J'adore cette partie de l'explication de la FFF : Patrice Evra «a fait valoir que, si le moment était effectivement mal choisi, et l’emploi de certains mots déplacé, l’acharnement dont il estimait être la victime de la part des personnes visées était une réalité dont avait eu à souffrir sa famille.Ce qui pouvait expliquer, à défaut de le justifier, qu’il ait fini par craquer au terme d’une longue interview habilement menée pour le pousser à bout et le faire sortir de ses gonds.»
C'est de la faute aux méchants journalistes qui l'ont poussé à dire tout ça, ben voyons... Alors que Evra dit à un moment au journaliste "non non, on coupe pas". Et surtout qu'il a insisté fortement pour que l'interview soit diffusée absolument et sans rien couper même...