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  1. Cricri

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    Des suites passe encore quand les jeux sont bien,mais des Mario a toutes les sauces,Mario fait du ski,Mario prend Luigi dans les bois,Mario........ encore Mario,ça gave a force,ça va ce n'est que sur la Wii :thumbsup:
  2. Cricri

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    http://www.videogamesplus.ca/product_info.php?currency=EUR&osCsid=2fdd052e91bf9d0b9cc66e58f6a33297&products_id=16512 site canadien,eux il faut payer en Paypal parce que leur systéme pas CB par en couille,mais livré en 5-6 jours,je n'ai pas vérifier si d'autre coffret été présent :thumbsup: Comme quoi un nom fait vendre :rolleyes:
  3. Cricri

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    le moins cher que j'ai trouvé en Angleterre avec 2,95 Livres de FDP :thumbsup: http://www.game.co.uk/Games/PlayStation-3/NBA-2K10/~r343518/ Les Madden ne sont pas en français,sinon tu les trouves facilement sur les sites US et UK :thumbsup:
  4. Cricri

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    Normalement il devrait ce lancé quand tu fous ta galette dans la fente(de ta PS3)
  5. Cricri

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    Un patch pour Assassin's Creed II Un bug irritant vous gâche la vie dans Assassin's Creed II ? Ubisoft lance un patch purificateur. Ubisoft vient de lancer un patch pour purifier Assassin's Creed II des anomalies que la communauté a fait remonter à l'éditeur. Disponible dès maintenant sur PlayStation 3 et vendredi prochain sur Xbox 360, cette mise à jour est donc supposée éradiquer les bugs et autres plantages listés sur cette page par le manager de communauté d'Ubisoft. Parce que marcher en l'air ou traverser le décor en plein combat, c'est peut-être rigolo mais c'est quand même pas le top de la discrétion pour un assassin.
  6. Cricri

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    [JEUX] Famitsu note FFXIII! Le célèbre magazine Famitsu est un véritable baromètre pour bon nombre de joueurs qui attendent un jeu en particulier. C'est donc au tour de Final Fantasy XIII de passer l'épreuve du test qui s'en sort plus qu'honorablement puisque le titre de Square-Enix s'offre un très joli 39/40. Un atout supplémentaire qui ne fera que conforter les japonais dans leur choix de s'offrir FFXIII dans un peu plus d'une semaine!!
  7. Cricri

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    Pour les jeux d'aventure,il y a le premier Uncharted qui est en Platinium,Tomb Raider,Prototype est bourrin mais bien jouissif(un peu répétitif comme tout ces styles de jeux),dans le méme style que Prototype il y a Infamous qui vient de passer en platinium :thumbsup:
  8. Cricri

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    tu pencherais pour quel style de jeu?
  9. Cricri

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    PS3 : la manette non-rechargeable selon Yahoo Si vous croyiez avoir tout vu et tout entendu sur les jeux vidéo… Vous commencez à stresser à l’approche des repas de famille de fin d’année ? Normal, quand on n’a pas d’anecdotes en stock pour clouer les cousins champions toutes catégories dans le domaine, il y a de quoi. Mais cette année sera différente. Cette fois, c’est vous qui les épaterez avec votre histoire à dormir debout, ce grâce à Destructoid qui a déniché une perle sur Yahoo. Alors qu’une rédactrice du géant de l’Internet s’est proposée de faire un article au vitriol sur divers produits électroniques, elle s’est arrêtée quelques instants sur la PS3. Et voici ce qu’elle dit : « Ce n’est que du fun et du jeu jusqu’à ce que la batterie meurt. Contrairement à ses concurrentes, qui utilisent des piles AA remplaçables, la manette sans fil PS3 est complètement fermée. Quand la batterie nous quitte, les clients de Sony doivent débourser 55$ dans une nouvelle manette. » Collector. Mais essayons d'expliquer rationnellement cette réflexion incroyable. Il y a trois possibilités : - Soit elle est tombée sur une manette défectueuse et elle se plaignait du fait que la batterie ne soit pas remplaçable. Mais dans ce cas-là, elle aurait tout simplement contacté le service client. - Soit à chaque fois qu'elle achète un produit qui marche sur batterie, elle panique à l'idée que, 5 ans plus tard, la batterie ne fonctionne plus. Ce qui, vous l'accorderez, ne tient pas vraiment la route. - Soit elle n'a juste pas compris que la manette se rechargeait. Et il est malheureusement à craindre que ce soit la bonne réponse... :lol2: :lol2: En attendant, les cousins seront bien scotchés
  10. Cricri

