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PG24

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Tout ce qui a été posté par PG24

  1. En même temps, on est que le 12 janvier 2021 ? et on a disputé que 2 matchs dont 1 face au leader? Je veux bien que la peur d'une éventuelle descente soit dans toutes les têtes dont la mienne (même si ça me semble assez improbable par rapport aux arguments dit plus haut) mais il y a pas non plus de quoi angoisser pour le moment, surtout que ceux qui occupent le fond du classement n'avancent pas non plus excepté Dijon 18ème qui avance au ralenti.
  2. Le plus important ça reste Haidara, Gradit et Da Costa si le club veut vraiment les garder ou récupérer quelque chose. Pour Desprez c'est à voir et je pense que Diallo son destin est déjà scellé, il partira surement libre à ce mercato si il trouve quelque chose ou sinon libre cet été. Pour le duo corse Cahu et Leca, est-ce qu'ils ne sont pas renouvelés car leur départ pour Bastia est déjà prévu depuis le début de saison en off ? Est-ce qu'ils attendent de voir dans quelle division jouera Bastia pour décider (ils sont 2eme en national à mi-parcours). Dans tous les cas, malgré l'importance de ces 2 joueurs dans notre effectif, ça reste les prolongations les moins "urgentes" car à leur âge, ils auront pas de sollicitations donc soient ils prolongent 1 an de plus, soit ils partiront gratuitement cet été (ou l'été prochain car ils partiront gratuitement dans tous les cas ^^)
  3. Pour revenir à Boli, il est déjà dans le groupe pour le déplacement de demain à Toulouse. Ils l'ont mis dans les attaquants ?
  4. C'est bien pour Boli si il arrive à gratter du temps de jeu ailleurs, même si c'est des minutes, ça sera toujours plus qu'ici, de plus dans un club de L2 qui joue actuellement la montée. Maintenant le problème de son poste, il l'avait clairement fait comprendre qu'il avait dépanné en piston mais qu'il voulait jouer à un poste offensif derrière les attaquants. Le problème, c'est que dans notre schéma où on joue sans ailiers, il y a qu'un poste qui lui correspondrait, c'est celui de Kakuta, mais bon ça va être très compliqué de le déloger, au mieux il pourra être sa doublure à la place de Mauricio si il démontre qu'il est meilleur que lui.
  5. Leur équipe met pas un pied devant l'autre que ça soit en championnat et encore pire en champions league et ça fait des communiqués pour chialer, c'est une blague ? Sachant que leur campagne désastreuse en coupe d’Europe s'arrête début décembre, ils auront tout le temps de placer leur matchs en retard ? En plus c'est plus ou moins officiel, le match contre l'om se jouera début janvier juste avant la 18éme journée, donc ils auront qu'un match de retard à l'issue de la phase aller, pas de quoi en faire tout un plat.
  6. C'est pas faux surtout qu'en vrai depuis qu'il a été sélectionné en octobre, il n'a pas rejoué, suspendu à Lille puis les 2 matchs reportés donc si il a été rappelé ce n'est pas pour rien. Après on verra bien avec le temps, Balerdi chauffe le banc à l'OM aujourd'hui mais ça pourrait s'inverser, Foyth il a très peu joué l'année dernière et revient de blessure il me semble, puis le championnat argentin a repris le week-end dernier donc il y aura encore un peu plus de concurrence.
  7. Bonne nouvelle pour lui et pour nous. En plus de voir sa valeur marchande augmentée même si la valeur donné sur transfermarkt peut-être sous-estimé comme sur-estimé (on peut le voir avec Doucouré qui est à 3.5 alors qu'il a été évalué autour de 9 millions par l'observatoire CIES), si il veut retourner en sélection, ça passera par des bonnes performances chez nous donc ça ne peut être que bénéfique pour le club.
  8. Kakuta également convoqué. Il reste plus qu'à savoir si c'est le cas pour Medina, Kalimuendo et Bayala Edit : pas de Kalimuendo avec les espoirs, à voir si y'a un stage pour les U20 comme lors du dernier rassemblement ?
  9. Fortes également convoqué.
  10. On parle de 2021 pour jouer le match reporté face à l'OM car entre leurs matchs de poule et la trêve internationale, ça sera pas possible de le placer avant.
  11. C'est exactement ça. 1 carton et le joueur sera suspendu au prochain match. Je n'étais pas sûr donc j'ai regardé un peu le rapport de la LFP à chaque journée des joueurs qui ont pris 2 matchs (dont 1 sursis) et j'ai trouvé l'exemple parfait. Munetsi de Reims qui a pris rouge direct face à Metz (J4), il a eu donc 1 match ferme et 1 avec sursis, il a purgé son match lors de la 5éme journée, il est revenu à la 6éme et a pris un jaune... il a donc manqué le match face à Lorient samedi dernier car suspendu. Donc selon moi, une biscotte et tu loupes le match. On va pas se leurrer, autant Gradit ou Michelin, ils vont prendre un jaune dans les 10 prochains matchs. D'ailleurs en regardant le rapport du jour, Cahuzac sera suspendu pour le match face à l'OM (c'est pas une surprise) mais côté OM, Sakai sera également suspendu.
