L'article était plutôt factuel et prenait peu parti. Je pense plutôt qu'en citant certains discours, il soulignait le fait que ce sont ceux les 10% de ménages les plus riches (on te fait pas un dessin, pas des gens qui gagnent qq milliers d'euros par mois, plutôt par semaine, jour) qui ont vu leur niveau de vie augmenter sans être les plus dans le besoin, quand ceux qui représentent les 50% de ménages les plus modestes ont vu aucune amélioration. L'un ne devrait pas empêcher l'autre, encore moins prendre le pas sur l'autre... Sans faire le gaucho révolutionnaire, c'est quand même le pas le haut de la pyramide qui a le plus besoin de renforcer son niveau de vie.