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2-0 -
On est prévenu….
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t, ALL avant-première abonnés Histoires de promus (2/5) : le Werder Brême, la lente reconstruction d'un monument du foot allemand Le 15 mai, après sa victoire 2-0 contre le SSV Jahn Ratisbonne, le Werder validait sa montée en Bundesliga. Au plus grand bonheur du public du Weserstadion, qui avait envahi la pelouse. (Tim Groothuis / Witters / Presse Sports) Club historique de la Bundesliga, le Werder Brême vient de s'extirper de la D2 allemande, avec pour premier espoir celui de ne plus jamais y retourner. cet article (2/2) est issu du dossier Série histoires de promus David Fioux01 août 2022 à 18h00 ma liste commenter partager Tu préfères : surclasser le Bayern 3-1 chez lui, devenir en même temps champion d'Allemagne avant de rafler aussi la Coupe trois semaines plus tard ; ou bien battre le SSV Jahn Ratisbonne 2-0 chez toi lors de la dernière journée et terminer deuxième de la D2 allemande ? Entre la gloire absolue de 2004 et l'incontestable modestie de 2022, personne n'en voudrait aux supporters du Werder de choisir la destinée la plus dorée. Mais, foi de Brêmois, il n'est pas évident de surpasser le bonheur tombé sur les Vert et Blanc le 15 mai au Weserstadion, quand l'équipe a bouclé sur le fil sa remontée en Bundesliga. lire aussiLe Werder à Wolfsburg : le programme complet de la 1re journée de Bundesliga Cet après-midi-là, le terrain a été envahi par les supporters, certains ont dessoudé le but installé au pied du virage Est, d'autres ont arraché des mottes de pelouse en promettant de les arroser pour les maintenir en vie le plus longtemps possible. On était bien dans l'extase. Loin du doublé réussi par la bande de Johan Micoud il y a dix-huit ans, mais très proche à la fois. « Bien sûr, ce qu'a fait l'équipe en 2004 a une valeur énorme, sportivement et émotionnellement, expose Ingo Kläner, le président du Fan-Club 27 801, le premier groupe de supporters du Werder. Mais le titre avait été décroché à Munich et on avait une grosse avance. Si on avait perdu, on avait encore de bonnes chances d'être champions. Là, il y avait en jeu quelque chose d'extrêmement fort : on ne savait pas ce que deviendrait le club s'il ne remontait pas. » Le Werder est remonté et on sait donc ce qu'il est redevenu : une formation de Bundesliga, comme il l'a presque toujours été. Membre fondateur du Championnat en 1963, deuxième équipe la plus expérimentée de l'élite derrière le Bayern (1 934 matches contre 1 942), soutenu par plus de 40 000 membres mais par aucun investisseur à la puissance écrasante, le club du nord est un Traditionsverein (club de tradition) tel que les puristes du foot allemand les adorent. « Je promets que l'équipe fera tout pour que cela n'arrive plus » Leonardo Bittencourt, milieu du Werder C'est ce qui a fait encore plus mal en mai 2021, quand il est tombé en D2 pour la deuxième fois de son histoire, après la parenthèse de 1980-1981. Plus qu'une chute, un choc. « Le moment de la relégation a été vraiment terrible, se remémore Frank Baumann, l'ancien milieu du club, désormais son manager. Nous avions déjà lutté contre la relégation ces dernières années, mais nous avions toujours réussi à nous en sortir. Soudain, c'était la réalité. » Place à un nouveau monde, loin de celui qui a fait la légende du Werder : les quatre titres de champion d'Allemagne, la phase retour de Bundesliga 1992-1993 conclue avec un seul but encaissé, ou encore ces 26 victoires contre le Bayern que seul le Borussia Mönchengladbach arrive à surpasser (27). 57 Le Werder a pris part à 57 saisons de Bundesliga sur 59 (97 %), depuis la création de la compétition, en 1963. Au soir de la remontée, autour du Weserstadion, on entendait donc quelques slogans « Numéro 1 dans le Nord », parce qu'il faut bien se moquer du voisin d'Hambourg qui n'arrive pas à retrouver l'élite, depuis sa relégation en 2018. Mais il y avait surtout un chant : « Plus jamais la D2 ». Une supplique que Leonardo Bittencourt a parfaitement entendue durant les trois heures de parade à travers la ville et à laquelle il veut répondre modestement : « Promettre cela est difficile, affirme le meneur de jeu. Mais je promets que l'équipe fera tout pour que cela n'arrive plus. » « Il devient de plus en plus difficile pour les clubs