  12. D'après le réglement, c'est dans les 10 matchs suivants... donc leur sursis va pas faire long feu... Les sanctions à l’encontre des joueurs entraînant un ou plusieurs matchs de suspension avec sursis sont réputées non avenues si, après leur prononcé, le joueur n’est pas exclu, n’a reçu aucun avertissement, ou n’a fait l’objet d’aucune nouvelle sanction par la Commission de discipline de la LFP pendant une période incluant dix rencontres de compétition officielle – Ligue 1Conforama, Domino’s Ligue 2, Coupe de la Ligue, Trophée des Champions ou Coupe de France – disputées par son club
  13. Son interview est dispo sur leur site. Faut être abonner ou visualiser une pub pour accéder à l'article ----------------------------------------------------------------------------- Florent, comment vivez-vous ce début de saison ? « Bien. Le staff était l’un des piliers de notre projet. On a eu le temps de le construire cet été, de choisir les hommes et la compétence. On est heureux de sentir de la fierté chez les gens qui aiment ce club en ce moment. C’est exactement ce qu’on voulait faire. Avec Franck (Haise), on partage un projet de jeu. Mais je ne suis pas là pour clamer quoi que ce soit. Je suis là pour agir. On est uniquement jugé sur ce qu’on met en place. Ce n’est pas mon projet. C’est un projet sportif global qui est validé par Arnaud(Pouille) et Joseph (Oughourlian). Chacun sait, au RC Lens aujourd’hui, qu’il faut avancer dans l’exigence quotidienne. » Quelle exigence ? « L’exigence sportive. C’est voir de l’exigence chez chaque personne qui compose le pôle professionnel. J’ai évidemment aussi un regard sur ce qu’il se passe à la formation, mais parlons des pros : on doit avoir l’âme de compétiteurs, chaque jour. Je l’ai aussi naturellement. Chaque matin, je me lève et je ne vais rien lâcher. Pour moi, c’est la somme de détails qui fera la différence. On doit se lever tous, chaque jour, pour être à fond dans ce qu’on fait. Il faut que chaque membre du club soit fier d’y travailler, l’aime et soit très exigeant dans son boulot. On doit tous dégager une énergie. Mais attention : l’environnement peut avoir tendance à oublier d’où l’on vient. » Vous voulez éviter que les gens s’enflamment après ce début de saison ? « Non, pas du tout. Cette phrase, je la combats. On peut s’enflammer, pas de problème. Profitez des bons moments. Vous avez envie de rêver ? Rêvez ! Le football, c’est ça. En sport, la confiance, c’est ce qui construit une réussite. On se doit d’avoir confiance en ce qu’on fait. Quand cette confiance est mêlée à l’exigence, c’est ce qui fait les grandes réussites. Je ne vais pas combattre cette confiance. Oui, ce qu’on fait, c’est bien. Mais c’est d’abord le fruit d’une somme de détails qu’on a réussi à poser bout à bout. » Vos objectifs n’ont pas bougé ? « On ne s’interdit rien mais soyons clairs : si on termine quinzième en fin de saison j’en serai très content. Autour de nous, il y a de la concurrence féroce, de grosses écuries. Tous les clubs travaillent et le font bien. Je vois ce qui se fait ailleurs et ça bosse partout. Rappelons une chose : sur la grille de départ du championnat de L1, on est parti vingtième, juste derrière Lorient qui était dix-neuvième. N’oublions pas : on est monté en L1 d’un tout petit point après vingt-huit journées. On a mérité cette montée. Mais on doit s’en souvenir. » Certains ont pu penser que cette montée était illégitime car il manquait dix matchs. Cela a-t-il décuplé votre envie de prouver que vous aviez le niveau ? « Pas du tout. On était premier à la trêve. On était deuxième quand le championnat s’est arrêté. Il existe juste la frustration de ne pas avoir validé cette accession jusqu’au bout et, surtout, de ne pas avoir pu la fêter. Après l’officialisation de la montée, j’ai surtout dit qu’il ne fallait pas fanfaronner par respect des équipes qui étaient derrière nous. Elles pouvaient être frustrées par ce dénouement, je le comprends. Nous l’aurions probablement été à leur place également. On n’a donc pas fanfaronné. Mais on ne doit pas se planquer non plus. On était deuxième. Cette accession, on l’a méritée. » Quel a été votre discours cet été ? « On est un promu. Personnellement, j’ai toujours été confiant sur notre projet. Mais je n’oublie pas que bon nombre d’observateurs nous plaçaient dès le début de saison à la vingtième place. Ou à la dix-neuvième s’ils étaient sympas. Je ne dis pas que nous ne terminerons pas dix-neuvièmes ou vingtièmes. C’est possible, le championnat n’en est qu’au début. Restons