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    Insolite - Final Fantasy XIII : s'habiller comme Serah a un prix Un internaute japonais s'est amusé à recréer la tenue de Serah à partir de vêtements trouvés dans le commerce. À quelques jours de sa sortie sur l'archipel nippon, Final Fantasy XIII fait couler beaucoup d'encre, tout comme GTA IV ou Killzone 2 à l'époque, pour ne citer qu'eux. Et c'est aujourd'hui dans un article assez insolite que le RPG développé et édité par Square Enix fait à nouveau parler de lui. En effet, un internaute japonais s'est amusé à recréer la tenue de Serah Farron, sœur cadette de Lightning et petite amie de Snow, et ceci grâce au site du revendeur Shimamura. Après avoir soigneusement choisi tous les éléments, et au meilleur prix, du costume du personnage, le montant atteint les 9 350 ¥, soit environ 70,14 €, c'est-à-dire le prix d'un jeu dans nos étalages. Une jolie somme pour un cosplay. Pour finir, rappelons juste que Final Fantasy XIII sortira le 17 décembre dans les magasins japonais, et en exclusivité sur PlayStation 3. Quant à la sortie en-dehors de la contrée du Soleil Levant, elle est programmée pour le 9 mars 2010 sur PS3 et Xbox 360.
  11. Cricri

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    Electronic Arts officialise Dead Space 2 Nous parlions de Dead Space 2 pas plus tard que ce matin, mais le projet était encore vaguement hypothétique, puisque EA n'avait jamais daigné officialiser la chose. Eh bien ça y est, l'éditeur vient de publier un communiqué "annonçant" le jeu. Surprise ! Bref, le texte en question nous confirme donc que le jeu est en développement chez Visceral Games, sur PS3, 360 et PC. On incarnera à nouveau Isaac Clarke opposé à une horde de vilains Nécromorphes. Il devrait d'ailleurs profiter de quelques nouveaux joujoux pour les mettre en pièces. A part ça, pas de date de sortie ni d'image à se mettre sous la dent
  12. Cricri

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    A partir d'aujourd'hui et jusqu'au 16 Décembre: http://online.carrefour.fr/Produits/console/defaut?Prod=C00005938&CC={2B903C5D-D1AE-41EF-811C-4AE07580770F}
  13. Cricri

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    Attend mon Poulet: [Rumeur] Mortal Kombat 9 sous le sapin en 2010? Après l'annonce d'un retour aux sources sanglantes de la série, Mortal Kombat 9 revient nous mettre une baffe avec une estimation de date de sortie. En effet, des bruits de couloir persistants affirment que le titre sera dispo à Noël l'an prochain, histoire d'ajouter un peu de rouge (sang) aux couleurs des fêtes de fin d'année. Même s'il ne s'agit que d'une rumeur, l'info correspond au planning esquissé par Ed Boon, créateur de la franchise, qui, à la mi-juin, nous donnait rendez-vous dans plus d'un an. › Source : Trmk
  14. Cricri

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    3éme trimestre 2010 mais pour moi ça sera début 2011 :wallbash: [iNFOS] Les 12 jeux des VGA's 2009 dévoilés? Le site NeoGAF connu pour de nombreuses découvertes vient de découvrir les 12 jeux qui pourraient être dévoilés le 12 décembre prochain aux VGA 2009. En effet, après avoir posté la liste qui va suivre. Les membres du forum on eu l'agréable surprise de voir Keighley, l'animateur de la cérémonie, venir les féliciter de leur rapidité via un post sur le topic en question. Il en a profiter pour rajouter que la liste des révélations ne s'arrêtera surement pas à 12 jeux. En attendant de savoir le fin mot de l'histoire, nous vous laissons donc découvrir la fameuse liste. 2K Games ■Spec Ops (Dubai Shooter) Activision ■Black Lotus Disney Interactive Studios ■TRON Electronic Arts ■Dead Space 2 ■Medal of Honor LucasArts ■New Star Wars Game Microsoft Game Studios ■Halo Reach ■Crackdown 2 THQ ■UFC Undisputed 2010 Ubisoft ■Prince Of Persia: Les Sables Oubliés Warner Bros. Interactive ■F.E.A.R. 3 ou Lord of the Rings RPG 360/PS3
  15. Cricri

