelques véhicules, comme des buggies, des hovercrafts, des méchas, des rampes de missiles mobiles et même des hélicoptères futuristes. Manque de bol, la plupart des engins présents dans Avatar sont de véritables horreurs à piloter... C'est d'autant plus dommage qu'à pied, les fusillades s'avèrent très réussies, en dépit d'une IA perfectible et d'un manque de challenge évident. On les traversera d'ailleurs en enchaînant les roulades en changeant souvent d'arme pour s'adapter à l'ennemi du moment. Du côté des Na'vis, l'approche n'est pas tout à fait la même. Si le soft conserve bien évidemment son aspect de shooter grand public, le fait d'incarner un alien à l'armement primitif donne lieu à des missions qu'on affiliera plus à de la guérilla. Equipé d'un arc, d'une unique arme moderne avec un stock limité de munitions, et de lames ou de massues, on tentera le plus souvent d'éviter les confrontations directes avec les troupes humaines. On reposera alors beaucoup plus sur les différents "talents" disponibles, talents qui curieusement, correspondent quasiment trait pour trait à ceux des humains. On profitera tout de même de quelques petites spécificités, comme la possibilité d'invoquer un loup-vipère qui se fera un plaisir de sauter à la gorge de l'envahisseur. Planqué derrière un gigantesque tronc d'arbre, on observera les marines de loin avant de glisser dans leur dos, invisible et mortel. Il ne suffira alors plus qu'à déclencher une pluie de coups pour voir les frêles humains s'effondrer. L'arc que nous évoquions plus haut se montre également plaisant à utiliser. Son maniement se révèle assez intuitif, puisque soutenu par un système de lock semi-automatique efficace. On pourra aussi choisir de décocher rapidement ses flèches dans la direction de l'ennemi ou au contraire, de se concentrer une seconde pour gagner en précision et en efficacité. Les étranges aliens pourront également compter sur quelques bestioles locales pour raccourcir leurs trajets, on pense notamment à ces curieux chevaux et surtout aux banshees, dragons volants aussi impraticables que les hélicos de l'autre camp. La campagne Na'vi reste néanmoins plaisante à parcourir, même si sa structure vous semblera un poil en deçà de celle des humains, qui déjà, ne brille pas par sa variété. Bref, si toutes ces idées font d'Avatar un titre fort sympathique, quoique perfectible, ce qu'on retiendra avant toute autre chose, c'est sans conteste la grande beauté de Pandora. La planète est un pur poème de verdure, de lianes et de branches enchevêtrées. Au détour d'un chemin, on se prend parfois à observer une sublime cascade ou quelque formation rocheuse. Les couleurs sont vives, peut-être même trop diront certains, mais l'impression d'évoluer dans un tout autre monde est saisissante. Et si on aurait pu craindre un certain manque de variété, vous pouvez d'ores et déjà être rassuré : les développeurs ont conçu de vastes décors variés à explorer librement, ou presque. Des superbes camps Na'vis, perchés entre des falaises sur des rochers en suspension dans les airs, on se perdra volontiers dans les méandres de petits cours d'eau, avant de tomber sur des zones meurtries par les activités humaines, véritables verrues sur le visage de Pandora. Hélas cette débauche de verdure a un prix, et ce sont les versions consoles qui paient l'addition. Sur ces machines, Avatar souffre en effet de sérieux problèmes de framerate qui risquent fort de gâcher le plaisir de l'exploration à un bon nombre de joueurs. L'ultime reproche que nous ferons au soft tient à son multijoueur, qui franchement, paraît totalement accessoire. Peu de cartes, une poignée de modes classiques et un système de matchmaking obligatoire qui empêche le joueur de sélectionner précisément ses paramètres. Dommage, car dans le fond, les quelques parties auxquelles nous avons pu participer ne manquaient pas de charme. Jouable à 16, le multi fait évidemment s'affronter les deux factions. Les humains tenteront toujours de dégommer les aliens de loin et compenseront leur relative fragilité et leur lenteur en usant de buggys et de méchas. Les Na'vis, au contraire, feront tout pour dépecer leurs adversaires en combat rapproché. Le mix fonctionne convenablement mais manque un peu de profondeur. Un constat qui finalement, pourrait presque s'appliquer au jeu dans son ensemble. Avatar : The Game apparaît en effet comme une adaptation attachante, souvent prenante, mais qui aurait incontestablement gagné à être davantage peaufinée. Mais que voulez-vous, la sortie du film approche à grands pas, et le soft se devait d'atterrir dans les rayons à cette période... Les notes: Graphismes 16/20 Avatar donne vie à un monde unique, où une généreuse végétation semble constamment jouer des coudes pour obtenir quelques gouttes de soleil. Cette exubérance est un véritable régal pour les yeux. Tout semble naturel sur Pandora et la planète nous offre très souvent de sublimes visions à travers ses cascades et ses ruisseaux clapotants. Hélas, sur consoles, tout cela se paie par de méchantes saccades, parfois un petit peu trop envahissantes. On regrettera également la rigidité de certaines animations. Jouabilité 14/20 Les deux campagnes offrent de sympathiques variations de gameplay, mais leur structure respective reste trop convenue et linéaire. L'impression de liberté se dissipe effectivement bien trop vite. On prendra néanmoins plaisir à contrôler notre soldat humain ou notre fier guerrier Na'vi lors de séquences d'action rondement menées et calibrées pour un large public. Durée de vie 14/20 Comptez environ 6 ou 7 heures pour terminer chacune des deux campagnes d'Avatar, un petit peu plus si vous escomptez remplir tous les défis propres à chaque zone. Ajoutons à cela un mini-jeu assez plaisant calqué sur le principe de Risk et un multijoueur sympatoche mais maigrichon et on obtient quelque chose de tout à fait convenable pour une adaptation de film. Bande son 15/20 L'ambiance sonore est très réussie. La forêt "vit" littéralement et multiplie les petits bruits qui nous parviennent assourdis par la végétation et les musiques soutiennent convenablement l'action. Les doublages français en revanche donnent un petit trop dans le caricatural et le surjoué. Scénario 11/20 Avatar nous offre une histoire distincte de celle du film mais s'évertue lui aussi à mettre en scène le terrible conflit entre les Na'vis et les Hommes, entre la Nature et la Technologie. Si ses scènes d'action parviennent à donner le ton, ses cinématiques sombrent malheureusement dans le quelconque. Maladroite au possible, l'histoire parvient parfois à relever la tête pour replonger aussitôt à la réplique suivante. Dommage. Note Générale 15/20 Avatar a deux visages, à l'image du conflit qu'il met en scène. Le bébé d'Ubisoft peut être à la fois envoûtant et terriblement commun. De ses deux campagnes linéaires au déroulement convenu, on retiendra des fusillades intenses, calibrées pour un large public. La plus grande force du jeu réside cependant dans sa capacité à donner vie à un monde sublime et enchanteur, imposant et terriblement fragile. Certains joueurs n'en ressortiront pas indemnes, tandis que d'autres ne verront en Avatar qu'un shooter un petit peu trop bancal. Citer
Valens Posté(e) le 3 décembre 2009 Posté(e) le 3 décembre 2009 C'est vrai aussi oué...Là AVATAR a eu un 15 alors que je pensais qu'il aurait plus...Après il faut aussi savoir qu'il n'est pas toujours très objectif (et c'est assez normal) le rédacteur des tests ;) Citer
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