vigilants, exigeants surtout. En revanche, je veux que personne n’oublie tout ça. Pendant toute l’intersaison, j’ai préparé tout le monde à souffrir. J’ai répété que ce n’était pas parce qu’on était Lens qu’on allait arriver en L1, que ça allait rouler et qu’on allait se maintenir. En termes de valeur joueurs, au départ, il n’y a aucune équipe dont on peut dire qu’elle est derrière nous… » Quels ont été vos principaux critères au niveau des recrues ? « On devait gagner en puissance et en maîtrise. On s’est donc concentré sur cette colonne vertébrale à consolider. Il y a eu Facundo Medina, Seko Fofana, Gaël Kakuta, Ignatius Ganago… On a aussi cherché des joueurs qui ont de vraies qualités humaines, des hommes de valeur. C’était difficile d’avoir un groupe fait de meilleurs mecs. Ils respectent le club et le montrent dans leur comportement au quotidien. Ils se dépouillent sur le terrain. On voulait aussi des joueurs qui aient du caractère. Ce caractère qui fera que même devant 40 000 spectateurs, quand Bollaert-Delelis sera plein, et qu’il ne faudra pas se cacher pour aller chercher le ballon dans les pieds de l’adversaire, personne ne se cachera… Un joueur comme Medina, on peut lui mettre 50 000 supporters adverses qui le sifflent, quand il faudra arracher un ballon, il ira pour l’arracher ! Loïc Badé aussi a ce truc-là. Il a le mental d’un joueur de très haut niveau. » Vos matchs de préparation ont plutôt été poussifs. Avez-vous eu peur pendant l’intersaison ? « Non. Je savais où on allait. Mais je n’oublie pas les interrogations de l’environnement au moment où Jonathan Clauss ou Ignatius Ganago, par exemple, sont arrivés. À l’heure des réseaux sociaux, tout est décuplé. Je pense aussi que peu connaissaient ces joueurs. On a voulu prendre des éléments qui correspondent à l’ADN du RC Lens, à sa culture. On voulait des joueurs qui y allaient, qui aiment se bagarrer sur un terrain, tout donner, des joueurs besogneux. Parce qu’on est Lens. Partout, j’entends : « On est Lens, on a des valeurs. » À l’ère de la mondialisation, on oublie parfois ce qu’est l’ADN d’un club. On est Lens. Est-ce qu’on est Paris ou Rennes ? Non, on est Lens. » C’est-à-dire ? « On doit rester humble, voilà. Ce n’est pas parce qu’aujourd’hui, on avance petit à petit qu’on doit oublier où on était au départ. Il y a deux mois, tout le monde flippait autour de nous. Il faut donc rééquilibrer les choses. On doit garder notre objectivité. Pour l’instant, tout se passe bien. Mais on sait aussi qu’on va souffrir à un moment donné dans la saison… On a de petits moyens, mais ce qu’on fait on doit bien le faire. Une exigence de tous les jours, on y revient. » Vous évoquez l’ADN du Racing. Que répondez-vous à ceux qui estiment qu’il y a de moins en moins d’anciens du club aujourd’hui à la Gaillette ? « Je ne suis pas d’accord avec ça. Ça dépend ce qu’on entend par anciens. Pour moi, les anciens, ce n’est pas que 1998. J’ai un respect immense pour ce qu’ont fait les joueurs de cette époque. J’ai un immense respect pour Éric Sikora, par exemple, qui est vraiment un super mec. Aujourd’hui, on a Alou Diarra qui est dans le staff de l’équipe première. En National 2, on a Yohan Démont qui est coach. Bosser avec lui est un régal. C’est une grande fierté pour nous de le voir à ce poste-là. Il est bosseur, investi à 100 %. J’adore l’homme et l’entraîneur. On a Vincent Lannoy, fils d’André qui a été un grand gardien du club, qui est préparateur physique en pros. Il est là depuis très longtemps. Je considère Vincent comme un très ancien. Quand on parle culture RC Lens, on parle de ces gens-là aussi. Éric Assadourian est directeur du centre de formation. Il n’a pas été joueur au Racing, c’est vrai. Mais il est déjà passé par ici, à la formation, un secteur où sa compétence est reconnue. On a Olivier Bijotat qui est revenu au club également. Pour moi, l’ADN du club reste un paramètre important. Mais on doit aussi juger des hommes sur leur compétence, leur professionnalisme et leur exigence au quotidien. » Gaëtan Robail, né à Saint-Pol-sur-Ternoise et recrue majeure à l’été 2019, a été prêté à Guingamp… Il est sous contrat jusqu’en 2023. Fait-il encore partie du projet ? « Absolument. Gaëtan est un joueur qui «pue» le football. Il est dans le projet de Lens. Je me suis battu, la saison dernière, pour le faire venir ici. C’est le premier gros dossier que j’ai bouclé ici. Ce ne serait pas cohérent de lui dire l’inverse aujourd’hui. Sans lui, je le dis, on ne serait pas en Ligue 1. C’est quelqu’un qui a eu un état d’esprit incroyable. Ce