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RC Strasbourg / RC Lens


Venecia
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Roudet et Boukari out, Milovanovic et Roux appelés

Lundi, 03 Novembre 2008 18:40

 

Le Racing va devoir se passer de deux éléments important ce soir. En effet, Razak Boukari (cheville et cuisse douloureuse) et Sébastien Roudet (cheville) ont déclaré forfait. En conséquence, Jean-Guy Wallemme a convoqué Dejan Milovanovic et Nolan Roux. Nenad Kovacevic va quant à lui, effectuer un dernier essai dès son arrivée au stade.

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oh le carton rouge...

 

pas très futé maoulida sur ce coup là ... :/

Runje toujours aux soins, Boukari Roudet et Hermach (+ Laurenti) forfaits, Kova peut etre pas à 100%, maoulida qui prend un rouge...

Un nul serait déjà un excellent résultat... un bon vieux 0-0 ?

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En résumé : "Votre club est merdique, votre maillot est ridicule, votre palmarès est naze, votre région est moisie."

Ou est l'humour la dedans ?

Et puis un tel article rédigé par un supporter de Strasbourg : c'est l'hopital qui se fout de la charité.

 

Bref, les cahiers du foot ont toujours été méprisants envers Lens, sa région et ses supporters. Pas étonnant qu'ils aient sauté sur l'occasion pour relier l'article.

Ah, j'avais pas posté depuis bien longtemps mais là je m'insurge.

 

1. Les Cahiers du Foot son méchants avec tout le monde. T'as déjà lu ce qu'ils écrivent sur Metz, Rennes, Paris, Strasbourg et Marseille ?

2. Bienvenue chez les Ch'tis a légitimé tout les clichés. Ok, je vais redire ce qu'a dis le strasbourgeois, mais le héros n'est-il pas un petit fonctionnaire (désolé pour tout les postiers) qui plus est poivrot et qui vit chez sa mère à 30 ans et qui bouffe mal (fricadelle) et qui boit mal (Stella, Ch'ti) ?

 

N'aurait-il pas été plus classe et plus juste de montrer un jeune cadre qui s'installe en couple dans un loft rénové du vieux lille et qui ne boit que quand il sort avec ses amis. Et encore de la Karmeliet.

 

Tu vois la différence entre une Stella et une Maredsous ? Tu vois la différence entre une Fricadelle et une Carbonnade Flamande ? Et bien il y avait de quoi faire un truc autrement moins bouffons.

 

3. Quand t'as vu Dany Boon faire le bouffon, t'as rigolé de toi même, enfin de nous tous (moi aussi je suis du NPDC). Alors, pourquoi là quand on re-dit qu'on est des bouffons, ça ne te fait plus rire ?

 

Ca m'énèrve, quand on est du NPDC, on peut rire de tout sauf de sa région. Pourtant, il y a de quoi <_<

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Parce que c'est l'histoire d'un poivrot... il me semblait l'avoir dit. Et aussi tout simplement, parce que les gens parlent Ch'ti. Je parle Ch'ti une fois par an pour m'amuser et je crois qu'il en est de même pour tout le monde ici. D'ailleurs personne n'écrit Ch'ti sur ce forum.

 

Et bien pour moi, le NPDC n'est pas une région où on parle ch'ti, où on est des poivrot et où on bouffe de la merde.

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Désolé pour le hors-sujet mais aujourd'hui ou hier, le prix Gondecourt (et pas Goncourt) à été attribué à "Les Ch'tis, c'était les clichés". Et vu que ce que je veux dire est mieux par l'auteur de ce livre. Et bien je vous laisse la critique de Télérame sur ce livre que j'ai trouvé sur Google

 

Dans “Les Ch'tis, c'était les clichés”, Elise Ovart-Baratte, chercheuse en histoire contemporaine et militante socialiste, s’attaque au film de Dany Boon, qui a bénéficié de subventions régionales alors que, selon elle, la caricature qu’il propose nuit à l’image du Nord-Pas de Calais. Vive les films touristiques ?

 

Les Ch’tis, c’était les clichés entend réhabiliter le petit peuple du Nord-Pas de Calais, à des années lumière des « braves assistés » que Dany Boon aurait croqués. Selon l’auteur, Elise Ovart-Baratte, chercheur en histoire contemporaine, chargée de cours à l’Institut politique de Lille et militante socialiste, l’humoriste du pays aurait trahi les siens, victime du terrible complexe d’infériorité des « gens du Nord ». Dany Boon, cinéaste masochiste, relayeur zélé des pires clichés sur sa région natale ? A la sortie du film, Télérama écrivait presque le contraire : « (...) enfant du pays, Dany Boon insuffle suffisamment d’humanité et de tendresse à ses personnages pour rendre ces clichés digestes, voire savoureux. Et les utilise pour dégommer gentiment d’autres poncifs, côté obscur : le froid, la misère, la mine, l’alcoolisme et la grisaille supposée de l’existence au pays des terrils ».

 

Comment un film aussi inoffensif a-t-il bien pu déclencher une telle colère ? Pour en trouver la source, il faut remonter au tout début de l’année 2008. Le conseil régional du Nord-Pas de Calais avait alors voté une subvention de 600 000 € destinée à la promotion de Bienvenue chez les Ch’tis... Profondément choquée que la Région puisse ainsi contribuer à la dégradation de sa propre image, Elise Ovart-Baratte a donc pris sa plume pour s’interroger sur « la stratégie de marketing territorial » du Nord-Pas de Calais. Et pointer du même coup les poncifs du film.

 

Résumé en une phrase, ca fait " C'est un travail de fond, à travers lequel je m'attaque aux clichés éculés que les Nordistes, qui se complaisent dans une vision passéiste de la région, véhiculent eux-mêmes "

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Parce que c'est l'histoire d'un poivrot... il me semblait l'avoir dit. Et aussi tout simplement, parce que les gens parlent Ch'ti. Je parle Ch'ti une fois par an pour m'amuser et je crois qu'il en est de même pour tout le monde ici. D'ailleurs personne n'écrit Ch'ti sur ce forum.

 

Et bien pour moi, le NPDC n'est pas une région où on parle ch'ti, où on est des poivrot et où on bouffe de la merde.

 

En quoi ce film légitime tout ça alors ? Et si ça le fait c'est encore plus c*n...

 

Dany Boon a l'air d'y croire, il se sent obligé de parler ch'ti à chaque apparition publique et se laisse humilier par certains animateurs TV à ce propos (enfin chacun ses goûts, le rapport dominant/dominé entre adultes ne regardant qu'eux n'est-ce pas ;) ).

 

De toute façon je vois pas le rapport avec le ramassis de conneries publié par les cahiers, franchement rien de particulièrement fin ou inspiré. C'est long, chiant à lire, plat, creux, style ampoulé faussement populiste, que du bonheur...

 

Sinon tt à fait d'accord avec la chercheuse.

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