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vince

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Tout ce qui a été posté par vince

  1. vince

    Ligue 2

    Quel depart canon de grenoble! et les valenciennois qui se voyaient deja monter ??
  2. vince

    Ligue 2

    ???
  3. vince

    Ligue 2

    FAUX matusawa
  4. vince

    Ligue 2

    Ridicule le goal de clermont?
  5. vince

    Ligue 2

    Toulouse qui se prend un corner direct a clermont ?
  6. Le bayern qui mène 8-0 contre schalke lol reste 10 mns ??
  7. Ouais enfin, il est très loin de son niveau bordelais !
  8. Je suis ne pas prêt de voir un match sur ma tv ?
  9. vince

    [23] Ismaël Boura

    Boli revient bientôt, il sera de trop haidara? sylla-boli-boura sont là les 3!
  10. vince

    [23] Ismaël Boura

    Va t on garder haidara? Sylla et boura n’est ce pas suffisant?
  11. vince

    Cyclisme

    Le pire c’est le sprinter wan art?? le gars il ecrase des grimpeurs en montagne? la potion magique doit être sacrement relevée!
  12. Il est pré-sélectionné pour le stage avec le Cameroun à partir du 05/10
  13. vince

    Les jeunes

    Il ne rigole pas Assadourian. c’est très bien cette exigence ! victoire 3-2
  14. Ligue 1 : Les promus, animateurs du marché des transferts, sont-ils devenus fous ? Publié le 13/09/2020 à 08:30 , modifié le13/09/2020 à 10:54 Auteur·e : Hugo Dupriez Lens et Lorient, tous les deux promus en Ligue 1, ont animé le marché des transferts en dépensant près de 20 millions d'euros chacun. À l'aube d'un affrontement, ce dimanche (15h), qui comptera dans la course au maintien, retour avec Pierre Rondeau, économiste du sport, sur la stratégie des nouveaux venus en Ligue 1. Si les promus brillent sur les terrains de Ligue 1, à l’image de Lens tombeur du Paris Saint-Germain, ils ont surtout animé le marché des transferts. C’est simple, à l’exception de Monaco, et son portefeuille russe, jamais des clubs fraîchement arrivés parmi l’élite n’avaient dépensé autant ces dix dernières années. Lorient, qui a dépensé 18,5 millions d’euros, a frappé fort en alignant 9 millions sur Adrian Grbic, étincelant à Clermont, 17 buts, en Ligue 2 la saison passée. Lens qui a dépensé plus de 20 millions d’euros, un temps intéressé par l’international autrichien, a vite répondu en signant Seko Fofana, auteur d’une saison pleine à l’Udinese, au nez et à la barbe de plusieurs clubs italiens, pour 8,5 millions d’euros, et 1,5 million de bonus. Deux recrues qui comptent, déjà, parmi les plus intéressantes à suivre pour la saison à venir. À VOIR AUSSILigue 1 : Les dix recrues à suivre pour la saison 2020-2021 Covid, fais-moi peur Si beaucoup s’attendaient à un mercato plus calme, en raison du ralentissement économique provoqué par la Covid-19, Lorient et Lens ont fait taire les sceptiques. Une activité qui s’explique par les contraintes financières moindres pour les promus de Ligue 2. "Toute proportion gardée, par rapport à des clubs comme Paris ou Lyon qui ont perdu beaucoup d’argent par exemple, les clubs promus n'ont perdu que peu d'argent en raison de la Covid. Cela s'explique par le fait que c'était des plus petits clubs qui avaient moins de contraintes financières", détaille Pierre Rondeau, économiste du sport. "Les salaires sont moins importants dans les clubs de Ligue 2 : 20 000€ en moyenne par mois contre 96 000€ en Ligue 1." Surtout, pour Pierre Rondeau, les aides accordées par l’Etat ont eu un impact bien plus important sur les clubs aux masses salariales les plus faibles. "Les aides au chômage partiel étaient plafonnés à 5500€. Proportionnellement, l’impact de ses aides sur les finances des clubs promus est plus important. En effet, par rapport à un club de Ligue 1 qui ne reçoit 'que' 5500€ pour payer un