n’était pas facile : il y avait beaucoup d’attentes autour de lui. Il se faisait insulter sur les réseaux sociaux quand il loupait une occasion… Sur le plan athlétique, statistiques à l’appui, il a réalisé des performances de haut niveau. Il manque parfois de puissance mais c’est quelqu’un qui fournit beaucoup d’efforts. Pour un joueur offensif, il a parcouru régulièrement plus de 12 kilomètres pendant ses matchs… Franck (Haise) et moi adorons Gaëtan. On aime l’homme et le joueur. Mais, dans notre système de jeu actuel, ce n’était pas le bon moment pour lui. Je lui ai vendu un projet quand il a signé ici. C’était de faire remonter son club en L1. Il a adhéré à ce projet et a fait remonter le club. On lui doit donc du respect. » Votre recrue phare, Seko Fofana, n’a joué que 27 minutes jusqu’ici… « Là aussi on va parler de valeurs du club. Sur Seko, je ne suis pas inquiet. C’est une lésion musculaire. Ce n’est pas grave. On ne prend pas de risques et on va le gérer intelligemment. C’est aussi là qu’on doit tous être derrière lui, où l’environnement – les supporters notamment – doit former une famille. Nos valeurs, c’est aussi ça. C’est d’être derrière l’un des nôtres quand il a un petit souci. Ce sera facile de crier partout qu’il est le meilleur quand il reviendra et sera au top. Mais c’est là, maintenant, dans ce petit coup dur qu’on doit être avec lui. Et c’est pareil pour l’équipe. Encore une fois, on aura des moments plus compliqués dans la saison. Mais savoir d’où l’on vient devra nous aider à nous souder encore plus dans la difficulté. » Comment voyez-vous la suite de la saison ? « Il faut continuer de rêver mais dans l’humilité. Le projet sportif se met en place : le projet de jeu et les joueurs qu’on a choisis pour ce système aussi. Ce n’était pas simple. Surtout avec nos moyens. Quand j’entends Claude Puel qui dit, avant de nous affronter, qu’on n’est pas vraiment un promu parce qu’on a mis beaucoup d’argent… C’est bien sûr de la manipulation médiatique d’avant-match. Mais c’est surtout un mensonge. Saint-Étienne a un budget deux fois supérieur au nôtre. On a aussi l’une des quatre plus petites masses salariales de la Ligue 1. Oui, on a fait des investissements. Mais ils rentrent dans notre budget. Je le répète : ne perdons pas de vue qui nous sommes et où on était encore il y a un an. »
  14. Entre Lille et Lens, sur les traces de Gaël Kakuta, l'enfant du Nord La première fois qu'il a vu jouer Gaël Kakuta, Jean-Carl Tonin s'en souvient comme si c'était hier. C'était un samedi d'automne, en 1999, il était responsable du recrutement des jeunes pour le RC Lens et assistait à un match à Wasquehal, quand, soudain, son téléphone a sonné. « C'était Jean-Philippe Cousin, qui travaillait avec moi pour le Racing, raconte Tonin, aujourd'hui directeur sportif du club de Draguignan (Départemental D1), dans le Var. Ce jour-là, Jean-Philippe était sur un match des moins de 8 ans, à Lille-Moulins Carrel. Il m'a dit : "Tu lâches tout, viens vite, il faut que tu voies un gamin." » Tonin, qui a également découvert Raphaël Varane ou Serge Aurier, fait Wasquehal-Lille en quinze minutes et arrive pour le début de la deuxième mi-temps de ce match de poussins, à sept contre sept. « "Regarde, c'est le petit qui joue au milieu", m'a dit Jean-Philippe. Et là, j'ai vu. Sur son premier ballon, Gaël a fait une feinte du regard à droite pour la donner de l'extérieur à gauche : une passe aveugle à 8 ans, vous vous rendez compte ! Sur le deuxième, il a piqué le ballon au-dessus d'un joueur façon sombrero pour le récupérer derrière. Et sur le troisième, il a mis un corner direct », se souvient Tonin. Sa religion est faite, le petit Kakuta doit signer à Lens, et vite. Mais l'un des dirigeants de l'US Lille-Moulins Carrel vers lequel il se tourne après le match l'éconduit. « "Vous ne pouvez pas faire signer Gaël à Lens, il fait déjà des stages réguliers au LOSC", m'a-t-il dit. Je ne pouvais pas en rester là et j'ai fait un truc dont je ne suis pas très fier : j'ai attendu Gaël à la sortie du stade et je lui ai proposé de le raccompagner chez lui », sourit Tonin. En poussin au RC Lens avec Kevin Boli, Anthony Knockaert et Timothée Kolodzejczak. « Gaël était particulier, il se fermait vite, tu sentais que l'absence de son père lui pesait. Cette bande d'amis, c'était capital pour lui. Parfois, tu ne l'entendais pas pendant plusieurs jours d'affilée » Roger Boli, ancien joueur de Lens et père de Kévin Boli, un ami de Kakuta À l'époque, il vivait dans une cité du quartier des Moulins, pas