dits traditionnels d'atteindre les premières places » Frank Baumann, le manager du Werder Car la fête a beau avoir été somptueuse à la fin, elle avait été précédée de violentes turbulences, et même de souffrances. Depuis la relégation, il a fallu surmonter une lutte de pouvoir en coulisses et une assemblée générale houleuse de dix heures. Puis vinrent une élimination au premier tour de la Coupe par une D3 et des menaces envers Baumann sur les réseaux sociaux. À l'automne, la démission de l'entraîneur Markus Anfang, qui avait falsifié son passe vaccinal, ressemblait au coup de grâce. Quand Ole Werner est arrivé sur le banc fin novembre, il était le quatrième coach en quatre matches. Mais le jeune technicien (34 ans) a tout changé : style léger, discours carré et sept victoires de suite qui ont transcendé un groupe. Ole Werner fête la montée au milieu de ses joueurs et de son staff, le 15 mai. (Tim Groothuis / Witters / Presse Sports) « Ça peut sembler bizarre, mais je pense que c'est positif d'être descendu, on a pu prendre un nouvel élan », veut croire Bittencourt. Malgré la théorie du nouveau départ, tout n'a pas redémarré fort et les finances du Werder restent fragiles. Le budget annoncé tourne autour des 30 M€, qui font emménager le quadruple champion à l'étage des plus modestes. Le reflet d'une Bundesliga toujours plus hostile pour ses anciens et qui sanctionne la moindre demi-saison de faiblesse. « Pour comprendre notre relégation, il faut regarder l'évolution du football allemand au cours des dix dernières années, juge Baumann. Des clubs comme Stuttgart, Cologne, Hambourg ou Schalke ont été relégués, tandis que des équipes avec de gros moyens financiers ont atteint les places européennes, comme Leipzig, Hoffenheim, Leverkusen ou Wolfsburg. Il devient de plus en plus difficile pour les clubs dits traditionnels d'atteindre les premières places, qui sont aussi synonymes de recettes supplémentaires. » Le héros local prolongé Dans cette jungle impitoyable, le retour au sommet de la chaîne alimentaire n'est pas pour tout de suite, mais ce n'est pas ce que les supporters demandent. Le maintien et l'affirmation du style de la maison leur suffiront, pour ces deux prochaines saisons au moins. Des défis de base qu'Ole Werner compte bien relever. « Le Werder prône historiquement un jeu offensif, où on préfère gagner un match 4-3 que 1-0, et cela reste notre identité, rappelle l'entraîneur. C'est une raison pour laquelle cela vaut le coup de ne pas regarder que le Bayern et Dortmund, mais aussi le Werder. » Lors des matches amicaux de juillet, perdus deux fois sur trois, l'heure n'était pas encore au régal des pupilles, mais la fierté était quand même de retour à Brême cet été. En souscrivant à la plate-forme solidaire Common Goals, le Werder est devenu le premier club allemand à reverser 1 % de ses revenus de billetterie et de sponsoring à des oeuvres de charité. lire aussiOù en est Common Goal, le mouvement citoyen de Juan Mata ? Il s'est aussi dressé contre le parti autrichien d'extrême droite FPÖ, qui organisait une manifestation sur les lieux de son stage de préparation. Et puis il a fini par enregistrer la prolongation jusqu'en 2025 de son héros Niclas Füllkrug. Celui qui a mis 19 buts la saison dernière, qui a dû payer 25 000 euros d'amende pour avoir tenu un fumigène lors des célébrations de la montée, et qu'on surnomme « le Trou » (« die Lücke ») parce que son sourire dévoile une dent manquante depuis l'enfance. Un attaquant généreux et efficace comme Brême les aime. De toute façon, le Werder aime beaucoup de choses hormis la D2. L'attaquant Niclas Füllkrug, surnommé « le Trou » en raison de sa dent manquante, est la coqueluche des supporters du Werder. (Valeria Witters/WITTERS/PRESSE SPORTS/Witters) Marco Bode : « La tradition n'est pas une garantie » Quand il a mis fin à sa carrière en 2002, Marco Bode sortait d'une qualification pour la Coupe de l'UEFA avec le Werder. Vingt ans plus tard, Brême n'aspire plus qu'au maintien après une saison en D2. L'ex-milieu allemand (53 ans, 40 sélections) a assisté aux difficultés croissantes de son club de toujours, dont il a même été dirigeant jusqu'en 2021. Il en a tiré le sujet d'un livre, la Tradition ne marque pas de but (co-écrit avec Dietrich Schulze-Marmeling), qui évoque le destin tourmenté des équipes historiques dans le football moderne, Bayern