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    Resonance of Fate : la date de sortie européenne Définitivement actif aujourd'hui, SEGA Europe Ltd. annonce que le très attendu Resonance of Fate, le dernier RPG du studio Tri-Ace, sera disponible le 26 mars 2010 en Europe. Plongé dans un futur apocalyptique, Resonance of Fate décrit une Terre laissée à l'abandon. Les survivants se sont réfugiés au sein d'une gigantesque tour d'acier qu'ils appellent Bazel, un lieu où la hiérarchie sociale est respectée stricto sensu : l'organisation religieuse dirigée par le Cardinal et la noblesse hantent le sommet de la tour, tandis que les miséreux peuplent les niveaux inférieurs. C'est dans ce contexte inégalitaire que le joueur fera connaissance avec les trois héros de l'aventure, Zaphyr, Vashyron et la frêle "Subject #20", une jeune fille "produite" pour les besoins d'une expérience. Condamnée à vivre 20 ans et pas un jour de plus, l'héroïne a décidé de fuir sa destinée à l'aide de ses compagnons. Resonance of Fate est attendu sur Playstation 3 et Xbox 360. Yakuza 3 annoncé en Europe ! SEGA Europe Ltd. annonce aujourd'hui la sortie en Europe du jeu Yakuza 3 pour le 26 mars 2010. Cette version PAL profitera par ailleurs de l'ensemble du contenu téléchargeable disponible au Japon. Cet épisode est la véritable suite des deux premiers volets disponibles sur PlayStation 2, puisque l'on y retrouvera Kiryû, l'ex-yakuza, devenu le dirigeant d'orphelinat sur l'île d'Okinawa. Le retour au premier plan de la pègre l'obligera à revenir aux affaires, dans un jeu qui s'annonce visuellement superbe. Le système de combat sera nettement plus dynamique qu'auparavant, avec des temps de chargement limités entre la partie exploration et les affrontements. Les conflits incessants, les affrontements avec les clans rivaux, la police et la mafia locale plongeront à nouveau le joueur dans un univers sombre et mystérieux, où seuls les plus forts survivent. Yakuza 3 est attendu en exclusivité sur Playstation 3. Ouch soit il va y avoir du dégat ou plus certainement quelques jeux vont etre reportés :rolleyes: vu le nombre de jeu qui vont sortir en ce début d'année Janvier 2010: -Darksiders : Wrath Of War: 7 Janvier -Army of Two : Le 40ème Jour: 8 Janvier -Bayonetta: 8 Janvier -Vancouver 2010: 15 Janvier -Aliens vs Predator: 19 Janvier Février 2010: -Bioschock 2: 9 Février -Heavy Rain: 10 ou 26 Février(pas encore officiel) -Dante's Inferno: 12 Février -Star Ocean: The Last Hope International: 12 Février Mars 2010: -Battlefield : Bad Company 2: 4 Mars -Final Fantasy XIII: 9 Mars -Résident Evil: Gold Edition: 12 Mars -Just Cause 2: 26 Mars -Prison Break: 26 Mars -Yakusa 3: 26 Mars -Resonance of Fate: 26 Mars -God Of War III: Mars ça promet
  16. Cricri

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    Ouais il y a pas mal de démos dispo mais pas mal de gros jeux ne sont pas présent aussi :wallbash: mais bon tu as de quoi faire,la derniére démo en date est celle ce Bayonetta :thumbsup:
  17. Cricri

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    Take Two nous parle de Mafia II et Max Payne 3 Le rapport financier de Take Two Interactive annonce une mauvaise nouvelle pour les fans de Max Payne. Take Two Interactive, reconnue pour proposer des licences de très grande qualité (Bioshock, Mafia) vient de publier son rapport financier pour l'année fiscale 2009. Si Mafia II se retrouve prêt pour sortir début 2010, Max Payne 3 reste le grand absent de la liste : la sortie du titre est donc logiquement repoussée à août 2010 ou plus tard encore durant l'année fiscale 2010. Par ailleurs, Bioshock 2 semble toujours confirmé pour le 9 février 2010 avec Red Dead : Redemption qui se contente du 27 avril 2010. "Take Two possède un gros nombre de titres dont le lancement est prévu pour 2010, incluant Bioshock2, Mafia II, Max Payne 3, Red Dead : Redemtpion etc." peut-on lire dans le rapport. Par ailleurs, un mystérieux titre AAA attend d'être dévoilé au public, aucune information concernant ce développement ne filtrant au grand jour. Tandis que nous attendions Max Payne 3 pour cet hiver avant d'être une première fois reporté à un vague début 2010, c'est désormais d'un "vague 2010" tout court dont doivent se contenter les fans de la licence, dont la patience risque de s'amenuiser au fil des mois. source:ps3gen
  18. Cricri

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    ça va t'interessé Adjo :whistling: The Saboteur : Un 'Nude DLC' disponible aujourd'hui seulement Pandemic Studio dévoile un contenu aguicheur pour la sortie de The Saboteur. Que les pervers courent à la caisse, ce DLC est disponible avec le jeu ! The Saboteur n'a cessé d'attirer l'œil des joueurs en soumettant une promotion basée sur l'univers des quartiers chauds de Paris des années 40. Perversité des développeurs oblige, les premières copies du jeu seront livrées avec un code permettant de débloquer gratuitement un premier DLC peu commun. Si les esprits mal tournés doivent impérativement passer par des moyens peu recommandables pour se rincer l'œil devant une Lara Croft en tenue d'Eve ou devant des danseuses de Gran Theft Auto qui exécutent des strip-teases intégraux, Pandemic Studio propose un moyen direct d'enlever ces vêtements qui gênent le regard de certains joueurs. En effet, ce contenu additionnel, poétiquement intitulé "The Midgnight Show", rajoute dans le menu du jeu une option permettant de dénuder les demoiselles de cabaret, en plus d'ajouter de nouveaux clichés de Paris et un mini jeu exclusif. Pour ceux qui souhaitent absolument découvrir ce pack, dont l'intérêt reste fort douteux, le contenu sera déblocable depuis le PlayStation Store, moyennant 2,99 $. Alors que toutes les polémiques autour de contenu à caractère sexuel passent obligatoirement par la série de Rockstar Games, Pandemic Studio, qui n'existe plus aujourd'hui, semble vouloir narguer ses concurrents en proposant explicitement aux joueurs de "profiter" de tous les aspects graphiques du jeu. The Saboteur est désormais disponible en magasin, le titre d'Electronic Arts va plus loin que Rockstar en mettant cet argument de nudité sous le nez des joueurs. Reste à voir si les ventes s'en ressentiront. Rappelons à juste titre que The Saboteur est déconseillé aux moins de 18 ans et que le système PlayStation 3 dispose d'un contrôle parental fiable et très simple d'utilisation.
  19. Cricri