loin du club, avec sa maman, son frère et ses deux soeurs, mais sans leur papa, décédé. C'est l'un de ses oncles qui l'avait emmené au foot, à l'US Lille-Moulins Carrel, où Grégory Daudus a été l'un de ses entraîneurs. « Un pur joyau avec une super mentalité, se souvient son coach en poussins. Il venait seul au club, je n'ai jamais vu personne de sa famille. Et quand je le voyais jouer en bas de chez lui, il était souvent seul, aussi. Le LOSC le connaissait bien, il faisait des stages là-bas et il leur avait mis la misère sur les deux matches, mais Lens a été plus réactif. » En poussins, il joue dans la même équipe que Kolodziejczak et Knockaert Lorsque Tonin a ramené Gaël à sa maman, Colette, infirmière de nuit, le contact est passé tout de suite en ce samedi après-midi, et elle a donné son accord pour que son fils signe au Racing. Très vite, Tonin deviendra un proche de la famille Kakuta. Le phénomène a alors 8 ans et demi et son nouveau club met en place une organisation minutieuse pour l'emmener de Lille à Lens, trois fois par semaine, et le raccompagner après l'entraînement. Dans l'Estafette du Racing, à côté de Gaël, il y a Rémi Burel (actuellement à Hyères, en N2) et Anthony Knockaert (Notthingam Forest, Championship), deux petits Lillois, comme lui. Cette fois, ça y est, l'aventure Sang et Or est lancée. Au fil des années, Kakuta devient « Gabou », et les gamins de cette fameuse génération 91 du Racing vont former une bande pour la vie. Dans cette fratrie, il y a Knockaert, Nassim Boukhelifa (AC Amiens, N3), Bilel Hamdi (Olympiakos Nicosie, Chypre), William Rémy (Legia Varsovie, Pologne) ou Anthony Ihou, qui a arrêté le foot. Il y a surtout Thimothée Kolodziejczak (Saint-Étienne) et Kévin Boli (Samsunspor, Turquie), ses deux meilleurs amis. La plupart de ses week-ends, « Gabou » les passe chez les « Kolo » ou chez les « Boli », à Lens, plutôt que chez lui, à Lille, où sa maman se repose la journée et travaille la nuit. Gaël Kakuta, buteur face aux Verts (2-0, le 3 octobre). (S. Mantey/L'Équipe) « Avec Gaël, on a été ensemble H24, des poussins deuxième année jusqu'à l'équipe de France des moins de 20 ans, se souvient Kolodziejczak. Kévin, lui et moi, on a créé des liens pour la vie. Gaël a toujours été réservé, il observait et il est toujours comme ça. Il ne parlait pas pour rien mais il ne fallait pas l'emmerder sinon il dégainait tout de suite. S'il ne te connaît pas, t'as aucune chance, il ne donne pas sa confiance. » Roger Boli, frère de Basile, papa de Kévin, et joueur mythique de Lens entre 1989 et 1996, n'a pas oublié les week-ends de l'ado Kakuta, chez lui. « J'habitais à côté du stade Bollaert, Kévin et ses copains étaient souvent à la maison, raconte Roger, aujourd'hui agent de joueur. Gaël était particulier, il se fermait vite, tu sentais que l'absence de son père lui pesait. Cette bande d'amis, c'était capital pour lui. Parfois, tu ne l'entendais pas pendant plusieurs jours d'affilée. Il en a connu des choses dans sa vie, Gaël... » « Les Anglais l'ont tué, il est parti trop tôt. Gaël devrait avoir 60 sélections en équipe de France aujourd'hui » Gervais Martel, ancien président de Lens, pointant le départ précoce de Kakuta à Chelsea Tous racontent la même anecdote : partout où il se trouvait, « Gabou » s'endormait au bout de cinq minutes, assis ou couché, en voiture ou dans le train : le sommeil comme refuge, sans doute. « Le décès de son papa a été un traumatisme pour lui, acquiesce Tonin. Mais il a grandi dans une famille extraordinaire, avec une excellente éducation, tirée à quatre épingles. » Passé par les clubs de Sedan et Cluj (Roumanie), notamment, Kévin Boli est toujours en admiration devant le joueur et l'ami. « Au foot, c'était l'un des rares de la région, avec Eden Hazard, à être surclassé. Pour moi, ce n'était pas seulement le meilleur de notre région, c'était le meilleur jeune joueur de France. Sa personnalité ? Timide, respectueux, généreux et très abordable. » Georges Tournay a été l'un des grands entraîneurs et formateurs du RC Lens, dans toutes les catégories, et même de l'équipe première. « À Lens, je l'ai découvert quand il avait 11 ans et j'ai su qu'il se passait un truc, raconte-t-il. Mais c'est à 13 ans qu'il faut les voir ces gamins, quand ils passent au foot à onze. Pour lui, le passage a été facile, il tentait des choses, c'était naturel. J'ai 60 ans et j'ai vu des milliers de jeunes joueurs, mais un seul comme lui. Après, il vivait dans un endroit difficile, sa mère élevait seule ses quatre enfants et il n'avait pas de