et Dortmund mis à part. « Comment analysez-vous les difficultés du Werder, qui rejoignent celles d'autres grands clubs de tradition ? Il y a déjà une question de structure. En Allemagne, certains clubs sont restés des associations au sens de l'organisation, c'est le cas du Werder, de Schalke 04 ou de Fribourg. Mais beaucoup sont devenus des entreprises. Au Werder, le club est la seule société, cela veut dire qu'il n'y a pas d'investisseur. Ensuite, le Werder, quand j'y jouais, était un club qui était meilleur que ses possibilités, il surperformait. Quand il s'est mis à manquer la Ligue des champions, il s'est retrouvé déstabilisé économiquement. Parallèlement, d'autres clubs sont arrivés, comme le RB Leipzig, Wolfsburg, Leverkusen, avec des structures différentes. Ce sont des entreprises qui brassent plus d'argent. Faut-il en conclure que la tradition est devenue mauvaise ? Je ne dirais pas que la tradition est un inconvénient. La tradition a du bon car cela signifie qu'il y a une grande base de supporters et une forte identification. En marketing, on peut convertir cela en marque forte. Mais la tradition, particulièrement avec les succès du passé, peut conduire à des attentes irréalistes, alors que le football a changé. Elle n'est pas une garantie, elle peut même devenir un risque. « Si nous ne changeons pas les règles en Europe, les clubs ''normaux'' comme le Werder ne pourront plus avoir les résultats d'antan » Le futur du football appartient-il aux "nouveaux clubs" ? Cela dépendra des règles que l'on édictera. Les nouveaux clubs, comme le PSG, Manchester City, Newcastle, ont des structures particulières et, dans leurs pays aussi, on assiste à l'affaiblissement de certains clubs historiques, vous le voyez en France. Si nous ne changeons pas les règles en Europe, les clubs "normaux" comme le Werder ne pourront plus avoir les résultats d'antan. Cela veut dire qu'il faut agir, par exemple avec le fair-play financier ou l'encadrement des masses salariales. Mais c'est compliqué. Est-il possible pour un club comme le Werder de revenir au tout premier plan ? Je pense qu'il est encore possible de créer la surprise. Francfort vient de gagner la Ligue Europa en terminant 11e de la Bundesliga. Mais il est difficile pour ces clubs-là d'être de nouveau sacrés champions. Les temps changent. En Allemagne se pose la question de mettre fin à la règle des "50+1" (qui interdit à un actionnaire autre que l'association fondatrice du club de détenir plus de 50 % des parts) pour permettre l'arrivée de nouveaux investisseurs. Les clubs de tradition seraient attractifs et ils deviendraient plus forts. Mais, bien sûr, il y aurait des inconvénients... » D. F. Schalke prêt à souffrir aussi Sacré champion de D2 en mai, Schalke 04 est l'autre géant allemand de retour en Bundesliga. Une issue heureuse pour le club de la Ruhr, fragilisé économiquement et qui comptait six points de retard sur la place de barragiste à neuf journées de la fin. Mais la montée n'a pas vraiment calmé l'instabilité qui règne à Gelsenkirchen, avec la nomination en juillet d'un septième entraîneur en deux ans. Frank Kramer n'était pas le premier choix, il a déjà été insulté par des supporters et il devra rapidement faire ses preuves. Pour assurer le succès d'une équipe bâtie autour du buteur Simon Terodde (30 buts en Championnat la saison dernière), il s'est dit prêt « à dormir sur un lit de camp dans le bureau », un effort qui s'accorde aux prémonitions du dirigeant Peter Knäbel : « Ce sera une année de rude épreuve, a annoncé le manager de Schalke. Notre but sera le maintien, le maintien, le maintien. »
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Fallait regarder le match de la sem.derniere
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L’impression d etre en pleine mer 🤮
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Comme très souvent …
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Ils sont en enfer!!
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Ca coule les verts! ça craque de partout
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But de dijon la def de sté fait peur…. Aucun alignement!!
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Rumeurs et transferts
vince a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Le pb de reims, c’est leur coach pour moi! -
La ligue 2 c’est l’ENFER!
