J'avance une autre explication : pour un mec aussi obsessionnel que Nadal, cette terre battue bleue est une horreur avant même qu'il mette le pied dessus.
Ce joueur met ses deux bouteilles, devant son banc, toujours à la même place, rentre sur le court de la même façon, touche ses épaules, son pantacourt, etc. Vous imaginez, pour lui, une terre battue bleue...
Evidemment, c'est glissant, je ne le nie pas, mais ce côté psychologique doit jouer chez Nadal. Chez Djoko, moins sans doute.