salaire de 100 000€, eux reçoivent la même somme pour payer un salaire de 20 000€." Début août, Claude Puel, entraîneur de Saint-Etienne, affirmait que "Lorient et Lens pouvaient assumer des transferts que son club ne pouvait assumer". Une dure réalité pour les Verts, pourtant européens l’an passé. "Dès lors que l'on est très contraint par une masse salariale très onéreuse, mécaniquement, s'il y a arrêt de l'activité et maintien des salaires, on perd de l'argent", poursuit Pierre Rondeau. "Pour un club comme Saint-Etienne, les aides de l'Etat ne sont que dérisoires par rapport au poids de la masse salariale." À VOIR AUSSIQuand, comment et à quel prix suivre la Ligue 1 cette saison ? L’impact non négligeable des droits TV En rejoignant l’élite du football français, Lensois et Lorientais vont toucher un joli chèque en fin de saison. "Aujourd'hui, pour cette saison 2020-2021, le dernier de Ligue 1 touchera 39 millions d'euros contre 19 millions l'an passé", analyse Pierre Rondeau. Un chiffre à la hausse qui trouve son origine dans le juteux contrat de diffusion passé entre la LFP et le groupe Mediapro. "Avant, le dernier de Ligue 1 touchait un chèque de 19 millions d'euros et le premier de Ligue 2, un chèque de 12 millions d'euros. Avec l'arrivée du nouveau diffuseur, la Ligue a décidé, pendant le confinement, que les 400 millions d'euros de gains par rapport à l'ancien contrat seraient redistribués de façon égalitaire entre tous ses clubs." Avec une telle augmentation, les promus bénéficient d’une marge de manœuvre financière plus importante pour investir massivement sur le marché des transferts. "Dans la tête des comptables lensois et lorientais, on se dit sans doute que quelque soit la performance sportive on touchera une très belle somme", réagit Pierre Rondeau. "Ce gain permet aux deux clubs d'investir sur le marché et d'y faire de beaux coups." Limiter les risques de scénario catastrophe En investissant autant, Lens et Lorient espèrent bâtir des escouades compétitives pour mener à bien leur opération maintien. Cela garantirait une stabilité financière certaine pour ces deux clubs fraîchement promus, surtout lorsque l’on sait que les clubs professionnels devront commencer à rembourser le prêt garanti par l’État dès la saison prochaine. Une situation inquiétante pour les saisons prochaines : les clubs devront intégrer le prêt garanti par l’État dans leur trésorerie. Dans le même temps, ils ne pourront plus bénéficier du bonus donné par l’augmentation des droits tv sur le bilan comptable. Rester en Ligue 1 devient donc presque une nécessité pour les clubs promus. "Si Lens et Lorient font également cet investissement, c'est également pour s'assurer le maintien en Ligue 1 qui pourrait leur assurer des droits tv et une visibilité permanente", conclut Pierre Rondeau. "S'ils venaient à descendre en Ligue 2, ça serait ajouter à toutes les contraintes que l'on connaît, le poids économique d'une relégation." Selon les comptes de la DNCG, on observe une baisse de recettes d’exploitation moyenne de 38,64 % pour les clubs relégués, un impact considérable. L’affrontement entre promus, bien qu’intervenant très tôt dans la saison, aura donc des conséquences sportives, entre deux équipes qui ambitionnent le maintien, mais peut-être également financières à l’issue de la saison. Hugo Dupriez
  15. vince

    Ligue 2

    Cas de covid suspecté avt embarquement en avion
  16. Pour aller où?
  17. vince

    Ligue 2

    Gomis.....
  18. vince

    Ligue 2

    1-3 ils ne veulent pas 1 ou 2 defs guingamp? Fortes ou et diallo? un gardien aussi ne serait pas du luxe!
  19. https://www.lavoixdunord.fr/864327/article/2020-09-12/football-rc-lens-seko-fofana-d-attaque-pour-le-match-face-bordeaux Fofana va mieux
  20. vince