bons résultats scolaires. Ce n'était pas rigolo cette cité au sud de Lille : quand j'y suis allé pour voir sa maman, j'ai tout compris. » Ainsi était sa vie, dans le Nord-Pas-de-Calais, bercée par le RC Lens et le centre de préformation de Liévin. Et puis à la veille de ses 16 ans, alors qu'il n'était plus très loin d'intégrer l'équipe première du Racing, il a signé à Chelsea. Pour des bonnes ou des mauvaises raisons, bien conseillé ou pas, utilisé, peut-être, mais au mépris de la réglementation sur les transferts de mineurs et au grand désespoir de Gervais Martel. « J'ai attaqué Chelsea (qui a été interdit de recrutement par la suite) à la FIFA et on a récupéré 4 M€, mais on avait perdu Gaël, rappelle l'ancien président lensois. Les Anglais l'ont tué, il est parti trop tôt. Gaël devrait avoir 60 sélections en équipe de France aujourd'hui. » « Il est parti trop tôt mais ça ne se refusait pas ce qu'on lui a donné, il ne faut surtout pas juger, on aurait tous fait pareil » Kévin Boli, son ancien partenaire à Lens Trop tôt, oui, mais avec beaucoup d'argent d'un coup, chez les Blues. « En restant un ou deux ans de plus à Lens, il aurait fini sa formation, athlétique surtout, regrette Tournay. Et puis on aurait aimé le voir jouer à Bollaert avec les pros. Mais il a "sauvé" sa famille et ça n'a pas de prix. » Ses amis aussi l'avaient imaginé bien plus haut. « Gaël aurait dû faire partie du gratin mondial du foot, assure Kévin Boli, mais son destin est celui-là, c'était écrit comme ça. » « C'est mon ami et je me permets : Gaël aurait pu faire une carrière exceptionnelle, estime Kolodziejczak. Il est parti trop tôt mais ça ne se refusait pas ce qu'on lui a donné, il ne faut surtout pas juger, on aurait tous fait pareil. » Il y a dix-huit mois, Kakuta a perdu sa petite soeur, Laura, décédée à 23 ans. Il était temps pour lui de rentrer dans les Hauts-de-France, après avoir connu une dizaine de clubs aux quatre coins du monde. À Amiens d'abord, puis à Lens, enfin. À la maison. Au chaud.
  15. Non mais quand tu commences ton message par "Banza, c'était sûr, la barre était trop haute" alors qu'il a joué à peine 2 matchs et demi en ligue 1 quand tu accumules toutes les minutes... C'est quoi le but du message à part enfoncer un joueur qui fait ses débuts en ligue 1 ? Tu trouves pas que tu l'enterres trop vite ? Après que ça soit pas le genre de joueur qui te fait kiffer, je peux le comprendre mais ça ne reste pas une raison pour dire qu'il n'a pas le niveau ligue 1 2 mois après ses débuts. Peut-être c'est le cas et que le temps te donnera raison, peut-être qu'il finira la saison avec un nombre de buts tout à fait correct, peut-être il finira même la saison avec 15 buts et mettra plus un pied devant l'autre les 2 saisons suivantes et finira en ligue 2 voir national... en vrai, à l'instant T, on en sait rien et le foot nous a tellement montré d'exemples que ça peut aller très vite dans un sens comme dans un autre. Bien évidemment la différence se fait sentir, tu cites 2 joueurs en pleine bourre avec un maximum de confiance et des stats qui parlent pour eux, ce qui est tout le contraire de Jean/Banza. Pareil pour la différence de niveau entre Kakuta/Mauricio, on le savait et c'est le lot de beaucoup d'équipes où y'a parfois un écart entre titulaires et remplaçants (bien évidemment, plus l'équipe a des moyens financiers, plus l'écart entre le niveaux des joueurs se réduit). Le jour où quand Kakuta sort, c'est Reine-Adelaide qui le remplace, c'est que le club aura vraiment pris du galon. Maintenant c'est aussi grâce au Mauricio, Banza et compagnie qu'on est remonté en ligue 1, et on a vu que ce n'était pas une mission facile (l'AJA qui entame sa 9éme saison d'affilée dans l'antichambre, Sochaux sa 7éme) et sans eux, on aurait pas Kakuta et compagnie aujourd'hui car je pense qu'aucune de nos recrues actuelles seraient venu en ligue 2. Après un départ canon du club comme tu dis, à la place de lire "untel pas niveau ligue 1, lui il est au max, lui erreur de casting, lui il est rincé", j'aurai préféré lire "j'espère qu'untel va ouvrir son compteur but et retrouver sa confiance" , "j'espère qu'il fera une prestation aboutie" etc car c'est dans l’intérêt de notre club avant tout, d'avoir un maximum de joueurs en confiance qui pourront palier d'éventuels passages à vide d'un Kakuta, Ganago, ou même d'un Bade/Medina en défense aussi, en vrai ça marche pour tous les postes. Après c'est qu'une question de point de vue/façon de penser et c'est tout à fait normal qu'on pense pas tous pareil. ?