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    Part 3: http://www.youtube.com/watch?v=euOH3-7NLbw Prometteur :banana:
  20. Cricri

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    3 Vidéos de BRINK l'un des FPS les plus attendu pour l'année 2010: Part 1: http://www.youtube.com/watch?v=tuW3hqMzGAE Part 2: http://www.youtube.com/watch?v=0wd25zYJtLY
  21. Cricri

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    D'aprés pas mal de monde,son ambiance au poil font que l'on oublie quasiment tous ces défauts :thumbsup:
  22. Cricri

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    Non mais d'accord,mais ça donne une idée d'ensemble,d'ailleurs dans la conclusion du test d'Avatar,il le dit bien:Certains joueurs n'en ressortiront pas indemnes, tandis que d'autres ne verront en Avatar qu'un shooter un petit peu trop bancal. :thumbsup: D'ailleurs sur un site de jeu vidéo,Th Saboteur est leur coup de coeur pourtant il lui donne 15 :thumbsup: ,aprés ça dépend si on est pris par l'ambiance que nous procure le jeu,de toute façon ces deux jeux seront testés par mes propres mains dans quelques semaines :banana: Tu as vu l'autre collector de Bioschock que j'ai posté plus haut?
  23. Cricri

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    Je te trouve sévéré Valens,15 c'est une bonne note(ce n'est pas Uncharted mais avec sa personnalité ça peut le faire :thumbsup: ,dit m'en plus si tu y joues avant moi :thumbsup: Moi je le prendrais en import suivant les langues incluses,puisque le jeu en France est censuré donc pas de croix gammé :thumbsup: Test d'Avatar de JV.com: James Cameron's Avatar : The Game On sait tout l'appétit des Hommes, tout de leur insatiable désir de conquête, tout de leur soif de pouvoir et de leur désir d'asservir leurs semblables au nom de la "civilisation". C'est un fait, l'Histoire humaine s'est écrite avec le sang de peuples oubliés. Avec ceci en tête, on imagine sans peine que l'humanité, devenue maîtresse des étoiles, ne changera pas de nature et poursuivra, comme elle l'a toujours fait, son rôle tragique de gigantesque bulldozer. C'est là tout le propos d'Avatar, le dernier film de James Cameron, et également de son adaptation vidéoludique, confiée aux bons soins d'Ubisoft. Jeu d'action grand public, Avatar met en scène le combat d'une race indigène pour défendre sa culture face aux vues expansionnistes de l'Homme et de sa technologie. C'est dans la peau du soldat Ryder, "spécialiste des signaux", que vous serez invité à vivre cette étrange aventure. Une aventure qui se veut d'ailleurs distincte de la trame du film, même si elle en reprend évidemment les bases. Affecté sur la lointaine lune Pandora, vous avez été choisi parmi des milliers d'autres pour participer au programme Avatar. L'idée consiste à vous faire contrôler une créature hybride, conçue à partir de votre propre ADN et de celui de l'espèce intelligente locale : les Na'vis. Les avatars sont destinés à évoluer avec plus de facilité sur un monde dont la faune et la flore s'avèrent incroyablement hostiles. Il faut dire que les entrailles de Pandora renferment un minerai aux propriétés extraordinaires qui suscite les convoitises des leaders humains. L'utilisation des avatars permet en outre de se rapprocher des singuliers Na'vis et de tenter de comprendre la nature du lien quasi magique qui les unissent avec leur planète. L'ethnologie ici, n'est plus qu'un outil de plus pour assujettir les indigènes et exploiter Pandora sans la moindre entrave. Les Na'vis, peuple tribal ancré dans la tradition et le respect de la nature, se voient peu à peu déposséder de leurs terres au nom du "progrès". Dans ce contexte, le conflit paraît bien sûr inévitable. Avatar cherche donc ainsi à nous faire vivre la lutte d'un monde, d'un écosystème entier, contre un envahisseur extérieur soutenu par une redoutable technologie. Le thème de l'arc contre le fusil ou plus clairement, celui de la nature contre la machine, joue à plein. Dans ces conditions, on ne peut que regretter que la mise en scène soit aussi convenue et aussi maladroite, à l'image de la séquence où l'on devra finalement choisir son camp. En effet, c'est après une petite heure de jeu et quelques missions basiques destinées à vous inculquer les bases du gameplay (en tant que soldat de base ou en tant qu'avatar) que vous devrez opter pour l'une des deux factions, et ainsi accéder à l'une des deux campagnes disponibles. Le jeu a tout de même le bon goût d'opérer une petite sauvegarde automatique supplémentaire, histoire de permettre au joueur de s'attaquer à l'autre campagne quand il le souhaitera. Il ne s'agit pas là d'une simple entourloupe commerciale car