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Fin aout ils auront ouvert les yeux😂 qd ils ont aller jouer a rodez, bastia, niort et j’en passe … même ds les montagnes à annecy😂😂 ils vont vite atterir! Et qu’ils se mefient de ne pas rejoindre nancy plus vite que prévu! #0humilité
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Moi, je vois dijon avec omar daf
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C’est donc toi avec le tatoo om 😂😂
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Lukasz Poreba s'est engagé en faveur du RC Lens en janvier, dans un kebab d'Antalya, en Turquie. 😂😂 incroyable ce Flo😂😂
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Vla monsieur Ligue 1 : avec son mercato ambitieux, Lens a les moyens de viser plus haut Deux fois de suite 7e du Championnat, Lens s'est donné les moyens de confirmer son ancrage en Ligue 1. Il pourrait viser un peu plus haut si Seko Fofana venait à rester. Joël Domenighetti, à Rodez (Aveyron) et Avion (Pas-de-Calais)mis à jour le 28 juillet 2022 à 00h05 ma liste commenter partager La préparation estivale du RC Lens, qui s'achève samedi face à West Ham (Angleterre), a démontré que la cohésion dont l'équipe a fait preuve depuis deux saisons, ses principes de jeu et son habitude d'attaquer les matches avec enthousiasme étaient restés les mêmes. Trois titulaires potentiels ont quitté le club (Cheick Doucouré, Jonathan Clauss et Arnaud Kalimuendo). Mais sans conséquence, tant leurs remplaçants ou les arrivants se sont fondus dans la masse avec la même énergie. « L'objectif est d'abord de stabiliser le club en Ligue 1 [...], cela passe par un maintien dans de bonnes conditions » Florent Ghisolfi, coordinateur sportif du RC Lens « Seul le Championnat sera le juge de paix, modère Franck Haise, l'entraîneur. Mais notre recrutement a été efficace car tous les arrivants (Adbul Samed, Openda, Poreba, Cabot, Samba), hormis Adam(Buksa, victime d'une fracture de fatigue à une cheville en juin), étaient là avant le début du stage (à Rodez). Avec cet effectif, on doit rester ambitieux. Les ambitions se mesurent dans le jeu et l'état d'esprit. Quand les deux sont réunis, on est capables de faire deux fois septièmes. La deuxième fois avec cinq points de plus. Ces 62 points auraient pu nous donner une place européenne dans 80 % des cas. » lire aussiLoïs Openda (Lens) : « Je marche avec mon coeur » Mais les adversaires étaient eux aussi plus forts. Lens devra donc faire encore plus s'il veut goûter les mets continentaux. Il faudra pour cela que l'intensité et l'audace soient autant au rendez-vous que lors du dernier match amical contre l'Inter Milan, samedi (1-0). « L'objectif est d'abord de stabiliser le club en Ligue 1, rappelle Florent Ghisolfi, le coordinateur sportif. Même si certains ne veulent pas l'entendre, cela passe par un maintien dans de bonnes conditions. » 30 000 Le nombre d'abonnés approchera les 30 000 selon le club, dont plus d'un tiers ont déjà opté pour une reconduction automatique en 2023. Lens va dépasser son nombre d'abonnés de plus de 8 000 personnes par rapport à 2021-2022 et atteindre son record historique. La saison passée, onze rencontres ont été disputées à guichets fermés. Le doublement des postes est censé colmater les trous d'air observés au premier trimestre 2022. Quant au groupe restreint, il doit permettre d'entretenir l'exigence et l'implication. La plus grande variété des profils offrira aussi à l'entraîneur des solutions différentes. Et la fraîcheur nécessaire pour l'enchaînement d'une saison entrecoupée de cinq semaines sans compétition lors de la Coupe du monde (21 novembre - 18 décembre). Des jeunes vont aussi mûrir (David Pereira Da Costa, 19 ans). lire aussiOpenda, Samba... Sur le marché des transferts, Lens se montre très actif « Je trouve plutôt intéressant que nous sortions de notre routine, anticipe Haise. On se plaignait de ne pas avoir de vraie coupure. Ces deux premières semaines de repos (avant trois d'une nouvelle préparation) vont permettre de regagner de l'énergie et d'apprécier de jouer en fin d'année (deux journées sont programmées pendant les fêtes). »Lens entend