    Ligue 2

    Pas vernis guingamp! le hac a une réussite maximale 0-2
  21. Condescendant?? redescends, si tu ne veux pas qu’on te réponde, ne viens pas sur un forum! Quelle susceptibilité! qd t’es promu et que ton objectif est de rester en L1 , ce qui est notre objectif, hein, faut pas l’oublier, on ne vise rien d'autre le buteur à15 pions et plus que rare et surtout n’est pas un gage de réussite. On en a déjà discuté ici, clermont, le hac par ex ont eu des buteurs à 20 buts et+ et sont encore à l'étage inferieur!
  22. LOL dijon, strasbourg, brest, angers... même montpeliers et nice voir rennes n’ont pas de buteurs à 15 pions par saison! faut arrêter le délire avec ça un moment! https://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2018-2019/standingperson.shtml ?voici le classement 2018-2019
  23. Tiens: De la N2 à la Ligue 1, Loïc Badé (Lens) progresse en accéléré En à peine plus d'un an, le défenseur central est passé de la N2, avec la réserve du Havre, à la L1 à Lens, où il sera titulaire ce jeudi soir face au PSG. Joël Domenighetti, à Avion (Pas-de-Calais)10 septembre 2020 à 12h00 partager Avec un seul match de L 1 à son actif, à Nice (1-2, 23 août), seulement sept de L 2 avec Le Havre, Loïc Badé débutera dans l'axe de la défense lensoise ce jeudi soir face au PSG, pour un match en retard de la 2e journée de Ligue 1. En mai 2019, l'ancien milieu défensif gagnait du temps de jeu avec l'équipe réserve du HAC en National 2. « Ça va très vite, reconnaît le grand (1,91 m) jeune homme de vingt ans. Je m'en rends compte quand je regarde Snapchat (réseau social). Je me revois en CFA (N2). Beaucoup de choses ont changé depuis. » Formé à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), le joueur a quitté la Normandie après trois saisons, dont un an de contrat aspirant et deux de stagiaire. lire aussi En L2, Badé détonnait par sa maturité hors et en dehors du terrain Cet été, il a signé son premier contrat professionnel à Lens, convaincu par les arguments sportifs du club artésien contre lequel il avait fait bonne impression en L 2, le 31 janvier au stade Océane (0-0), avec un but de la tête injustement refusé pour hors-jeu. « Il m'a fallu beaucoup de chance,résume-t-il. L'effectif défensif du Havre était réduit. Et le fait d'être libre de tout contrat a favorisé les propositions (Lens a réglé 270 000 € d'indemnités de formation au Havre). » En matches de préparation ou à Nice, son calme, la justesse de ses passes et de ses prises de décision ont sauté aux yeux. Comme s'il s'adaptait à un contexte neuf et mouvant avec une étonnante maturité. Toutes proportions gardées, il y a dix ans, un certain Raphaël Varane, formé au RC Lens, dégageait la même impression. « J'ai longtemps réfléchi au métier que je voulais faire » « Si je devais l'évoquer d'un mot, je dirais qu'il fait preuve de sérénité, indique l'attaquant Florian Sotoca. Il s'est fondu dans les valeurs qui scellent notre groupe. » Leader de vestiaire au HAC, l'intéressé rétorque vouloir rester lui-même, sans afficher la pression qui escorte ses premiers pas dans le monde pro. Il en ingurgite les bons côtés en ayant conscience que c'est tout sauf une finalité. « J'ai longtemps réfléchi au métier que je voulais faire, confie-t-il. J'avais passé mon bac S pour m'ouvrir le plus de portes possible. Je n'ai jamais réellement trouvé avant de me lancer dans cette carrière. S'il n'y avait pas eu le confinement, les choses auraient peut-être été différentes. Je me suis posé la question sur la L 1. Était-ce un trop gros échelon ? C'est un choix ambitieux. Je ne connais pas mes limites. Mais je suis fier du premier match que j'ai pu faire (à Nice). Pour le reste, on verra bien. »
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