  16. Non mais surtout que le raisonnement de base est mauvais, dire "Banza, on savait tous que la marche était trop haute" après SEULEMENT 6 matchs de ligue 1 dont 1 comme titulaire, et en tout 220 minutes joués (= 2 matchs et 1 mi-temps), car il a pas marqué, il est fini, on fait une croix dessus ? On peut pas au minimum attendre la mi-saison voir la fin pour juger ce qu'il aura apporter sur le terrain et ses stats ? Franchement, faut arrêter les jeux vidéos car des joueurs expérimentés avec des CV énormes qui marquent pas, y'en a des tonnes mais on va enfoncer un Banza ? Dario Benedetto (OM), Moussa Dembele (OL) toujours pas de buts... et dans les "jeunes et moins expérimentés" David du losc acheté 27 millions et avec le double de minutes de Banza toujours rien, Kadewere 12 millions toujours pas de buts alors qu'il a roulé sur la ligue 2 l'année dernière avec 20 buts en 24 matchs... Corentin Jean à 1 million c'est une erreur ? Il est juste l'un des joueurs les plus expérimentés en ligue 1 dans notre groupe. Je comprends pas comment on peut cracher dessus, surtout pour au final dire qu'on a fait partir Robail, le seul à avoir une marge de manœuvre en ligue 1 alors qu'il a 26 ans, il n'y a jamais mis les pieds en ligue 1, il a moins de matchs en pro que quasi tous nos attaquants à l'exception de Ganago mais il n'a que 21 ans, il a connu que la ligue 2 et la CFA... et ce qu'il a montré chez nous l'année dernière, désolé, mais c'était pas extraordinaire pour pleurer son départ ou le mettre au dessus de nos attaquants actuels. Ce que fait le groupe depuis le début de saison est incroyable et y'en a déjà qui cherchent des joueurs à pointer du doigt après 6 matchs joués sur 38 ? Vraiment ? Alors qu'on remonte 3/4 mois en arrière, même un but de la fesse de Gradit ou un CSC de l'équipe adverse, tout le monde l'aurait pris volontiers car qui dit marquer des buts, dit avoir es chances de prendre 1 ou 3 points pour le maintien.
  17. Avec 13 points sur 18 possibles, Lens a réussi son entame de Championnat. Le mercato estival 2020 a bonifié le ciment social du groupe. Et apporté le supplément technique et physique que réclamait la première division. La troisième place en L1 valide sur le terrain presque tous les choix de recrutement. Car six des huit recrues (*) - Corentin Jean était de l'aventure 2019-2020, Farinez est doublure de Leca dans les buts - concilient aujourd'hui performances, titularisations et parfaite intégration. (*) Badé, Medina, Clauss, Sylla, Kakuta et Ganago. « Notre travail était compliquée car nous ne savions pas dans quelle division nous serions, rappelle Florent Ghisolfi, le coordinateur sportif. Et parce que tout s'est arrêté avec le confinement. Comme les autres clubs, nous avions multiplié les observations avec nos moyens (deux scouts à plein temps sur le terrain en plus de Ghisolfi, plus deux personnes chargées du visionnage). Avec des cibles particulières, comme le Championnat argentin, par exemple. On a aussi sélectionné géographiquement par nécessité.» Clauss, une cible de longue date A l'été 2019, Lens n'était pas parvenu à recruter le latéral de Bielefeld (ex-D2 allemande) Jonathan Clauss. Le lien tissé n'a pas été rompu. L'accord formel du joueur est intervenu avant l'arrêt des Championnats français fin avril. « Il correspond exactement au poste tel que nous l'avions défini, poursuit Ghisolfi, c'est-à-dire un latéral (droit) qui va vers l'avant dans tous ses gestes (conduite de balle, pressing, duels, passes, déplacements, centres). Avec une capacité à répéter les efforts et à amener volume et intensité. » Dans un système adossé a une défense à trois à plat (3-4-3 ou 3-4-1-2), défini la saison passée, l'Alsacien est une arme offensive de projection et de débordement. Au même titre qu'Issiaga Sylla, flanc gauche, prêté avec option par Toulouse. Son arrivée est plus tardive: l'équipe était déjà pourvue en piston gauche avec Massadio Haïdara et le plus polyvalent Ismaël Boura. « On a partagé une vision claire avec l'entraîneur » La priorité du recrutement était de former une colonne vertébrale solide avec un ou deux défenseurs centraux, un milieu défensif, un meneur de jeu et un attaquant de profondeur. « Quand on a su que nous montions en L1, on a partagé une vision claire avec l'entraîneur et les dirigeants de ce que nous voulions améliorer, raconte Ghisolfi. Nos moyens n'étaient pas extensibles (20 M€ de recrutement pour 19,4 dépensés). On ne pouvait pas mettre tous nos oeufs dans le