les deux aventures sont bel et bien distinctes. Elles offrent des missions et un gameplay réellement différents, en dépit de quelques environnements communs. Chaque branche pourra d'ailleurs être terminée en 6 ou 7 heures, ce qui confère au titre une durée de vie plus que raisonnable. En choisissant de participer au "xénocide" des Na'vis aux côtés des humains, vous traverserez une aventure assez similaire à celle proposée par un certain Lost Planet, mais en version light. En tant que soldat, vous devrez accomplir toute une tripotée de missions assez semblables qui consistent essentiellement à tout éradiquer sur votre passage. Il faudra tout d'abord vous coltiner les Na'vis eux-mêmes qui compensent largement leur équipement rudimentaire par une force herculéenne, une vitesse démoniaque et une capacité à se fondre dans l'environnement de Pandora. Mais les grands aliens à la peau bleue ne seront pas les seuls à vouloir votre mort. On comptera ainsi sur des plantes carnivores capables de projeter un gaz toxique, des bulbes artilleurs, des mines végétales ainsi que sur des loups-vipères aussi fragiles que hargneux. Occasionnellement, vous devrez même fricoter avec quelques spécimens hypertrophiés de la faune, comme ce sympathique titanosaure qui ne demandait pourtant qu'à vivre tranquillement sa vie dans son coin de forêt. Pour parvenir à pulvériser tout ce joli petit monde, vous disposerez bien sûr d'une bonne petite panoplie d'armes bien cradingues : un fusil d'assaut, deux pistolets, une mitrailleuse à clous, un lance-grenades et un lance-flammes. Chaque victime ou mission terminée vous permettra de grappiller de l'expérience et donc de voir votre matos s'améliorer automatiquement. Le tout s'accompagne en outre de "talents", des pouvoirs particuliers à sélectionner préalablement dans le menu et qui vous conféreront de précieux avantages : invisibilité, défense ou dommages accrus, vitesse amplifiée, possibilité de générer une onde de choc pour repousser les ennemis proches ou même capacité à solliciter un puissant tir d'artillerie. Pour terminer, notre fier guerrier humain usera régulièrement de quelques véhicules, comme des buggies, des hovercrafts, des méchas, des rampes de missiles mobiles et même des hélicoptères futuristes. Manque de bol, la plupart des engins présents dans Avatar sont de véritables horreurs à piloter... C'est d'autant plus dommage qu'à pied, les fusillades s'avèrent très réussies, en dépit d'une IA perfectible et d'un manque de challenge évident. On les traversera d'ailleurs en enchaînant les roulades en changeant souvent d'arme pour s'adapter à l'ennemi du moment. Du côté des Na'vis, l'approche n'est pas tout à fait la même. Si le soft conserve bien évidemment son aspect de shooter grand public, le fait d'incarner un alien à l'armement primitif donne lieu à des missions qu'on affiliera plus à de la guérilla. Equipé d'un arc, d'une unique arme moderne avec un stock limité de munitions, et de lames ou de massues, on tentera le plus souvent d'éviter les confrontations directes avec les troupes humaines. On reposera alors beaucoup plus sur les différents "talents" disponibles, talents qui curieusement, correspondent quasiment trait pour trait à ceux des humains. On profitera tout de même de quelques petites spécificités, comme la possibilité d'invoquer un loup-vipère qui se fera un plaisir de sauter à la gorge de l'envahisseur. Planqué derrière un gigantesque tronc d'arbre, on observera les marines de loin avant de glisser dans leur dos, invisible et mortel. Il ne suffira alors plus qu'à déclencher une pluie de coups pour voir les frêles humains s'effondrer. L'arc que nous évoquions plus haut se montre également plaisant à utiliser. Son maniement se révèle assez intuitif, puisque soutenu par un système de lock semi-automatique efficace. On pourra aussi choisir de décocher rapidement ses flèches dans la direction de l'ennemi ou au contraire, de se concentrer une seconde pour gagner en précision et en efficacité. Les étranges aliens pourront également compter sur quelques bestioles locales pour raccourcir leurs trajets, on pense notamment à ces curieux chevaux et surtout aux banshees, dragons volants aussi impraticables que les hélicos de l'autre camp. La campagne Na'vi reste néanmoins plaisante à parcourir, même si sa structure vous semblera un poil en deçà de celle des humains, qui déjà, ne brille pas par sa variété. Bref, si toutes ces idées font d'Avatar un titre fort sympathique, quoique perfectible, ce qu'on retiendra avant toute autre chose, c'est sans conteste la grande beauté de Pandora. La planète est un pur poème de verdure, de lianes et de branches enchevêtrées. Au détour d'un