confirmer ses progrès, notamment défensifs, et grandir, poussé par son public, qui va remplir son stade presque à chaque match (voir chiffre ci-contre). Une pression positive d'un environnement sevré de haut niveau de trop longues années avant la remontée (2020), dans des circonstances sanitaires particulières (arrêt des Championnats pour cause de Covid-19). La seule incertitude concernera donc Seko Fofana. Serein, le capitaine fait le boulot en conscience. Mais un club européen d'envergure viendra-t-il déposer sur la table la trentaine de millions d'euros nécessaires pour le débaucher d'ici à fin août ? lire aussiLe tour de France des clubs Le joueur à suivre : Poreba attend son heure Lukasz Poreba s'est engagé en faveur du RC Lens en janvier, dans un kebab d'Antalya, en Turquie. L'équipe polonaise de Lubin, avec laquelle il arrivait en fin de contrat au mois de juin, y était en effet en stage de préparation. Et le coordinateur sportif Florent Ghisolfi, après en avoir informé ses homologues, a profité d'une journée de repos de l'effectif pour enrôler le capitaine des moins de 21 ans polonais, déjà 88 matches de D1 dans son pays à 22 ans. Son aisance avec le ballon, sa vision du jeu et la précision de ses passes ont éclairé une partie de la préparation de son équipe dans un profil de milieu relayeur combatif, toujours en mouvement. En phase d'intégration, avec la nécessité de digérer de nouvelles charges de travail et l'intensité des entraînements, Poreba n'est pas programmé pour devenir titulaire cette saison. Surtout si Fofana reste. Mais son vécu en compétitions internationales de jeunes, sa marge de progression et sa faculté à casser les lignes avant d'enchaîner avec le geste juste peuvent étonner, comme l'avait fait le défenseur Loïc Badé une saison avant de quitter l'Artois pour Rennes l'été dernier. J.D. publié le 28 juillet 2022 à 00h05mis à jour le 28 juillet 2022 à 00h05
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troisième maillot
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Les frites c’est la fête!
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Rumeurs et transferts
vince a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
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transferts Euro féminin Ligue 1 Ligue 2 Ligue des Champions Ligue Europa Ligue Europa Conférence Angleterre Espagne Allemagne Italie Coupe de France les notes Foot féminin National Amateurs autres championnats étrangers Coupe du monde (h) Ligue des nations Qualif Coupe du monde 2022 Ballon d'Or Coupe du monde (-20) Euro Euro Espoirs Jeux Olympiques matches amicaux internationaux Equipe de France Trophée des champions CAN Copa America Coupe d'Asie des nations Mondial des clubs Supercoupe de l'UEFA Ligue des champions d'Afrique Copa Libertadores Coupe de la Ligue Le Lensois Loïs Openda a disputé ses premières minutes avec sa nouvelle équipe et a failli marquer deux fois face à Clermont (3-1), samedi, en amical. (Sy. Thomas/L'Équipe) Foot L1, Lens issu du journal Loïs Openda (Lens) : «Je marche avec mon coeur» L'attaquant belge, acheté 10 M€ au Club Bruges, voulait évoluer en Ligue 1, à Lens, où il dit avoir eu la conviction qu'on lui ferait confiance. Joël Domenighetti, à Rodezmis à jour le 18 juillet 2022 à 00h15 ma liste commenter partager Entré à la 60e minute samedi en amical contre Clermont (3-1), Loïs Openda a disputé ses premières minutes avec Lens et a failli marquer deux fois (79e, 90e+1), notamment grâce à sa vitesse de course. Plus gros investissement de l'ère Oughourlian (10 M€), l'attaquant belge (22 ans), acheté au Club Bruges, débarque à Lens avec beaucoup d'ambition. Celle de confirmer ses deux bonnes saisons à Vitesse Arnhem (D1 néerlandaise), où il était prêté par le champion de Belgique. Puis de figurer dans la liste de Roberto Martinez pour la Coupe du monde au Qatar (21 novembre-18 décembre). lire aussiLoïs Openda veut briller à Lens pour voir la Coupe du monde au Qatar « Pourquoi avez-vous choisi la Ligue 1 et le RC Lens ? J'ai beaucoup suivi votre Championnat. Il y a de grandes stars. On peut s'y montrer. Et c'est beaucoup plus difficile qu'au