même panier et il fallait anticiper sur les fins de contrat. » Lens a convaincu le défenseur Loïc Badé de parapher son premier contrat malgré la concurrence de Saint-Etienne et de Nice quand l'entraîneur Franck Haise, qui s'est investi sur le recrutement dès l'entame du confinement, s'est entretenu avec le joueur. Le club artésien a parié que sa personnalité, sa taille, son calme dans les relances, son jeu de tête, lui permettraient de s'imposer dans l'élite pour aider au maintien. Il a ensuite mis les moyens (3,6 M€ pour 80ù des droits du joueur) et la patience nécessaire pour débaucher le gaucher Facundo Medina de Tallares (ARG), après sept semaines de négociations, convaincu par sa grinta, ses relances au sol et sa capacité à gagner les duels ou à entraîner ses partenaires au combat. « Je suis fier qu'il soit chez nous parce qu'un recrutement, c'est aussi une aventure humaine, avoue Ghisolfi. C'est un garçon plein de vie qui s'est fondu dans le groupe dès le premier jour. Et qui connaît déjà sa première convocation en équipe nationale A. » Ganago, l'opportunité La cellule de recrutement a surveillé la complémentarité des entrants. Gaël Kakuta avait le choix intuitif de quitter la Somme pour privilégier un retour dans son club formateur. Quand Nice a mis Ignatius Ganago sur le marché, l'évidence s'est dessinée. L'International camerounais, forfait pour le prochain derby, ne figurait pas dans la liste initiale des cinq attaquants à enrôler. Il met aujourd'hui tout le monde d'accord par sa puissance, sa vitesse et sa marge de progression. Les deux joueurs ont inscrit huit des dix buts artésiens. Reste le cas Seko Fofana, plus gros investissement estival (8,5 M€ hors bonus). Blessé musculairement (stade 2) à une cuisse, le milieu relayeur, qui doit impulser les changements de rythme, n'a disputé que 27 minutes contre Bordeaux (2-1, 19 septembre). « Si on m'avait dit qu'il serait indisponible les deux premiers mois, je l'aurais fait quand même, affirme Ghisolfi. On lui laisse le temps de revenir à 100%. Il va incarner notre projet. »
  18. J'ai vu ça, entre les supporters lensois qui encensent Leca et supplient le club de le laisser titulaire alors que si Farinez aurait fait une énorme mi-temps/match, ça aurait demandé à ce qu'on lui donne sa chance (la fameuse culture de l'instant T), les supporters vénézuéliens qui nous insultent en disant qu'on l'a rendu mauvais ? Après je comprends plus les supporters du Vénézuela, c'est un match de qualifications de leur équipe nationale avec leur gardien titulaire en manque de compétition et apparemment moins bon par rapport à d'habitude. De notre côté, c'est notre gardien numéro 2 cette année qui sauf blessure/suspension voir un Leca qui se prend valise sur valise, il jouera seulement la coupe de France. Après c'est le rôle de gardien qui reste ingrat, il peut faire 20 arrêts dans le match, si sur les 3 premiers, il se prend 3 buts le match est plié quoi.
  19. Ouais le 3éme il peut clairement mieux faire, après il est pas aidé du tout même si bon ils font ce qu'ils peuvent quand tu vois le trio d'attaque et y'a Falcao sur le banc... après c'est soi tu es en état de grâce, tu enchaines les arrêts et aide ton équipe à prendre miraculeusement le nul ou perd d'un but ou 2, soit tu prends l'eau avec ton équipe... et bon ce soir c'est clairement l'option 2.
  20. Le ballon arrive vite et il est placé dans la bonne zone... 2-0... défensivement c'est le néant
  21. Farinez est bien titulaire et il aura fort à faire avec James Rodriguez/Zapata/Muriel/Cuadrado en face ?
  22. Da Costa est également en sélection jusqu'au 11 octobre ? https://www.fpf.pt/News/Todas-as-notícias/Notícia/news/27565
  23. Il y a pas encore de communiqué sur la durée de son indisponibilité mais Haise l'a dit sur Telefoot tout à l'heure qu'il manquerait plusieurs semaines....
  24. C'est une bonne nouvelle, on remplace Robail qui semblait ne pas avoir la confiance de Haise par Kalimuendo, on a maintenant 5 attaquants dans la rotation sachant que le coach en utilise 4 par matchs, au moins on a de quoi palier une blessure/suspension et nos attaquants se dépouilleront plus pour avoir la chance de jouer car avec Robail sur le banc, Banza/Jean ou autre duo de remplaçants, ils étaient sûr de rentrer à chaque match.
  25. On peut ajouter Seko Fofana à la liste des abonnements insta... Bref, c'est question d'heures, de minutes ou de secondes pour Kalimuendo à Lens?
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