chemin, on se prend parfois à observer une sublime cascade ou quelque formation rocheuse. Les couleurs sont vives, peut-être même trop diront certains, mais l'impression d'évoluer dans un tout autre monde est saisissante. Et si on aurait pu craindre un certain manque de variété, vous pouvez d'ores et déjà être rassuré : les développeurs ont conçu de vastes décors variés à explorer librement, ou presque. Des superbes camps Na'vis, perchés entre des falaises sur des rochers en suspension dans les airs, on se perdra volontiers dans les méandres de petits cours d'eau, avant de tomber sur des zones meurtries par les activités humaines, véritables verrues sur le visage de Pandora. Hélas cette débauche de verdure a un prix, et ce sont les versions consoles qui paient l'addition. Sur ces machines, Avatar souffre en effet de sérieux problèmes de framerate qui risquent fort de gâcher le plaisir de l'exploration à un bon nombre de joueurs. L'ultime reproche que nous ferons au soft tient à son multijoueur, qui franchement, paraît totalement accessoire. Peu de cartes, une poignée de modes classiques et un système de matchmaking obligatoire qui empêche le joueur de sélectionner précisément ses paramètres. Dommage, car dans le fond, les quelques parties auxquelles nous avons pu participer ne manquaient pas de charme. Jouable à 16, le multi fait évidemment s'affronter les deux factions. Les humains tenteront toujours de dégommer les aliens de loin et compenseront leur relative fragilité et leur lenteur en usant de buggys et de méchas. Les Na'vis, au contraire, feront tout pour dépecer leurs adversaires en combat rapproché. Le mix fonctionne convenablement mais manque un peu de profondeur. Un constat qui finalement, pourrait presque s'appliquer au jeu dans son ensemble. Avatar : The Game apparaît en effet comme une adaptation attachante, souvent prenante, mais qui aurait incontestablement gagné à être davantage peaufinée. Mais que voulez-vous, la sortie du film approche à grands pas, et le soft se devait d'atterrir dans les rayons à cette période... Les notes: Graphismes 16/20 Avatar donne vie à un monde unique, où une généreuse végétation semble constamment jouer des coudes pour obtenir quelques gouttes de soleil. Cette exubérance est un véritable régal pour les yeux. Tout semble naturel sur Pandora et la planète nous offre très souvent de sublimes visions à travers ses cascades et ses ruisseaux clapotants. Hélas, sur consoles, tout cela se paie par de méchantes saccades, parfois un petit peu trop envahissantes. On regrettera également la rigidité de certaines animations. Jouabilité 14/20 Les deux campagnes offrent de sympathiques variations de gameplay, mais leur structure respective reste trop convenue et linéaire. L'impression de liberté se dissipe effectivement bien trop vite. On prendra néanmoins plaisir à contrôler notre soldat humain ou notre fier guerrier Na'vi lors de séquences d'action rondement menées et calibrées pour un large public. Durée de vie 14/20 Comptez environ 6 ou 7 heures pour terminer chacune des deux campagnes d'Avatar, un petit peu plus si vous escomptez remplir tous les défis propres à chaque zone. Ajoutons à cela un mini-jeu assez plaisant calqué sur le principe de Risk et un multijoueur sympatoche mais maigrichon et on obtient quelque chose de tout à fait convenable pour une adaptation de film. Bande son 15/20 L'ambiance sonore est très réussie. La forêt "vit" littéralement et multiplie les petits bruits qui nous parviennent assourdis par la végétation et les musiques soutiennent convenablement l'action. Les doublages français en revanche donnent un petit trop dans le caricatural et le surjoué. Scénario 11/20 Avatar nous offre une histoire distincte de celle du film mais s'évertue lui aussi à mettre en scène le terrible conflit entre les Na'vis et les Hommes, entre la Nature et la Technologie. Si ses scènes d'action parviennent à donner le ton, ses cinématiques sombrent malheureusement dans le quelconque. Maladroite au possible, l'histoire parvient parfois à relever la tête pour replonger aussitôt à la réplique suivante. Dommage. Note Générale 15/20 Avatar a deux visages, à l'image du conflit qu'il met en scène. Le bébé d'Ubisoft peut être à la fois envoûtant et terriblement commun. De ses deux campagnes linéaires au déroulement convenu, on retiendra des fusillades intenses, calibrées pour un large public. La plus grande force du jeu réside cependant dans sa capacité à donner vie à un monde sublime et enchanteur, imposant et terriblement fragile. Certains joueurs n'en ressortiront pas indemnes, tandis que d'autres ne verront en Avatar qu'un shooter un petit peu trop bancal.
  24. Cricri