Pays-Bas et qu'en Belgique. Pour devenir un meilleur joueur, je devais venir en France. Lens évolue dans un système qui me convient. J'ai longuement parlé au coach (Franck Haise) par téléphone avant de m'engager. J'ai beaucoup échangé avec Florent (Ghisolfi, le coordinateur sportif). Ils m'ont donné cette confiance dont chaque joueur a besoin. En sélection, j'en ai discuté avec Eden et Thorgan Hazard. Eden (ex-Lillois) m'a chambré. Mais il m'a dit que c'était une très belle équipe (7e de L1 l'an passé). Il m'a parlé de l'ambiance. J'ai hâte de la connaître. Thorgan a fait ses classes à Lens. Et Thierry Henry (adjoint de Martinez avec la Belgique) m'a confirmé les intentions de jeu. «Je suis devenu polyvalent» Avez-vous conscience que vous aurez nettement moins d'espaces en France qu'en Eredivisie ? Je le sais. Je vois déjà la différence avec nos défenseurs. Ce n'est pas de la rigolade. À moi de me les créer. J'ai besoin de l'équipe. Mais je peux utiliser mes qualités de vitesse. En Hollande, j'ai un peu étoffé mon style de jeu. Avant, je ne prenais que la profondeur. Maintenant, je peux redescendre pour participer au jeu, évoluer sur un côté. Tourner autour d'un deuxième attaquant. Rester en neuf axial. Je suis devenu polyvalent. Avez-vous envie de tout casser ? Non. Je veux juste me faire une place dans l'équipe. Tu ne peux pas tout casser tout seul. À Vitesse, nous avions une équipe jeune. Ici, il y a plus d'expérience. J'ai des objectifs individuels que je ne veux pas révéler. Je l'avais fait à Vitesse. Et je ne les ai pas atteints la première saison. Je suis retourné à Vitesse en me disant : "Vas-y et casse tout." Je pense que c'est ce que j'ai fait en terminant deuxième meilleur buteur (18, derrière Sébastien Haller, 21) et deux fois joueur du mois. lire aussiOpenda, Samba... Sur le marché des transferts, Lens se montre très actif Pour quelle raison aviez-vous demandé à être prêté à Arnhem ? Ma première saison pro à Bruges était bonne. J'avais joué des matches de Ligue des champions. Marqué quelques buts. Après, avec Philippe Clement (actuel entraîneur de Monaco), ça ne s'est pas passé comme avec Ivan Leko (2017-2019). Chaque entraîneur a sa personnalité. Je ne sentais pas la saison. Je voulais revenir plus bas pour retrouver confiance en moi. Au départ, pas question de me parler des Pays-Bas. Mon agent m'a convaincu d'aller sur place. Je suis francophone mais j'ai appris à maîtriser le flamand. J'ai été convaincu par le manager et l'entraîneur. Et j'ai passé deux belles années à Vitesse (37 buts en 88 matches). Je marche avec mon coeur. C'est comme ça que je le sens. J'écoute aussi ma mère. Ce n'est pas pour ça que je fais toujours ce qu'elle me dit. Mais ses conseils sont importants. «Ces sélections (avec la Belgique) ont renforcé ma confiance. C'était comme dans un rêve» Vous avez découvert les Diables Rouges avec lesquels vous avez marqué contre la Pologne (6-1, le 8 juin)... Ma mère est d'origine marocaine. Mon père d'origine congolaise. J'aurais pu choisir une autre nation. Mais j'ai toujours voulu jouer pour la Belgique. J'y suis né. J'ai évolué en sélection depuis mes 14 ans. Pour moi, c'était une évidence. Ces sélections ont renforcé ma confiance. C'était comme dans un rêve. Quand tu vois De Bruyne avec le ballon, tu sais qu'il va te le mettre dans les pieds. lire aussiToute l'actualité du RC Lens Le but est-il désormais d'aller au Qatar pour la Coupe du monde ? Ce n'est pas mon simple ou seul but. Être retenu, si c'est le cas, ne sera pas suffisant. À un moment, il a fallu que je fasse un choix. Celui de venir à Lens en était un. Je suis venu pour côtoyer de grands joueurs. Faire un bon début de saison en L1. Si j'y parviens, comme c'est dans un coin de ma tête, alors seulement après je pourrai penser à la sélection. » publié le 18 juillet 2022 à 00h15mis à jour le 18 juillet 2022 à 00h15
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Rumeurs et transferts
vince a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Et courbis directeur du football 🤣🤣 -
Rumeurs et transferts
vince a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Le gars decouvre kali 😂😂