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    Test The Saboteur de JV.com Habituellement, un GTA-like nous emmène plutôt vers une grande mégalopole, ou à la rigueur une île lointaine. The Saboteur choisit pour sa part de nous plonger au coeur de la capitale pour y apprendre à poser des bombes. Avouez qu'on ne voit pas ça tous les jours Se promener dans Paris dans un jeu vidéo n'arrive pas souvent. Bon il y a bien eu Paris Marseille Racing mais il y a des souvenirs douloureux que l'on préfère oublier. Avec The Saboteur, la première chose que nous offre Pandemic c'est un contexte assez inhabituel, le Paris de l'Occupation, aux côtés de la Résistance. Que voilà un sujet délicat dont le contexte a été, comment dire, traité de façon peu orthodoxe. Attention, amoureux de l'Histoire, sachez qu'il faut approcher The Saboteur comme un jeu qui ne se prend pas, mais vraiment pas au sérieux dans sa reconstitution. Vous risquez par exemple d'avoir un sacré choc en découvrant que Paris est tombé aux mains de l'ennemi trois mois seulement après le début de la guerre. Si on comprend assez bien les autres libertés prises par le studio, on cherche toujours à saisir la raison de celle-ci. Clairement, le contexte est passablement loufoque, tout autant que la reproduction de Paris qui, et c'est sans doute finalement assez heureux d'un point de vue ludique, est le fruit des images idéalisées de la capitale, telle qu'on la voit depuis l'étranger. Tous les monuments sont regroupés les uns près des autres, mais fidèlement modélises, tout est empreint d'un glamour très « années folles » et la carte, de fort bonne taille, vous permet de quitter la ville et de rejoindre le Havre, la Picardie ou même la Lorraine en 5 minutes chrono. Voilà qui ne fera aucun mal à la majorité de la population mondiale même si pour le Gaulois de base, il aurait sans doute été plus cohérent de présenter ces contrées comme de simples voisinages ruraux de Paris. On ne cachera pas qu'au début, ces aménagements de convenance peuvent faire doucement rigoler. D'autant qu'il y a d'autres incohérences dans le background du jeu. Comme la bande-son dans laquelle on retrouve des titres datant en fait des années 60 voire plus. Preuve que s'il y a des choses qui s'expliquent par des raisons ludiques, d'autres sont clairement le résultat d'un manque de souci du détail. Puis, on s'habitue, surtout lorsqu'on finit par admettre que The Saboteur joue à fond la carte du cliché assumé. Ici, pas question de lutter contre l'envahisseur. Irlandais d'origine, Sean Devlin mène la vie dure aux Allemands (qui sont tous Nazis dans le jeu, il faut le savoir) pour venger la mort de son camarade Jules et mettre la main sur son responsable. Mais puisque leurs objectifs concordent, le voilà travaillant main dans la main avec la Résistance et les services secrets britanniques. Un antihéros, plongé dans un monde divisé en deux, le bien et le mal. Dans Paris, on trouvera deux environnements. Ceux qui ploient sous la domination allemande nous font adopter un point de vue en noir et blanc où les seules pointes de couleur sont les bannières nazies et le sang. La plupart du temps, il y pleut et le ciel est zébré d'éclairs Esthétiquement, c'est franchement une réussite et une vraie originalité. Les zones libérées au contraire sont colorées, les oiseaux gazouillent, le ciel est bleu, on se croirait dans Notre Dame de Paris de Disney. Un contraste violent, bien manichéen, bien cliché assumé comme on le disait. Votre but est donc évidemment de rendre ses couleurs à la ville. Et retrouver l'assassin de Jules évidemment. Deux objectifs qui s'atteignent en remplissant les missions de guérilla de deux factions du jeu. Vols, assassinats et surtout destruction de dépôts, de transports, de matériel ou de ponts, bref d'objectifs stratégiques clefs qui paralysent l'armée allemande. La bonne surprise de ce GTA-like, c'est que ces missions sont plutôt variées et tentent de laisser une certaine latitude au joueur dans leur accomplissement. Choix des armes, même si la dynamite ne quitte jamais votre poche, et aussi choix de l'approche. Car The Saboteur aimerait bien vous voir jouer la carte de l'infiltration. Pour ce faire, Sean peut approcher discrètement d'un soldat, lui régler son compte et prendre son uniforme, façon Hitman. Ensuite, tout est affaire de distance. Le jeu intègre un système de suspicion assez classique, une jauge qui augmente jusqu'à ce que différents niveaux d'alarme soient déclenchés. Pour s'infiltrer, le costume ne suffit donc pas, il faut veiller à ne pas trop se frotter aux soldats et surtout, choisir son point d'entrée en passant un peu de temps à fouiller les environs. Malheureusement, réussir une infiltration parfaite de bout en bout tient de l'exploit. La plupart du temps on parvient à entrer dans la place, mais les soldats, pourvus d'une IA assez singulière, finissent toujours par vous démasquer sans que l'on comprenne trop pourquoi. Peu à peu, on laisse donc de côté cette option, ou on se contente de l'utiliser pour s'approcher le plus possible avant de sortir les armes et de faire un véritable carnage. Dommage, car si cette dimension avait réellement été poussée, The Saboteur y aurait vraiment gagné. Mais le résultat est finalement bien trop aléatoire. Le plus ennuyeux étant que parfois, en marchant simplement dans la rue sans intention aucune, il n'est pas rare que toute l'armée allemande se mette à vous en vouloir. Dans ces cas-là, une seule solution : fuir. Une fois l'alarme déclenchée et selon son niveau, un périmètre rouge s'affiche sur votre carte, cercle dont il faudra sortir pour semer ses poursuivants. Un classique du genre et surtout, une action que l'on effectuera de très nombreuses fois. Pandemic y a toutefois ajouté une petite subtilité : les points de ripostes. Si vous parvenez à rejoindre un groupe de résistants, vous tendrez une embuscade à l'ennemi et il suffira d'en décimer suffisamment pour les faire fuir. En cas de grosses alertes, la chose peut s'avérer utile, dans la mesure où ce sont carrément des zeppelins qui se lanceront à vos trousses. Puisque l'infiltration est un peu bancale, on se rabat sur la méthode sauvage qui reste sympathique. Dans l'esprit de Mercenaries, du même studio, The Saboteur se pose comme un jeu dans lequel ceux qui aiment tout faire péter vont être servis. Si les missions principales, bien qu'inégales, sont variées et pas déplaisantes, le jeu attend également de vous que vous accomplissiez quelques missions libres. Dans le lot, on retient surtout la destruction de nids de snipers, de hauts-parleurs de propagande, de dépôts de carburant ou de DCA. Ces objectifs sont souvent l'occasion de mettre en œuvre l'agilité de Sean qui, à l'image des héros d'Assassin's Creed aime grimper sur les toits. Bon, on ne cachera pas qu'après avoir joué au titre d'Ubisoft, Sean semble bien rigide dans sa progression d'altitude mais la chose étant rare pour un GTA-like, on l'appréciera à sa juste valeur, même si cette raideur peut parfois se montrer assez crispante. Cette prise de hauteur offre par ailleurs l'opportunité de réaliser quelques actions amusantes, comme s'emparer du canon d'une DCA pour faire un peu de pétard ou faire partir en fumée un zeppelin bien gonflé. De plus, ces petits à-côtés vous permettent de travailler un peu vos compétences et de débloquer certains bonus venant booster vos capacités. Quelques tirs au fusil de snipe vous font gagner en stabilité, l'usage fréquent d'explosifs vous fait gagner en rapidité etc. De prime abord, The Saboteur peut faire une drôle d'impression. Puis on lui pardonne ses défauts qui lui coûtent néanmoins le statut d'incontournable. Son IA pataude, son infiltration bancale forcément décevante, ses approximations diverses, sa technique qui manque de finition, sa grimpette rigide et d'autres pour se prendre au jeu de semer la panique dans un bac à sable glamour et drôle, plein de clichés qui font sourire et d'explosions en tout genre, le tout plongé dans un style graphique maîtrisé. S'il n'est donc pas incontournable, The Saboteur est au moins un GTA-like sympathique et original, et on ne croule pas souvent sous l'originalité. Les notes Graphismes 14/20Esthétiquement, rien à redire, le style graphique est empreint d'une réelle personnalité, l'effet noir et blanc avec pointe de couleur est une réelle originalité. Techniquement en revanche, la moindre prise de hauteur dévoile une distance d'affichage réduite masquée par un pseudo brouillard. Les bugs de collision sont également nombreux et la physique parfois étrange. Jouabilité 14/20 On déplore de nombreux problèmes de caméra, notamment en phase de conduite, une mauvaise gestion des collisions qui peut devenir pénible quand on grimpe et une prise en main globalement moyenne. Mais les possibilités offertes, notamment l'escalade, sont appréciables, le contenu varié et amusant, on parvient donc à passer outre et à finalement passer un bon moment à faire exploser la moitié de Paris. Durée de vie 15/20 La campagne principale est assez solide et on trouve une myriade de bidules à faire exploser. Dommage que le niveau de difficulté ne soit pas un poil plus exigeant. Bande son 13/20 Les thèmes musicaux, même si beaucoup sont anachroniques, sont excellents. En revanche, la bande-son souffre d'un nombre effarant de bugs de mixage, de raccords de dialogues, de volume voire parfois de soubresauts d'anglais chez les passants. Scénario 14/20 Pas d'idéal politique mais une bonne vieille vendetta personnelle dont la trame peut parfois laisser un peu froid. En revanche, le côté caricatural des personnages et des dialogues, à prendre au 28ème degré, a son charme. Note Générale 15/20 Si les premières heures de The Saboteur auront été un tantinet laborieuses, il faut bien admettre que le temps aidant, on en vient à se prendre au jeu. Tout n'est pas parfait et le titre n'est pas un hit interstellaire, pour cela, il lui manque une IA plus finaude et moins fofolle dans ses réactions loufoques, il aurait fallu que l'infiltration soit mieux maîtrisée ou que la technique soit fignolée mais dans le genre bac à sable explosif, il tire son épingle du jeu et on passe un moment bien agréable à errer dans les rues parisiennes bardé de dynamite. The Saboteur est donc un GTA-like sympathique qui tire son charme de sa personnalité pas banale.
  25. Cricri

    Jeux Vidéos

    Bioshock 2 aura aussi une Rapture Edition En complément de l'édition collector récemment dévoilée, Bioshock 2 : Sea of Dreams aura droit à une autre édition moins fournie certes mais tout aussi alléchante. Cette Rapture Edition comprendra en plus du jeu un prometteur artbook de 96 pages. Elle sera uniquement disponible en Europe, Nouvelle-Zélande et Australie où les réservations ont été ouvertes chez certaines enseignes. Bioshock 2 : Sea of Dreams sera commercialisé à partir du 9 février 2010 sur le Vieux continent. Une date à marquer d'une croix rouge sang dans votre calendrier !
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